
Sylvia Otello ne s'est pas présentée ce vendredi matin devant le tribunal de Saint-Pierre dans le cadre d’une comparution sur reconnaissance préalable de culpabilité (CRPC). Sur les conseils de son avocat, Me Georges-André Hoarau, celle qui avait "corrigé" son fils à coups de "ceinture caporal" et filmé la scène, demande une audience publique, ce que ne permet pas la CRPC. Le 30 mars prochain, Sylvia Otello devrait donc s'expliquer pour ces faits de violences avec arme sans ITT et enregistrement et diffusion d’images relatives à la commission d’une atteinte volontaire à l’intégrité de la personne.
L'affaire avait fait un buzz considérable. En octobre dernier, la vidéo diffusée en live sur Facebook par Sylvia Otello avait récolté des centaines de milliers de vues. On la voyait "corriger" son enfant, un adolescent, à coups de "ceinture kaporal" pour le punir d'avoir volé. Des faits qui avaient suscité le débat, sur les modes de punition d'une part, mais aussi sur la diffusion d'images sur la toile à l'insu de la personne filmée.
Suite à cet emballement, et alors que l'histoire avait été relayée par des médias nationaux, la mère de famille avait été placée en garde à vue.
L'affaire avait fait un buzz considérable. En octobre dernier, la vidéo diffusée en live sur Facebook par Sylvia Otello avait récolté des centaines de milliers de vues. On la voyait "corriger" son enfant, un adolescent, à coups de "ceinture kaporal" pour le punir d'avoir volé. Des faits qui avaient suscité le débat, sur les modes de punition d'une part, mais aussi sur la diffusion d'images sur la toile à l'insu de la personne filmée.
Suite à cet emballement, et alors que l'histoire avait été relayée par des médias nationaux, la mère de famille avait été placée en garde à vue.