La famille de l’adolescent et l’association OriZon organisent une marche blanche en sa mémoire ce samedi. Un rassemblement qui vient aussi dire stop au harcèlement scolaire et à la haine contre la communauté LGBT.

Le 3 septembre dernier, Christine et Fabrice ont vécu le cauchemar de tout parent : leur fils a mis fin à ses jours. Âgé de 16 ans, Jay se définissait comme transgenre. Et pour cela, il a subi des années de harcèlement scolaire et de transphobie.
C’est donc lutter contre ces deux fléaux que sont le harcèlement scolaire et la lgbtphobie que les parents de Jay ont décidé d’organiser une marche blanche. Ils ont sollicité l’association OriZon, qui lutte contre la haine anti LGBT, qui a souhaité être présente, tout comme la fédération des Parents d’élèves de l’enseignement public (PEEP).
La marche s’est élancée du jardin de l’État à 9h pour se rendre au parc de la Trinité où des prises de parole ont eu lieu.
1 jeune transgenre sur 3 a tenté de se suicider au cours de l'année
Selon le Conseil de l’Europe, qui s’appuie sur une méta-analyse canadienne, 1 personne sur 500 est concernée par la transidendité, appelée également dysphonie de genre.
Selon le GHU de Paris, le terme dysphorie de genre (DG) décrit le sentiment de détresse ou de souffrance qui peut être exprimé parfois par les personnes dont l’identité de genre, l’identité sexuée, ne correspond pas au sexe qui leur a été assigné à la naissance. Ces personnes peuvent s’identifier comme présentant une variance de genre, ou bien comme trans, transgenre, transsexuel.le.s, transvestis, "queer", androgynes, neutres.
Il ne s’agit en aucun cas d’une maladie mentale, contrairement à la dépression que peut causer la difficulté à s’affirmer et être reconnu dans son identité. Pour preuve des difficultés rencontrées par la communauté LGBTQIA+, elles représentent 25% des tentatives de suicide chez les adolescents français.
Les trans sont deux fois plus susceptibles de tenter de mettre fin à leurs jours que les LGB. Selon la Commission de la santé mentale du Canada, un jeune transgenre sur trois a tenté de se suicider au cours de la dernière année.
C’est donc lutter contre ces deux fléaux que sont le harcèlement scolaire et la lgbtphobie que les parents de Jay ont décidé d’organiser une marche blanche. Ils ont sollicité l’association OriZon, qui lutte contre la haine anti LGBT, qui a souhaité être présente, tout comme la fédération des Parents d’élèves de l’enseignement public (PEEP).
La marche s’est élancée du jardin de l’État à 9h pour se rendre au parc de la Trinité où des prises de parole ont eu lieu.
1 jeune transgenre sur 3 a tenté de se suicider au cours de l'année
Selon le Conseil de l’Europe, qui s’appuie sur une méta-analyse canadienne, 1 personne sur 500 est concernée par la transidendité, appelée également dysphonie de genre.
Selon le GHU de Paris, le terme dysphorie de genre (DG) décrit le sentiment de détresse ou de souffrance qui peut être exprimé parfois par les personnes dont l’identité de genre, l’identité sexuée, ne correspond pas au sexe qui leur a été assigné à la naissance. Ces personnes peuvent s’identifier comme présentant une variance de genre, ou bien comme trans, transgenre, transsexuel.le.s, transvestis, "queer", androgynes, neutres.
Il ne s’agit en aucun cas d’une maladie mentale, contrairement à la dépression que peut causer la difficulté à s’affirmer et être reconnu dans son identité. Pour preuve des difficultés rencontrées par la communauté LGBTQIA+, elles représentent 25% des tentatives de suicide chez les adolescents français.
Les trans sont deux fois plus susceptibles de tenter de mettre fin à leurs jours que les LGB. Selon la Commission de la santé mentale du Canada, un jeune transgenre sur trois a tenté de se suicider au cours de la dernière année.




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