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15 cas de coqueluche signalés au 4 décembre 2017 contre un seul en 2016. Au cours du mois de novembre, une recrudescence de la maladie a été observée à Mayotte. La coqueluche peut être grave, voire mortelle chez les jeunes enfants. La maladie également contagieuse, fait craindre un risque épidémique. L’ARS Océan Indien appelle donc la population et les professionnels de santé à vérifier leur vaccination.
Les personnes touchées sont majoritairement des enfants de 1 à 7 mois, hospitalisés dans le service de pédiatrie du CHM. Parmi les 15 cas, 12 n’étaient pas vaccinés contre la coqueluche (notamment DTCP).
"Ces cas semblent répartis sur tout le territoire de Mayotte sans qu'un foyer ne puisse être identifié à ce stade. L'un des cas diagnostiqués en novembre était un nourrisson de 3 mois, ancien prématuré de 32 semaines d’aménorrhée, décédé en réanimation des suites de cette maladie", indique l’ARS.
Des enquêtes menées par les équipes de l’ARS Océan Indien et de la Cire Océan Indien (Santé Publique France) sont en cours pour vérifier le statut vaccinal des malades et de leur entourage.
Un renforcement de la surveillance épidémiologique a été mis en place afin "d’identifier tout nouveau cas et permettre une meilleure description du phénomène".
Les professionnels de santé de l’île sont sensibilisés à l’importance de signaler sans délais tous les cas suspects ou confirmés de coqueluche à l’ARS Océan Indien. La population invitée , enfants et adultes, à faire vérifier leur statut vaccinal vis-à-vis de la coqueluche.
La coqueluche est une infection respiratoire très contagieuse, qui provoque des quintes de toux. La gravité de la maladie peut intervenir chez certaines personnes fragiles: femmes enceintes, personnes âgées, nourrissons de moins de six mois. Pour les bébés de moins de trois mois, le séjour à l’hôpital est systématique.
Malgré la vaccination qui a entrainé une diminution de la mortalité et de la morbidité, circule encore la bactérie, Bordetella pertussis, principale responsable de la maladie. En cause, l’immunité contre la coqueluche n’est pas définitive. "Il est possible de contracter la coqueluche plusieurs fois dans sa vie. Le fait d’avoir déjà eu la maladie donne une protection immunitaire qui s’affaiblit peu à peu au fil du temps. De plus, pour une protection optimale, le vaccin nécessite plusieurs rappels", rappelle l’ARS.
Les personnes touchées sont majoritairement des enfants de 1 à 7 mois, hospitalisés dans le service de pédiatrie du CHM. Parmi les 15 cas, 12 n’étaient pas vaccinés contre la coqueluche (notamment DTCP).
"Ces cas semblent répartis sur tout le territoire de Mayotte sans qu'un foyer ne puisse être identifié à ce stade. L'un des cas diagnostiqués en novembre était un nourrisson de 3 mois, ancien prématuré de 32 semaines d’aménorrhée, décédé en réanimation des suites de cette maladie", indique l’ARS.
Des enquêtes menées par les équipes de l’ARS Océan Indien et de la Cire Océan Indien (Santé Publique France) sont en cours pour vérifier le statut vaccinal des malades et de leur entourage.
Un renforcement de la surveillance épidémiologique a été mis en place afin "d’identifier tout nouveau cas et permettre une meilleure description du phénomène".
Les professionnels de santé de l’île sont sensibilisés à l’importance de signaler sans délais tous les cas suspects ou confirmés de coqueluche à l’ARS Océan Indien. La population invitée , enfants et adultes, à faire vérifier leur statut vaccinal vis-à-vis de la coqueluche.
La coqueluche est une infection respiratoire très contagieuse, qui provoque des quintes de toux. La gravité de la maladie peut intervenir chez certaines personnes fragiles: femmes enceintes, personnes âgées, nourrissons de moins de six mois. Pour les bébés de moins de trois mois, le séjour à l’hôpital est systématique.
Malgré la vaccination qui a entrainé une diminution de la mortalité et de la morbidité, circule encore la bactérie, Bordetella pertussis, principale responsable de la maladie. En cause, l’immunité contre la coqueluche n’est pas définitive. "Il est possible de contracter la coqueluche plusieurs fois dans sa vie. Le fait d’avoir déjà eu la maladie donne une protection immunitaire qui s’affaiblit peu à peu au fil du temps. De plus, pour une protection optimale, le vaccin nécessite plusieurs rappels", rappelle l’ARS.
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