
3267 euros… La somme des indemnisations n’est pas énorme mais la liste est longue. S’ajoutant à un casier judiciaire déjà conséquent et une peine de prison que la jeune femme est en train de purger, les vols et escroqueries sont devenus une habitude. À 25 ans, cette petite femme qui pourrait passer pour une adolescente a eu une année bien chargée.
Face aux accusations de vol de sacs à mains, d’utilisation frauduleuse de numéros de cartes bancaires et de chèques frauduleux ainsi que de mensonges, la prévenue est restée muette, ne reconnaissant aucun fait. Sauf un seul, le dépôt d’un faux chèque de caution dans une boutique de Bras-Panon pour payer ses courses, à hauteur de 57 euros.
"Casier judiciaire d’escroc"
Pour le reste, rien. Pourtant les victimes sont présentes et s’indignent devant la cour. Une dame a cru avoir affaire à une intermédiaire entre elle-même et un propriétaire souhaitant louer son logement. Un faux bail – très mal fait – a suffi pour que la jeune femme reçoive les 500 euros qu’elle cherchait à obtenir.
Autre cas : les parents de son ex-copain, qui l’ont pourtant hébergée pendant trois semaines, ont vu leur numéro de carte utilisée pour de nombreux achats par téléphone.
Sans avocat, la prévenue ne tente même pas de se défendre. Pour le procureur, cette femme au "casier judiciaire d’une escroc", "cherche à obtenir de l’argent maintenant, n’est pas capable de réfléchir à long terme et penser aux circonstances de ses actes".
Déjà incarcérée pour des faits similaires de vols et de fraude depuis le mois de septembre, elle retourne donc en prison avec une peine additionnelle de 18 mois avec six mois de sursis assortis d’une mise à l’épreuve.
Face aux accusations de vol de sacs à mains, d’utilisation frauduleuse de numéros de cartes bancaires et de chèques frauduleux ainsi que de mensonges, la prévenue est restée muette, ne reconnaissant aucun fait. Sauf un seul, le dépôt d’un faux chèque de caution dans une boutique de Bras-Panon pour payer ses courses, à hauteur de 57 euros.
"Casier judiciaire d’escroc"
Pour le reste, rien. Pourtant les victimes sont présentes et s’indignent devant la cour. Une dame a cru avoir affaire à une intermédiaire entre elle-même et un propriétaire souhaitant louer son logement. Un faux bail – très mal fait – a suffi pour que la jeune femme reçoive les 500 euros qu’elle cherchait à obtenir.
Autre cas : les parents de son ex-copain, qui l’ont pourtant hébergée pendant trois semaines, ont vu leur numéro de carte utilisée pour de nombreux achats par téléphone.
Sans avocat, la prévenue ne tente même pas de se défendre. Pour le procureur, cette femme au "casier judiciaire d’une escroc", "cherche à obtenir de l’argent maintenant, n’est pas capable de réfléchir à long terme et penser aux circonstances de ses actes".
Déjà incarcérée pour des faits similaires de vols et de fraude depuis le mois de septembre, elle retourne donc en prison avec une peine additionnelle de 18 mois avec six mois de sursis assortis d’une mise à l’épreuve.
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