Une jeune femme de 23 ans est morte le 8 septembre dernier après une chute depuis un sentier dans le cirque de Mafate. L’enquête a conclu à la thèse du suicide.

C’est une scène particulièrement troublante à laquelle ont été confrontés des randonneurs dans le cirque de Mafate le jeudi 8 septembre. Ils longent le sentier entre la Canalisation des orangers et l’îlet des Lataniers lorsque leur regard s’arrête sur une scène pour le moins étrange. Les randonneurs, en tourisme à La Réunion, découvrent par terre, pas après pas, des vêtements et un sac qui donnent l’impression d’avoir été jetés sur le sentier.
Les vêtements mènent jusqu’à un promontoire. Également disposé au sol, un téléphone portable. Ils s’en saisissent pour appeler un contact sur le téléphone qui n'est pas verrouillé par un code secret. Ils composent au hasard le dernier numéro appelé et tombent sur un gîte de Mafate. C’est par ce biais qu’ils arrivent à déterminer à qui appartient le téléphone. Son propriétaire a en effet passé du temps dans ce gîte. L’alerte est donnée dans la foulée.
Les sauveteurs du ciel décollent de Gillot pour survoler la zone de la ravine Grand-mère. Leur inspection permet de lever le doute. Un corps gît en contrebas du précipice. Il s’agit de celui d’une femme. Il est totalement dévêtu.
Son corps est hélitreuillé par l’hélicoptère du peloton de gendarmerie de haute montagne et acheminé vers la médecine légale du CHU de Bellepierre. L’examen de corps qui a été pratiqué a permis de ne relever aucune trace de lutte ni d’agression à caractère sexuel, amenant l’enquête à conclure à la thèse du suicide.
La jeune femme était arrivée à La Réunion il y a cinq mois. Elle étudiait les plantes dans le but de devenir naturopathe. Elle s’était pour cela immergée dans le cirque de Mafate pendant des semaines. Originaire de la région parisienne, elle vivait en colocation à Saint-Paul.
A l’annonce de son décès, ses parents et le frère de la victime ont immédiatement fait le voyage vers La Réunion pour reconnaître sa dépouille et entamer les démarches de rapatriement du corps. Ils s'y trouvent toujours aujourd'hui.
Les sauveteurs du ciel décollent de Gillot pour survoler la zone de la ravine Grand-mère. Leur inspection permet de lever le doute. Un corps gît en contrebas du précipice. Il s’agit de celui d’une femme. Il est totalement dévêtu.
Son corps est hélitreuillé par l’hélicoptère du peloton de gendarmerie de haute montagne et acheminé vers la médecine légale du CHU de Bellepierre. L’examen de corps qui a été pratiqué a permis de ne relever aucune trace de lutte ni d’agression à caractère sexuel, amenant l’enquête à conclure à la thèse du suicide.
La jeune femme était arrivée à La Réunion il y a cinq mois. Elle étudiait les plantes dans le but de devenir naturopathe. Elle s’était pour cela immergée dans le cirque de Mafate pendant des semaines. Originaire de la région parisienne, elle vivait en colocation à Saint-Paul.
A l’annonce de son décès, ses parents et le frère de la victime ont immédiatement fait le voyage vers La Réunion pour reconnaître sa dépouille et entamer les démarches de rapatriement du corps. Ils s'y trouvent toujours aujourd'hui.
www.zinfos974.com