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Covid-19 : Le préfet fait le point vendredi à 17 heures

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Couvre-feu prolongé ou levé ? Réponse au plus tard ce vendredi à 17 heures.
Covid-19 : Le préfet fait le point vendredi à 17 heures
Le préfet organise ce vendredi une conférence de presse au sujet du Coronavirus à quelques jours de la fin de l'arrêté du couvre-feu à 18 heures (5 avril).

Couvre-feu à 18h : Une semaine décisive pour La Réunion
 

La lutte contre la Covid prend plusieurs formes à La Réunion. Les opérations de dépistage se multiplient, les actions de prévention continuent. Mais la mesure la plus forte reste le couvre-feu à 18 heures en vigueur du 5 mars au 5 avril.

La circulation du Coronavirus s’était stabilisée au début du couvre-feu mais elle devient de plus en plus active.

Une hausse d’environ 7% des nouveaux cas a été observée entre les semaines glissantes du 6/12 mars et du 13/19 mars. Une augmentation d’environ 10% pourrait être enregistrée entre les semaines du 13/19 mars et du 20/26 mars. Les données de Santé Publique France sont pour l’instant encore incomplètes.

L’Agence régionale de Santé devrait réaliser le bilan hebdomadaire ce mardi, ce qui permettra de connaître en détail la situation sanitaire à La Réunion.

Des mesures supplémentaires ?

Un couvre-feu à 18 heures a été instauré à La Réunion du 5 mars au 5 avril pour limiter la propagation du Coronavirus. La circulation du virus est toujours très active et la pression hospitalière qui a baissé reste importante sur notre île avec un peu plus de 50 personnes Covid+ en réanimation.

La situation sanitaire pourrait pousser les autorités à prendre de nouvelles mesures en plus du couvre-feu à 18 heures, des motifs impérieux pour voyager, de l’interdiction des pique-niques, du port du masque obligatoire en public et de la limitation du nombre de personnes présentes dans un lieu public.

Le confinement le week-end n’avait pas été jugé nécessaire par le préfet il y a deux semaines. Les mesures de couvre-feu à 18 heures avaient été qualifiées comme “adaptées” à la situation.

Mais celle-ci continue à se dégrader. Le couvre-feu devra-t-il être prolongé ou pourra-t-il être levé ? Un confinement le week-end ou généralisé pourrait-il être mis en place ? D’autres types de mesures entreront-elles en vigueur ?

La stratégie d’une lutte quartier par quartier a été évoquée lors de la réunion hebdomadaire entre le préfet et les maires la semaine dernière. Des opérations de dépistage et des actions de prévention dans les secteurs les plus touchés par l’épidémie de Coronavirus pourraient-elles être systématiquement organisées ?


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Violences conjugales : L'ancien militaire "dégoupille" sans reconnaître ses responsabilités

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Alors qu’il se trouvait dans un village vacances dans l’Ouest, John a une nouvelle fois bu beaucoup plus que de raison et s’en est pris à sa compagne. Ses tentatives de minimiser autant les coups que sa responsabilité n’ont pas convaincu le tribunal.
Violences conjugales : L'ancien militaire
Samedi dernier, à l’arrivée des gendarmes dans le centre de vacances, John présentait un taux de 3 grammes d’alcool par litre de sang et cela sans présenter de signes manifestes d’ivresse au grand étonnement des gendarmes. L’ancien militaire boit énormément et régulièrement pour être aussi résistant. Des consommations anormales d’alcool qu’il justifie "pour pouvoir dormir depuis qu’il est rentré d’Afghanistan". Mais l’alcool ne lui sert que d’exutoire à ses problèmes. Par trois fois, il a déjà été condamné pour des faits de violences conjugales sur diverses de ses compagnes. La dernière condamnation date de décembre dernier. Il a écopé de 6 mois ferme avec aménagement de peine et a déjà tenté de se faire soigner. 

Pourtant, il a récidivé le week-end dernier. La soirée a commencé par un apéritif dans le bungalow voisin. A plusieurs reprises, sa compagne quitte la soirée après une dispute. Finalement, le couple rentre dans ses quartiers. John veut mettre de la musique alors que les nuisances sonores sont interdites au sein du village vacances. Sa compagne n’est donc pas d’accord. La discussion s’envenime, John lui met une gifle, donne un coup de pied dans une chaise sur laquelle elle est assise et tente également de l’étrangler. "Je voulais lui mettre un coup de pression pour qu’elle arrête de me prendre la tête". John reconnaît les faits mais en impute l’origine à sa compagne qui aurait en quelque sorte "fait monter la sauce".

Quant aux coups portés, ils n’étaient "pas très forts". Finalement pour arriver à une telle situation de violence, "il faut être deux", tente-t-il encore de minimiser, déterminé à ne pas retourner en prison. 
 
Le profil d’un John qui "dégoupille" sans reconnaître sa pleine responsabilité dans cette scène de violence, inquiète le parquet. 
 "Il ne vous dit pas qu’il n’est pas responsable mais qu’il ne trouve pas la solution", plaide son conseil, sans succès. 
 
John est condamné à 18 mois de prison dont 6 avec sursis probatoire de 24 mois. Le tribunal ordonne une obligation de soins, d’indemniser la victime de 600 euros et d’effectuer un stage de responsabilisation pour les auteurs de violences conjugales. Il a également l’interdiction d’entrer en contact avec son ex-compagne et a été maintenu en détention. 

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Elle simule un accouchement pour s’échapper : Détails de l'affaire

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Plusieurs affaires de violences similaires ont été examinées ce lundi en comparution immédiate par le tribunal correctionnel de Saint-Denis, dont celle concernant la femme qui a simulé un accouchement pour être conduite à la clinique du Port et ainsi échapper à son compagnon violent.
Elle simule un accouchement pour s’échapper : Détails de l'affaire
Simuler des saignements et des contractions… C’était le seul moyen pour cette Portoise, enceinte de 7 mois, d’échapper à son conjoint violent. Direction l’hôpital à 22h mercredi dernier où le personnel appellera la police. Son conjoint, sur place, est interpellé et placé en garde à vue. 
 
L’affaire jugée en comparution immédiate ce lundi devant le tribunal correctionnel de Saint-Denis a pu être détaillée. Si cela ne fait qu’un an qu’ils sont en couple et trois mois qu’ils habitent ensemble, J.M en est à sa deuxième condamnation pour violence contre madame, en présence du garçon de 6 ans de cette dernière. 
 
Le petit mêlé aux violences
 
C’est l’anniversaire du petit qu’ils fêtent d’ailleurs lorsqu’une dispute sur fond de jalousie éclate. Il accuse sa compagne d’entretenir des relations avec son ex, ce qu’elle nie. Il prend donc à partie l’enfant, qui répond "oui" à la question : "Est-ce que Maman couche avec un autre ?" Elle se prend donc une gifle devant son fils mais parvient à se rendre aux toilettes pour simuler des contractions. En route vers la clinique du Port, J.M la menace, selon elle, affirmant que ni le bébé ni le garçon n’auront de maman. 
 
Devant le tribunal, J.M qu’il a "du mal à (se) canaliser" et qu’il est jaloux. Les trois magistrates et la procureure l’écoutent. "Elle m’aime, c’est pour ça qu’elle est toujours avec moi, explique-t-il, elle a mon enfant dans son ventre, c’est normal qu’elle reste. C’est parti tellement vite, c’est oublié tout ça." "Le problème est que ça part souvent vite", répond la présidente. En effet, ce conjoint jaloux, ti père d’un garçon qui n’a pas le droit de parler de sa famille côté paternel, n’en est pas à son premier coup. En juin dernier, c’était plusieurs coups qu’elle avait reçu avant de se cacher, à l’aide de sa sœur, derrière une voiture. Lui était parti avec l’enfant. "Il est là quand il faut pas, des fois", affirme-t-il au sujet du petit. Deux mains courantes figurent également dans son dossier : une effraction chez une ex et des violences au sein de sa propre famille en 2018. 
 
Cette femme, fille de père violent, sœur d’un frère violent et ayant quitté son ex - père de son fils - à cause de violences, tente de s’en sortir. La justice l’aidera peut-être : J.M a été condamné à 18 mois de prison dont neuf avec sursis et une interdiction d’entrer en contact avec la victime. Quatre mois de sursis ont également été révoqués (à cause de la récidive), ramenant la peine de prison à 13 mois. 
 
Les affaires de violences conjugales, nombreuses ce lundi
 
J.M n’était malheureusement pas le seul homme violent à être présenté ce lundi en comparution immédiate. Un trentenaire comparaissait pour violences sur sa compagne enceinte de 5 mois, également devant un mineur, à Saint-Denis. Et ce en récidive, les derniers faits de violences ne remontant qu’à janvier. Il lui aurait tiré les cheveux et le bras car elle ne s’occuperait pas suffisamment de lui. Blessée à la lèvre, au bras et aux cervicales, la mère de famille devra attendre le 26 avril pour le voir jugé : il a demandé un délai pour préparer sa défense mais repart en détention en attendant son procès. 
 
Même récidive pour P.A à Bras-Panon. L’homme de 45 ans est accusé par sa compagne et mère de son enfant de l’avoir plaquée au sol, la main sur la bouche, après une soirée arrosée vendredi. Il a malgré tout été relaxé, faute de constance de la part de sa compagne. 

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Air Austral : Des vols directs entre Marseille et Dzaoudzi

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À partir du 17 juin, Air Austral propose des vols entre Marseille et Dzaoudzi.
Air Austral : Des vols directs entre Marseille et Dzaoudzi
Marseille en vol en direct depuis Dzaoudzi
Air Austral lance une série de vols 2 fois par semaine du 17 juin au 12 septembre


 
 
Afin de répondre à une forte attente de sa clientèle et de ses différents marchés, la compagnie Air Austral a étudié la possibilité de desservir Marseille en direct depuis l'aéroport de Dzaoudzi.
 
La compagnie est aujourd'hui heureuse d'annoncer la mise en place d'une série de vols ponctuels directs entre Mayotte et Marseille à compter du mois de juin, et ce pour toute la période de vacances scolaires de juillet/août 2021.  
 
Deux rotations sont ainsi programmées chaque semaine sur la période de vacances entre le 17 juin 2021 et le 12 septembre 2021 au moyen de son Boeing 787-8, Dreamliner, chaque jeudi et dimanche.
 
Horaires : 
vol UU947 Décollage de Dzaoudzi à 12h00, arrivée prévue à Marseille à 20h00
(L'appareil fera une escale technique à Nairobi)
vol UU948 Décollage de Marseille à 21h40, arrivée prévue à Dzaoudzi 07h40
 
Par la mise en place de ces vols, Air Austral diversifie encore son offre au départ de Mayotte et vient ainsi faciliter les déplacements de ses passagers mahorais, au regard des décisions gouvernementales prises pour faire face à la crise épidémique liée à la Covid19, tels que le couvre Feu, les restrictions des déplacements... 
 
Les vols sont d'ores et déjà ouverts à la vente. 
 
Après le lancement il y a déjà 5 ans de la ligne directe Dzaoudzi-Paris, opérée jusqu'à un vol quotidien depuis le 10 juin 2016, et désormais installée dans les habitudes de voyages de sa clientèle, c'est une une excellente nouvelle, très attendue que la compagnie annonce aujourd'hui.
 
Ces vols témoignent une nouvelle fois de l'engagement que fait preuve Air Austral depuis plus de 40 ans pour participer activement au désenclavement de Mayotte et à la promotion de la destination sur de nouvelles dessertes. 
 

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Karine Nabénésa : "Monsieur le Président, vous avez oublié des éléments de votre bilan"

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Karine Nabénésa :
Il y a quelques jours le Président de Région déclarait officiellement sa candidature aux prochaines élections régionales en souhaitant être «  encore utile à la Réunion ».
Candidat à son troisième mandat, il a dressé un bilan édulcoré de son action. Je n’ai pas retrouvé certains pans entiers de sa mandature…comme passé sous silence…pourtant les faits sont têtus…Sans doute un oubli vite corrigé car heureusement pour lui …Nous y étions .  

Dans son bilan, le Président sortant a oublié de préciser que sous sa mandature la Région Réunion est devenue la région la plus endettée de France. Une dette passant de 588 millions d’euros en 2015 à 1,2 milliards d’euros en 2018 soit plus que le budget général de la collectivité actuel… et bien loin devant les plus mauvais élèves comme aime à le rappeller  la Cour des Comptes en 2018. Ce déficit coûte en 2019, 1390 euros par réunionnais contre 670 euros par réunionnais en 2015 soit plus de 108% d’augmentation. Cela signifie qu’en 2019 pour absorber cette dette,  la Région Réunion, en tenant compte des capacités financières et à supposer qu’elle mobilise toute son épargne, mettrait 9,7 années  à solder sa dette….

Dans ce contexte, on pourrait légitimement supposer que le Président de Région a fait exploser la dette pour « faire exploser les investissements » pour les réunionnais… Il n’en est rien. Pire durant ses dix dernières années, contrairement aux beaux discours, les dépenses d’investissement n’ont cessé de baisser…933 millions d’euros d’investissement en 2016, 711 en 2017, 639 en 2018, seulement 450 millions d’euros en 2019 soit une baisse plus de 50 % des investissements en 4 ans. 

Si la dette explose sans que cela bénéficie aux réunionnais par des investissements, on pourrait légitimement penser alors que comme tout un chacun, lorsqu’on a des crédits on fait attention à ses dépenses quotidiennes… là aussi, il n’en est rien… Pire les dépenses de fonctionnement ont littéralement explosé passant de près de 250 millions d’euros en 2010 à 472 millions en 2019…

Les chiffres sont têtus, et s’il fallait donc résumer la gestion du Président sur ces dix dernières années, cela pourrait se traduire ainsi : En 1O ans, il a fait exploser la dette de 108%, il a fait exploser les dépenses de fonctionnement de 188% et réduit les investissements de 50%….
Si en 2020, la Région respire c’est grâce aux millions d’euros des fonds COVID en provenance de l’Etat et de l’Union européenne  en tant que gestionnaire de ces fonds … 

Déjà 10 ans et pas moins de 15 milliards d’euros dans le porte-feuille régional, le compte n’y est pas.  Hélas pour les réunionnais, les sujets de fond ne sont toujours pas réglés. Toujours pas de véritable transport en commun, toujours autant d’illestrisme, de précarité et de pauvreté, des déséquilibres qui se creusent entre micro-region, des étudiants complètement  abandonnés alors que la Région en tant que chef de file est censé les orienter…
 
Et les projets lancés depuis des années qui n’aboutissent tout simplement pas. Tous ces projets financés depuis des années, où sont-ils ? Le port de Saint-André ? L’écocité de Cambaie ? Le développement de l’aéroport de Pierrefonds ? Qu’en est-il du SAR qui devait être mis à la poubelle, de la transformation du Parc national, de la révolution fiscale ? De l’application du plan « zéro déchet ».. sur ce sujet, à défaut d’une vision, nous avons pu assister à l’opportunisme électoral avec lequel est traité un sujet aussi majeur pour notre île…


Même si rien n’avance pour les Réunionnais, la Région Réunion  depuis croule sous les procédures judiciaires : 
- enquête du  Parquet National Financier pour corruption sur l’attribution des marchés de la NRL,
- enquête pour détournement de fonds publics et recel de détournement de fonds publics en lien avec le salaire de PDG de la SPL Réunion des Musées Régionaux,
- l’enquête sur les emplois au Cabinet
- l’enquête du PNF touchant la Région et cette très chère SPL Maraina aujourd’hui au bord du dépôt de bilan
- l’Affaire Olivier Rivière, le Premier Vice-Président aujourd’hui condamné

Et quant à ce qui devait être le chantier de votre mandature, il est devenu le chantier réunionnais de la honte en France et en Europe, chantier à l’arrêt embourbé pour incompétence et irresponsabilité de son maître d’ouvrage. La réception du viaduc ne saurait faire oublier que la route n’est toujours pas mise en service…
Que de temps et d’argent perdus à s’entêter à vouloir faire une digue sans galets, à ne pas vouloir prendre les roches massives autorisées dans la carrière de NGE concurrente du groupement, à ne pas vouloir des andains pour finalement dire étudier « un plan andains », à s’entêter à passer en force pour ouvrir des carrières alors que cela ne relève pas de la responsabilité de la Région, pour à chaque fois, d’ailleurs obtenir une fin de non-recevoir par les autorités indépendantes…

Ne pas finir la NRL est la conséquence des choix du Président sortant… Le choix d’avoir accepté en toute irresponsabilité une offre irréalisable qui se rèvèle insincère car au final le marché est infaisable et a été résilié. Une offre finalement bien plus élevée en délai, et en coût… sans même rajouter les 600 millions d’euros complémentaires exigés par le groupement à la Région actuellement en attente de décision du Tribunal Administratif …

Des choix  inconséquents pris dans le cadre d’une gestion hasardeuse et irresponsable de la collectivité qu’une nouvelle lithanie de promesses ne saurait effacée…pour la Réunion et pour les Réunionnais, il est utile d’écrire une nouvelle page.

Karine NABENESA
Conseillère régionale

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Pas de surmortalité en 2020 à La Réunion, mais une hausse des décès observée

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L’Insee publie aujourd’hui une étude réalisée sur les chiffres de la mortalité et des naissances à La Réunion. Une augmentation modérée du nombre de décès est observée alors que le taux de natalité reste stable sur l’année écoulée.
Pas de surmortalité en 2020 à La Réunion, mais une hausse des décès observée


L’Insee (Institut national de la statistique et des études économiques) révèle aujourd’hui les données récoltées sur l’année 2020 concernant les naissances et les décès.

Une hausse “modérée” des décès

La crise sanitaire de la Covid-19 n’a pas provoqué de surmortalité, selon les données de l’Insee.

En 2020, 5150 personnes domiciliées à La Réunion sont décédées. Le nombre de décès augmente peu (+1,8 %contre +1,0% entre 2018 et 2019). Cette hausse s’explique principalement par le vieillissement de la population et touche le plus fortement les 65-74ans (+8% par rapport à 2019).

À noter une hausse du taux de mortalité au moment du déconfinement à La Réunion (mai-août) mais qui se situe sous les 5%. Il n’est pas précisé s’il y a un lien direct ou indirect avec la crise du Coronavirus.

 


Pas de surmortalité en 2020 à La Réunion, mais une hausse des décès observée
 

Stabilité du nombre de naissances

"En 2020, 13 160 enfants sont nés de mères domiciliées à La Réunion, soit autant qu’en 2019. Dans l’Hexagone, le nombre de naissances diminue nettement (- 2,3 %).

En conséquence, le solde naturel, différence entre les naissances et les décès, s’élève à + 8.000 en 2020, soit le niveau le plus faible depuis 1951. La population de La Réunion est ainsi estimée à 857 800 personnes au 1er janvier 2021."

 


Pas de surmortalité en 2020 à La Réunion, mais une hausse des décès observée

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A l'île Maurice, le virus de la Covid-19 ne tue pas

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A l'île Maurice, le virus de la Covid-19 ne tue pas
Tout le monde sait qu'il n'y a jamais eu de chikungunya à Maurice, tout comme il n'y a pas de requins, ni de variant de la Covid-19... et surtout on ne meurt pas du virus à Maurice.

Est-ce que les chiffres des décès liés au Covid-19 reflètent la réalité à l'île Maurice ? Le tourisme est en crise, après plus d'un an sous cloche, alors que les Seychelles ou les Maldives rouvrent progressivement leurs frontières.  La seule façon pour l'île Maurice c'est de faire front et d'éviter les décès liés à la Covid-19 après une énorme campagne de promotion basée sur un "Covid-Safe".

Lire l'intégralité de l'article en cliquant...

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Pierrot Dupuy - Souvent Yves Montrouge varie, bien fol est qui s'y fie

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Nous connaissons tous cette expression "Souvent femme varie, bien fol est qui s'y fie", souvent attribuée à François 1er et qui serait en fait l'oeuvre de Victor Hugo. Je ne sais pourquoi mais c'est la phrase qui m'est immédiatement venue à l'esprit quand un informateur m'a fait parvenir une série de mails retrouvés dans l'ordinateur d'Yves Montrouge, peu après son départ du poste de rédacteur en chef du JIR.
Pierrot Dupuy - Souvent Yves Montrouge varie, bien fol est qui s'y fie
Yves Montrouge a été un admirateur invétéré de Didier Robert tout le temps où il a été rédacteur en chef du JIR. C'est lui même qui l'écrit dans un mail que nous avons pu consulter qu'il a envoyé le 14 décembre 2015 à 15h16 à Abdul Cadjee et à son fils Hassen, les patrons de l'époque du JIR.

L'actuel rédacteur en chef de Freedom a depuis retourné sa veste et roule sans pudeur pour la Gauche. Il encense régulièrement Ericka Bareigts, Huguette Bello, les Verts, mais aussi Thierry Robert. Comme son patron Camille Sudre. Et tape sur Didier à longueur de colonnes.

Nous avons reçu plusieurs mails. Nous ne nous attarderons que sur un seul, celui du 14 décembre 2015, dans lequel ses propos ne laissaient aucune place au doute : "Plus d'une fois, je me suis entendu dire que mes éditos en faveur de Didier Robert faisaient perdre de la crédibilité au JIR. En interne, on m'avait dit que le "JIR est vendu à la Région", que "le JIR était le journal de Didier Robert".

Un peu plus loin, il révèle que certains au JIR disaient alors que ses "éditos faisaient honte au JIR".

Loin de contester les accusations dont il semblait faire l'objet, Yves Montrouge confirme avoir ostensiblement roulé pour le président sortant de la Région et se justifie : "Moi j'ai toujours cru que le président sortant avait un bilan", avant d'ajouter : "Durant cette campagne électorale, j'ai été tiraillé en interne qui me reprochait (sic) d'être "vendu à Didier Robert" et en externe, notamment par Didier Robert lui-même, qui ne cessait, y compris le week-end, de m'interpeller pour l'aider, lui donner un coup de main de façon intelligente. Autant que faire se peut, je l'ai fait en mon âme et conscience".

Et il conclut en assumant son positionnement: "En tant que rédacteur en chef je ne regrette nullement ce choix car à aucun moment je n'ai eu le sentiment d'avoir vendu mon âme. Je l'ai fait parce que jounalistiquement j'ai estimé que le président sortant tenait la route".

C'est le même qui aujourd'hui, chaque semaine, n'arrête pas de dénigrer le même président sortant. A quel moment faut-il le croire? En 2015 ou en 2021?

Et surtout, que s'est-il passé pour qu'il retourne aussi rapidement et spectaculairement sa veste? Son embauche à Freedom et le fait qu'il faut bien nourrir sa famille sont-ils les seules explications? Si c'était le cas, ce serait bien décevant... Quelle place pour les convictions dans tout ça?
 

Pierrot Dupuy - Souvent Yves Montrouge varie, bien fol est qui s'y fie

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Report des élections : Le conseil scientifique dit à Macron de prendre ses responsabilités

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Dans son rapport qu'il devait remettre hier dimanche et qu'il a finalement déposé ce lundi, le conseil scientifique considère qu'un report des scrutins départementaux et régionaux, prévus en juin, permettrait de faire baisser le niveau de risque. Mais il ne donne aucune consigne claire de report des élections et laisse au gouvernement le soin de trancher.
Report des élections : Le conseil scientifique dit à Macron de prendre ses responsabilités
La loi faisait obligation au conseil scientifique de rendre son avis quant à un éventuel report des élections régionales et départementales avant le 1er avril. La rumeur voulait qu'il le fasse hier dimanche. C'est en fait aujourd'hui lundi que le conseil a tranché. Il semble militer en faveur d'un report des élections, mais laisse toutefois à l'exécutif le soin de trancher.

"Si les autorités décident un report des élections, les risques de contamination seraient sensiblement moindres qu'au cours du mois de juin en raison d'un niveau prévisible de vaccination nettement plus élevé", écrivent les membres du conseil, partant du principe que 40 à 45 millions de Français pourraient être vaccinés fin septembre, contre 30 millions mi-juin. A condition bien sûr que les laboratoires livrent toutes les doses promises, ce qui est loin d'être sûr.

Un risque accru du fait des variants

Et les membres du conseil d'ajouter que,"par comparaison avec des scrutins antérieurs, les risques de contamination sont désormais accrus en raison de la forte contagiosité du variant britannique".

Reprenant ses arguments déjà publiés à l'occasion des élections municipales, le Conseil scientifique met l'accent sur les risques importants liés à l'organisation d'une campagne électorale et préconise donc de trouver "un nouveau modèle", "d'encourager au maximum l'usage de moyens dématérialisés" et d'interdire les rassemblements.

Des préconisations irréalistes

Une solution, selon le conseil, pourrait consister à encourager les candidats à se faire vacciner ou à se faire dépister régulièrement, et de confier la tenue des bureaux de vote à des personnes vaccinées. Cette proposition montre une totale méconnaissance de l'organisation d'une élection. Si les postes de secrétaires sont effectivement la plupart du temps tenus par des employés municipaux, il faut savoir que chaque candidat se doit de positionner un scrutateur dans chaque bureau. Etant donné le nombre de bureaux de vote, chiffre à multiplier par deux puisqu'il y aura deux élections simultanément, et le nombre de listes pour les régionales ou de candidats en présence pour les départementales, il est totalement impossible de trouver des volontaires vaccinés en nombre suffisant. Déjà qu'il est très difficile de trouver des candidats en temps normal, la tache va s'annoncer insurmontable en cette période d'épidémie.

A l'exécutif de prendre ses responsabilités

Dans sa conclusion, le conseil scientifique renvoie la décision d'un nouveau report à l'exécutif. "Il incombe aux seules autorités politiques de procéder en toute légitimité démocratique aux appréciations générales, qui dépassent les seuls aspects sanitaires, ainsi qu'aux arbitrages nécessaires, qui sont éminemment politiques s'agissant de l'organisation d'élections", affirment-ils, rappelant que l'état de la pandémie en juin est "difficile à anticiper". "Il dépendra de la stratégie du gouvernement et de l'efficacité des mesures de freinage qui seront mises en œuvre, et donc de leur appropriation par la population", mais aussi "de la couverture vaccinale atteinte".

Une façon polie de dire à Emmanuel Macron de se débrouiller tout seul.

Une vengeance ?

Certaines mauvaises langues ne manqueront pas de voir dans ce positionnement une petite vengeance vis-à-vis du président de la République qui n'a pas hésité, au cours des derniers mois, à s'affranchir des préconisations du conseil quant aux mesures à prendre pour contrecarrer l'évolution de l'épidémie en France.

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Revue de presse - Mardi 30 mars

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Les deux journaux de presse écrite consacrent leur Une au porte-containers bloqué dans le canal de Suez. Un incident qui a des conséquences sur le frêt maritime à destination de notre île. "3000 containers pour La Réunion en souffrance", titre le JIR. "Ça va coincer", affiche le Quotidien.
Revue de presse - Mardi 30 mars
Faits-divers

Le tribunal correctionnel de Paris a reconnu le laboratoire Servier coupable de "tromperie aggravée" et d"homicides et blessures involontaires" dans l'affaire du Médiator. Une cinquantaine de victimes sont concernées à La Réunion. L'agence nationale de sécurité du médicament et l'ancien numéro 2 du groupe ont aussi été condamnés.

Un chauffeur de bus scolaire a été placé en garde à vue par les gendarmes de Saint-Benoît, rapporte le JIR. Il est suspecté d'avoir tenté d'agresser une adolescente dans son véhicule. 

Revue de presse - Mardi 30 mars

Société

"La nomination qui ne passe pas", titre le Quotidien, alors que la désignation d'un candidat qui ne possède pas d'ancrage local pour prendre la tête du CNFPT de La Réunion déclenche une vague de protestation.

Le nombre journalier de séismes est en baisse, a indiqué hier l'Observatoire du Piton de la Fournaise. Mais une éruption reste envisagée. 

Revue de presse - Mardi 30 mars

Politique

Le conseil scientifique renvoie à l'Exécutif la décision de reporter ou non les élections régionales ou départementales. "Il incombe aux seules autorités politiques" de décider de la tenue de ces élections, a-t-il indiqué dans son avis.

"À droite, l'union loin d'être acquise", lit-on dans le Quotidien. Selon le journal, le maire de Saint-Pierre entend maîtriser les négociations avec Didier Robert, qui s'est déjà déclaré candidat aux Régionales.

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Un policier réunionnais condamné pour avoir fumé du cannabis aux côtés d'un youtubeur

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Un policier réunionnais a écopé de trois mois de prison avec sursis pour être apparu en train de fumer du cannabis sur Youtube.
Un policier réunionnais condamné pour avoir fumé du cannabis aux côtés d'un youtubeur
Un policier réunionnais a été condamné jeudi dernier à trois mois de prison avec sursis par le tribunal correctionnel de Pontoise (Île-de-France) pour être apparu en train de fumer du cannabis aux côtés d'un Youtubeur, rapporte le Quotidien, d'après les informations du site Newsweed.

Sur la vidéo diffusée en 2019 et intitulée "J'irai fumer chez vous", le jeune homme porte son uniforme. Si son visage avait été flouté et sa voix modifiée, la police avait rapidement identifié le jeune homme, qui a été révoqué par sa hiérarchie. S'il a été condamné pour consommation de cannabis, le chef d'incitation à l'usage n'a par contre pas été retenu.

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Chroniques de Tonton Jules #47 - "Ô rage, ô désespoir", la honte à tous les étages

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Un salaud vient de disparaître (enfin !), sortez les mouchoirs. On inaugure une route sans queue ni tête, sonnez trompettes. La planète se barre en couilles, allelujah.
Chroniques de Tonton Jules #47 -
Ratsiraka : le concert des hypocrites

Il est d’usage, chez les faux-culs, de déplorer à chaudes larmes la disparition de leur pire ennemi. On en a eu des exemples à foison récemment ici-même. Là, avec le départ (Youpi !!!) du dictateur sanglant de Madagascar, les arpèges de désolation résonnent aux quatre-vents. Je ne peux laisser passer ça ; sinon, on couinera un de ces quatre à la mort de Bolsonaro, que toute la planète exècre. Que Ratsiraka ait eu une rancoeur contre la France, je comprends ça : alors qu’il était capitaine de corvette sur un navire de guerre français relâchant à Capetown, le gouvernement de l’apartheid autorisa tout le monde à venir à terre sauf lui. Sous le prétexte que vous devinez. Le commandant français accepta, ce qui est une honte. Que Didier Ratsiraka en ait voulu à la France, soit. Mais fallait-il que ce soit le peuple malgache qui casque la facture des décennies durant ? Car il a bel et bien ré-expédié la Grande-Île au Moyen-Âge, ce bienfaiteur de l’humanité. J’ai connu Madagascar sous l’ère Tsiranana : Mada n’était déjà plus un pays du tiers-monde, économie prospère, agriculture et industrie florissantes, PIB supérieur à celui du Brésil a-t-on même dit.

En mai 1972, le roué, rusé, calculateur Ratsiraka profite d’une mini-révolte estudiantine pour provoquer la chute de Philibert et porter au pouvoir le général Ratsimandrava. Qui est abattu à coups de kalachnikov en pleine rue, deux ans plus tard. Et le Didier qui s’installe dans le fauteuil présidentiel. Mettant tous les Français à la porte (y compris ceux de la Sakay en 1978), faisant sortir son pays de la zone franc ; il courtise bassement les Russes et les Coréens du Nord. Or, l’on sait que si les ex-pays communistes donnaient volontiers des armes, ils ne donnaient jamais du beurre et encore moins l’argent du beurre. Il n’y a pas si longtemps, les carcasses de Mig et autres Illiouchine pourrissaient toujours sur le tarmac d’Ivato.

Comme on sait, les dictatures se résolvent toujours par d’épouvantables catastrophes économiques et humaines. Madagascar s’est enfoncée dans la pire régression de tous les temps, avec son cortège de famines, d’épidémies, de pandémies, ainsi que de catastrophes écologiques indicibles. Pire : les libertés publiques ont disparu du dictionnaire. La Corée du Nord a aimablement prêté à Ratsiraka une « garde noire » de quelques centaines d’hommes qui n’eurent jamais de comptes à rendre à personne. Ils avaient la permission d’entrer à toute heure dans les bars, restaurants, night-clubs et consommer sans payer. Ils ne s’en privèrent jamais, consommant à boire, à manger et à… voyez ce que je veux dire. Pendant ce temps, le Didier s’auto-proclamait amiral d’une flotte qui n’a jamais existé ; et se faisait construire un palais d’un luxe inouï à Ihavoloa, tandis que « son » peuple crevait de plus en plus de faim. La seule sauvegarde de la population était la « secte des kung-fu », des as du combat ayant décidé de protéger de leur mieux les massacrés de Ratsiraka.

Lorsque les Coréens en eurent assez de se voir renvoyés à leur maître en menus morceaux, ils quittèrent Mada. Les arrestations sommaires comme les exécutions du même nom ne se comptent plus. Nombre de disparus n’ont jamais été retrouvés. Voilà ! Voilà ce que fut « l’amiral », propriétaire de quelques petites résidences secondaires sur la Côte-d’Azur. Madagascar ne s’est jamais remise de ces catastrophes et c’est pas demain la veille car, si après Ratsiraka, la couleur politique des gouvernements a changé, leur capacité d’honnêteté, elle, non ! Nous, Réunionnais, avons des liens privilégiés intimes avec le peuple malgache : la 1ère Réunionnaise, Anne Mousse, était une petite Malgache. Notre coeur saigne à voir que ce pays, potentiellement un des plus riches du monde, a une des populations les plus pauvres. N’y ajoutons pas la honte de dire du bien d’un salaud. J’assume la totale responsabilité de ce que je viens d’écrire. Jules Bénard.
 
Inaugurer la route de nulle part, faut l’faire !

Le Duce-pharaon de la pyramide de Moufia annonce à grands sourires baveux l’inauguration de « sa » NRL. Je ne conteste pas la sécurisation indispensable des automobilistes. Je sais de quoi il s’agit, ayant failli être pulvérisé par deux fois, sous des éboulis monstrueux, par des rocs de 5 tonnes rebondissant comme des balles de ping-pong. J’entends certains dire : « Dommage ! » Les tout premiers plans de 1963 ont laissé place à une corniche en pied de falaise ; un âne aurait fait mieux. Ce coup-ci, entre plusieurs possibilités, on a choisi la plus chère, la moins bonne, car plus c’est cher, plus ça rapporte (sous la table, vous me suivez ?) La seule solution raisonnable était le tunnel : ça, on sait faire, et la route serait terminée depuis longtemps, sans problème de gros galets, sans dépassement de budget, sans atteinte à l’écologie car dans la roche, aucun animal ni plante endémiques.

Fallait-il une réalisation de prestige ? Une création innommable qui obèrera la bourse des Réunionnais 40 ans durant ? Le paraître est donc meilleur que l’être ? Didier va donc inaugurer une route sur laquelle personne ne circulera. Qui ne commence ni ne finit nulle part. L’entrée Saint-Denis ne rêve pas d’être faite. La sortie Possession existera peut-être dans 150 ans. En attendant, nous aurons une belle structure sans rime ni raison. Les enfants… je suis fier d’être réunionnais, je le revendique, je l’affiche. Mais là, camarade, mwin la honte dir mwin c’tin Yab la Rivir. Car… comment se glorifier de bousiller des milliards juste pour le prestige ? Là encore, j’assume seul mes propos.

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287 551 ménages en Outre-mer recevront une aide au paiement de leurs factures d’énergie

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Des chèques énergie seront remis à partir de cette semaine à 287 551 ménages en Outre-mer. Le communiqué du ministère de la transition écologique :
287 551 ménages en Outre-mer recevront une aide au paiement de leurs factures d’énergie
À partir d’aujourd’hui, ce sont 5,8 millions de ménages en France qui recevront d’ici les prochains jours ou prochaines semaines leur chèque énergie pour l’année 2021 (contre 5,5 millions en 2020). Ce chèque permet aux ménages modestes d’avoir une aide pour payer leurs factures d’énergie ou pour faire leurs travaux de rénovation énergétique. D’un montant moyen de 150 €, les chèques parviendront automatiquement aux ménages éligibles par courrier à leur domicile. Cette année, plusieurs nouveautés vont permettre d’élargir le nombre de bénéficiaires, mais aussi de proposer un usage plus simple du chèque énergie.

Le chèque énergie est envoyé automatiquement par voie postale aux personnes éligibles selon leurs revenus fiscaux. Aucune démarche n’est nécessaire pour le recevoir, il suffit d’avoir déclaré ses revenus l’année qui précède. Il est d’un montant de 150 € en moyenne, et peut atteindre 277 € selon les revenus et la composition du ménage concerné.

En Outre-mer, les chèques seront envoyés à 287 551 ménages pour un montant total de 52 613 574 euros.

Les chèques énergie seront envoyés à leur bénéficiaire par courrier, à leur domicile, entre le 29 mars et le 30 avril 2021. Les délais entre l’envoi des chèques énergie, et leur réception au domicile du bénéficiaire sont en général compris entre 2 à 4 jours  (le calendrier d’envoi des chèques par département est disponible ici).

 S’ils sont toujours bénéficiaires, les ménages qui ont déjà choisi d’attribuer automatiquement leur chèque énergie à leur fournisseur d’électricité ou de gaz, recevront une confirmation de la transmission de leur chèque énergie 2021 à leur fournisseur entre le 12 avril et le 23 avril 2021.

Les nouveautés pour l’année 2021 :

Ouverture de l’usage du chèque énergie aux bénéficiaires résidant dans les EHPAD (établissements d'hébergement pour personnes âgées dépendantes), les EHPA (Etablissement d'hébergement pour personnes âgées), les résidences autonomie, les établissements et les unités de soins de longue durée : La loi d'accélération et de simplification de l'action publique (loi ASAP) et le décret chèque énergie du 30 décembre 2020 permettent à l’ensemble des bénéficiaires du chèque énergie résidant en EHPAD, en EHPA, en résidences autonomie ou en établissements ou en unités de soins de longue durée d’utiliser leur chèque énergie, y compris si l’établissement dans lequel ils résident n’est pas conventionné à l'APL. Pour mémoire jusqu'à présent, parmi ces établissements, seuls ceux qui étaient des logements foyers conventionnés à l’APL pouvaient accepter les chèques énergie de leurs résidents.

Mise en place d'un nouveau canal de demande de pré-affectation (c'est-à-dire la déduction directe du montant du Chèque Énergie de la facture d'énergie du bénéficiaire pour les années suivantes) sur les contrats d’électricité ou de gaz : Jusqu'à présent, la pré-affectation se faisait uniquement en ligne ou par téléphone. Si près de 800 000 ménages ont pu en bénéficier l’année dernière, le Gouvernement a souhaité rendre ce dispositif plus accessible, en particulier pour les bénéficiaires les plus éloignés du numérique. La pré-affectation pourra donc désormais être demandée par le bénéficiaire directement sur la version papier de son chèque énergie, en cochant une case et en le renvoyant à son fournisseur. La possibilité de changer, en cours d’année, le contrat sur lequel le Chèque Énergie est pré-affecté est également désormais ouverte (par exemple en cas de déménagement ou de changement de fournisseur).

Activation automatique des protections associées sur les contrats pour lesquels des Chèques Énergie ou des attestations ont été utilisés au cours des années précédentes. Le bénéfice du Chèque Énergie s’accompagne en effet de protections supplémentaires sur les contrats d’électricité et de gaz (en particulier absence de frais de mise en service, et réduction sur certains frais en cas de difficultés de paiement).

Les bénéficiaires du chèque énergie dans ces établissements devront remettre leur chèque énergie à leur gestionnaire d'établissement, qui déduira le montant du chèque énergie de leur redevance. Le gestionnaire de l'établissement sera ensuite remboursé de ces montants par l'Agence des services et de paiement (ASP). Le dépôt de ces dossiers de demande est ouvert depuis le 22 mars dernier, il est disponible ici.

Barbara Pompili, ministre de la Transition écologique, déclare : « Pour la quatrième année consécutive, la Gouvernement accompagne concrètement les ménages les plus modestes pour les aider à payer leurs factures d’énergie. Avec l’élargissement cette année des bénéficiaires aux résidents d’EHPAD, ce sont au total 5,8 millions de Français qui vont recevoir un soutien de l’Etat. Le chèque énergie, c’est une aide publique efficace et solidaire, qui s’inscrit dans notre volonté de mettre fin à la précarité énergétique en France. C’est un dispositif d’accompagnement indispensable, qui complète les mesures que nous portons pour rénover les bâtiments, rendre les logements plus confortables et baisser les factures d’énergie de tous les Français. »

Que peuvent régler les ménages bénéficiaires grâce à leur chèque énergie ?

·    les factures des fournisseurs d’électricité, de gaz, de fioul domestique ou d’autres combustibles de chauffage (bois, etc.) ;

·     les charges de chauffage incluses dans les redevances de logements-foyers conventionnés à l’aide personnalisée au logement (APL), ainsi que dans les EHPAD, les EHPA, les résidences autonomie, les établissements et les unités de soins de longue durée ;

·    certaines dépenses liées à la rénovation énergétique du logement, réalisées par un professionnel certifié "Reconnu garant de l’environnement" (RGE).

Tous les professionnels des secteurs concernés sont tenus d’accepter le chèque énergie.

Pour l’utiliser, les bénéficiaires peuvent le présenter à leurs fournisseurs d’énergie en ligne, par courrier ou bien en mains propres, jusqu’au 31 mars 2022.

Retrouvez en ligne :
·      Le simulateur d’éligibilité au chèque énergie  ;
·      Le calendrier d’envoi des chèques énergie par département  ;
·      Les informations générales sur le chèque énergie  ;
·      Le communiqué de presse .

 

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Elections : Le Conseil scientifique détaille tous les risques

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Les experts du Conseil scientifique n’ont pas souhaité rendre un avis définitif sur la tenue ou non des élections régionales et départementales. Ils listent cependant de nombreux points d’inquiétude et déplorent notamment l’impossibilité de mettre en place des votes numériques.
Elections : Le Conseil scientifique détaille tous les risques

Le Conseil scientifique a soumis son avis au Gouvernement ce lundi après-midi. Le comité d’experts médicaux est tenu de rendre ce rapport dans le cadre d’une saisine légale en vue de l’organisation d’élections en période d’état d’urgence sanitaire.

Un contexte sanitaire inquiétant

L’épidémie de Coronavirus a gagné de l’ampleur en France en 2021. La situation s’est “aggravée”, insiste le Conseil scientifique, qui liste notamment le variant britannique comme “le problème majeur en métropole”.

Les experts évoquent aussi une situation qui “se dégrade progressivement” à La Réunion, en Guyane, en Martinique et à Saint-Martin.

Le Conseil scientifique explique aussi que l’arrivée de l’été en métropole constitue un risque supplémentaire de nouvel emballement de l’épidémie de Coronavirus. Les médecins citent le vaccin comme un outil qui permettrait de limiter la pression hospitalière.

Ils déplorent aussi une grande lassitude chez la population pour ce qui est des mesures et gestes barrières.

Les risques identifiés par le Conseil scientifique

Les risques auxquels s’exposent les candidats et les équipes de campagne, et les personnes rencontrées physiquement par les candidats et leurs équipes. La gestion de ce risque est la plus délicate ;

- Les risques auxquels s’exposent les électeurs en allant voter ;

- Les risques auxquels sont exposés les personnes participant aux opérations de vote et en particulier lors du dépouillement ;

- Les risques liés à l'utilisation des locaux, notamment scolaires ;

- Les risques liés à une reprise de l'épidémie, suivant les élections sous forme de clusters ou d’une « petite vague ». 

Les recommandations du Conseil scientifique

Les experts n’ont pas souhaité s’exprimer sur la possibilité ou non de maintenir les élections régionales et départementales en France au mois de juin 2021.

Ils insistent cependant : “Si les autorités décident un report des élections, les risques de contamination seraient sensiblement moindres qu’au cours du mois de juin en raison d’un niveau prévisible de vaccination nettement plus élevé.

Le Conseil scientifique délivre aussi des recommandations si le scrutin est maintenu en juin : 

  • Il est désormais recommandé de solliciter des personnes vaccinées (vaccination complète), c’est-à-dire des personnes plus âgées du fait des priorités de vaccination dans les bureaux de vote.

  • Le dépouillement des votes peut se dérouler en extérieur

  • Prévoir une plage horaire pour les personnes vulnérables (de 9h à 12h)

Le Gouvernement sera amené à prendre prochainement une décision sur le maintien ou le report des élections régionales et départementales suite à l’avis du Conseil scientifique.


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CNFPT : FO demande "des embauches locales à compétence égale"

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Le syndicat FO réagit à la nomination d'un nouveau directeur à la direction de la délégation réunionnaise du Centre National de la Fonction Publique Territoriale. Le communiqué :
CNFPT : FO demande
A la suite de l'annonce sur la nomination prochaine d'un nouveau Directeur métropolitain à la tête du CNFPT de La Réunion, décidée à Paris, FO regrette ce manque de reconnaissance pour nos candidats locaux qui ont les mêmes, voire plus de compétences et une meilleur connaissance de la situation de notre Département et nos agents territoriaux.
 
Depuis plusieurs années, FO dénonce la méthode de décision qui se trame toujours à Paris et ne tient pas compte des compétences et des diplômes requis par nos cadres locaux à la plus haute responsabilité à la Réunion.
 
FO tient à féliciter l'équipe actuelle et sa Directrice  (locale) pour tout le travail accompli depuis ces dernières années et faisant ainsi honneur à notre Département,
mettant souvent en avant la compétence locale (formateurs et intervenants locaux). 
 
FO revendique et plaidera toujours pour des embauches locales à compétence égale et diplômes requis.

Lucas GOBALOU, Délégué Fédéral FOSPS Région Océan Indien,Membre Représentant du personnel au CRO. 

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Covid : Environ 1.000 nouveaux cas, bientôt des mesures renforcées après un nouveau pic ?

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Le couvre-feu pourra-t-il être levé alors que l’épidémie de Coronavirus connaît à nouveau une tendance à la hausse depuis deux semaines ? Ou de nouvelles restrictions vont-elles être mises en place dans les prochains jours ?
Covid : Environ 1.000 nouveaux cas, bientôt des mesures renforcées après un nouveau pic ?

La lutte contre la Covid prend plusieurs formes à La Réunion. Les opérations de dépistage se multiplient, les actions de prévention continuent. Mais la mesure la plus forte reste le couvre-feu à 18 heures en vigueur du 5 mars au 5 avril. Le préfet va s'entretenir avec les maires mercredi et présentera son plan de lutte contre le Coronavirus vendredi lors d'une conférence de presse.

La circulation du Coronavirus s’était stabilisée au début du couvre-feu mais elle devient de plus en plus active.

Une hausse d’environ 7% des nouveaux cas a été observée entre les semaines glissantes du 6/12 mars et du 13/19 mars. Une augmentation d’environ 10% pourrait être enregistrée entre les semaines du 13/19 mars et du 20/26 mars. Environ 1.000 nouvelles contaminations ont été comptabilisées par Santé Publique France. Si les chiffres de l'ARS le confirment, ce sera un triste record toutes vagues confondu.

L’Agence régionale de Santé devrait réaliser le bilan hebdomadaire ce mardi, ce qui permettra de connaître en détail la situation sanitaire à La Réunion.

 


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Trois motards de la gendarmerie tombent sur un tournage X sur l'autoroute A7

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Généralement, les motards de la gendarmerie peuvent se targuer de voir pas mal de choses, mais cette fois, c'est une grande première.
Trois motards de la gendarmerie tombent sur un tournage X sur l'autoroute A7
Alors qu'ils patrouillaient sur l'autoroute A7 à la recherche d'infractions à la sécurité routière, trois motards se sont retrouvés devant le tournage d'une scène de film porno sur l'aire de repos de Sénas, fermée pour travaux. Ils surprennent un maquilleur, un cameraman et un couple en pleine action sur un banc de pique-nique. 

Surpris par ce contrôle peu commun, le couple tente de se justifier en avançant une pratique libertine plutôt qu'un tournage X. Peu importe, il s'agit d'un délit d'"exhibition sexuelle". Auditionnés par les gendarmes, le couple devra répondre de son acte devant le tribunal judiciaire qui décidera de leur sort. 

À noter que l'exhibition sexuelle est un délit, même s'il est rarissime dans le cadre d'un tournage de film X. Le législateur considère que la pratique d'un acte sexuel en plein air reste interdit car il est de nature à choquer les enfants comme les adultes. 

[INSOLITE] C’est un flagrant délit peu banal auquel ont été confrontés les militaires du peloton d’autoroute de...
Publiée par Gendarmerie des Bouches du Rhône sur Vendredi 26 mars 2021

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Un camion sur le flanc à Cambaie

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Un accident s'est produit ce matin au niveau du rond-point de Cambaie sur la RN7. Un camion s'est retrouvé sur le flanc.
Un camion sur le flanc à Cambaie

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Pont de la Rivière des Galets : Les bretelles sont ouvertes

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Le Centre réunionnais de gestion de trafic annonce la mise en service des bretelles d'entrée et de sortie du pont de la Rivière des Galets.
Pont de la Rivière des Galets : Les bretelles sont ouvertes
Sur la RN1 au Port et à Saint Paul, les travaux de raccordement des bretelles d'entrée et sortie au nouveau pont de la Rivière des Galets sont terminés.

A l'issue des travaux de la nuit dernière, l'accès au giratoire du Sacré Cœur dans le sens Ouest/Nord ne se fait plus par le pont métallique de la Rivière des Galets. La limitation de vitesse aux poids lourds de plus de 19 tonnes n'est donc plus nécessaire.

Pour rappel, la circulation sera interdite dans les deux sens cette nuit de 19h à 5h entre l'échangeur du Sacré Cœur et celui de Cambaie pour des travaux de finition.

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​Le CREFOM appelle au boycott du Conseil Régional d'Orientation

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Encore une fois un poste de responsabilité échappe aux réunionnais par le biais de réseaux. Le constat est réel. Les administrations et organisations nationales ont compris qu'il fallait détourner à leur profit le concept de « présence sur le territoire » en nommant des personnes en poste à La Réunion depuis peu et les hexagonaux ont compris aussi qu'il fallait s'installer d'abord et demander les postes après...
​Le CREFOM appelle au boycott du Conseil Régional d'Orientation
Il suffit pour se dire "réunionnais" aujourd'hui d'être présent sur le territoire quelle que soit la durée. La nomination de M.Mehdi Boukerrou au poste de directeur du CNFPT REUNION a provoqué une levée de protestations particulièrement de nos élus. 

Le Crefom partage avec eux la ligne politique selon laquelle une priorité doit être donnée au sein de notre territoire aux réunionnais en raison de la connaissance du contexte local et de l’ancrage territorial avéré. Ce principe ne doit pas être détourné.

Les décideurs nationaux pensent toujours qu'à La Réunion il y a souvent une levée de boucliers mais qu'une semaine après tout est terminé et les choses reprennent leur cours... Donc pour l’instant il suffit au CNFPT national de se mettre à couvert le temps de la tempête médiatique… 

Le Crefom ne peut que se féliciter de la prise de position de nos élus, et les appelle à aller plus loin en joignant les actes à la parole…Le Crefom demande à nos dirigeants de collectivités (Conseil Régional, Conseil Départemental et des Mairies) siégeant au CRO (Conseil Régional d’Orientation) à prendre la seule décision susceptible de faire reculer la direction nationale du CNFPT, en suspendant la participation de leurs représentants et élus au sein de cet organisme afin d’obtenir l’annulation de cette nomination...

Le Crefom estime être de son devoir, conformément à sa ligne politique d'appeler à une action d'envergure des participants au CRO. Les paroles ne suffisent plus, il faut en effet boycotter cette instance car il est à craindre que la nouvelle direction locale trouve un terrain favorable à l'expansion des cadres hexagonaux au sein des collectivités territoriales jusqu’ici préservées. 

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