A l’occasion de la Journée Mondiale pour l’Environnement, le mouvement "Demain Se Décide Aujourd’hui" a présenté sa candidature menée par Sylvie Moutoucomorapoulé et Mickaël Boyer, avec leurs suppléants Emmanuelle Ichaye et Jean-Jacques Govindassamy. Eau, agriculture, culture, rénovation de l’habitat et préservation de la biodiversité sont les priorités affichées du binôme qui se présente dans le canton 5 de Saint-André 2.

Soutenu par Génération Ecologie, le mouvement Demain Se Décide Aujourd’hui a présenté sa candidature menée par Sylvie Moutoucomorapoulé et Mickaël Boyer (avec leurs suppléants Emmanuelle Ichaye et Jean-Jacques Govindassamy) dans le canton 5 de Saint-André 2.
Tous issus de la société civile, ils ont présenté leurs expertises et expériences. Tout d’abord, le binôme a insisté sur les effets déjà ressentis du réchauffement climatique.
"L’eau a manqué en 2020 à Saint-André. Il est hors de question que cela se reproduise de nouveau", indiquent-ils, ajoutant qu'un plan de captage et de réparation du réseau doit être lancé au plus vite.
"Les fonds doivent être sollicités au niveau européen, national et local car c’est un projet d’envergure, mais l’eau est un droit fondamental auquel tous les citoyens doivent avoir droit", précise Mickaël Boyer.
Pour les candidats, les agriculteurs doivent être les premiers défenseurs de l'environnement en offrant des produits biologiques et en circuit court et accessible aux collégiens, EHPAD et autres établissements hospitaliers et à la population afin que la nourriture saine ne soit plus réservée à une population privilégiée. Ils estiment ainsi que le foncier du Conseil Départemental doit être mis à disposition pour l’aménagement de jardins partagés. "Nous sommes tous parents et nous voulons que les prochaines générations puissent évoluer dans un environnement sain, préservé et propre", explique Sylvie Moutoucomorapoulé.
Le soutien de Génération Ecologie et de Delphine Batho a été rappelé. "Nous avons suivi les actions sur le terrain de mouvement Demain Se Décide Aujourd’hui et les actions autour de la protection de l’environnement et de la biodiversité locale sont incarnent l’écologie", note Vincent Defaud, le référent local.
Pour le binôme, l’éducation à la réduction des déchets doit débuter impérativement dès le collège et les cantines doivent être un levier de développement de la filière écologique locale. Concernant l’éducation, un chèque "coup de pousse numérique" doit permettre selon eux aux jeunes d’avoir accès aux abonnements de la presse nationale, de s’équiper numériquement afin de réduire la fracture numérique que nous avons vu augmentée par la crise sanitaire.
Côté santé, les candidats misent sur la prévention afin que tous puissent accéder à leurs rendez-vous médicaux. En matière de logement, ils estiment que les aménagements bioclimatiques des logements sociaux doivent être imposés par le Conseil départemental, et que les critères d’attribution doivent être revus.
Lancé lors de la dernière campagne municipale, le mouvement "Demain Se Décide Aujourd’hui" espère désormais que la dynamique se poursuive jusqu'au Département.
"C’est important de montrer que l’écologie n’est pas l’ennemie de l’économie bien au contraire, nous devons allier développement local, industrie, et écologie", rappelle Sylvie Moutoucomorapoulé.
Tous issus de la société civile, ils ont présenté leurs expertises et expériences. Tout d’abord, le binôme a insisté sur les effets déjà ressentis du réchauffement climatique.
"L’eau a manqué en 2020 à Saint-André. Il est hors de question que cela se reproduise de nouveau", indiquent-ils, ajoutant qu'un plan de captage et de réparation du réseau doit être lancé au plus vite.
"Les fonds doivent être sollicités au niveau européen, national et local car c’est un projet d’envergure, mais l’eau est un droit fondamental auquel tous les citoyens doivent avoir droit", précise Mickaël Boyer.
Pour les candidats, les agriculteurs doivent être les premiers défenseurs de l'environnement en offrant des produits biologiques et en circuit court et accessible aux collégiens, EHPAD et autres établissements hospitaliers et à la population afin que la nourriture saine ne soit plus réservée à une population privilégiée. Ils estiment ainsi que le foncier du Conseil Départemental doit être mis à disposition pour l’aménagement de jardins partagés. "Nous sommes tous parents et nous voulons que les prochaines générations puissent évoluer dans un environnement sain, préservé et propre", explique Sylvie Moutoucomorapoulé.
Le soutien de Génération Ecologie et de Delphine Batho a été rappelé. "Nous avons suivi les actions sur le terrain de mouvement Demain Se Décide Aujourd’hui et les actions autour de la protection de l’environnement et de la biodiversité locale sont incarnent l’écologie", note Vincent Defaud, le référent local.
Pour le binôme, l’éducation à la réduction des déchets doit débuter impérativement dès le collège et les cantines doivent être un levier de développement de la filière écologique locale. Concernant l’éducation, un chèque "coup de pousse numérique" doit permettre selon eux aux jeunes d’avoir accès aux abonnements de la presse nationale, de s’équiper numériquement afin de réduire la fracture numérique que nous avons vu augmentée par la crise sanitaire.
Côté santé, les candidats misent sur la prévention afin que tous puissent accéder à leurs rendez-vous médicaux. En matière de logement, ils estiment que les aménagements bioclimatiques des logements sociaux doivent être imposés par le Conseil départemental, et que les critères d’attribution doivent être revus.
Lancé lors de la dernière campagne municipale, le mouvement "Demain Se Décide Aujourd’hui" espère désormais que la dynamique se poursuive jusqu'au Département.
"C’est important de montrer que l’écologie n’est pas l’ennemie de l’économie bien au contraire, nous devons allier développement local, industrie, et écologie", rappelle Sylvie Moutoucomorapoulé.
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