
À la veille de la pause estivale des députés, et en pleine tempête de l'affaire Benalla, le gouvernement va faire face ce mardi à deux motions de censure défendues par l'opposition, qui ont peu de chances d'aboutir. Une affaire qui a provoqué le report de l'examen de la révision constitutionnelle. À La Réunion, Huguette Bello compte bien évidemment voter la motion présentée par son chef de groupe, André Chassaigne, car dit-elle, "les Français sont choqués par cette espèce de connivence".
Les prises de parole de Christian Jacob (LR) et d'André Chassaigne (PCF) interviendront à partir de 15 heures (heure de Paris) pour défendre ces motions, les toutes premières du quinquennat d'Emmanuel Macron. Pour le premier, le gouvernement "a failli" et demande au président de la République de "s'adresser solennellement aux Français". André Chassaigne, lui, juge l'affaire Benalla comme étant "le mal" qui est "dans la Constitution de la VE République".
Pour rappel, et selon les termes de l'article 49 alinéa 2 de la Constitution, "l'Assemblée nationale met en cause la responsabilité du gouvernement" par le vote d'une motion de censure. Grâce à cette arme parlementaire, les députés peuvent sur le papier renverser un gouvernement. Dans les faits, comme rappelé par le journal Le Monde, cette adoption paraît impossible en raison de l'existence "quasi permanente sous la Ve République" d'une majorité stable et "aux ordres" du gouvernement.
Les prises de parole de Christian Jacob (LR) et d'André Chassaigne (PCF) interviendront à partir de 15 heures (heure de Paris) pour défendre ces motions, les toutes premières du quinquennat d'Emmanuel Macron. Pour le premier, le gouvernement "a failli" et demande au président de la République de "s'adresser solennellement aux Français". André Chassaigne, lui, juge l'affaire Benalla comme étant "le mal" qui est "dans la Constitution de la VE République".
Pour rappel, et selon les termes de l'article 49 alinéa 2 de la Constitution, "l'Assemblée nationale met en cause la responsabilité du gouvernement" par le vote d'une motion de censure. Grâce à cette arme parlementaire, les députés peuvent sur le papier renverser un gouvernement. Dans les faits, comme rappelé par le journal Le Monde, cette adoption paraît impossible en raison de l'existence "quasi permanente sous la Ve République" d'une majorité stable et "aux ordres" du gouvernement.
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