
Il n'a plus de conseiller principal d’éducation, la secrétaire et 4 à 5 enseignants sont en arrêt maladie, le principal-adjoint lui vient juste de revenir, arrêté pour surmenage…C’est un climat délétère qui est décrit par une partie du personnel du collège Adrien Cerneau de Ste-Marie. Un climat qui s’est installé à l’arrivée d’un nouveau principal il y a quelques mois. "Nous étions un collège dynamique avec plein de projets mais depuis plus rien", déplore une professeure qui souhaite garder l’anonymat.
Cette dernière décrit une "grande souffrance" ressentie autant par l’équipe pédagogique qu’administrative. Des "pressions" ont été signalées, d'autres parlent de "dénigrements". La CGTR éduc’action et le SNALC ont été alertés. Des réunions ont été organisées entre les délégués du personnel et l’équipe dirigeante de l’établissement scolaire, sans effet. Le rectorat a également été informé.
La situation commencerait désormais à déteindre sur le comportement des élèves. Le nombre d'incivilités et de bagarres aurait ainsi augmenté. Un élève a même agressé récemment un professeur et "le principal a lui-même bien failli se faire frapper", dénonce-t-elle.
L’établissement scolaire souffre du " manque de politique d’établissement, de gestion claire des dossiers ".
Jeudi dernier, la CGTR éduc’action a interpellé le recteur afin qu’"une enquête administrative soit diligentée dans les meilleurs délais afin de déterminer les responsabilités et de prendre les mesures qui s’imposent ". Ce lundi, les représentants syndicaux ont rendez-vous dans l’établissement scolaire. Si aucune solution n’est trouvée, les enseignants menacent de débrayer durant une heure ce jeudi.
Cette dernière décrit une "grande souffrance" ressentie autant par l’équipe pédagogique qu’administrative. Des "pressions" ont été signalées, d'autres parlent de "dénigrements". La CGTR éduc’action et le SNALC ont été alertés. Des réunions ont été organisées entre les délégués du personnel et l’équipe dirigeante de l’établissement scolaire, sans effet. Le rectorat a également été informé.
La situation commencerait désormais à déteindre sur le comportement des élèves. Le nombre d'incivilités et de bagarres aurait ainsi augmenté. Un élève a même agressé récemment un professeur et "le principal a lui-même bien failli se faire frapper", dénonce-t-elle.
L’établissement scolaire souffre du " manque de politique d’établissement, de gestion claire des dossiers ".
Jeudi dernier, la CGTR éduc’action a interpellé le recteur afin qu’"une enquête administrative soit diligentée dans les meilleurs délais afin de déterminer les responsabilités et de prendre les mesures qui s’imposent ". Ce lundi, les représentants syndicaux ont rendez-vous dans l’établissement scolaire. Si aucune solution n’est trouvée, les enseignants menacent de débrayer durant une heure ce jeudi.
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