
Aline Murin Hoarau a confirmé ce week-end ses intentions pour les municipales. L’objectif de l’actuelle élue d’opposition est de construire avec les habitants de Sainte-Suzanne ce "projet commun pensé, porté par l’ensemble de la population" qui, aujourd’hui, a "perdu tout contact avec la gouvernance actuelle."
Aline Murin reconnaît les points faibles qui étaient les siens lorsqu’elle s’est présentée en 2014. Des points qu’elle a, dit-elle, améliorés en "engrangeant de l’expérience et des compétences au contact du terrain" en tant que citoyenne (elle y habite depuis plus de 40 ans), en tant qu’élue (elle avait 20 ans lors de sa première élection) et désormais en tant que conseillère régionale en charge de la culture.
Selon la candidate, "nous sommes sur un territoire où les élus, sous l’emprise d’une gouvernance, sont invisibles dans les quartiers". La professeure d’histoire-géographie compte contribuer au nouveau visage de Sainte-Suzanne en replaçant la population au centre des décisions. "Les citoyens n’acceptent plus ce jeu de la manipulation, mais ils restent disponibles pour une démarche constructive, honnête. Ce besoin de participation et de délibération à la vie publique est bien réelle et légitime", commente-t-elle en faisant référence à l’épisode des Gilets jaunes.
Cette fois-ci sans étiquette
Un discours entendu dont Aline Murin Hoarau admet toutefois les limites. "L’impression du déjà tout vu domine. Il est donc nécessaire et urgent de changer notre manière de communiquer, gouverner, administrer et manager devant l’évolution du numérique et de l’intelligence artificielle dans notre société. Il faut changer de logiciel", explique l’ancienne adjointe de Maurice Gironcel.
Ce logiciel, Aline Murin Hoarau compte le proposer entourée d’une "équipe soudée et volontaire pour mettre en œuvre ce nouveau projet de société pour Sainte-Suzanne, projet porté avec loyauté, courage et désintéressement."
La candidate souhaite faire vivre davantage l’espace productif (en misant, malgré le pessimisme ambiant sur la valorisation de la canne), l’espace résidentiel, éducatif, récréatif et l’espace naturel de Sainte-Suzanne, pour que cette ville chargée d’histoire redevienne ce territoire où il fait bon vivre et qui génère de l’emploi dans le domaine du développement durable et agricole et d’aide à la personne, en particulier pour les personnes âgées. "Ce patrimoine source de richesse culturelle, économique n’est pas du tout exploité et mis en valeur. Ce patrimoine constitue notre source de richesse et on l’ignore", ajoute-t-elle.
Après réflexion, Aline Murin Hoarau annonce s’engager sans étiquette à la tête d’une liste "avec des personnes de tous horizons et compétentes. Nous nous appuierons sur cette intelligence collective, c’est-à-dire le peuple", ajoute celle qui était partie, en 2014, sous la bannière de l'union de la droite.
Aline Murin reconnaît les points faibles qui étaient les siens lorsqu’elle s’est présentée en 2014. Des points qu’elle a, dit-elle, améliorés en "engrangeant de l’expérience et des compétences au contact du terrain" en tant que citoyenne (elle y habite depuis plus de 40 ans), en tant qu’élue (elle avait 20 ans lors de sa première élection) et désormais en tant que conseillère régionale en charge de la culture.
Selon la candidate, "nous sommes sur un territoire où les élus, sous l’emprise d’une gouvernance, sont invisibles dans les quartiers". La professeure d’histoire-géographie compte contribuer au nouveau visage de Sainte-Suzanne en replaçant la population au centre des décisions. "Les citoyens n’acceptent plus ce jeu de la manipulation, mais ils restent disponibles pour une démarche constructive, honnête. Ce besoin de participation et de délibération à la vie publique est bien réelle et légitime", commente-t-elle en faisant référence à l’épisode des Gilets jaunes.
Cette fois-ci sans étiquette
Un discours entendu dont Aline Murin Hoarau admet toutefois les limites. "L’impression du déjà tout vu domine. Il est donc nécessaire et urgent de changer notre manière de communiquer, gouverner, administrer et manager devant l’évolution du numérique et de l’intelligence artificielle dans notre société. Il faut changer de logiciel", explique l’ancienne adjointe de Maurice Gironcel.
Ce logiciel, Aline Murin Hoarau compte le proposer entourée d’une "équipe soudée et volontaire pour mettre en œuvre ce nouveau projet de société pour Sainte-Suzanne, projet porté avec loyauté, courage et désintéressement."
La candidate souhaite faire vivre davantage l’espace productif (en misant, malgré le pessimisme ambiant sur la valorisation de la canne), l’espace résidentiel, éducatif, récréatif et l’espace naturel de Sainte-Suzanne, pour que cette ville chargée d’histoire redevienne ce territoire où il fait bon vivre et qui génère de l’emploi dans le domaine du développement durable et agricole et d’aide à la personne, en particulier pour les personnes âgées. "Ce patrimoine source de richesse culturelle, économique n’est pas du tout exploité et mis en valeur. Ce patrimoine constitue notre source de richesse et on l’ignore", ajoute-t-elle.
Après réflexion, Aline Murin Hoarau annonce s’engager sans étiquette à la tête d’une liste "avec des personnes de tous horizons et compétentes. Nous nous appuierons sur cette intelligence collective, c’est-à-dire le peuple", ajoute celle qui était partie, en 2014, sous la bannière de l'union de la droite.
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