
Le ministre de l'Intérieur Christophe Castaner a indiqué ce matin sur Europe 1 que hier, "la majorité des Français ont fait le choix de ne pas porter de gilets jaunes".
Il estime que les actions de casse qui ont eu lieu sont notamment le fait de jeunes venus de banlieue.
Concernant la mort d'une manifestante, il a estimé que ce n'était pas de la responsabilité de l'Etat. Pour lui, c'est dû au fait "qu’une manifestation (...) n’a pas été déclarée, une manifestation n’a pas été organisée en lien avec l’Etat, une manifestation où une maman qui veut emmener son enfant chez le médecin se trouve bousculée. Elle panique, elle tue une personne". "J’appelle à la responsabilité de tout le monde, y compris des usagers de la route. Je l’ai fait hier toute la journée", a-t-il ajouté.
Il a également expliqué que les forces de l'ordre étaient exténuées. "Quand nous devons mobiliser des milliers de personnes des forces de l'ordre, il y a des épuisés. Nous avons eu des blessés. Cela ne me semble pas raisonnable", a-t-il dit.
"Nous sommes face à une désorganisation totale. On a tenté d'accéder à des préfectures, il y a eu des actes de grandes violences hier, les nombres de blessés et de policiers blessés sont encore plus grands ce matin", a ajouté le ministre sur Europe 1.
Il estime que les actions de casse qui ont eu lieu sont notamment le fait de jeunes venus de banlieue.
Concernant la mort d'une manifestante, il a estimé que ce n'était pas de la responsabilité de l'Etat. Pour lui, c'est dû au fait "qu’une manifestation (...) n’a pas été déclarée, une manifestation n’a pas été organisée en lien avec l’Etat, une manifestation où une maman qui veut emmener son enfant chez le médecin se trouve bousculée. Elle panique, elle tue une personne". "J’appelle à la responsabilité de tout le monde, y compris des usagers de la route. Je l’ai fait hier toute la journée", a-t-il ajouté.
Il a également expliqué que les forces de l'ordre étaient exténuées. "Quand nous devons mobiliser des milliers de personnes des forces de l'ordre, il y a des épuisés. Nous avons eu des blessés. Cela ne me semble pas raisonnable", a-t-il dit.
"Nous sommes face à une désorganisation totale. On a tenté d'accéder à des préfectures, il y a eu des actes de grandes violences hier, les nombres de blessés et de policiers blessés sont encore plus grands ce matin", a ajouté le ministre sur Europe 1.
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