
Un détenu dionysien a écopé de 8 mois supplémentaires pour s’être évadé alors qu’il était dans le cadre d’une semi-liberté.
Les faits remontent au 17 novembre dernier. "Au lieu de regagner ses quartiers le soir prévu, l’homme de 29 ans a préféré passer du temps avec ses proches", écrit Le Quotidien.
Il sera interpellé jeudi chez son cousin, non sans quelques difficultés. En effet, lors de sa garde à vue, le fugitif sous l’emprise de l’alcool, se tape la tête contre les murs, avant de s’en prendre aux policiers, obligés de le plaquer au sol.
Lors de l’audience hier au tribunal correctionnel, le détenu a regretté son geste et a expliqué aux robes noires qu’il était suivi pour des troubles psychologiques.
Pas de quoi le dédouaner pour sa fuite : le tribunal l’a condamné à 8 mois supplémentaires derrière les barreaux.
Les faits remontent au 17 novembre dernier. "Au lieu de regagner ses quartiers le soir prévu, l’homme de 29 ans a préféré passer du temps avec ses proches", écrit Le Quotidien.
Il sera interpellé jeudi chez son cousin, non sans quelques difficultés. En effet, lors de sa garde à vue, le fugitif sous l’emprise de l’alcool, se tape la tête contre les murs, avant de s’en prendre aux policiers, obligés de le plaquer au sol.
Lors de l’audience hier au tribunal correctionnel, le détenu a regretté son geste et a expliqué aux robes noires qu’il était suivi pour des troubles psychologiques.
Pas de quoi le dédouaner pour sa fuite : le tribunal l’a condamné à 8 mois supplémentaires derrière les barreaux.
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