Jeudi dernier, le policier d’origine réunionnaise, Guillaume Lebeau, s’est retrouvé au tribunal correctionnel de Nanterre sur le banc des victimes. Le 17 février dernier, un contrôle routier a dérapé. Bilel B, est accusé d’avoir menacé de mort le policier de la BAC et sa famille. Des coups ont également été portés.
"Il a dit avoir vu mes enfants à l’école, dans les Yvelines… Il savait où j’habitais. J’ai refusé de céder au chantage", a t-il confié à la presse nationale.
Avant de se rendre au procès, Guillaume Lebeau indique également avoir trouvé dans sa boite aux lettres une enveloppe contenant trois balles de pistolet.
Le policier de la BAC demande sa mutation à La Réunion depuis 2005. Interrogé par la 1ère, il affirme qu'"elle devient aujourd’hui ‘vitale’". La direction Générale de la Police Nationale lui a signifié mercredi soir un nouveau refus.
"Il a dit avoir vu mes enfants à l’école, dans les Yvelines… Il savait où j’habitais. J’ai refusé de céder au chantage", a t-il confié à la presse nationale.
Avant de se rendre au procès, Guillaume Lebeau indique également avoir trouvé dans sa boite aux lettres une enveloppe contenant trois balles de pistolet.
Le policier de la BAC demande sa mutation à La Réunion depuis 2005. Interrogé par la 1ère, il affirme qu'"elle devient aujourd’hui ‘vitale’". La direction Générale de la Police Nationale lui a signifié mercredi soir un nouveau refus.
J'ai encore une réponse : Quand vous êtes déjà au plus mal, que vous traversez la période la plus sombre de votre vie, que vous n'en pouvez plus, que vous sentez menacé jusqu'à chez vous : elle ne fait rien pour vous. Rien du tout !
Est ce par pure vengeance?
— Guillaume Lebeau (@Guigui02410373) 5 juin 2019
Pour Guillaume Lebeau, co-fondateur de l’association MPC (Mobilisation des Policiers en Colère), son engagement serait en cause dans ces refus de mutation. Il indique par ailleurs avoir été convoqué par deux fois à l’IGPN pour "manquement à son devoir de réserve", sans être sanctionné.
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