Des personnels de santé étaient mobilisés ce matin devant l'ARS et devant d'autres établissements de santé, comme ici à Saint-Denis. La fédération CFDT Santé-Sociaux appelait en effet l’ensemble des personnels des établissements sanitaires, sociaux et médico-sociaux, y compris ceux exerçant dans les ESPIC, à des actions de mobilisation ce mardi 30 novembre 2021.

Dans un courrier adressé au ministre de la Santé, Olivier Véran, le syndicat appelait ces personnels à se mobiliser pour obtenir plusieurs revendications.
A commencer par des revalorisations salariales pour tous, "à savoir 183 € net pour les agents des établissements autonomes et + 15 % d’augmentation de la masse salariale dans le privé non-lucratif, incluant l’ensemble des personnels".
Seconde demande, des rémunérations d'un niveau équivalent tout au long de la carrière entre public et privé, "afin de mettre un terme à la concurrence délétère entre public et privé".
La CFDT Santé-Sociaux demande également à ce que l'attractivité des métiers soit retrouvée par l’amélioration de la qualité de vie au travail. Cela passera "par la fixation de ratios définis par un cadre national, garantissant par ailleurs un égal accès aux soins pour l’usager partout sur le territoire et la fin de la logique de réparation pour une politique de prévention et de réduction d’exposition aux risques professionnels".
Enfin, dernière mesure réclamée, un financement du secteur social et médico-social "assurant l'égalité des moyens et de prises en charge des usagers sur le territoire".
A commencer par des revalorisations salariales pour tous, "à savoir 183 € net pour les agents des établissements autonomes et + 15 % d’augmentation de la masse salariale dans le privé non-lucratif, incluant l’ensemble des personnels".
Seconde demande, des rémunérations d'un niveau équivalent tout au long de la carrière entre public et privé, "afin de mettre un terme à la concurrence délétère entre public et privé".
La CFDT Santé-Sociaux demande également à ce que l'attractivité des métiers soit retrouvée par l’amélioration de la qualité de vie au travail. Cela passera "par la fixation de ratios définis par un cadre national, garantissant par ailleurs un égal accès aux soins pour l’usager partout sur le territoire et la fin de la logique de réparation pour une politique de prévention et de réduction d’exposition aux risques professionnels".
Enfin, dernière mesure réclamée, un financement du secteur social et médico-social "assurant l'égalité des moyens et de prises en charge des usagers sur le territoire".

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