
Les salariés du GET 974 sont inquiets. L’association est l’interface des collectivités dans la mise à disposition de personnels qualifiés dans le domaine de l’accompagnement et de la sécurité des transports en commun, qu’ils soient gérés par la Région (grandes lignes car Jaune) ou des intercommunalités (réseau inter-urbains).
Réunis ce mercredi devant le chapiteau du Parc 20 décembre à Saint-Leu, les représentants syndicaux et les salariés concernés mettent sur la place publique leurs tourments.
15 salariés qui étaient agents de médiation sont sur le point d’être remerciés. En fin d’année dernière, le GET 974 perdait le marché public de "l’embarqué", en décembre 2017. 10 salariés étaient concernés. En clair, il s’agissait de salariés dont la mission était d’être le relais du conducteur à bord des bus. A ce moment-là, ces dix agents avaient été basculés en activité partielle dans l’attente de l’obtention d’un nouveau marché, celui de la médiation cette fois.
Problème : les syndicats de l’association GET 974 viennent d’apprendre que ces dix salariés, soumis au plan social mis en place en décembre 2017, vont tout simplement remplacer les 15 médiateurs qui étaient promis à l’ouverture de ce nouveau marché de la médiation.
Les promesses de décembre se sont perdues en chemin, regrette Jean Willy Soni, agent transport sur st leu - délégué du personnel (CGTR) membre du CHSCT. "On a demandé des explications en réunion de comité d’entreprise à nos dirigeants. À ce jour, leur seule explication c’est : il y a une perte de marché, voilà pourquoi les agents demeurent impactés dans le plan social. Mais pour nous c’est faux, ces agents (les 15, ndlr) sont en médiation".
"Il y a eu plusieurs rencontres informelles avec la Région, et même une rencontre officielle avec la vice-présidente de la Région en charge des transports. Elle nous a même dit qu’elle ne comprenait pas la gestion de cette entreprise", livre Maxim Banon (CGTR sud). Le syndicaliste préconise l’application des recommandations du Bureau SECAFI, expert en audit d’entreprise, qui avait été sollicitée à la demande des délégués de personnels.
"Nous, on demande l’annulation du plan social et on demande à ce que la société reprenne les recommandations de l’audit", conclut Maximin Banon.
Les syndicats ont obtenu, "après un forcing" une entrevue avec le président du conseil d’administration du GET 974 ce jeudi.
Réunis ce mercredi devant le chapiteau du Parc 20 décembre à Saint-Leu, les représentants syndicaux et les salariés concernés mettent sur la place publique leurs tourments.
15 salariés qui étaient agents de médiation sont sur le point d’être remerciés. En fin d’année dernière, le GET 974 perdait le marché public de "l’embarqué", en décembre 2017. 10 salariés étaient concernés. En clair, il s’agissait de salariés dont la mission était d’être le relais du conducteur à bord des bus. A ce moment-là, ces dix agents avaient été basculés en activité partielle dans l’attente de l’obtention d’un nouveau marché, celui de la médiation cette fois.
Problème : les syndicats de l’association GET 974 viennent d’apprendre que ces dix salariés, soumis au plan social mis en place en décembre 2017, vont tout simplement remplacer les 15 médiateurs qui étaient promis à l’ouverture de ce nouveau marché de la médiation.
Les promesses de décembre se sont perdues en chemin, regrette Jean Willy Soni, agent transport sur st leu - délégué du personnel (CGTR) membre du CHSCT. "On a demandé des explications en réunion de comité d’entreprise à nos dirigeants. À ce jour, leur seule explication c’est : il y a une perte de marché, voilà pourquoi les agents demeurent impactés dans le plan social. Mais pour nous c’est faux, ces agents (les 15, ndlr) sont en médiation".
"Il y a eu plusieurs rencontres informelles avec la Région, et même une rencontre officielle avec la vice-présidente de la Région en charge des transports. Elle nous a même dit qu’elle ne comprenait pas la gestion de cette entreprise", livre Maxim Banon (CGTR sud). Le syndicaliste préconise l’application des recommandations du Bureau SECAFI, expert en audit d’entreprise, qui avait été sollicitée à la demande des délégués de personnels.
"Nous, on demande l’annulation du plan social et on demande à ce que la société reprenne les recommandations de l’audit", conclut Maximin Banon.
Les syndicats ont obtenu, "après un forcing" une entrevue avec le président du conseil d’administration du GET 974 ce jeudi.
www.zinfos974.com