
Notre île de la Réunion,
Porte, belle et bien son nom,
Elle marie, ciel, terre et mer
En cet Océan, où elle se dresse, si fière.
Que de beautés tient-elle cachées
Sous la crinoline de son voile ennuagé!
L'un de ses merveilleux trésors,
Se découvre au prix d'un tout petit effort.
Prenez la route qui mène à Salazie.
Certains diront "une chaussée rétrécie".
Ce ne sont pas là, aventuriers,
Ni preux et fiers chevaliers,
La route est belle Mes Seigneurs!
Qui conduit à la cascade du bonheur.
Au détour d'un virage,
C'est presque un mirage,
Une musique aux notes cristallines
Enchantera une ouïe fine.
Vous envahira, alors, le chant de cristal,
D'une onde scintillante et virginale.
Le serpentin de vif-argent,
Déboule des Hauts, en bondissant
De falaises d'émeraudes,
Sur des balcons où rôde
L'ombre d'une Juliette aux yeux d'eau,
Langoureuse à attendre son doux Roméo.
La Belle, dans son rêve d'amour,
A déjà revêtu ses plus précieux atours.
Son front, ceint d'étincelants diamants,
Emerge d'un écrin de velours verdoyant.
Les prunelles d'azur de la toute Belle,
Semblent fixer l'horizon éternel.
Elle attend son bien aimé,
Le corps et le coeur chavirés.
Un long voile de fine dentelle,
Dissimule son jeune corps de Demoiselle.
Des Salazes à Hell-bourg,
On entend son chant d'amour.
Nulle provocation aguicheuse,
Encore moins de promesses luxurieuses
Dans la posture de la princesse,
Juste une infinie tendresse,
Livrée, comme çà, généreusement,
A celles et ceux qui s'arrêtent un instant,
Pour profiter de ce moment,
Où la nature s'offre au Temps.
Non! Passants, curieux, voyeurs,
Touristes aux yeux fureteurs,
Si la beauté, à sa source, vous attire,
N'y voyez d'aucune sirène, le délire,
Parce que c'est avec votre coeur
Que vous découvrirez,
Sous le voile de la mariée,
Tous les mystères de la beauté
De notre île tant aimée.
Porte, belle et bien son nom,
Elle marie, ciel, terre et mer
En cet Océan, où elle se dresse, si fière.
Que de beautés tient-elle cachées
Sous la crinoline de son voile ennuagé!
L'un de ses merveilleux trésors,
Se découvre au prix d'un tout petit effort.
Prenez la route qui mène à Salazie.
Certains diront "une chaussée rétrécie".
Ce ne sont pas là, aventuriers,
Ni preux et fiers chevaliers,
La route est belle Mes Seigneurs!
Qui conduit à la cascade du bonheur.
Au détour d'un virage,
C'est presque un mirage,
Une musique aux notes cristallines
Enchantera une ouïe fine.
Vous envahira, alors, le chant de cristal,
D'une onde scintillante et virginale.
Le serpentin de vif-argent,
Déboule des Hauts, en bondissant
De falaises d'émeraudes,
Sur des balcons où rôde
L'ombre d'une Juliette aux yeux d'eau,
Langoureuse à attendre son doux Roméo.
La Belle, dans son rêve d'amour,
A déjà revêtu ses plus précieux atours.
Son front, ceint d'étincelants diamants,
Emerge d'un écrin de velours verdoyant.
Les prunelles d'azur de la toute Belle,
Semblent fixer l'horizon éternel.
Elle attend son bien aimé,
Le corps et le coeur chavirés.
Un long voile de fine dentelle,
Dissimule son jeune corps de Demoiselle.
Des Salazes à Hell-bourg,
On entend son chant d'amour.
Nulle provocation aguicheuse,
Encore moins de promesses luxurieuses
Dans la posture de la princesse,
Juste une infinie tendresse,
Livrée, comme çà, généreusement,
A celles et ceux qui s'arrêtent un instant,
Pour profiter de ce moment,
Où la nature s'offre au Temps.
Non! Passants, curieux, voyeurs,
Touristes aux yeux fureteurs,
Si la beauté, à sa source, vous attire,
N'y voyez d'aucune sirène, le délire,
Parce que c'est avec votre coeur
Que vous découvrirez,
Sous le voile de la mariée,
Tous les mystères de la beauté
De notre île tant aimée.
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