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Marché Péï sur le front de mer de Saint-Pierre - 20 Juillet 2017

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Ce jeudi 20 juillet le Département a décentralisé son marché péï à sur le front de mer de Saint-Pierre pour la deuxième fois et toujours autant de succès pour le Marché Péi organisé par le Conseil Départemental.
Marché Péï sur le front de mer de Saint-Pierre - 20 Juillet 2017

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La NRL en 360°

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L’espace des grands chantiers vous propose de venir découvrir le chantier de la nouvelle route du littoral en 360°. En effet,le site dédié à la présentation des grands chantiers régionaux s’est équipé de lunettes à réalité virtuelle. Avec elles, découvrez le chantier comme si vous y étiez !
La NRL en 360°
Ouvert gratuitement au public depuis le 25 octobre 2010, l’Espace des Grands Chantiers est situé près du Barachois à Saint-Denis. Sur 185 m2, ce lieu d’exposition vous emmène à la découverte de tout ce qu’il faut savoir sur les grands chantiers régionaux. Des supports attractifs et interactifs sont à disposition de tous pour découvrir les grands chantiers d’aujourd’hui qui construisent La Réunion de demain : vidéo et panneaux explicatifs pour chaque chantier, espace Wi-Fi gratuit… et la nouveauté, la vidéo à 360° de la Nouvelle Route du Littoral.
 
Parmi ces supports, le casque à réalité virtuelle vous emmènera au coeur de la NRL (Nouvelle Route du Littoral). Une fois le casque enfilé et la vidéo lancée, vous êtes dans la peau d’un armaturier ou d’un grutier. Pour commencer, Georges vous présentera le travail d’armature réalisé par son équipe. À travers une immersion à l’usine de préfabrication des voussoirs, vous pourrez voir tout le travail de ferraillage nécessaire avant le moulage des voussoirs et le coulage du béton. Puis, du côté de la Grande Chaloupe, Éric vous emmènera au sommet de sa grue, contempler l’avancée du chantier. À plus de 30 mètres de hauteur, sensations fortes garanties !
 
Après le virtuel, place à la réalité. Les équipes de l’espace des Grands Chantiers proposent de visiter le chantier de la NRL. Les premières visites seront programmées dès le mois de septembre, n’hésitez pas dès à présent à réserver votre place !
 
CONTACT
ESPACE DES GRANDS CHANTIERS
5 Avenue de la Victoire
09h00 à 17h00 en continu du lundi au vendredi
0262 29 51 15
espacedesgrandschantiers@cr-reunion.fr
www.nouvelleroutedulittoral.re
www.facebook.com/nouvelleroutedulittoral

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Voyager librement

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Depuis le 1er Janvier 2017, dans le cadre de la loi NOTRE, la Région assure la compétence des transports interurbains. Le dispositif "RÉUNIPASS ÉTUDIANTS" permet aux étudiants réunionnais de voyager librement sur tous les réseaux de transport de l’île pour le même tarif.
Voyager librement
Avec le transfert de compétence, la Région Réunion souhaite poursuivre et accentuer son action en faveur du développement et de l’amélioration des transports en commun pour tous. Afin de permettre tout particulièrement aux étudiants réunionnais de mieux se déplacer et de vivre leurs études dans les meilleures conditions avec une tarification adaptée à leur budget, la collectivité s’est engagée à maintenir le dispositif "Réunionpass Etudiant".

 
Comment en bénéficier ?

C’est tout simple, RDV sur : www.reunipassetudiant.re l’inscription en ligne. Les demandes de renouvellement et d’inscription pour l’année 2017-2018 ont débuté le 5 juillet 2017.
 

Quelles sont les pièces à fournir ?

Lors de l’inscription, après avoir rempli le formulaire, il faudra joindre :
➜ La carte d’étudiant de l’année en cours (pour les étudiants inscrits en formation par alternance pour l’obtention d’un diplôme de niveau I, II ou III : la carte d’étudiant des métiers, pour les étudiants en stage conventionné : la carte d’étudiant et convention de stage)
➜ Une photo d’identité

 
Quand et comment obtenir la carte ?

Après réception de la notification, vous êtes invités à retirer votre carte et votre coupon dans un des neuf points de vente qui sont à votre disposition et à effectuer votre règlement (gares routières de : Saint-Pierre, Saint-Louis, Saint-Paul, Le Port, Saint-Denis, Saint-André, Saint-Benoît et points de vente de Saint-Leu et de Saint-Joseph).

 
Quel prix ?

➜ L’abonnement trimestriel coûte 20 €, sachant que l’année universitaire est scindée en quatre trimestres : • Septembre / Octobre / Novembre • Décembre / Janvier / Février • Mars / Avril / Mai • Juin / Juillet / Août
➜ L’abonnement annuel est à 50 €, soit quatre trimestres, et permet d’emprunter l’ensemble des réseaux de transports collectifs de l’Île (les lignes Car Jaune de la Région Réunion ; le réseau Citalis dans le Nord ; les réseaux Alternéo et CarSud dans le Sud ; le réseau Estival dans l’Est et le réseau Kar’Ouest dans l’Ouest).
 
 
CONTACT

OTRADER - TRANSDEV SERVICES REUNION
7, rue André Lardy, Boite N°5,
Cour de la Mare
97438 SAINTE-MARIE
info@reunipass.re www.reunipassetudiant.re
0 810 123 974
 

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La fête du Choca

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15ème édition de la fête du Choca à l’Entre-Deux. Retour en images sur la fête qui s’est déroulée du vendredi 21 au dimanche 23 juillet 2017.
La fête du Choca

La fête du Choca

La fête du Choca

La fête du Choca

La fête du Choca

La fête du Choca

La fête du Choca

La fête du Choca

La fête du Choca

La fête du Choca

La fête du Choca

La fête du Choca

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Battle 974 III: Et un Ko de plus pour Jérémy Payet

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Une belle réussite pour la 3ème édition de la Battle 974 qui s’est déroulée au Petit Stade de l’Est samedi soir et organisée par la team Kéké Maillot. Ils étaient près de 2000 personnes pour encourager les meilleurs Kréols, Kréopolitains, dans les 2 tournois VS Thailande et la France : un tournoi K1 poids lourds et un tournoi boxe thaï -72.5kg On a pu assister à la victoire du jeune Jérémy Payet alias " Mister KO " face au Thaïlandais Wandee Kong, après seulement quelques minutes de combat en finale. (Retour en images de Dolia Tania).
Battle 974 III: Et un Ko de plus pour Jérémy Payet

Battle 974 III: Et un Ko de plus pour Jérémy Payet

Battle 974 III: Et un Ko de plus pour Jérémy Payet

Battle 974 III: Et un Ko de plus pour Jérémy Payet

Battle 974 III: Et un Ko de plus pour Jérémy Payet

Battle 974 III: Et un Ko de plus pour Jérémy Payet

Battle 974 III: Et un Ko de plus pour Jérémy Payet

Battle 974 III: Et un Ko de plus pour Jérémy Payet

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Battle 974 III: Et un Ko de plus pour Jérémy Payet

Battle 974 III: Et un Ko de plus pour Jérémy Payet

Battle 974 III: Et un Ko de plus pour Jérémy Payet

Battle 974 III: Et un Ko de plus pour Jérémy Payet

Battle 974 III: Et un Ko de plus pour Jérémy Payet

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Battle 974 III: Et un Ko de plus pour Jérémy Payet

Battle 974 III: Et un Ko de plus pour Jérémy Payet

Battle 974 III: Et un Ko de plus pour Jérémy Payet

Battle 974 III: Et un Ko de plus pour Jérémy Payet

Battle 974 III: Et un Ko de plus pour Jérémy Payet

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7ème Journal de la Région Réunion

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Le 7ème numéro du Journal de la Région Réunion arrive dans vos boîtes à lettres dès le 24 juillet.
7ème Journal de la Région Réunion

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Illusions, égarement et fautes !

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Illusions, égarement et fautes !
Depuis le mois de mai, le nouveau pouvoir politique virevolte entre l’illusion permanente et la communication extrême.
Les annonces se succèdent à une cadence infernale, les décisions contraires surviennent aussi rapidement, les cadrages budgétaires surgissent de nulle part, et les ordres de droit divin ponctuent les différentes séquences sans que le flou se disperse, bien au contraire !!! Le pays a vécu une élection présidentielle, des élections législatives, un Président s’exprimant devant le Congrès, un discours de politique général du Premier ministre devant le Parlement, et une session parlementaire, il est vrai chaotique par moment!

Malgré cela, le clair-obscur domine désespérément les débats.

Par contre, dès qu’il s’agit de s’attaquer au droit du travail (nouvelle Loi travail), aux retraités (hausse de la CSG), aux services publics, aux fonctionnaires,... ce gouvernement sait faire preuve de célérité !

Solidaires-Réunion participera rapidement au débat public sous différentes formes sur l’ensemble de ces sujets tout en précisant l’impact qu’ils auront sur notre département.

Mais l’indécence se rajoute à l’injustice quand ce gouvernement décide de s’attaquer aux différentes allocations logement en portant atteinte aux plus fragiles. Sous prétexte des enjeux budgétaires, le financement de ces allocations logement sont régulièrement sous pression. Dans énormément d’agglomérations, le coût du logement a augmenté considérablement ces dernières années. Les différentes allocations logement devraient plutôt subir une augmentation. Et surtout, nous attendons de l’État une politique volontariste de construction de logements.

Augmenter la part du budget consacré au logement pour les ménages, c'est diminuer la part destinée à la santé, à l'éducation, à l'alimentation,...

Des choix doivent être faits !

Est-ce une priorité d’offrir des millions par le biais du C.I.C.E ? Pour Solidaires, c’est non ! Doit-on amoindrir l’I.S.F ? Pour Solidaires, c’est une hérésie !

Nous pourrions continuer la litanie des injustices....

La dette et le déficit ne sont que des prétextes à des choix politiques injustes !

Les recettes existent dans notre pays : 60 à 80 milliards de fraude fiscale prospèrent alors qu’on pourrait la combattre si nos gouvernants s’en donnaient les moyens !

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Bus Santé Mouv à l’Étang Saint-Paul

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Bus Santé Mouv à l’Étang Saint-Paul
La ville de Saint-Paul labellisée Ville Santé par l’Organisation Mondiale de la Santé, a renouvelé son engagement à promouvoir l’éducation et la sensibilisation. Le Bus Santé Mouv sera à la Salle Polyvalente de l’Étang Saint-Paul le samedi 29 juillet 2017 et les habitants du quartier pourront recueillir des conseils auprès des professionnels.

En famille, ou entre amis, venez nombreux !

Bus Santé Mouv à l’Étang Saint-Paul

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Journée de Rencontre et d’Animation

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Rendez-vous le samedi 29 juillet 2017 de 8h00 à 18h00 au Plateau Sportif de Carosse pour la Journée de Rencontre et d’Animations. Au programme des rencontres intergénérationnelles, repas partage, animation musicale, chants et danses.
Journée de Rencontre et d’Animation

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Paddleboarder emporté à Trou d'Eau : Les recherches se poursuivent

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Paddleboarder emporté à Trou d'Eau : Les recherches se poursuivent
Un dispositif de recherches a été de nouveau déployé ce lundi matin afin de retrouver le paddleboardeur happé par une vague, dimanche, à Trou d'Eau. Une reconnaissance a été effectuée à l'intérieur du lagon. La zone a également été survolée par un drone des pompiers et l'hélicoptère de la gendarmerie pendant près d'une heure, sans résultat.

Des patrouilles de la gendarmerie poursuivent les recherches depuis la terre ferme et ciblent les reliefs escarpés et les zones moins accessibles. Lors de ses interventions de la journée, l'hélicoptère de la gendarmerie fera des passages sur la zone. 

Une dizaine de personnes pratiquant le bodyboard et le paddle se trouvaient à l'eau hier, lorsque le drame est survenu. L'homme de 47 ans s'est retrouvé en difficulté. Une vigilance forte houle était en vigueur depuis vendredi. Elle a pris fin ce lundi matin, mais la prudence reste de mise.

Une dizaine de pompiers, accompagnés d'au moins 5 gendarmes ainsi que de la police municipale et de vedette de la SNSM de Saint-Gilles les Bains ont été mobilisés. Les recherches du quadragénaire avaient été interrompues en fin de journée dimanche.

À lire également : 

[VIDEO] L'hélicoptère déployé pour retrouver un disparu en mer  

Trou d'eau : "Nous étions une dizaine à l'eau"

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Policiers caillassés au Chaudron: "Un état des lieux en urgence nécessaire", selon Unsa Police

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Policiers caillassés au Chaudron:
Des policiers ont essuyé des jets de projectiles, dimanche en fin de journée, lors d'une intervention pour des rodéos sauvages sur la voie publique au Chaudron. Le syndicat Unsa Police dénonce ce lundi matin ces incidents et revient sur le déroulé de l'opération.

"Rapidement sur place, les équipages constataient la présence d'environ 200 personnes de part et d'autre de la rue Roger Payet, recensant entre 6 à 7 motocyclettes de type cross, ainsi qu'un grand nombre de scooters s'adonnant à des rodéos sauvages sur toute la longueur de la rue", explique-t-il. Des poubelles ont été utilisées pour bloquer la circulation sur la rue Roger Payet. 
 
Une patrouille a alors reçu divers projectiles. "Sur instructions du centre d'information et de commandement, les équipages ont quitté les lieux et ont fait retour sur le commissariat du Chaudron", indique le syndicat. S'en sont suivis d'autres jets de projectiles sur les véhicules des forces de l'ordre. Deux véhicules ont été endommagés. Un véhicule administratif sérigraphié présentait des impacts au niveau du toit, la vitre latérale droite est étoilée, un autre véhicule a eu le pare brise fissuré.
 
Si aucun fonctionnaire n'a été blessé, l'Unsa Police pointe du doigt une "situation préoccupante voire inquiétante" et une "recrudescence ou explosion de la délinquance" dans l'île. Le syndicat réclame "un état des lieux en urgence". Et d'ajouter : "L'anticipation est de rigueur pour enrayer ce déchainement de violences."
 
Le bureau national Unsa Police sera reçu le 27 juillet par le directeur central de la Sécurité Publique et rencontrera le ministre de l'Intérieur à la fin du mois. Le bureau régional Unsa Police sera quant à lui reçu par le préfet de la Réunion le 1er août.

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Tribune de l'association Droit de Cité sur l'errance et la maltraitance animale

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RAPPORT MORAL 2016 - Assemblée générale du 31 mars 2017
Tribune de l'association Droit de Cité sur l'errance et la maltraitance animale
Le contexte local dans lequel s’inscrit l’activité de notre association, même si on constate une légère amélioration de la situation des animaux  à la Réunion, reste préoccupant. 
 
En effet, même si en 22 ans le nombre de vétérinaires est passé d’une dizaine à une soixantaine, le problème de l’errance et de la maltraitance passive n’a guère évolué.  De très nombreux animaux restent en dehors du circuit des soins et les fonds publics consacrés chaque année depuis 2000 par les collectivités  à la gestion de l’errance sont pour l’essentiel affectés aux euthanasies de masse dans des usines à tuer flambant neuves, ceci au mépris des recommandations de l’AFIRAC dans son rapport de 1998, ou encore des demandes des associations de protection animale.
 
Alors que le nombre d’euthanasies devrait progressivement diminuer, les derniers chiffres communiqués par la DAAF  montrent que le nombre de chiens et chats euthanasiés continue d’augmenter sur le département de la Réunion pour atteindre en 2015 (dernier chiffre connu), un total de 11 340 animaux passés sous les fourches caudines de l’euthanasie ( 8487 chiens et 2853 chats),  les équipes de capture étant de plus en plus efficaces et sortant de leur cadre légal puisqu’elles ne se contentent plus de ramasser les animaux divaguant mais de récupérer à domicile de malheureux chiens et chats dont leurs maîtres veulent se débarrasser à bon compte. Une situation qui devrait perdurer dans la mesure où aucune action de prévention n’est menée  en direction de la population afin de provoquer une prise de conscience et  un changement des mentalités.
 
A cela s’ajoutent 7716 cadavres de chiens et chats écrasés sur le route, chiffre auquel il convient d’ajouter les cadavres de chiens et chats écrasés sur les 6 communes de la CIREST qui n’en n’assure pas le décompte
(estimation : 2000). Au total en 2015, plus de 20 000 chiens et chats ont été les victimes de l’inconséquence coupable et de l’indifférence des hommes. Un bilan fort sombre qui, avec un animal euthanasié pour 70 habitants pour la Réunion contre un animal euthanasié pour 700 habitants en métropole (base : 100 000 euthanasies), fait de la Réunion le champion de France de l’euthanasie de confort.
 
Le constat n’est guère meilleur en ce qui concerne le bilan budgétaire euthanasies/stérilisations avec un ratio stérilisations/euthanasies qui est de 20/80 (hors masse salariale) et qui n’a aucune influence sur la courbe de l’errance, comme il ressort du rapport du GEVEC lui-même datant de 1998.
 
Une situation largement favorisée par « l’exception juridique » que constitue à la Réunion la réduction du délai de garde légal en fourrière qui est ici de 4jours contre 8 jours en métropole, ceci grâce à un tour de passe-passe juridique datant du décret du 25 novembre 2002, qui a permis progressivement de tuer deux fois d’animaux sans investir en places fourrières,  et contre lequel DROIT DE CITE avait saisi le Conseil d’Etat en 2004. En vain. 
 
CAUSES OBJECTIVES DE CETTE SITUATION
 
Les causes sont multiples même si certaines sont plus déterminantes. Voici un inventaire non exhaustif :
 
- la place de l’animal dans la société réunionnaise est davantage liée à son rôle utilitaire et l’animal est généralement plus livré à lui-même, ce qui contribue à la divagation ; on remarquera la quasi-inexistence du « chien promené  en laisse par son propriétaire ».
 
- l’habitat créole rural traditionnel est généralement non clôturé ce qui constitue un facteur de divagation.
 
- Même si la case individuelle reste l’habitat le plus répandu, il y a depuis plusieurs années des programmes de relogements en immeubles collectifs de nombreuses familles qui vivaient dans de mauvaises conditions ; l’idée d’emmener son chien en appartement lorsque la famille déménage est généralement rejetée et par ailleurs considérée comme malvenue  par les bailleurs sociaux (auxquels il nous arrive de faire des rappels à la loi sur cette question). L’absence de coordination entre les bailleurs sociaux et les collectivités et les associations conduit chaque année à la multiplication de petites meutes urbaines issues des chiens laissés sur place lors du relogement
 
- Bien que le nombre de vétérinaires ait été multiplié par cinq en 20 ans et que le taux de médicalisation soit plus élevé, celui-ci s’est surtout développé dans la population de chiens de races issus de lignées importées, ceci au détriment des chiens issus de croisements de rencontre et qui forment les bataillons de chiens euthanasiés : le royal bourbon de la Réunion.
 
- Le nombre élevé de chiens en particulier qui se multiplie de manière anarchique : la Réunion compte 700000 habitants répartis en 300 000 ménages au sens statistique du terme. La plupart des familles possèdent un chien.  Même si les possesseurs d’animaux domestiques sont plus  nombreux en milieu rural qu’en milieu urbain, même si une partie de la population ne possède pas de chiens pour une question  d’éthique religieuse, le nombre de chiens/habitant à la Réunion (estimation : 250 000 chiens pour 850 000 hab., soit 1 chien  pour 3,5 hab.) est plus élevé qu’en métropole (7,5 millions de chiens pour 65 millions d’habitants, soit 1 chien pour 9 hab).
 
- Le taux de chômage très élevé et le pourcentage de personnes vivant des minimas sociaux constituent un frein «à la consultation vétérinaire » et à la stérilisation aux frais des propriétaires. Nous regrettons une fois de plus que le budget consacré par les collectivités à la stérilisation reste le parent pauvre du Plan de Lutte contre l’errance même si le préfet a annoncé que l’Etat débloquerait à partir de 2017 un montant 600 000 € supplémentaires pour la stérilisation à raison de 200 000 € par an pendant trois ans afin  d’améliorer le faible taux de stérilisations subventionnées ; un budget qui reste néanmoins très insuffisant et ne permet pas aux  75 % de foyers fiscaux non imposables de bénéficier du programme de stérilisation subventionnée.
 
A CES CAUSES S’AJOUTENT :
 
- le prix des aliments pour animaux est en moyenne de plus de 50 % plus élevé que le prix pratiqué en métropole, même si l’écart est moindre dans le cas des marques distributeurs. La marque KANEO fabriquée localement depuis 2 ans reste d’un coût encore trop élevé pour bon nombre de Réunionnais et a contribué à renchérissement des marques importées qui ont dans la foulée été taxées d’un tarif 
d’octroi de mer plus élevé (18 % au lieu de 4 % antérieurement).
 
- les honoraires vétérinaires qui restent trop élevés pour les actes de base que sont l’identification
(on est ainsi passé d’une identification par tatouage sous anesthésie générale à une identification par puce électronique effectuée sans anesthésie mais sans répercuter la baisse liée à la suppression de  l’anesthésie) ; pour le moment il n’existe aucun tarif social pour cet acte ou pour la vaccination ou la stérilisation. Seul le dispensaire de la SPA de la Réunion permet aux habitants de la CINOR (St-Denis, Ste-Marie et Ste-Suzanne ) de bénéficier des services du dispensaire.

- Le faible montant des fonds publics consacrés à la stérilisation et aux besoins eu égard aux sommes considérables consacrées chaque année depuis plus de 15 ans aux euthanasies de masse. 
 
- L’absence quasi-générale de campagnes de communication sur le sujet auprès de la population.
 
A l’origine de cette situation, il y a également des causes beaucoup plus insidieuses, et qu’il convient de dénoncer parce qu’elles permettent à la situation de perdurer.
 
- L’absence de collaboration entre les associations : il existe à la Réunion 20 associations de protection animales mais elles n’ont aucune stratégie commune. Malgré les appels répétés de la DAAF sur ce point, malgré la création par trois associations (DROIT DE CITE, AREPA et VIVRE LIBRE) de l’UNAPA-Outremer (UNION NATIONALE DES ASSOCIATIONS DE PROTECTION ANIMALES DES OUTRE-MER) dont l’objet principal est la lutte raisonnée contre l’errance, malgré l’existence du CRAPA et de la plus récente ALLIANCE POUR LES ANIMAUX, les  dirigeants des associations respectives empêchent cette UNION pourtant  indispensable et continuent d’envoyer chaque semaine à la mort plus de 200 chiens et chats de l’Ile.
 
- Le conflit d’intérêt entre  la DAAF et le lobby GEVEC (Groupement d’étude vétérinaire) qui s’exerce au détriment du travail des associations et empêche la mise en place d’une réponse objective à la problématique de l’errance. Cette communauté d’intérêt entre DAAF et GEVEC a conduit à la marginalisation des associations de protection animale, voire  leur exclusion de l’élaboration du  Plan de Lutte contre l’errance des carnivores domestiques début 2017, le GEVEC fixant lui-même les règles des marchés auxquels il soumissionne.

- La mise  en application à dater du 1er janvier 2016 de l’Ordonnance 2015-1243 relative au commerce et à la protection des animaux de compagnie. En effet si les objectifs de ce texte sont louables et étaient attendus par les protecteurs des animaux, sa mise en œuvre sans campagne de communication préalable auprès des habitants a laissé, à la Réunion, des centaines de chiots et châtons sans solution autre que l’euthanasie.
 
- L’expatriation ou la délocalisation relativement récente chaque année de plusieurs centaines de chiens vers la métropole dans des conditions parfois douteuses notamment en matière de suivi de ces « rapatriements » masque le problème  et n’est autre qu’une cautère sur une jambe de bois sans compter l’image désastreuse de la Réunion véhiculée par cette pratique en Métropole et en Allemagne notamment. Nous considérons que la question de l’errance doit être résolue à partir de ses causes et que les adoptions de chiens réunionnais doivent être encadrées, avec notamment l’identification des animaux au nom de l’association locale et non de l’association de destination et ce, jusqu’à  l’adoption définitive de l’animal, ce qui permet, en cas de problème à l’arrivée, de garder la main sur sa destinée. De même il  nous paraît indispensable d’accompagner chaque adoption en métropole d’un briefing de l’adoptant en raison de l’écart important entre la place occupée à la Réunion et en métropole,  dans la famille et dans la société,  par l’animal adopté.
 
Sainte-Anne,  le 31 MARS 2017

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Emmanuel Macron : « Chef » ou « petit chef » ?

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Monsieur le Président, ne confondez pas « Chef » et « petit chef ». Ce n’est vraiment pas la même chose.
Emmanuel Macron : « Chef » ou « petit chef » ?

Emmanuel Macron fraîchement élu Président de la République, dans des conditions sur lesquelles il faudra quand même un jour se pencher en détail, a décidé de commencer son mandat avec des méthodes « managériales » nous dit-on. L’arrivée aux plus hautes fonctions du jeune homme a plongé une grande majorité de Français dans une forme d’expectative circonspecte. Récemment sorti d’un chapeau par les médias, bénéficiant du double appui de la haute fonction publique d’État et de l’oligarchie financière, ce n’est pas sa campagne électorale marquée par le creux parfois abyssal de ses interventions qui les a renseignés. Et nous sommes nombreux à nous poser la question simple : « qui est ce gars ? ».
La candidature Macron a bénéficié de trois circonstances qui ont transformé ce qui n’était au départ qu’un pari en martingale gagnante.
Tout d’abord l’effondrement imprévu des deux grands partis d’alternance qui structuraient la vie politique en France depuis près de 40 ans. Il est plus facile de raconter l’histoire quand on connaît la fin, mais je me rappelle parfaitement qu’après nous avoir promis Alain Juppé pendant deux ans, on nous assurait François Fillon dans un fauteuil. Quant au PS à 6 %, ce n’était même pas en rêve…
Ensuite le face-à-face avec Marine Le Pen au deuxième tour c’était la victoire assurée. Emmanuel Macron y est parvenu grâce à la mobilisation de la justice pénale contre Fillon. Puis en recueillant 18 % des électeurs inscrits, avec un vote d’adhésion estimée à 4 % des mêmes inscrits.
Enfin, la sécession d’une part considérable des Français, refusant de continuer à marcher dans ce qui leur apparaissait de plus en plus comme une combine a permis l’arrivée d’une chambre improbable. L’inconsistance politique des gouvernements Philippe, ne nous en a pas dit plus.
Personne n’ayant remis en cause, alors qu’il y aurait beaucoup à dire, la régularité juridique de l’accession d’Emmanuel Macron à la Présidence de la République, sa légitimité institutionnelle est une réalité. Mais la désaffection massive des électeurs français, fragilise cependant sévèrement sa légitimité politique. Pourtant indispensable pour faire tourner la boutique.
Plusieurs épisodes viennent de nous montrer qu’il a un problème avec l’appareil d’État. J’entends par « appareil d’État » les différentes institutions qui le composent : Parlement, justice, armée, police, éducation , collectivités locales, tout ce que le gouvernement est précisément chargé de gérer.
Pour y affirmer sa légitimité qui aura pour conséquence son autorité, Emmanuel Macron souffre de plusieurs handicaps.
Le premier est celui d’une culture politique semble-t-il assez faible. La politique, continuation de la guerre par d’autres moyens, toute de contradictions et de conflictualité, il n’a jamais pratiqué. Jamais été élu, jamais vraiment dirigé des hommes, jamais commandé, jamais arbitré. D’abord chez les jésuites, puis bon élève des classes préparatoires, coopté à l’ENA, rapidement repéré par la caste des hauts fonctionnaires d’État surtout soucieuse de son confort et de sa reproduction, il sera banquier quelque temps, avant que d’être choisi par cette caste, adoubé par l’oligarchie financière, et encensé par une presse aux ordres. Pour faire la même politique lourdement austéritaire voulu par l’Europe allemande.
Le second est celui de la croyance en une forme de pensée magique qui lui fait croire qu’une bonne communication permet de tout régler. Outre qu’elle est en général approximative, cette communication présente le défaut majeur de prendre les gens pour des imbéciles. Quoique beaucoup en pensent, Emmanuel Macron n’a pas été élu président de la république grâce à sa communication, mais malgré celle-ci. Prendre avec une désinvolture arrogante la position qui a été la sienne à propos de la responsabilité de la France dans le crime de la rafle du Vel’ d’Hiv’, témoigne d’un singulier aveuglement. Une majorité de Français supporte de plus en plus mal tous ces appels à la haine de soi et à la repentance.
Le troisième, qui fournit réponse à la question précédente, est probablement le narcissisme débridé qu’affiche le couple Macron. Donnant avec une certaine ingénuité l’impression d’une joie enfantine devant un jouet magnifique reçu au pied de l’arbre de Noël. Madame Macron est manifestement quelqu’un de très sympathique, à la gaieté communicative, mais ne doit pas écouter souvent le chef du protocole de l’Élysée. Elle et son mari ont dû oublier Charles De Gaulle et ses deux conseils majeurs : « L'autorité ne va pas sans prestige, ni le prestige sans éloignement. » Et « Rien ne rehausse l'autorité mieux que le silence, splendeur des forts et refuge des faibles. »
Il y a désormais un autre problème qui saute aux yeux. Le jeune monarque à la « pensée complexe » affirmée semble avoir une difficulté avec le système complexe qu’est l’État français moderne. Avec une légitimité fragile et une autorité encore complètement à construire, Emmanuel Macron pense s’en tirer avec verrouillages, autoritarisme et coups de menton. Lourde erreur.
Deux exemples viennent immédiatement à l’esprit.
Tout d’abord l’humiliation publique infligée au chef d’état-major des armées. Le moment choisi, le choix des mots, puis la réitération dans le JDD donne l’impression que le Président a fait un caprice. En se mettant, et c’est un comble en situation de se faire subtilement renvoyer la balle par le haut-gradé. Tout cela parce qu’Emmanuel Macron n’a pas bien saisi l’articulation des pouvoirs civils et militaires. Nous ne rentrerons pas ici dans de longs développements sur cette question très importante, nous contentant de citer un spécialiste, qui éclaire le débat : Édouard de Castelnau, chef d’état-major de l’armée française en 1915, dans une réunion fermée s’adressant à Millerand, ministre de la Guerre, devant son refus d’instaurer un commandement interallié : « C’est une dérobade pour vous soustraire à vos responsabilités, à votre tâche. Parfaitement, Monsieur le ministre, c’est comme ça. Le gouvernement a des devoirs, les militaires en ont d’autres, mais chacun les siens. Nous autres généraux nous remplissons nos fonctions qui consistent à diriger les opérations, mais le gouvernement n’assure pas son devoir qui est de conduire la guerre. »
Eh oui Monsieur le Président, êtes-vous sûrs de remplir vos devoirs en laissant le ministère des finances amputer de 860 millions d’euros le budget de la défense, au moment où nos troupes sont dangereusement exposées à l’extérieur, et où elles doivent mener aussi un combat exténuant pour la sécurité intérieure face à la guerre que nous impose le terrorisme ?
De son côté, n’est-ce pas le devoir du chef d’état-major, chargé de conduire ces opérations de demander à en disposer des moyens ? Et de le faire dans une réunion fermée du conseil de défense, puis devant une Commission de la Défense du Parlement siégeant à huis clos ? Étant entendu qu’il serait insultant au regard de l’esprit de responsabilité qu’il a toujours manifesté de penser que la fuite vienne de lui. Vous êtes effectivement, et actuellement le chef des armées Monsieur Macron, mais c’est le Parlement qui adoptera le budget. Que cela vous plaise ou non et vous devrez faire avec. Votre discours du 13 juillet à l’hôtel de Brienne est une faute républicaine.
Le deuxième exemple est relatif à la déclaration d’Emmanuel Macron dans son discours de commémoration de la rafle du Vel’ d’Hiv’, à propos du meurtre de Sarah Halimi : «Malgré les dénégations du meurtrier, la justice doit faire désormais toute la clarté sur la mort de Sarah Halimi ».
Je le croyais chef de l’exécutif et garant de l’indépendance de la justice. Eh bien cela ne l’empêche pas de lui donner des ordres ! Et cela pour prendre la pose, le jour de la commémoration de la rafle du Vel’ d’Hiv’.
Je ne connais pas le contenu exact du dossier Halimi, mais j’avais été très choqué de l’attitude de la presse qui avait soumis cette affaire à un véritable black-out. Pour ne pas gêner la campagne électorale de Macron d’ailleurs. Je suis moi-même très surpris de l’absence de la qualification "antisémite", mais il est possible, sinon probable que le magistrat instructeur qui traite le dossier ait présentement des raisons d’adopter cette attitude. En tout cas il travaille sous le contrôle des juridictions supérieures et n’a aucun ordre à recevoir d’Emmanuel Macron.
Et l’actuel Président de la République était la dernière personne à pouvoir prendre publiquement une telle position avec une telle formulation. J’imagine les réactions des syndicats de magistrats si Nicolas Sarkozy s’était permis ce genre de choses. Là il n’y a pas beaucoup de risques, l’ancienne dirigeante du Syndicat de la Magistrature poursuivie pour l’affaire du « mur des cons » vient de recevoir une belle promotion.
Bon, on commence à comprendre la méthode. Après avoir humilié les militaires, pour imposer son « autorité » Emmanuel Macron s’assoit sur les principes constitutionnels et humilie également les magistrats. À qui le tour ?
Monsieur le Président, ne confondez pas « Chef » et « petit chef ». Ce n’est vraiment pas la même chose.



Source : http://www.zinfos974.com/decastelnau/Emmanuel-Macr...

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25e commune: Un collectif passe à l'action pour demander le respect du calendrier

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25e commune: Un collectif passe à l'action pour demander le respect du calendrier
Créé la semaine dernière, le "collectif Saint-Louis et La Rivière en mars 2018" compte agir pour le respect du calendrier de création de la commune de la Rivière. Ce lundi, les représentants d'associations et mouvements qui le composent - Association St-Louis La Rivière, CRAR, CFRC, Priorité La Rivière, # La Rivière 2018, l’AEAR et le Peup- ont tenu une conférence de presse à Saint-Pierre juste avant de déposer une motion à la sous-préfecture pour demander l’intervention de l’Etat. 

"Il n’est plus question de tergiverser", affirme Thibaud Chane Woon Ming, pharmacien à la Rivière et membre du collectif. L’objet de toutes leurs inquiétudes, l’affaire n°2 prévue à l’ordre du jour du conseil municipal de mercredi demandant la scission de Saint-Louis au 1er janvier 2020. 

"Les 23 élus de la majorité aujourd’hui font volte-face voire répandent des mensonges à la population de St-Louis". Le 21 mars, ces derniers avaient adressé une lettre au préfet demandant le report des élections après avoir voté l’organisation et les différentes étapes de la création de la Rivière lors de la séance du 16 novembre 2016, rappelle Thibaud Chane Woon Ming. "Un texte mirifique", lance-t-il . "A quoi jouent-ils? Pour qui nous prennent-ils? Pourquoi tout est fait pour ralentir, freiner et mettre des boulets pour que cela n’avance pas?" Autant de questions rhétoriques posée par ce citoyen, qui se dit "apolitique", pour lesquelles les réponses sont évidemment toutes trouvées. "Ces conseillers municipaux sont manipulés en misouk par un ‘leader charismatique’, comme il se définit lui-même", avance le pharmacien. "Les citoyens de Saint-Louis et de La Rivière en ont ras le bol. Deux maires condamnés successivement, c'est du jamais vu".

L'intervention du préfet demandée

Et les arguments budgétaires développés par la majorité ne semblent pas non plus les convaincre. "Pas un de ces élus n’étaient contre le calendrier initial lors de la venue d’Ericka Bareigts, ils ont tous manger des petits fours", rappelle Rémi Bourgogne du Peup. "La commune de la Rivière est viable du point de vue démographique et financier selon une étude de 2013". 

Le préfet se doit d’intervenir, d’accélérer le processus et faire cesser les freins qui empêche le travail des commissions thématiques, assure le collectif. "La non création pourrait déstabiliser la commune ou pire l’ordre public"

"La population doit faire entendre sa voix". "Le collectif Saint-Louis et La Rivière en mars 2018" appelle donc la population à venir assister "pacifiquement", insiste-t-il, au conseil municipal de mercredi. En attendant, des tracts seront distribués pour dire "oui à la création de la 25e commune en 2018 et stop à la hausse des impôts et à la protection fonctionnelle". 

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Les photos des candidats Mister Réunion 2017

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Les photos des candidats Mister Réunion 2017
L’élection de Mister Réunion aura lieu le 14 octobre 2017 à 20h. La soirée se déroulera au Théâtre des Sables à l’Étang Salé en présence du président national et de Mister national en titre. La délégation a été reprise au mois de janvier de cette année par Cassandra Legras. Cet événement sera basé sur un nouveau concept avec la présence d’artistes réunionnais connus.

Les candidats viennent des quatre coins de l’île. Ils ont été sélectionnés après 3 grands castings qui se sont déroulés dans le nord, l’est et le sud-ouest de l’île. Les prétendants ont tous entre 18 et 27 ans. Une fois élu, Mister Réunion 2017 sera qualifié d’office pour la finale nationale et participera donc à l’élection de Mister National 2018.

Pour eux, l’aventure a commencé depuis un mois et demi. Cette période a servi au tournage de leur vidéo de présentation, à l’organisation et la prestation des 12 candidats lors de la kermesse de l’école IME de la Montagne (école spécialisée pour les enfants porteurs d’un handicap). Les candidats sont actuellement en répétition toutes les semaines à l’hôtel Le Saint-Denis sous les directives du chorégraphe officiel Grégory Pitou. L’un d’entre eux succédera à Julien Dalleau, Mister Réunion 2016.

Les photos sont signées "Nicolas Anthony photography".
Les candidats sont habillés par le magasin Vally de Saint Benoît et coiffés par "Les Kouleurs du Temps".


Les photos des candidats Mister Réunion 2017



Les photos des candidats Mister Réunion 2017

Les photos des candidats Mister Réunion 2017

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Mayenne : Un lion dans la nature reste introuvable

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Mayenne : Un lion dans la nature reste introuvable
En Mayenne (Pays de la Loire), un félin aurait été aperçu à plusieurs reprises par des habitants depuis  jeudi dernier. Cependant, il n’y a aucune preuve si ce n’est les témoignages de ces derniers.
 
Selon les premières informations recueillies auprès d’un chauffeur routier qui l’aurait aperçu lorsqu’il circulait près de Saint-Jean-sur-Erve, il s’agirait d’une lionne (puisqu’elle n’a pas de crinière) d’un mètre de haut. Par la suite, quatre autres personnes ont contacté la gendarmerie pour signaler la même observation. Mais une fois de plus il n’y a aucune preuve concrète de la présence de l’animal. De plus, aucun zoo n’a signalé avoir perdu un lion.
 
Aucune trace de pattes relevée
 
Pour capturer le fauve, une quinzaine de gendarmes ont été mobilisés ainsi que le personnel du Refuge de l’Arche. Ces bénévoles possèdent un fusil hypodermique, en d’autres termes un fusil destiné à calmer un animal sauvage par le biais d’un tranquillisant. Malgré leurs recherches, ils n’ont rien trouvé, ni carcasse d’animal, ni traces de pattes.
 
Selon Christian Huchédé, créateur de ce refuge, " (…)Si dans le courant de la semaine à venir on ne découvre pas d’animaux attaqués, je pense que le lion n’aura été qu’imaginaire. " Le directeur du cabinet du préfet de Mayenne, Anthony Boukoucha, a tout de même émis l’hypothèse que quelqu’un aurait élevé un lion chez lui et l’aurait perdu. Il ajoute : " Nous n’excluons pas totalement l’hypothèse, mais à ce stade, aucune preuve ne vient corroborer les témoignages apportés ".
 

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Pour empêcher l’accueil de migrants, des riverains murent l’accès d’un hôtel

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Pour empêcher l’accueil de migrants, des riverains murent l’accès d’un hôtel

Ce lundi matin, près de Tarbes, des riverains ont muré l’accès d’un hôtel qui devait accueillir des migrants prochainement. Cet établissement hôtelier est en cours de transformation pour devenir centre d’accueil.

Des dizaines de riverains et commerçants ont entrepris de construire un mur de 1,80 mètre de haut sur 18 mètres de long à l’entrée de l’ancien hôtel Formule 1 de Séméac (Hautes-Pyrénées) où vivent près de 5 000 personnes dans la banlieue de Tarbes.

Selon la préfecture, l’action s’est déroulée "sans incident". Cet hôtel fait partie des 62 établissements premier prix de l’enseigne AccorHotels. Il va maintenant devenir une structure d’hébergement et d’accueil pour les migrants. La remise des clefs doit avoir lieu officiellement ce mardi matin. Le collectif proteste en particulier contre la situation de l’hôtel "dans une zone pavillonnaire". Ils dénoncent également "l’opacité" du projet, qui aurait été monté "sans aucune concertation" avec la population locale.


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Les insignes de Chevalier de la légion d’honneur remis à Geneviève Payet

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Les insignes de Chevalier de la légion d’honneur remis à Geneviève Payet
Psychologue, clinicienne, psychothérapeute, victimologue... Geneviève Payet a reçu les insignes de chevalier de la Légion d’honneur ce lundi 23 juillet dans la salle du conseil municipal de Saint-Paul. 

"Au vu de votre parcours professionnel et universitaire exemplaire, de vos qualités humaines, de votre engagement auprès de nos concitoyens, vous méritez amplement cette distinction", admet le maire, Joseph Sinimalé. Président de la société des Membres de la Légion d’honneur à La Réunion, le général François Gros décrit pour sa part "une femme engagée avec enthousiasme et opiniâtreté aux côtés des victimes de toutes natures".

"Très touchée par cette marque de reconnaissance" que La France lui adresse, Geneviève Payet accepte les insignes de chevalier de l’ordre national de la Légion d’honneur avec une grande et belle humilité. "Ce n’est pas une personne que nous célébrons mais une histoire que nous avons en commun", dit-elle en rendant hommage à son père présent, à sa mère disparue, à ses familles aussi : sa famille naturelle, sa famille au travail, sa famille associative, sa famille politique, sa famille musicale. "Cette cérémonie qui nous rassemble honore une démarche collective, non une aventure solitaire"

Cette médaille qui "n’était pas inscrite dans mon parcours", Geneviève Payet la présente comme "le fruit de nos semailles collectives et solidaires". "Que chacun, chacune d’entre vous l’accepte comme un juste retour de tout ce que vous avez accompli avec moi, en moi et pour moi", dit-elle encore, s’adressant à ceux qui évoquent pour elle, par les souvenirs auxquels ils sont associés dans son histoire, toutes les étapes de sa vie. 

C’est l’ancienne ministre des outre-mer, Erick Bareigts, également présente à la cérémonie, qui avait proposé la candidature de Geneviève Payet. Cette reconnaissance salue à la fois la carrière dans la fonction publique et les engagements associatifs qui font partie intégrante de la vie de Mme Payet...

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Le TCO aide à la stérilisation des animaux domestiques

Les avions auront plus de mal à décoller à cause du réchauffement climatique

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Le réchauffement climatique a des conséquences insoupçonnées. Les avions sont également touchés par le phénomène.
Les avions auront plus de mal à décoller à cause du réchauffement climatique

Face au réchauffement climatique, les ingénieurs aéronautiques auront eux aussi quelques soucis à se faire. De plus en plus d’appareils vont devoir rester au sol aux heures les plus chaudes de la journée. Comme l’a montré l’annulation d’une quarantaine de vols le mois dernier au départ de Phoenix, aux Etats-Unis, en pleine vague de chaleur, les avions ont plus de mal à décoller quand la température grimpe.
 

Lorsque l’air est chaud, il perd en densité et les avions perdent donc en portance, révèle un doctorant d’une université new-yorkaise, Ethan Coffel, avec le climatologue Radley Horton.
 

La seule solution est d’alléger le poids de l’avion en réduisant la quantité de carburant, de fret ou le nombre de passagers. Ce phénomène de réchauffement climatique pourrait poser problème sur 10 à 30 % des avions remplis à pleine capacité aux heures les plus chaudes, selon l’étude. Le chercheur pointe " les risques inexplorés du changement climatique sur l’aviation " et " le potentiel substantiel pour des effets en cascades, économiques ou autres ".
 

Les aéroports dont les pistes sont les plus courtes comme La Guardia, à New York, ou ceux soumis aux températures les plus chaudes, comme Dubaï, seront les premiers touchés.


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