Yvon Bello, au nom du collectif "La Rivière 2018", reproche à la mairie "une énième tentative de diversion", se demandant si elle "s'apparenterait à une manœuvre de dernière minute pour tenter d’influencer grossièrement le Tribunal", qui doit rendre prochainement son jugement. Voici le communiqué :

"Comme par hasard, à quelques semaines de la décision du Tribunal Administratif concernant la commune de La Rivière, la ville de Saint-Louis communique tous azimuts sur la fiscalité locale pour tenter de justifier sa demande de report de la commune à 2020 au lieu de 2018 comme prévu initialement.
L’immense majorité de la population est vraiment en colère car si hier encore la ville de Saint-Louis usait de certains arguments, aujourd’hui c’est autre chose. Demain elle pourra toujours en inventé encore d’autres.
Cette énième tentative de diversion s’apparenterait-elle à une manœuvre de dernière minute pour tenter d’influencer grossièrement le Tribunal ? Ce serait affligeant d’autant que la municipalité n’a jamais déféré l’arrêté du Préfet portant création de la commune dès le 16 mars 2017.
Pire encore, la communication du Maire est présentée comme une réalité alors que le Tribunal n’a pas encore prononcé son délibéré. Il ne fait de doute pour personne que le Tribunal appréciera cette manière de faire.
A vrai dire, l’attitude de la municipalité ne nous étonne pas surtout quand nous savons que, depuis le mois de juillet 2017, des arguments totalement étrangers à l’érection de La Rivière en commune sont méticuleusement inoculés par quelques "très puissantes personnalités" pour essayer de briser le rêve de la population.
Nous restons sereins quant à la décision qui sera rendu par le Tribunal Administratif parce que dans un État de droit rien ne s’oppose à la commune de La Rivière en 2018".
Yvon BELLO
L’immense majorité de la population est vraiment en colère car si hier encore la ville de Saint-Louis usait de certains arguments, aujourd’hui c’est autre chose. Demain elle pourra toujours en inventé encore d’autres.
Cette énième tentative de diversion s’apparenterait-elle à une manœuvre de dernière minute pour tenter d’influencer grossièrement le Tribunal ? Ce serait affligeant d’autant que la municipalité n’a jamais déféré l’arrêté du Préfet portant création de la commune dès le 16 mars 2017.
Pire encore, la communication du Maire est présentée comme une réalité alors que le Tribunal n’a pas encore prononcé son délibéré. Il ne fait de doute pour personne que le Tribunal appréciera cette manière de faire.
A vrai dire, l’attitude de la municipalité ne nous étonne pas surtout quand nous savons que, depuis le mois de juillet 2017, des arguments totalement étrangers à l’érection de La Rivière en commune sont méticuleusement inoculés par quelques "très puissantes personnalités" pour essayer de briser le rêve de la population.
Nous restons sereins quant à la décision qui sera rendu par le Tribunal Administratif parce que dans un État de droit rien ne s’oppose à la commune de La Rivière en 2018".
Yvon BELLO
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