
Le Parc national de La Réunion, la gendarmerie, la police municipale de Saint-Philippe et de Sainte-Rose, la CASUD, la CIREST ont uni leur force pour lutter ce vendredi 24 novembre contre les dépôts sauvages de déchets sur le territoire de La route des Laves. A l'instar des opérations "route bleue" menées par la gendarmerie, les partenaires ont décidé de mener ensemble des opérations "route verte".
La première opération "route verte" a été réalisée ce vendredi entre 14h00 et 19h00 sur la RN2 dans le Grand Brûlé.
L'axe routier entre Sainte-Rose et Saint-Philippe, la route des laves, est un itinéraire à fort potentiel touristique et pédagogique. En effet, il dispose de millésimes de coulées volcaniques (Notre-Dame des Laves 1977, Coulée 1986, 2007, 2004, 1998, la vierge au parasol) permettant de comprendre le fonctionnement du massif du volcan "Piton de La Fournaise" dans ses facettes littorales et les liens d'histoire et de vie que les habitants entretiennent avec le volcan.
Le Grand-Brûlé, composante majeur de ce territoire, classé parc national et inscrit sur la liste des biens naturels du patrimoine mondial de l'humanité, présente des paysages remarquables du point de vue esthétique. Chaque coulée est un spectacle féerique et un événement rappelant aux Hommes les défis qu’ils ont à relever pour occuper et vivre sur le territoire d’un volcan vivant. Aussi, le Parc national anime avec l'ensemble des acteurs réunionnais, un projet de mise en découverte de la Route des laves pour en faire une vitrine touristique internationale pour La Réunion.
Or, l'image du Grand Brûlé est ternie par des dépôts volontaires de déchets et l'abandon d'animaux domestiques au bord de la route. Malgré les campagnes de sensibilisation, près de 30 m³ de déchets, soit 5 tonnes, ont déjà été évacués lors d'opérations citoyennes de Gran Met Propre en septembre 2017. L’abandon de déchets en milieu naturel constitue une atteinte au patrimoine paysager et au cadre de vie. En outre, les déchets alimentaires, bien que biodégradables, favorisent la prolifération des rats, des chiens et des chats errants qui représentent un danger pour les visiteurs.
Au regard de ces enjeux, le Parc national de La Réunion, la gendarmerie, la police municipale , les communes de Saint-Philippe, de Sainte-Rose, la CASUD, la CIREST et l'Etat ont décidé d'agir conjointement et de façon régulière.
La première opération "route verte" a été réalisée ce vendredi entre 14h00 et 19h00 sur la RN2 dans le Grand Brûlé.
L'axe routier entre Sainte-Rose et Saint-Philippe, la route des laves, est un itinéraire à fort potentiel touristique et pédagogique. En effet, il dispose de millésimes de coulées volcaniques (Notre-Dame des Laves 1977, Coulée 1986, 2007, 2004, 1998, la vierge au parasol) permettant de comprendre le fonctionnement du massif du volcan "Piton de La Fournaise" dans ses facettes littorales et les liens d'histoire et de vie que les habitants entretiennent avec le volcan.
Le Grand-Brûlé, composante majeur de ce territoire, classé parc national et inscrit sur la liste des biens naturels du patrimoine mondial de l'humanité, présente des paysages remarquables du point de vue esthétique. Chaque coulée est un spectacle féerique et un événement rappelant aux Hommes les défis qu’ils ont à relever pour occuper et vivre sur le territoire d’un volcan vivant. Aussi, le Parc national anime avec l'ensemble des acteurs réunionnais, un projet de mise en découverte de la Route des laves pour en faire une vitrine touristique internationale pour La Réunion.
Or, l'image du Grand Brûlé est ternie par des dépôts volontaires de déchets et l'abandon d'animaux domestiques au bord de la route. Malgré les campagnes de sensibilisation, près de 30 m³ de déchets, soit 5 tonnes, ont déjà été évacués lors d'opérations citoyennes de Gran Met Propre en septembre 2017. L’abandon de déchets en milieu naturel constitue une atteinte au patrimoine paysager et au cadre de vie. En outre, les déchets alimentaires, bien que biodégradables, favorisent la prolifération des rats, des chiens et des chats errants qui représentent un danger pour les visiteurs.
Au regard de ces enjeux, le Parc national de La Réunion, la gendarmerie, la police municipale , les communes de Saint-Philippe, de Sainte-Rose, la CASUD, la CIREST et l'Etat ont décidé d'agir conjointement et de façon régulière.
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