
Le ministre de l’Intérieur, Bruno Le Roux, a indiqué ce mardi avoir saisi la police des polices, l’Inspection générale de la police nationale (IGPN), après de nouvelles accusations portées à l’encontre de l’un des quatre policiers déjà mis en examen après l’interpellation qui a mal tourné de Théo à Aulnay-sous-Bois.
Pour rappel, trois d'entre eux ont été mis en examen pour "violences volontaires en réunion par personne dépositaire de l'autorité" et le dernier pour "viol". Théo a subi une opération pour sa blessure dans la zone rectale et reçu 60 jours d’arrêt de travail.
Un ami de la victime, dans un témoignage accordé au Nouvel Observateur, a affirmé avoir été passé à tabac par des policiers, dont un impliqué dans le viol présumé de Théo. Il explique qu'il allait acheter du pain quand il croise la route des policiers. Selon lui, ces derniers le passent à tabac sans aucune raison.
À la suite de ces nouvelles accusations portées sur le même fonctionnaire, le porte-parole du ministère de l’Intérieur, Pierre-Henry Brandet, a déclaré que Bruno Le Roux a dans la foulée alerté l’IGPN pour faire la lumière sur ces faits.
Pour rappel, trois d'entre eux ont été mis en examen pour "violences volontaires en réunion par personne dépositaire de l'autorité" et le dernier pour "viol". Théo a subi une opération pour sa blessure dans la zone rectale et reçu 60 jours d’arrêt de travail.
Un ami de la victime, dans un témoignage accordé au Nouvel Observateur, a affirmé avoir été passé à tabac par des policiers, dont un impliqué dans le viol présumé de Théo. Il explique qu'il allait acheter du pain quand il croise la route des policiers. Selon lui, ces derniers le passent à tabac sans aucune raison.
À la suite de ces nouvelles accusations portées sur le même fonctionnaire, le porte-parole du ministère de l’Intérieur, Pierre-Henry Brandet, a déclaré que Bruno Le Roux a dans la foulée alerté l’IGPN pour faire la lumière sur ces faits.