
L'affaire a fait grand bruit ce mardi. Une publicité d'un centre Aquatique situé à Laval, l'Aquabulle, a suscité l'indignation des internautes réunionnais. "C'est pas La Réunion, mais on n'a pas de requins", indiquait une publication pour un jeu destiné à faire gagner des "pass été".
Ce mercredi matin, Marc Hazard, le directeur des exploitations (dont fait partie l'Aquabulle) revient sur cette polémique qui a déchainé la toile. "Quand on s'est aperçu de notre erreur, on a stoppé immédiatement la campagne", rappelle-t-il pour commencer. Des excuses ont par la suite été présentées aux internautes.
"L'objet n'était pas de se servir de la crise requin, mais plutôt de faire la comparaison avec une île paradisiaque", explique-t-il. "C'était censé être un trait d'humour, très mal placé, j'en conviens, mais nous ne nous en sommes aperçus qu'à posteriori"", regrette-t-il."C'était une maladresse de notre part, mais il n'y avait vraiment aucune volonté de dénigrer".
"Pas des experts en communication"
"Nous avions fait appel à une agence de com, car c'est un tout petit centre aquatique, nous ne sommes pas des experts en communication. Notre erreur a été de laisser passer. Nous n'en sommes pas fiers", poursuit-il, expliquant que le directeur du centre est "totalement dépassée par cette histoire, qui a pris une ampleur qu'il était loin d'imaginer".
Alors que l'IRT n'a pas manqué de réagir, annonçant des actions en justice et proposant de faire gagner un voyage à La Réunion, le directeur des exploitations indique avoir tenté de contacter le comité régional du tourisme hier soir, pour présenter ses excuses et discuter des actions qui pourraient permettre de valoriser l'île.
"À l'avenir, nous serons beaucoup plus vigilants", conclut Marc Hazard.
Ce mercredi matin, Marc Hazard, le directeur des exploitations (dont fait partie l'Aquabulle) revient sur cette polémique qui a déchainé la toile. "Quand on s'est aperçu de notre erreur, on a stoppé immédiatement la campagne", rappelle-t-il pour commencer. Des excuses ont par la suite été présentées aux internautes.
"L'objet n'était pas de se servir de la crise requin, mais plutôt de faire la comparaison avec une île paradisiaque", explique-t-il. "C'était censé être un trait d'humour, très mal placé, j'en conviens, mais nous ne nous en sommes aperçus qu'à posteriori"", regrette-t-il."C'était une maladresse de notre part, mais il n'y avait vraiment aucune volonté de dénigrer".
"Pas des experts en communication"
"Nous avions fait appel à une agence de com, car c'est un tout petit centre aquatique, nous ne sommes pas des experts en communication. Notre erreur a été de laisser passer. Nous n'en sommes pas fiers", poursuit-il, expliquant que le directeur du centre est "totalement dépassée par cette histoire, qui a pris une ampleur qu'il était loin d'imaginer".
Alors que l'IRT n'a pas manqué de réagir, annonçant des actions en justice et proposant de faire gagner un voyage à La Réunion, le directeur des exploitations indique avoir tenté de contacter le comité régional du tourisme hier soir, pour présenter ses excuses et discuter des actions qui pourraient permettre de valoriser l'île.
"À l'avenir, nous serons beaucoup plus vigilants", conclut Marc Hazard.
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