Lara Rijs, 32 ans a été retrouvée égorgée dans son appartement à la Résidence de luxe, à Pereybère dans la nuit de dimanche. La jeune femme travaillait à l'Ile Maurice, pour le compte d'une société de management genevoise.
L'autopsie a révélée une profonde entaille au niveau du cou de la victime ainsi que des traces d'agressions sexuelles.
Pour l'heure l'agent de sécurité qui aurait escorté la jeune femme jusqu'à son bungalow serait un suspect potentiel. Il a comparu mardi au tribunal.
Dans un communiqué de presse, les parents de la victime confient qu’ils passent actuellement par des moments difficiles. Ils annoncent qu’ils ont retenu les services d’un homme de loi et d’un médecin légiste pour les conseiller. Ils précisent ne pas avoir demandé de contre-autopsie.
Pour élucider les circonstances du drame, les parents de la jeune fille déclarent faire confiance aux autorités locales. Sur place depuis mercredi ils tentent en vain de comprendre ce qui a pu se passer.
Une enquête est ouverte. La MCIT a commencé à collecter les indices susceptibles d’élucider les circonstances du crime. Une passagère de taxi a été interrogée mardi en tant que témoin. Elle affirme que le gardien n’était pas à son poste et que la porte principale de Résidence de Luxe était ouverte.
L’enquête policière, placée sous la supervision de l’ASP Gérard, suit son cours.
L'autopsie a révélée une profonde entaille au niveau du cou de la victime ainsi que des traces d'agressions sexuelles.
Pour l'heure l'agent de sécurité qui aurait escorté la jeune femme jusqu'à son bungalow serait un suspect potentiel. Il a comparu mardi au tribunal.
Dans un communiqué de presse, les parents de la victime confient qu’ils passent actuellement par des moments difficiles. Ils annoncent qu’ils ont retenu les services d’un homme de loi et d’un médecin légiste pour les conseiller. Ils précisent ne pas avoir demandé de contre-autopsie.
Pour élucider les circonstances du drame, les parents de la jeune fille déclarent faire confiance aux autorités locales. Sur place depuis mercredi ils tentent en vain de comprendre ce qui a pu se passer.
Une enquête est ouverte. La MCIT a commencé à collecter les indices susceptibles d’élucider les circonstances du crime. Une passagère de taxi a été interrogée mardi en tant que témoin. Elle affirme que le gardien n’était pas à son poste et que la porte principale de Résidence de Luxe était ouverte.
L’enquête policière, placée sous la supervision de l’ASP Gérard, suit son cours.
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