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Channel: Faits divers – Zinfos974
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Plage des Brisants: requin aperçu en surface

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Plage des Brisants: requin aperçu en surface
Un requin aurait été aperçu en surface au niveau du spot des brisants, à l'Etang Salé.

L'information a été annoncée par le CRA et vient d'être remontée au CROSS.

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[Vidéo] Frayeur au Port: Un requin tourne autour de son kayak

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[Vidéo] Frayeur au Port: Un requin tourne autour de son kayak
Un pêcheur en kayak qui se livrait vendredi à sa passion favorite en face des cuves de la SRPP au Port, a sans doute eu la frayeur de sa vie.

Un requin est apparu à quelques mètres de sa frêle embarcation, a nagé quelques instants à proximité, et a fini par disparaitre.

Des secondes qui ont probablement duré des heures pour le pêcheur...
 


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Drame de Sainte-Marie: l’Unafam demande une meilleure prise en charge des schizophrènes

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Drame de Sainte-Marie: l’Unafam demande une meilleure prise en charge des schizophrènes
Suite au terrible meurtre de Sainte-Marie, l’Unafam (Union nationale des familles et amis de personnes malades et/ou handicapées psychiques) tient à témoigner son soutien à la famille de la victime. Face à un tel drame, nous, parents –dont certains ont perdu un enfant à cause de la schizophrénie-, sommes de tout cœur avec la famille de Vanina.

Ce crime révèle malheureusement les insuffisances de prise en charge des maladies psychiques, particulièrement dans l’océan Indien où n’existe aucune UMD (unité pour malades difficiles). S’ils sont repérés comme "difficiles", les patients réunionnais et mahorais sont obligés de s’exiler à 9000 km de leur famille pour recevoir des soins adaptés, à supposer que leur maladie ait été diagnostiquée, ce qui n’est que trop rarement le cas.

L’Unafam attire l’attention du public sur une confusion trop fréquente : un schizophrène (malade psychique) n’est pas forcément psychopathe (personne qui commet de manière récurrente des actes interdits par la loi). Chez les personnes schizophrènes, le taux de psychopathie est le même que dans la population générale. Un malade schizophrène a plus de risque statistique de se suicider que de tuer une autre personne. Les personnes souffrant de schizophrénie sont beaucoup plus victimes d’agressions que n’importe qui dans la population générale.

La schizophrénie touche statistiquement 1% de la population. Dans un collège ou un lycée de 600 élèves, il y a en moyenne 6 jeunes garçons et filles qui peuvent souffrir de schizophrénie. L’Unafam appelle donc les pouvoirs publics à amplifier l’information et la formation sur les maladies psychiques, afin de dépister et traiter au plus tôt ces pathologies graves. L’Unafam demande également des moyens conséquents pour améliorer la prise en charge des malades (réinsertion, création de structures d’accueil après l’hospitalisation...). Ce qui permettra d’éviter d’autres drames.

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Des étudiants luttent contre les violences faites aux femmes

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Ce samedi 5 mai s’est déroulée la journée portes ouvertes consacrée aux femmes, un événement organisé par le mouvement de trois étudiants "Self Made Woman" et la salle de sport le "Complexe Training Center". 70 femmes ont pu découvrir et s’initier de 10h à 15h au self-défense féminin, kick boxing, boxe anglaise et jiu jitsu brésilien, mais également à un cours de fitness sous diverses disciplines telles que l’abdos-fessiers, le pilates, le fit-boxing, le cross training.
Des étudiants luttent contre les violences faites aux femmes
Un trio d’étudiants en Licence Professionnelle "Métiers de la Communication" au Service Universitaire de Formation Permanente à l’Université de Saint- Denis lutte contre les violences faites aux femmes. Thomas Boisedu, Yona Sincère et Lina Bahri mettent en place des cours d’initiation au self-défense féminin gratuits sur l’ensemble de La Réunion.

Des étudiants luttent contre les violences faites aux femmes
Self Made Woman 

Dans un contexte marqué par une importante actualité médiatique, qui constitue également une opportunité forte de sensibilisation, les 3 étudiants ont décidé d'agir avec force pour défendre la cause des violences commises à l’égard de la femme. Pour cela, le groupe d’élèves a lancé au mois de février "Self Made Woman", un mouvement solidaire et fédérateur. En partenariat avec Jeunesse en Lèr, le Complexe Training Center, Urban Sport, Mamzel’Fit et le QG, Self Made Woman a pour but d’initier les femmes au self-défense au travers de cours gratuits et accessibles à toutes.

Cette discipline permet aux pratiquantes d’identifier les dangers, de les prévoir, de les contourner et si nécessaire de les affronter. Eric Bapts, instructeur fédéral diplômé en self-défense KAPAP, Frédéric Guichard, Président de la Spridinov Sambo Association et Jérôme Vilalte, coach de self- défense féminin, assurent la qualité des cours de self-défense. Ils permettent aux femmes d’acquérir une plus grande confiance en soi et également une meilleure estime de soi.

Des étudiants luttent contre les violences faites aux femmes
Une journée pour les femmes 

Self Made Woman et le Complexe Training Center s’unissent et organisent une journée consacrée aux femmes qui aura lieu samedi 5 mai de 10h à 15h au sein de la salle de sport le Complexe Training Center à Saint-Pierre.

De nombreuses femmes pourront bénéficier de 3 heures gratuites de fitness sous diverses disciplines telles que l’abdos-fessiers, le pilates, le fit-boxing, le cross training, ainsi que des sports de combat avec du kick boxing, boxe anglaise et thai, jiu jitsu brésilien, ainsi que du self-défense.

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Top 5 des articles les plus lus sur Zinfos cette semaine

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Top 5 des articles les plus lus sur Zinfos cette semaine
Comme chaque semaine, notre rédaction vous propose de revoir les temps forts de l'actualité de ces sept derniers jours avec notre rubrique #TopZinfos.

Retour sur les cinq articles qui ont le plus buzzé sur Zinfos!
 
  1. La galère au volcan : Une "coulée" de véhicules sur la Plaine des Sables
     
  2. VIDEO: Maurice: Des militants libèrent la plage privatisée par les hôtels
     
  3. Sainte-Marie: La scène d'un crime insupportable
     
  4. VIDEO: Le Préfet ordonne aux restaurateurs de plage de quitter les lieux
     
  5. Accident de moto mortel à Saint-Louis

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Le ZinfosNews de 12h - Lundi 07 Mail 2018

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Domenjod - Les syndicats réclament la création d'une UHSA Université - Ouverture d'une cellule psychologique Finances publiques - Non à la baisse annoncée du pouvoir d'achat ! Préfecture - Circulation interdite aux bus sur la route forestière Services publics - Fermeture exceptionnelle les 7, 9 et 11 mai
Le ZinfosNews de 12h - Lundi 07 Mail 2018


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Le footballeur réunionnais Dorian Bertrand élu meilleur joueur de National

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Le footballeur réunionnais Dorian Bertrand élu meilleur joueur de National
Il a été désigné par ses pairs. Le footballeur réunionnais Dorion Betrand a été élu ce samedi meilleur joueur de National de la saison, lors d'une cérémonie qui s'est déroulée à Clairefontaine.

Le milieu de terrain offensif de 24 ans, qui évolue en National au SO Cholet (région Pays de la Loire), était nominé aux côtés de Saïd Id Azza (US Concarneau) et Florian Sotock (Grenoble Foot 38).

L'ancien joueur du Saint-Denis FC, auteur de 6 buts pour 23 apparitions sous le maillot rouge et noir, devrait rapidement trouver un contrat professionnel. Selon le magazine France Football, la "révélation de National qui a bluffé les observateurs cette saison serait en contact avancé avec Guingamp", actuel 11ème de Ligue 1.

Le footballeur réunionnais Dorian Bertrand élu meilleur joueur de National

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La suppression de l'indexation vie chère sur les primes des hospitaliers arrive comme un coup de massue

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Solidaires Sud Santé Sociaux a appris par voie de presse que les finances publiques allaient leur supprimer, sur leur prochain buletin de paie, l'indexation de vie chère sur certaines de leurs primes. Les syndicats voient rouge. Ce lundi, ils sont rejoints par les syndicalistes de Solidaires Finances Publiques qui demande à son tour à sa direction d'expliquer cette décision brutale.
La suppression de l'indexation vie chère sur les primes des hospitaliers arrive comme un coup de massue
"Apprendre qu'on va nous baisser nos salaires par voie de presse est révoltant" confie, en colère, Zohra Givran, du Syndicat Sud Santé de Gabriel Martin. Une suppression qui plus est dès le mois de mai prochain pour les fonctionnaires de l'hôpital saint-paulois, ce qui est inconcevable pour les représentants de la fonction publique. Un préavis de grève a même été déposé à compter du 7 mai prochain. 

Au total, ce sont plus de 7 primes qui vont être ratiboisées. Cela représente en moyenne entre 80 et 100 euros par agent. L'Etat a parfois sous-entendu que l'indexation de vie chère sur certaines de ces primes ne serait pas légale. Cependant, en aucun cas, des preuves concrètes ont été apportées pour affirmer cette supposition, retiennent les représentants du personnel. 

Les primes concernées sont notamment la Prime de service, l’indemnité de sujétion spéciale, la prime de sujétion spéciale AS/AMP, la nouvelle bonification indiciaire (NBI), l’indemnités forfaitaires pour travaux supplémentaires (IFTS), la prime de technicité ingénieurs et le Supplément familial de traitement.

"C'est inconcevable de prendre une telle décision de cette manière là"

C'est une incompréhension qui plane au sein de la fonction publique. La Direction régionale des finances publiques, l'ARS, les directions hospitalières, le Préfet, l'Etat... Qui se cache derrière une telle décision? Pourquoi? Comment? On cherche à faire une économie, mais c'est le personnel qui en paie les conséquences. "Je suppose que c'est Paris qui se cache derrière tout ça", confie Pascal Valiamin, de Solidaires Finances Publiques. 

D'où qu'elle vienne, cette décision est, selon eux, totalement méprisante. Elle n'a pas fait preuve de la moindre analyse, du moindre recul ou d'une quelconque réflexion globale. Il n'y a eu aucun dialogue social. Une situation inadmissible, vu le contexte actuel de la fonction publique.

On aborde ce sujet très sensible, on met à mal la paie d'un salarié sur un simple coup de fil. En effet, au-delà de Gabriel Martin, le directeur du CHU Sud a été informé par téléphone que les salaires de ses fonctionnaires allaient bientôt baisser. Mai, juin, juillet... Nul le sait encore.

Le Syndicat Sud Santé Sociaux a déposé un préavis de grève à compter du 7 mai prochain. Accompagné de Solidaires Finances Publiques, ils comptent bien faire entendre leur mécontentement. "C'est inconcevable de prendre une telle décision de cette manière là", souligne Jocelyn Cavillot de Solidaires Finances Publiques. 

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Volcan: Surveillance au pied du rempart après un incendie

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Volcan: Surveillance au pied du rempart après un incendie
Un incendie s’est déclaré ce lundi vers 8h30 au pied du rempart au niveau du Piton de Bert. Le front de coulée se trouve non loin de la falaise, comme en témoignent ces clichés aériens capturés par Air Dimitile, ce matin. 

Quelques incendies de faibles ampleurs avaient déjà été repérés par les équipes de l’Observatoire volcanologique du Piton de la Fournaise hier. 

Quelques fumerolles sont encore visibles. L’incendie n’a pas nécessité l’intervention des pompiers, le feu s’étant éteint tout seul. Le drone des pompiers a été déployé pour continuer à faire des repérages sur le secteur incendié, en raison d'un risque de reprise. La zone reste sous surveillance.

Volcan: Surveillance au pied du rempart après un incendie

Volcan: Surveillance au pied du rempart après un incendie

Volcan: Surveillance au pied du rempart après un incendie

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Nouvelle supplique pour la suppression de l'alinéa 5 de l'article 73 de la Constitution

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Nouvelle supplique pour la suppression de l'alinéa 5 de l'article 73 de la Constitution
Que penser du projet de loi constitutionnelle transmis par le Gouvernement au Conseil d’État pour avis et qui sera présenté en conseil des ministres, le 9 mai prochain ? La Guadeloupe, la Guyane, la Martinique, La Réunion et Mayotte sont concernées par la refonte de l’article 73 de la Constitution, un article qui avait déjà fait l’objet d’une réécriture par la loi constitutionnelle du 28 mars 2003. Pour la plupart, ces collectivités ultramarines bénéficient d’importants pouvoirs qu’il est utile de rappeler. 
 
Après avoir posé le principe de l’identité législative, l’article 73 prévoit des assouplissements : les lois et règlements « peuvent faire l’objet d’adaptations tenant aux caractéristiques et contraintes particulières de ces collectivités » (alinéa 1er). Cette disposition permet de prendre en considération les spécificités des départements et régions d’outre-mer (DROM). L’article 73 précise : « Ces adaptations peuvent être décidées par ces collectivités dans les matières où s’exercent leurs compétences et si elles y ont été habilitées, selon le cas, par la loi ou par le règlement » (alinéa 2). Avant la révision constitutionnelle de 2003, le pouvoir d’adaptation n’était reconnu qu’à l’État. Désormais, ce pouvoir peut aussi être exercé par les assemblées des DROM : la Constitution reconnaît à chaque collectivité régie par l’article 73 le droit d’adapter, sur habilitation du Parlement ou du Gouvernement, les lois et règlements applicables sur son territoire dans les matières relevant de sa compétence. Mais l’article 73 de la Constitution va encore plus loin en donnant à ces entités la possibilité d’édicter, sur habilitation, un droit dérogatoire par rapport à celui de l’État : 
 
« Par dérogation au premier alinéa et pour tenir compte de leurs spécificités, les collectivités régies par le présent article peuvent être habilitées, selon le cas, par la loi ou par le règlement, à fixer elles-mêmes les règles applicables sur leur territoire, dans un nombre limité de matières pouvant relever du domaine de la loi ou du règlement » (alinéa 3). 
 
Le fondement de « l’amendement Virapoullé » et son examen critique 
 
Dès lors qu’il entame le monopole législatif du Parlement en consacrant un retour indirect à la spécialité législative dans les DROM, l’article 73 de la Constitution paraît audacieux. Pourtant, cette audace est nuancée : afin d’éviter tout risque de dérapage, le champ d’application du pouvoir normatif autonome reconnu aux collectivités régies par l’article 73 est en effet limité par plusieurs verrous, posés aux alinéas 3, 4 et 6. Malgré ces « garde-fous », l’alinéa 3 de l’article 73 a été jugé dangereux par le sénateur-maire UMP de Saint-André : Jean-Paul Virapoullé a jugé utile de prévoir un statut particulier pour La Réunion afin que ce département d’outre-mer (DOM) demeure « un département français comme n’importe quel département métropolitain ». 
 
Connu dans son île natale sous le nom d’« Amendement Virapoullé », l’amendement constitutionnel n° 85 rectifié bis a eu pour but – dans cette optique – d’exclure le département et la région de La Réunion du champ d’application des alinéas 3 et 4 de l’article 73 : cet amendement vise à compléter cet article par l’adjonction d’un alinéa 5 avec pour objectif d’écarter toute possibilité de « lois pei » à La Réunion car de telles lois seraient susceptibles de comporter en germe – selon Jean-Paul Virapoullé – une « menace d’autonomie législative », considérée « comme l’antichambre de l’aventure et de l’indépendance ». Adopté le 6 novembre 2002 malgré la totale désapprobation de Brigitte Girardin, ministre des Outre-mer, « l’amendement Virapoullé » s’est traduit par une exception dans l’alinéa 5 de l’article 73, ainsi rédigé : « La disposition prévue aux deux précédents alinéas n’est pas applicable au département et à la région de La Réunion ». 
 
Pour la plupart, les publicistes les plus qualifiés ont dénoncé l’alinéa 5 de l’article 73 de la Constitution qu’ils assimilent à une « hérésie constitutionnelle » dès lors que cet alinéa revient à traiter La Réunion comme « un incapable majeur ». Il en est ainsi dans la mesure où l’alinéa 5 empêche La Réunion de disposer d’un pouvoir législatif et règlementaire par habilitation, selon le cas, du Parlement ou du Gouvernement dans une série de matières non régaliennes mais hautement stratégiques comme l’accès au foncier, l’énergie, l’enseignement, la fiscalité locale, les transports publics intérieurs, la protection du patrimoine culturel immatériel, la sauvegarde de l’environnement ou encore l’emploi local. 
 
En vérité, l’alinéa 5 de l’article 73 n’aurait jamais dû être voté par le Parlement dans la mesure où cette disposition constitutionnelle vise à pétrifier ad vitam æternam, contre le bon sens, le statut de la seule région monodépartementale de La Réunion. Est-il dès lors étonnant que le débat majeur porte aujourd’hui sur le maintien ou la suppression de l’alinéa 5 de l’article 73 ? 
 
Dès l’ouverture des Assises des Outre-mer qui ont débuté à Saint-Denis le 4 octobre 2017 avec la venue d’Annick Girardin, ministre des Outre-mer, les progressistes réunionnais avaient indiqué que l’heure était venue de tourner une page de l’histoire de La Réunion et d’entrer dans l’ère de la responsabilité. Ils précisaient que des réformes s’imposaient pour donner à La Réunion les mêmes leviers que ceux qui ont été attribués en 2003 aux départements français d’Amérique. Ce message semblait avoir été entendu : dans son discours prononcé à Cayenne le 28 octobre 2017, le Président de la République avait évoqué « une nouvelle page institutionnelle, juridique, financière de la relation entre l’État et les territoires ultramarins ». Emmanuel Macron s’était même déclaré prêt à envisager des « aménagements constitutionnels », y compris la suppression de « l’amendement Virapoullé ». 
 
L’exégèse du projet gouvernemental pour les collectivités régies par l’article 73 de la Constitution
 
La bataille pour cette réforme capitale n’est pas pour autant gagnée car la droite locale se montre toujours hostile à la suppression de l’alinéa 5 de l’article 73. Le 13 novembre 2017, le président du conseil régional avait d’ailleurs annoncé la couleur : dans son entretien avec le Premier ministre, Édouard Philippe, Didier Robert se déclarait « favorable à un meilleure intégration régionale de La Réunion dans l’océan Indien » et « à une prise en compte de ses spécificités dans leur globalité », mais sans « changer la Constitution ». La formule vise ainsi à pérenniser « l’amendement Virapoullé ». 
 
Dans ce contexte « conservationniste » affiché par la droite réunionnaise, que prévoit l’article 17 du projet de loi constitutionnelle pour une démocratie plus représentative, responsable et efficace ? 
 
Cet article indique que les alinéas 2 et 3 de l’article 73 de la Constitution sont remplacés par les dispositions suivantes : « à leur demande », les collectivités régies par l’article 73 peuvent « être habilitées par décret en conseil des ministres, après avis du Conseil d’État, à fixer elles-mêmes les règles applicables sur leur territoire dans un nombre limité de matières pouvant relever du domaine de la loi ou du règlement et dans les conditions fixées par une loi organique ». Pour éviter les abus, il est toutefois prévu que les actes pris par ces collectivités dans le domaine de la loi « deviennent caducs en l’absence de ratification par le Parlement » dans un délai de 24 mois suivant l’habilitation. Cette réforme simplificatrice est favorablement accueillie par les Guadeloupéens, les Guyanais et les Martiniquais qui ont déjà été habilités à légiférer et à réglementer en matière de formation professionnelle, d’énergie et de transport, des domaines certes très importants, mais mis en œuvre à la suite de procédures jugées complexes et fastidieuses. 
 
Contrairement à ce que prétend une droite réunionnaise qui fait flèche de tout bois pour maintenir des acquis injustifiables, notamment la députée de La Réunion, Nadia Ramassamy, il est par ailleurs encore bien trop tôt pour se prononcer sur l’efficacité du dispositif résultant de l’habilitation législative qui ne présente, de surcroît, aucun risque de dérapage puisqu’il ne peut qu’intervenir – ainsi que l’indique l’article 73 dans son alinéa 3 – que « dans un nombre limité de matières ». 
 
Faut-il, de surcroît, préciser qu’à l’heure de la « différenciation » évoquée par la ministre des Outre-mer, ces pouvoirs relatifs à l’adaptation et aux habilitations qui doivent aboutir à des décisions plus rapides, pourront être étendus aux régions de l’Hexagone, régies par l’article 72 de la Constitution ? Cet article est en effet complété, dans son alinéa 2, par une phrase ainsi rédigée : « La loi peut prévoir que certaines collectivités territoriales exercent des compétences, en nombre limité, dont ne disposent pas l’ensemble des collectivités de la même catégorie ». Dans le même état d’esprit, la Corse est érigée au rang de « collectivité à statut particulier au sens du premier alinéa de l’article 72 » dans un nouvel article de la Constitution – l’article 72-5 – sur le modèle de l’article 73 qui prévoit un pouvoir d’adaptation pour les collectivités régies par cette disposition. Ainsi une dynamique est en marche vers plus de responsabilités dans les collectivités métropolitaines et ultramarines. 
 
Le cas singulier de La Réunion
 
Qu’en est-il alors de La Réunion ? Sur les conseils d’une droite locale tétanisée par le risque du changement, le Gouvernement a donné le « la » dans son argumentaire présenté au Conseil d’État. Sans démonstration sérieuse, il indique que « le département et la région de La Réunion continueront à connaître un régime spécifique » par rapport aux autres DOM. C’est là que le bât blesse : l’article 17 du projet de loi constitutionnelle entend toujours faire un sort particulier et, plus encore, un sort de second rang à La Réunion par rapport aux autres collectivités régies par l’article 73 de la Constitution. 
 
Concrètement, « le département » et « la région » de La Réunion demeurent inscrits dans la norme suprême tandis que les alinéas 5 et 6 de l’article 73 sont remplacés par une nouvelle disposition.  Celle-ci indique que, pour ces deux collectivités, « les habilitations prévues au deuxième alinéa s’appliquent uniquement dans les matières relevant de leurs compétences », alors même que pour les autres collectivités régies par l’article 73, les habilitations en question peuvent concerner des matières hors compétence. 
 
Ainsi, le projet de loi constitutionnelle persiste dans le déni : La Réunion conserve un statut de « minus habens » par rapport à la Guadeloupe, la Guyane, la Martinique et Mayotte. 
 
Rien n’est définitivement joué 
 
Dès lors, doit-on se résigner au maintien de cette inégalité de traitement qui comble d’aise une droite locale pusillanime ? Certainement pas car nous sommes toujours à l’heure de la réflexion et des propositions alternatives. Au Parlement, il incombera aux députés et sénateurs des collectivités régies par l’article 73 de la Constitution de faire connaître leurs désidératas en matière d’évolution statutaire puisque le Gouvernement d’Édouard Philippe entend agir en ayant recours à ce qu’il appelle la « co-construction ». En outre, lors de la séance des questions au Gouvernement, Annick Girardin a confirmé à l’Assemblée nationale, le 18 avril 2018, qu’il est hors de « question que le Gouvernement impose un choix » aux collectivités ultramarines en soulignant que « le Gouvernement soutiendra une mesure qui sera portée par les parlementaires pour faire évoluer le statut de La Réunion » . 
 
C’est là que pourrait se trouver la solution au problème. Dans la mesure où quatre députés de La Réunion sur sept, appartenant de surcroît à plusieurs courants politiques – Éricka Bareigts, Huguette Bello, Jean-Hugues Ratenon et Thierry Robert – contestent « l’amendement Virapoullé », l’alinéa 5 de l’article 73 de la norme suprême devrait logiquement être supprimé afin de donner à La Réunion les mêmes « outils juridiques » que ceux qui sont reconnus à la Guadeloupe, à la Guyane, à la Martinique et à Mayotte. Dès lors que rien ne justifie le maintien de la région française des Mascareignes sous un humiliant « régime de curatelle », il est raisonnable de penser – n’en déplaise à Didier Robert, Nadia Ramassamy et à Jean-Paul Virapoullé – que le bon sens pourrait encore triompher à La Réunion. 

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Besoin de nouveaux outils pour aller vers plus de responsabilité pour plus d'autonomie

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Bilan d'un an de pouvoir du président de la République
Besoin de nouveaux outils pour aller vers plus de responsabilité pour plus d'autonomie
Voici un an que les Français ont élu un nouveau président. Après la période des Cent-Jours, où le président profite de son état de grâce pour faire ses réformes, même les plus impopulaires. Il est actuellement à l'épreuve du peuple et le peuple n'a cessé de faire part de sa colère. Les exemples ne manquent pas.

Un an après, c'est la déception et l'insatisfaction est grandissante. Le corps social est attaqué par la politique du nouveau pouvoir, tous les secteurs sont mobilisés : travailleurs, étudiants, bénéficiaires des aides sociales. Le PCR voit une remise en cause des droits acquis par la lutte et cela se traduit par une série de mesures : suppression des contrats aidés. Il était possible de faire autrement en globalisant les crédits pour la création de deux grands services. Suppression de l'APL accession qui pèse sur le BTP, hausse de la CSG qui pèse sur les retraites.

La situation était déjà grave, depuis un an elle s'est aggravée. La réalité commande de voir que toutes les mesures du nouveau pouvoir s'appliquent à La Réunion du fait de notre intégration à un territoire situé à 10.000 kilomètres. Cette intégration mécanique est une voie sans issue.

Du point de vue du PCR, il faut aller vers plus de responsabilité pour plus d'autonomie.

Les Assises des Outre-mer ne doivent pas être un « concours Lépine ». Elles doivent déboucher sur une nouvelle politique qui préserve les acquis obtenus par la lutte depuis 1946 et qui permette d'affronter les défis et les enjeux du présent, les urgences sociales, et de l'avenir (lutte contre le déréglement climatique, faire face à cette mondialisation et sa conséquence directe les accords de partenariat économique, l'avenir de la filière canne-sucre, l'intégration dans notre zone géo- économique). Aller vers plus de responsabilité pour plus d'autonomie nécessite de nouveaux outils : un pouvoir législatif, normatif et réglementaire.

Or, les restrictions discriminatoires imposées à l'alinéa 5 de l'article 73 de la Constitution sont contraires à nos besoins.

Nous souhaitons :
- une collectivité territoriale dotées de pouvoirs élargis et un fonds de développement ;
- un plan de développement global et cohérent s'inscrivant dans la zone indianocéanique.

Force est de constater que les mots « différenciation », « changer de logiciel », « plus d'autonomie » sont de plus en plus entendus. C'est la preuve d'un constat partagé. Sur cette base, le PCR pense qu'il est possible que les Réunionnais s'entendent.

Le préalable est la suppression de l'alinéa 5 de l'article 73 de la Constitution. Paul Vergès, Gélita Hoarau et Ericka Bareigts ont déposé des propositions de loi constitutionnelle dans ce sens.

Cette suppression permettra des conditions d'habilitation plus souples, ce qui donnera les moyens aux Réunionnais d'élaborer une politique adaptée à leurs besoins.

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Les états généraux de la Culture… manquent de culture !

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Les états généraux de la Culture… manquent de culture !
Ou alors c’est moi ? C’est vous qui allez me le dire.

Depuis plusieurs jours, on nous bassine à la télé avec une publicité vantant les états généraux de la Culture. On ne dit pas de quoi il s’agit : à nous de deviner.

La pub montre un volcan surgissant de l’océan, censé donner naissance à notre île. Avec foisonnement de fleurs artificielles. C’est fait exprès, l’artificiel ? Je crois que oui, comme tout ce qui se fait ou se dit ici. Et plein de feux d’artifice po fé l’tas. Ça mange pas d’pain.

Ce qui me gêne, c’est que ce volcan surgissant des flots, ce volcan censé avoir donné naissance à La Réunion, serait le Piton de la Fournaise.

Au risque d’avoir l’air con, il me semble me souvenir, selon tous les prof de géo et autres experts scientifiques, que La Réunion serait née de l’émergence du Piton-des-Neiges, pas de la Fournaise !

La Fournaise serait apparue bien plus tard et se serait « collée » à sa devancière. Selon le vieux Tangue (Jacques Lougnon), Bélouve serait devenu le quatrième cirque de l’île s’il n’avait été comblé par la dernière éruption du Piton-des-Neiges.

La pub fait également allusion à cette foutaise appelée « le vivre ensemble ». Quand on sait que l’égoïsme est la notion la mieux partagée avec le rougail saucisses et « le ti paradis »…

Je vous en supplie : si j’ai tort, dites-le moi gentiment. Ne tirez pas ! Merci par avance de rectifier ma Culture.

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La Ville de Saint-Leu vend ses bijoux de famille ! Elle n'a plus d'argent ?

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La Ville de Saint-Leu vend ses bijoux de famille ! Elle n'a plus d'argent ?
A la Une d’un des quotidiens locaux de ce samedi 05 mai 2018, les lecteurs pouvaient découvrir une publicité de la Ville de Saint-Leu qui vend plusieurs parcelles dans différents quartiers de la commune (voir photo). Pourquoi la municipalité se transforme-t-elle en promoteur immobilier (comme ses dirigeants ?) ? N'y a-t-il plus d'argent dans les caisses de la mairie comme l'affirme l'opposition municipale et la Chambre Régionale des Comptes dans son dernier rapport ? 

Être obligé de vendre son patrimoine foncier, ses bijoux de famille, est un très mauvaise signe en terme de trésorerie et de finances de la Ville. Ces ventes de terrains communaux sont encore une preuve de la mauvaise gestion de la Ville par l'équipe de Thierry Robert.

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Moi je n’aime pas la boue !

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Moi je n’aime pas la boue !
 Après les épisodes de coulées de boue dans le lagon suite aux passages de Berguita et Fakir , l’eau s’est éclaircie , mais les dépôts sont toujours là  et le massif corallien est en grande souffrance .

Si en 1989 , le massif corallien avait repris après le passage de Firinga , c’est qu’auparavant ce massif était globalement en bonne santé. Malheureusement ce n’est plus le cas aujourd’hui .

Moi je n’aime pas la boue !
Il serait temps de réagir aux causes profondes de ces coulées de boue . Ces coulées ont existé de tout temps , mais depuis quelques années , elles sont plus importantes .
En mettant à mal les coraux , ces coulées mettent à terme en péril tout le récif corallien qui protège le littoral ouest des assauts de l’océan  . Si cette barrière naturelle venait à disparaitre  , c’est toute la zone balnéaire qui serait affectée avec une disparition progressive des plages ( et cela a déjà commencé  … jusqu’à avoir probablement  les pieds dans l’eau chez Go  dans un avenir pas si lointain ! ) Et la montée du niveau des mers liée au réchauffement climatique ne fera qu’aggraver le problème .

Revenons aux coulées de boues . La raison ne tient pas seulement aux pluies elles même , mais aussi à l’aménagement du territoire . En effet , on assiste à un accroissement des zones habitées , ce qui conduit à remplacer des zones plus ou moins perméables (terrains agricoles ou inexploités) par des surfaces imperméables (toiture , voirie) . Cela entraine une concentration beaucoup plus rapide des eaux de ruissellement . Les exutoires naturels ( ruisseaux et ravines ) restant inchangés , l’eau s’y écoule avec une vitesse nettement supérieure . Et cette vitesse plus élevée entraine une plus grande érosion des sols : les particules fines sont entrainées et cela forme les coulées de boue que nous avons eues récemment .

Et depuis 2 ou 3 ans , la disparition progressive des andains (pour alimenter le chantier de la route du littoral) a aggravé le problème : jusqu’alors , les terres agricoles qui servaient de tampon à l’évacuation des eaux de ruissellement n’ont plus joué leur rôle et ont été érodées à leur tour . A cela , il faut ajouter l’ « épierrage » qui a déstructuré les terrains agricoles avec une extraction mécanique jusqu’à plusieurs mètres de profondeur et à laissé à nu la terre végétale . Tout cela a facilité le lessivage des terrains agricoles qui auparavant jouaient un rôle de régulateur dans la concentration et l’écoulement des eaux pluviales .

Il faudrait donc réagir sur deux axes : l’aménagement et l’urbanisation d’une part, car il faut bien loger la population qui s’accroit , et les pratiques agricoles d’autre part où il faut concilier production et protection des sols et de l’environnement en général .
Pour cela , une vision globale de l’aménagement et de l’environnement serait nécessaire , mais ce n’est pas le cas .

Le comité de bassin (qui s’appelle maintenant Comité eau et biodiversité  … pour donner l’illusion ) est plus préoccupé par l’approvisionnement en eau potable que par la problématique des eaux pluviales et de l’environnement  .
Le CLAT (Conférence Locale pour l’aménagement du Territoire) élabore un plan qui cadre l’évolution urbaine mais ne gère pas le problème des eaux .

La chambre d’agriculture essaie de préserver des surfaces agricoles face au développement urbain . Mais dans le même temps quelques agriculteurs cèdent aux propositions d’extraction de pierres dans leurs champs bien souvent hors contrôle de la DAAF (Direction de l’Alimentation , de l’Agriculture et de la Foret) ou de la DEAL (Direction de l’Environnement , de l’Aménagement et du Logement).
Les services de l’Etat qui sont censés couvrir et réguler l’aménagement dans son ensemble sont scindés entre l’aménagement géré par la DEAL et l’agriculture gérée par la DAAF  … et qui au sein de l’Etat sont plus concurrents que partenaires .
Il existe un comité (un de plus ! ) chargé de la Gestion Intégrée Mer Littoral … mais sans pouvoir réel .

Au bout de la chaine , la Réserve marine fait ce qu’elle peut  , mais n’a pas de moyens d’action sur l’origine des problèmes .
Tout ce mille-feuilles administratif , déployé au sein des multiples comités aboutit à une inertie décisionnelle dans le meilleur des cas … mais le plus souvent à une absence de gestion globale .

 

Moi je n’aime pas la boue !
Alors que faire pour remuer nos décideurs politiques ?
     - les plonger dans la boue … en y rajoutant les plumes ?         
     - créer une commission de plus ? (mais comme disait Clémenceau « Si vous voulez enterrer un problème , créez une commission ! »)
     - pirater le site de l’IRT en remplaçant les belles photos de plage par celles prises après Fakir ou Berguita ?
      - twitter et faire le buzz sur les réseaux sociaux avec  les taux de streptocoques et autres présences suspectes dans le lagon pour vanter l’ « Ile intense » ?

Je plaisante bien sur …. et je continuerai à participer à différentes commissions en tant que membre d’une association environnementale . Mais face aux aménageurs , bétonneurs et à la sacro-sainte croissance économique , la tâche est rude,  et tout soutien sera bienvenu !

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Quelle politique des revenus à La Réunion ?

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Le PCR réagit à la suppression de l'indexation sur les primes reçues par les fonctionnaires hospitaliers. Voici le communiqué du bureau de presse du parti :
Quelle politique des revenus à La Réunion ?
Selon l’INSEE, La Réunion est le département de la République où les inégalités sont les plus grandes. Parmi les facteurs de ces inégalités, il y a la rémunération de certaines catégories de travailleurs qui ont par rapport à la France une prime de vie chère et un index de correction qui datent de la période du Franc-CFA.

L’immense majorité des travailleurs et des retraités, ainsi que les personnes relevant des minima sociaux, ne perçoivent ni la prime de vie chère ni l’indexation. Or le coût de la vie est le même pour tous. Au moment où le ministère des Finances propose de supprimer l’indexation de vie chère sur les primes des fonctionnaires hospitaliers, le moment n’est-il pas venu de définir pour toutes les catégories sociales une politique des salaires et des revenus juste et équitable ?

Selon nous, des principes doivent être à la base de cette nouvelle politique :
- large concertation avec les personnes concernées ;
- pas de remise en cause des salaires déjà perçus au moment de la signature du contrat ;
- établir dans la plus grande transparence le différentiel du coût de la vie entre La Réunion et la France et appliquer ce différentiel à tous les salaires et revenus ;
- les sommes éventuelles dégagées par cette mesure de justice sociale doivent être réinvesties dans un fonds de développement pour La Réunion ;
- mettre en œuvre une nouvelle politique des revenus à La Réunion, c'est réagir face à toutes les atteintes au pouvoir d'achat : baisse de l'allocation logement social, suppression de l'APL-accession, suppression des emplois aidés, hausse de la CSG...

Cette nouvelle politique des revenus, le PCR l'a inscrite dans son projet remis au gouvernement dans le cadre des Assises des Outre-mer. Prendre des mesures ponctuelles, c'est vouloir régler les problèmes au coup par coup sur le dos des personnes concernées, et cela rend caduque l'objectif annoncé des Assises des Outre-mer. Fait au Port, ce lundi 7 mai 2018 Le Bureau de presse

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8 mai: Des cérémonies pour commémorer la Victoire de 1945

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À l'occasion de la commémoration de la Victoire du 8 mai 1945, plusieurs cérémonies se dérouleront sur l'île. Voici le communiqué de la préfecture à ce sujet :
8 mai: Des cérémonies pour commémorer la Victoire de 1945
À l'occasion de la commémoration de la Victoire du 8 mai 1945, une cérémonie avec dépôt de gerbes se déroulera le mardi 8 mai 2018 :

- à 10h30 à la stèle Maréchal de Lattre - place de la libération à Sainte-Clotilde en présence d'Amaury de Saint-Quentin, préfet de la Réunion ;
- à 10h au monument aux morts à Sainte-Suzanne et à 11h au monument aux morts à Sainte-Marie en présence de Frédéric Joram, secrétaire général de la préfecture ;
- à 9h au monument aux morts à Saint-André, à 10h au monument aux morts à    Saint-Benoît et à 11h à Sainte-Rose en présence de Christine Geoffroy, sous-préfète de Saint-Benoît ;
- à 11h au monument aux morts place de l'église, à Saint-Gilles les Hauts en présence de Frédéric Carre, sous-préfet de l'arrondissement de Saint-Paul. Les Anciens Combattants, la population civile et tout spécialement la jeunesse et les élèves des établissements scolaires sont particulièrement conviés à y assister.

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Journée du Lupus : le CHU de La Réunion se mobilise

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Ce vendredi se tiendra la journée du lupus. A cet occasion, des stands d'informations et de conseils seront mis en place au CHU Felix Guyon. Voici le communiqué :
Journée du Lupus : le CHU de La Réunion se mobilise
A l’occasion de la journée Mondiale du Lupus, le CHU de La Réunion propose des stands d’information et de conseils, ce vendredi 11 mai 2018, en partenariat avec les associations "Lupus Réunion" et " Un autre Regard".

Le CHU de La Réunion accueille ce vendredi des stands d’information dans le hall principal de son établissement de St-Denis, pour informer les usagers et le personnel hospitalier sur le Lupus, maladie peu voire méconnue du grand public.

La journée se déroulera vendredi 11 mai 2018 de 9h à 15h dans l’atrium au CHU Félix Guyon.

Lors de cette première édition, la Présidente de l’association « Lupus Réunion » sera présente pour informer et parler de la maladie. Guillaume Kichenama, Président de l’association « Un autre regard » et Nathalie Jauze, tous deux socio-esthéticiens au CHU de La Réunion, proposeront un atelier de socio-esthétique.

Côté médical, le Dr Frédéric Renou, du service de médecine Interne du CHU Félix Guyon sera aussi présent. Les associations attendent les malades, leurs familles et leurs proches pour échanger et partager leur expérience autour de la maladie.

La socio-esthétique au service des patients

La socio-esthétique s’adresse à toutes les personnes en souffrance et atteintes dans leur intégrité physique, psychique et sociale.

L’apport socio-esthétique des patients atteints du Lupus est fait par Mme Jauze Nathalie (Diplôme Universitaire de Socio-esthétique de Nantes), socio-esthéticienne au CHU, lors de l’atelier d’éducation thérapeutique Lupus « atelier vivre avec le Lupus » en fin de séance. Cet apport comprend : la photoprotection : l’information et le conseil en matière de produits de protection solaire et de méthodes de protection.

Le maquillage correcteur : lors d’atteinte cutanée Les conseils en matière de produits cosmétiques adaptés.

Le Lupus une maladie méconnue

Le lupus est une maladie auto immune rare touchant le plus souvent la femme jeune. Cette maladie chronique peut revêtir différentes formes et atteindre plusieurs organes. La peau est très fréquemment atteinte avec des manifestations qui sont très variables dont le point commun est une protection solaire importante et nécessaire. Les répercussions de cette maladie sont aussi conséquentes sur le plan général, esthétique et social d’où l’intérêt d’une prise en charge spécialisée en Médecine Interne - Dermatologie et multidisciplinaire dont socio esthétique.

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Maurice: le centre commercial d'Apavou ouvert sans conformité électrique

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Alors que le nouveau centre commercial signé Apavou a ouvert ses portes le 25 avril dernier à Maurice, ce dernier n'aurait pas de "fire certificate". Le bâtiment du "Plaisance Shopping Village" ne devrait donc pas être utilisé sans ce document attestant de la conformité des installations électriques.
Maurice: le centre commercial d'Apavou ouvert sans conformité électrique
Le Mauritus Rescue and Fire Service Act stipule qu'aucun bâtiment, qui doit avoir un "fire certificate", ne peut être occupé sans ce document. Or Armand Apavou n'a jamais fait la demande de ce document pour son nouveau centre commercial "Plaisance Shopping Village", inauguré le 25 avril dernier à Maurice. C'est le constat qu'ont fait les pompiers, comme le confie l'Express de Maurice ce lundi. 

Cependant, le Chief Fire Officier, Louis Pallen, déclare que "des inspections ont déjà été faites, on attend de recevoir le paiement pour l'émission du certificat". Or, aucune lettre n'a encore été remise au groupe immobilier. Mais le directeur général d'Apavou dément que le groupe ne serait pas en règle à ce sujet, toujours selon l'Express.

Même si un bâtiment exerce sans "fire certificate", le Mauritus Rescue and Fire Service Act n'est pas en mesure de stopper les opérations. Il n'est qu'en mesure d'avertir les autorités. 

Si ce fameux sésame n'a toujours pas été délivré au centre commercial, c'est parce que des travaux électriques y seraient toujours en cours. La Fire Safety Division (FSD) affirme que le "fire certificate" ne peut être attribué que lorsque tous les travaux de l'établissement en question sont entièrement terminés ou que toutes les recommandations ont été appliquées. 

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Après Fakir, des "moyens exceptionnels" déployés pour nettoyer St-André

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La ville de Saint-André a déployé des moyens pour nettoyer la ville, après le passage de Fakir. Voici le communiqué du 2ème adjoint :
Après Fakir, des
En plus des dégâts considérables qu'elle a causés sur l'ensemble de la commune de Saint-André, dans la journée du 24 avril 2018, la tempête FAKIR a également conduit à l'accumulation d'une grande quantité de déchets sur tout le territoire communal. Plusieurs mesures exceptionnelles ont été prises par la Ville de Saint-André et par la Cirest afin d'accélérer le retour à la normale :
 
> Une campagne spécifique de collecte des déchets verts a été mise en place dès le lendemain du passage de la tempête et se poursuit ces prochaines semaines.
 
> Le calendrier d'enlèvement des déchets a été organisé de manière à libérer les grands axes en priorité. Durant la première semaine suivant la tempête, plus de 270 tonnes de déchets ont été collectées. Après le dégagement de la quasi-totalité des voies principales, les services auront à nettoyer les voies annexes, secteur par secteur, ces prochains jours. Au total, le volume de déchets supplémentaires à traiter, est estimé à près d'un millier de tonnes.
 
> Pour appuyer les opérations d'enlèvement des ordures liées à Fakir, des moyens supplémentaires ont été déployés et des prestataires privés ont été mobilisés.
 
> Les agriculteurs, notamment ceux de Saint-André, ont été associés aux opérations de collecte des déchets verts.
 
> Le Département et le GLAIVE proposent aussi des opérations d'élagage auprès des personnes âgées et des personnes en situation de handicap.
 
 
La Municipalité s'excuse à l'avance pour les gênes occasionnés sur les voies de circulation, lors des opérations d'enlèvement des déchets, et invite les habitants à faire preuve de patience et de civisme. Les zones piétonnes et de circulation ne doivent pas être encombrées par les ordures ménagères.
 
La Ville de Saint-André adresse ses remerciements et ses encouragements à tous les partenaires, aux prestataires et aux agents qui contribuent à l'amélioration du cadre de vie de la population dans cette épreuve.
 
Jean-Marie Virapoullé
Deuxième Adjoint au Maire

Après Fakir, des

Après Fakir, des

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Un gendarme traite les Guyanais de singes hurleurs, d'alcooliques et de paresseux

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Un gendarme traite les Guyanais de singes hurleurs, d'alcooliques et de paresseux
Suite à une mission de trois mois en Guyane, un chef d'escadron de gendarmerie a eu des propos affligeant la population guyanaise. Pensant faire une "simple allégorie", le gendarme a déclaré "quelle faune exceptionnelle que tous ces singes hurleurs lançant autant de jurons que de parpaings pour marquer leur territoire, ces petits caïmans trempant jour et nuit dans l’alcool", comme l'ont révélé Le Monde et LCI.

Et pourtant face au sous-préfet, il ne s'arrête pas à là. Comme le rapporte l'AFP, il confie se réjouir "d’avoir pu aussi compter sur certains paresseux, très nombreux dans la région, dont la réactivité et l’envie de travailler n’ont d’égal que les résultats qu’ils obtiennent".

Suite à ce discours prononcé fin avril, le ministre de l'Intérieur Gérard Collomb a déclaré dimanche que de tels propos étaient "des propos inadmissibles et choquants". La gendarmerie a également qualifié ces paroles d'intolérables. Le chef d'escradon est donc visé par une procédure disciplinaire. 

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