Aucun doute à ce sujet.
Ce mec, dont personne n’avait jamais entendu parler avant qu’il n’entre avec fracas en politique, semble avoir totalement pété les plombs. Il se prend désormais pour un dieu tout-puissant dont les ennemis doivent être illico mis à mort.
Mais c’est un lâche !
Il craint comme la peste les foudres judiciaires et envoie donc ses séides accomplir le sale boulot à sa place, illustrant en ceci le dévoiement du sens du mot "nervi". Autrefois, le nervi était un vrai partisan, voire un ami du chef. Aujourd’hui, ce n’est qu’un homme de main, un misérable mercenaire, chargé des basses besognes. Auparavant, le chef disait à ses troupes : "Suivez-moi !" Aujourd’hui, il leur ordonne : "En avant !"
C’est aussi un hypocrite de première bourre, mais pas con le mec. Pour faire passer le coup de sa bagnole (un pauvre déchet de ferraille, cher mais déchet quand même, dont tout le monde se fout comme de sa première goutte militaire), il désigne notre ami et collègue Jean-Philippe Lutton à la vindicte avinée, charrettée, de ses hommes de main. Style : "Il est méchant, ce journaliste. Faut le stopper !"
On ne saurait mieux dire, comme Béart : "Le journaliste a dit la vérité ; il doit être exécuté !"
L’informateur devient l’homme de trop. Il doit être rayé du nombre des vivants.
Ce lynchage fait, hélas, partie de nos meurs politiques. Rabou avait été cogné par un chauffeur de Langenier. Luc Marck et Mathieu par ceux de Jean Fontaine. Moi-même par ceux de… devinez qui ! (Ma rotule gauche s’en souvient encore).
Il n’en est pas à son coup d’essai, ce clown triste. Déjà en 2012, il avait fait tabasser une journaliste devant la préfecture (laquelle n’a JAMAIS réagi, à croire qu’elle a peur de ce gnome débile ?) Pendant que son hétaïre démoniaque en faisait autant non loin.
Les clowns tristes et grimaçants sont les plus dangereux, tous les enfants le savent. Le Robert l’illustre avec la perfection de sa ridicule ignorance et de son inculture notoire. Marchais faisait rire Landerneau. Robert navre La Réunion : on mérite mieux.
Où vit-on là ? Où va-t-on là ? Il va m’envoyer ses nervis, à moi aussi ? Qu’à cela ne tienne : on va rigoler. La plume sera toujours plus forte que l’épée.
Please : expliquez-lui le sens de cette dernière phrase car je crains qu’il ne comprenne pas vraiment, merci. Face à des Dupuy, des Tillier, des Lutton, rien ne sert de s’égosiller sur Freedom ; les gesticulations débiles ne remplaceront pas l’éloquence.
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