Un individu s’est introduit dans le fast-food dans la nuit du 22 au 23 mars dernier. Cette nuit-là, des véhicules d’un concessionnaire voisin ont également été dégradés.

La scène a été capturée par la vidéosurveillance du McDonald's de Saint-Louis. Sur les images, un individu portant une parka à capuche bleue, un masque sanitaire, un pantalon kaki et un sac à dos brise la vitre du restaurant avec une plaque d’égout. Une fois à l’intérieur, il s’empare d’une tablette servant à prendre les commandes. Plus tard, dans les environs, les vitres arrières de véhicules d’un concessionnaire sont brisées.
Alertés, les gendarmes interpellent un homme correspondant à celui des images de la vidéosurveillance. Placé en détention provisoire depuis le 15 avril dernier, l’homme de 41 ans a été jugé ce lundi en comparution immédiate et a continué de nier les faits. S'il portait bien une parka bleu et un pantalon vert, les nuances de couleurs ne correspondent pas à celles visibles sur la vidéosurveillance, est-il parvenu à exprimer ; mais pour le reste, il ne s’en souvient plus. Le prévenu a en effet été suivi pour schizophrénie mais ne prend plus son traitement.
18 mentions, dont 8 pour des faits de vol, notamment en Allemagne
Les tests ADN effectués sur la plaque d’égout et la caisse enregistreuse n’ont en revanche pas été concluants, faute de correspondance recherchée avec le mis en cause.
Pour le parquet, les infractions sont suffisamment caractérisées pour entrer en voie de condamnation. Le casier du quadragénaire présente 18 mentions, dont 8 pour des faits de vol, notamment en Allemagne. Là encore, le prévenu se souvient être aller "faire un tour à Amsterdam" mais pas en terre germanique. Le représentant de la société a requis 10 mois d’emprisonnement et le maintien en détention.
Sa défense a souligné l’absence d’expertise psychiatrique. "Ce n’est pas en l’envoyant en prison qu’il va changer de comportement du jour au lendemain".
Finalement, le tribunal a prononcé la relaxe, ayant "des doutes" sur la matérialité des infractions reprochées.
Alertés, les gendarmes interpellent un homme correspondant à celui des images de la vidéosurveillance. Placé en détention provisoire depuis le 15 avril dernier, l’homme de 41 ans a été jugé ce lundi en comparution immédiate et a continué de nier les faits. S'il portait bien une parka bleu et un pantalon vert, les nuances de couleurs ne correspondent pas à celles visibles sur la vidéosurveillance, est-il parvenu à exprimer ; mais pour le reste, il ne s’en souvient plus. Le prévenu a en effet été suivi pour schizophrénie mais ne prend plus son traitement.
18 mentions, dont 8 pour des faits de vol, notamment en Allemagne
Les tests ADN effectués sur la plaque d’égout et la caisse enregistreuse n’ont en revanche pas été concluants, faute de correspondance recherchée avec le mis en cause.
Pour le parquet, les infractions sont suffisamment caractérisées pour entrer en voie de condamnation. Le casier du quadragénaire présente 18 mentions, dont 8 pour des faits de vol, notamment en Allemagne. Là encore, le prévenu se souvient être aller "faire un tour à Amsterdam" mais pas en terre germanique. Le représentant de la société a requis 10 mois d’emprisonnement et le maintien en détention.
Sa défense a souligné l’absence d’expertise psychiatrique. "Ce n’est pas en l’envoyant en prison qu’il va changer de comportement du jour au lendemain".
Finalement, le tribunal a prononcé la relaxe, ayant "des doutes" sur la matérialité des infractions reprochées.
www.zinfos974.com