La dernière étude de l’Insee révèle les retombées économiques du complexe industrialo-portuaire de La Réunion en 2012. On retient d’abord 4330 emplois générés directement, répartis dans 344 entreprises, et un chiffre d’affaires de 2 milliards d’euros.
La moitié des emplois se concentrent dans les activités maritimes, la plupart dans la manutention de la marchandise pour le trafic local et le transbordement. Le secteur public, notamment les militaires, douaniers et salariés du Grand Port Maritime de La Réunion représentent 17% de l’emploi du complexe. Les activités de pêche en représentent 7%. Concernant la maintenance et la construction d’ouvrages maritimes, le port de La Réunion connaît un manque d’infrastructure et ces activités ne représentent que 2% de l’emploi du complexe.
Ces emplois sont mieux rémunérés que les autres emplois de l’île : 2650 euros net par mois en moyenne contre le salaire moyen de l’île de 1600 euros. Selon l’Insee, l’écart s’explique par un temps de travail annuel supérieur et un salaire horaire plus élevé.
L’Insee précise également que le port génère 7% de la valeur ajoutée de l’île (431 millions d’euros) et qu’un tiers est généré par des activités maritimes.
La moitié des emplois se concentrent dans les activités maritimes, la plupart dans la manutention de la marchandise pour le trafic local et le transbordement. Le secteur public, notamment les militaires, douaniers et salariés du Grand Port Maritime de La Réunion représentent 17% de l’emploi du complexe. Les activités de pêche en représentent 7%. Concernant la maintenance et la construction d’ouvrages maritimes, le port de La Réunion connaît un manque d’infrastructure et ces activités ne représentent que 2% de l’emploi du complexe.
Ces emplois sont mieux rémunérés que les autres emplois de l’île : 2650 euros net par mois en moyenne contre le salaire moyen de l’île de 1600 euros. Selon l’Insee, l’écart s’explique par un temps de travail annuel supérieur et un salaire horaire plus élevé.
L’Insee précise également que le port génère 7% de la valeur ajoutée de l’île (431 millions d’euros) et qu’un tiers est généré par des activités maritimes.
