Oumi Mogne-Hamza et Harry Gustave, candidats aux Départementales sur le canton 10, dressent le bilan des élus qui se sont succédés. Leur communiqué :

Alors que le 1er tour des élections départementales approche, l’heure du bilan est venue pour les élus qui se sont succédés sur ce canton de La Montagne, de la Petite Île, de la Grande Chaloupe et d’une partie du centre-ville. Depuis une vingtaine d’année, les conseillers départementaux successifs ont été défaillants, faute d’une volonté politique insuffisante. Le changement en 2015 ne s’est pas traduit par davantage d’engagement ou de travail au service de la population.
Ce renoncement de 20 ans a des conséquences directes et fortes pour les habitants. Car la situation sociale s’est considérablement aggravée dans nos quartiers. A une époque où la population exprime son besoin d’infrastructures de proximité, tout manque sur notre canton. Le secteur de la petite enfance est sous-dimensionné. Pas assez de places en crèche, pas assez de soutiens aux assistantes maternelles. Aucune structure n’a été créée non plus pour les personnes âgées de plus en plus nombreuses. Pas d’anticipation, pas de prévoyance.
Le tissu associatif est présent bien sûr autour de nous mais il n’est pas accompagné, pas assez subventionné. Les bénévoles sont contraints à une gestion fragile qui ne dépasse pas les limites du quartier. Nos jeunes ne bénéficient ni des aides ni des accompagnements prévus dans les missions du conseil départemental. L’exemple du bas de la Rivière est criant. Ce quartier présente tous les critères d’une zone d’éducation prioritaire. Pourtant aucun collège, aucune structure de formation digne de ce nom n’y a été installée. Aucun espace de services n’est à la disposition des habitants.
Sur les routes, les problèmes n’ont pas été réglés non plus. La RD41 reste un point noir de la circulation dyonisienne, surtout en période de fortes pluies lorsque cette route devient le seul accès entre le nord et l’ouest. Son caractère accidentogène n’est plus à démontrer. Quelles ont été les solutions proposées ? Dans le même registre, quelles ont été les initiatives proposées pour désenclaver le Bas de la Rivière ? La Petite Île ? Aucun des projets promis n’a encore vu le jour.
Enfin, les sites emblématiques tels que l’Îlet à Guillaume, le Chemin des Anglais et le Moulin Kader n’ont pas l’objet de réhabilitations durant ces vingt dernières années. Notre patrimoine n’a jamais été considéré comme une priorité.
De la même manière, les questions sanitaires n’ont pas semblé émouvoir nos conseillers départementaux sortants pendant la crise que nous avons vécue et que nous vivons encore.
Les habitants du canton expriment chaque jour leur lassitude ou leur colère face à l’immobilisme. Place désormais à des élus impliqués, à l’écoute, déterminés à servir véritablement la population. Nous communiquerons la semaine prochaine en détails nos propositions fortes pour notre canton. Aux électeurs maintenant de se mobiliser pour obtenir le changement qu’ils attendent.
Oumi Mogne-Hamza et Harry Gustave, avec Anrafaty Laïthiddine et Camille Ibao, candidats du PLR, soutenus par Huguette Bello.
Ce renoncement de 20 ans a des conséquences directes et fortes pour les habitants. Car la situation sociale s’est considérablement aggravée dans nos quartiers. A une époque où la population exprime son besoin d’infrastructures de proximité, tout manque sur notre canton. Le secteur de la petite enfance est sous-dimensionné. Pas assez de places en crèche, pas assez de soutiens aux assistantes maternelles. Aucune structure n’a été créée non plus pour les personnes âgées de plus en plus nombreuses. Pas d’anticipation, pas de prévoyance.
Le tissu associatif est présent bien sûr autour de nous mais il n’est pas accompagné, pas assez subventionné. Les bénévoles sont contraints à une gestion fragile qui ne dépasse pas les limites du quartier. Nos jeunes ne bénéficient ni des aides ni des accompagnements prévus dans les missions du conseil départemental. L’exemple du bas de la Rivière est criant. Ce quartier présente tous les critères d’une zone d’éducation prioritaire. Pourtant aucun collège, aucune structure de formation digne de ce nom n’y a été installée. Aucun espace de services n’est à la disposition des habitants.
Sur les routes, les problèmes n’ont pas été réglés non plus. La RD41 reste un point noir de la circulation dyonisienne, surtout en période de fortes pluies lorsque cette route devient le seul accès entre le nord et l’ouest. Son caractère accidentogène n’est plus à démontrer. Quelles ont été les solutions proposées ? Dans le même registre, quelles ont été les initiatives proposées pour désenclaver le Bas de la Rivière ? La Petite Île ? Aucun des projets promis n’a encore vu le jour.
Enfin, les sites emblématiques tels que l’Îlet à Guillaume, le Chemin des Anglais et le Moulin Kader n’ont pas l’objet de réhabilitations durant ces vingt dernières années. Notre patrimoine n’a jamais été considéré comme une priorité.
De la même manière, les questions sanitaires n’ont pas semblé émouvoir nos conseillers départementaux sortants pendant la crise que nous avons vécue et que nous vivons encore.
Les habitants du canton expriment chaque jour leur lassitude ou leur colère face à l’immobilisme. Place désormais à des élus impliqués, à l’écoute, déterminés à servir véritablement la population. Nous communiquerons la semaine prochaine en détails nos propositions fortes pour notre canton. Aux électeurs maintenant de se mobiliser pour obtenir le changement qu’ils attendent.
Oumi Mogne-Hamza et Harry Gustave, avec Anrafaty Laïthiddine et Camille Ibao, candidats du PLR, soutenus par Huguette Bello.
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