
Les récentes attaques de personnes ou de troupeaux par des chiens relancent le débat et mobilisent plus que jamais les associations dans leur travail de placement. Mais les familles d’accueil temporaire sur l’île sont rares alors même qu‘elles sont un maillon clé de la chaîne de sauvetage… Et une des solutions dans le travail de résorption de l’errance animale.
Moins de 200 familles d’accueil estimées sur le territoire. Autant dire peu. Pourtant, cette étape transitoire, mal connue, est indispensable avant le placement définitif de l’animal. Et l’une des alternatives à l’inévitable euthanasie par la fourrière. Avec 4 refuges sur l’île, difficile en effet de faire face aux 30 000 chiens et chats des rues sans une forme de solidarité "citoyenne".
Être famille d’accueil, c’est accepter selon ses possibilités, d’héberger temporairement un, voire plusieurs chiens ou chats, le temps que l’association fasse les démarches pour l’adoption définitive. Car des solutions de placement, notamment en métropole, existent : sur l’année 2016, ce sont 3000 chiens et chats qui se sont envolés vers leurs nouvelles familles.
Selon l’association, la durée du séjour peut être de quelques jours ou semaines. Certaines prennent en charge le budget nourriture le temps de l’hébergement. Toutes assurent l’intégralité des frais vétérinaires. Toutes aussi s’engagent auprès de le famille d’accueil, lui offrant ainsi des garanties.
A un bout de la chaîne, il y a des animaux adoptables, à l’autre bout, des personnes en quête d’adoption. Entre les deux, un processus permettant la rencontre des uns et des autres dont un maillon essentiel : une famille d’accueil temporaire faisant le lien. Donc un toit pour protéger chacun des conséquences de l’errance : l’Homme et l’Animal.
Moins de 200 familles d’accueil estimées sur le territoire. Autant dire peu. Pourtant, cette étape transitoire, mal connue, est indispensable avant le placement définitif de l’animal. Et l’une des alternatives à l’inévitable euthanasie par la fourrière. Avec 4 refuges sur l’île, difficile en effet de faire face aux 30 000 chiens et chats des rues sans une forme de solidarité "citoyenne".
Être famille d’accueil, c’est accepter selon ses possibilités, d’héberger temporairement un, voire plusieurs chiens ou chats, le temps que l’association fasse les démarches pour l’adoption définitive. Car des solutions de placement, notamment en métropole, existent : sur l’année 2016, ce sont 3000 chiens et chats qui se sont envolés vers leurs nouvelles familles.
Selon l’association, la durée du séjour peut être de quelques jours ou semaines. Certaines prennent en charge le budget nourriture le temps de l’hébergement. Toutes assurent l’intégralité des frais vétérinaires. Toutes aussi s’engagent auprès de le famille d’accueil, lui offrant ainsi des garanties.
A un bout de la chaîne, il y a des animaux adoptables, à l’autre bout, des personnes en quête d’adoption. Entre les deux, un processus permettant la rencontre des uns et des autres dont un maillon essentiel : une famille d’accueil temporaire faisant le lien. Donc un toit pour protéger chacun des conséquences de l’errance : l’Homme et l’Animal.
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