
Ce jeudi 16 février, le Parquet national financier (PNR) a mis en lumière les premières conclusions de l’enquête préliminaire concernant les suspicions d’emplois fictifs de Penelope Fillon. Cette enquête a été ouverte le 25 janvier pour des faits présumés de détournements de fonds publics et d'abus de biens sociaux.
Suite à un communiqué transmit par l’Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales (OCLCIFF), Eliane Houlette, la procureure en charge du dossier, déclare : "Les nombreux éléments déjà recueillis ne permettent pas d’envisager, en l’état, un classement sans suite de la procédure". Cela signifierait donc que le parquet considère que les éléments présentés dans ce dossier peuvent étayer l’existence d’une infraction "suffisamment caractérisée".
Ainsi, la procureure affirme que "les investigations vont se poursuivre dans le strict respect des règles qui gouvernent le code de procédure pénale".
Suite à ces dernières révélations François Fillon, candidat de la droite et du centre à l'élection présidentielle, a annoncé qu’il continuerait sa campagne et qu’il s’en remettrait au jugement des Français lors du suffrage universel. De leur côté, les avocats du couple Fillon, ont réaffirmé qu’ils maintenaient des réserves concernant les compétences du PNR dans cette affaire et ont ajouté qu’il s’agissait d’une "violation du principe de séparation de pouvoir".
Suite à un communiqué transmit par l’Office central de lutte contre la corruption et les infractions financières et fiscales (OCLCIFF), Eliane Houlette, la procureure en charge du dossier, déclare : "Les nombreux éléments déjà recueillis ne permettent pas d’envisager, en l’état, un classement sans suite de la procédure". Cela signifierait donc que le parquet considère que les éléments présentés dans ce dossier peuvent étayer l’existence d’une infraction "suffisamment caractérisée".
Ainsi, la procureure affirme que "les investigations vont se poursuivre dans le strict respect des règles qui gouvernent le code de procédure pénale".
Suite à ces dernières révélations François Fillon, candidat de la droite et du centre à l'élection présidentielle, a annoncé qu’il continuerait sa campagne et qu’il s’en remettrait au jugement des Français lors du suffrage universel. De leur côté, les avocats du couple Fillon, ont réaffirmé qu’ils maintenaient des réserves concernant les compétences du PNR dans cette affaire et ont ajouté qu’il s’agissait d’une "violation du principe de séparation de pouvoir".