
Bill Gates nous fait un peu peur… Lors de la Conférence de sécurité de Munich qui a eu lieu hier en Allemagne, il a partagé ses craintes pour l’humanité et le monde, en parlant d’une épidémie pouvant "tuer 30 millions de personnes en moins d’un an" qu’elle soit naturelle ou provenant de terroristes.
"Il est assez probable que le monde va vivre une telle épidémie dans les 10 à 15 ans à venir, a-t-il déclaré. C'est pourquoi nous nous mettons en danger en ignorant le lien entre sécurité sanitaire et sécurité internationale."
Le fondateur de Microsoft appelle donc les États du monde à investir dans la recherche nécessaire pour développer des vaccins. "Le coût global de la préparation à une pandémie est de 3,4 milliards de dollars par an. La perte qu'une pandémie provoquerait pourrait atteindre 570 milliards", a expliqué l’homme le plus riche du monde.
Les agences de sécurité intérieure des États-Unis et du Royaume Uni ont affirmé que l’État Islamique essayait de développer des armes biologiques en Syrie et en Iraq. Mais ils assurent qu’il faudrait aux terroristes un certain savoir-faire, de bons laboratoires et un environnement calme pour travailler.
Bill Gates insiste que même si c’est difficile de l’imaginer, il faut se rappeler qu’en 1918, une grippe mortelle a tué entre 50 et 100 millions de personnes.
"Il est assez probable que le monde va vivre une telle épidémie dans les 10 à 15 ans à venir, a-t-il déclaré. C'est pourquoi nous nous mettons en danger en ignorant le lien entre sécurité sanitaire et sécurité internationale."
Le fondateur de Microsoft appelle donc les États du monde à investir dans la recherche nécessaire pour développer des vaccins. "Le coût global de la préparation à une pandémie est de 3,4 milliards de dollars par an. La perte qu'une pandémie provoquerait pourrait atteindre 570 milliards", a expliqué l’homme le plus riche du monde.
Les agences de sécurité intérieure des États-Unis et du Royaume Uni ont affirmé que l’État Islamique essayait de développer des armes biologiques en Syrie et en Iraq. Mais ils assurent qu’il faudrait aux terroristes un certain savoir-faire, de bons laboratoires et un environnement calme pour travailler.
Bill Gates insiste que même si c’est difficile de l’imaginer, il faut se rappeler qu’en 1918, une grippe mortelle a tué entre 50 et 100 millions de personnes.