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Channel: Faits divers – Zinfos974
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Le Marseillais aux 6 kg de zamal dans des PS4 s’offre un abonnement de 3 ans à Domenjod

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Dans le vol en provenance de Mayotte de samedi dernier, un trafiquant a été intercepté par le service des douanes réunionnaises en possession de 6 kilos de zamal conditionnés et dissimulés dans des consoles de jeux. L'homme a été placé en garde à vue puis déféré au tribunal judiciaire de Saint-Denis où il comparaissait ce mercredi.
Le Marseillais aux 6 kg de zamal dans des PS4 s’offre un abonnement de 3 ans à Domenjod
Un Marseillais de 31 ans prend le vol du 21 août en provenance de Mayotte à destination de La Réunion avec dans ses bagages 60 savonnettes dissimulées dans 3 consoles de jeux PS 4, soit près de 6 kilos de résine de cannabis. À la barre, il explique à la présidente qu'il est venu à La Réunion pour prendre de la distance avec sa compagne.

Il est allé à Mayotte voir son cousin et, en vertu de la solidarité mahoraise, il accepte de transporter des maillots de foot et des pieds de manioc. Pour cela on lui paye le billet et bien sûr, il ne remet pas en cause le contenu des valises préparées par le fameux cousin. Pourtant trente minutes après son interpellation, son fameux cousin lui envoie le message suivant : "ça y est tu as livré ?" 

"Ce sont les explications les plus farfelues que je n’ai jamais entendues "

"Vous vous moquez du monde ?" s'exclame la présidente, soulignant sa mauvaise foi caractérisée pendant toute la durée de la procédure. Qu'importe, il continue de déverser ses salades à la barre. Les services des douanes réclament au prévenu une amende de 58 610 €. "Ce sont les explications les plus farfelues que je n’ai jamais entendues dans ce genre de dossiers, il se moque du tribunal", estime la représentante de la société qui requiert une peine 3 ans de prison ferme. 

En défense, Me Valerie Yen Pon fait valoir le lien familial et l’importance de la cellule familiale. "Il a préféré fermer les yeux", indique la robe noire qui souligne également "la difficulté de vivre à Marseille et du quartier où il a grandi. Il porte les stigmates de Marseille".

Le tribunal condamne le prévenu à une peine de 3 ans de prison ferme ainsi que la peine d'amende demandée par les douanes. 

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Ouverture du 2ème Centre de vaccination à la Plaine des Cafres

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La mairie du Tampon annonce l’ouverture du 2e centre de vaccination de la commune. Celui-ci se situe à la salle des fêtes au 23ème km à la Plaine des Cafres.
Ouverture du 2ème Centre de vaccination à la Plaine des Cafres
A la demande de Monsieur le Maire André Thien Ah Koon et du Conseil Municipal, un second centre de vaccination éphémère ouvrira ses portes sur la commune du Tampon à la Plaine des Cafres.

La salle des fêtes du 23ème Km à la Plaine des Cafres accueillera les personnes souhaitant se faire vacciner de 8h30 à 17h :

- Lundi 30 et Mardi 31 août 
- Lundi 6 et Mardi 7 septembre 
- Lundi 13 et Mardi 14 septembre

Depuis l'ouverture du 1er centre de vaccination au 14ème Km qui a été un grand succès, plus de 24.250 personnes ont reçu une 1ère injection de vaccin. 

En lien avec l'ARS et La Croix Rouge, cette opération de proximité répond à une forte affluence que connait le Centre de vaccination du 14ème Km. 

Nous constatons une moyenne journalière de 400 personnes sur ce centre.

La vaccination est ouverte à toute personne âgée de + de 12 ans. 

La prise de rendez-vous se fait dès maintenant : 
- sur le site internet www.sante.fr  
- par téléphone au 0262 724 720 (du lundi au samedi de 8h à 17h) 

Pour faciliter l'accès et le transport au centre de vaccination, des navettes de ramassage seront mises en place.

Renseignements au 0262 57 97 77

Ouverture du 2ème Centre de vaccination à la Plaine des Cafres

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Vidéo - Contractuels dans les lycées: "Trente personnes ont été volées"

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La Fédération syndicale unitaire continue son mouvement de grogne suite à la décision de la Région de ne pas puiser dans la liste des personnes ayant postulé à des postes d'agents techniques dans les lycées. La FSU porte aussi son regard interrogateur sur la durée, pour seulement trois mois, des 140 autres personnes retenues. Ce qui donne au syndicat l'impression que tout est fait pour remplacer très prochainement, par d'autres "heureux élus", ces agents se trouvant actuellement sur un strapontin.
Vidéo - Contractuels dans les lycées:

La Fédération syndicale unitaire (FSU) Territoriale monte crescendo. Après avoir été reçue hier par des collaborateurs de la présidente de Région, le syndicat a posé ses pancartes devant l'hôtel de Région ce mercredi, soit une semaine avant un préavis de grève. 

En 24 heures, le syndicat estime ne pas pas avoir obtenu des réponses satisfaisantes. 

Christian Picard, secrétaire départemental de la FSU Territoriale, assure que plusieurs des personnes qui n’ont pas été retenues faisaient partie des premiers choix des chefs d’établissements et déplore une “discrimination à l’embauche” et une “chasse aux sorcières”. Il explique que “les précaires sont utilisés comme soupape à variable d’ajustement aux promesses politiques.”

La FSU s’interroge aussi sur la diffusion de nouvelles offres d’emploi et pointe du doigt les recommandations de la Chambre régionale des comptes qui évoquait notamment la nécessité de limiter les dépenses. La Région explique “avoir lancé une procédure de recrutement afin de pourvoir aux besoins exprimés dans les établissements, liés notamment à des absences temporaires.”

"Sur le site de la Région, on a vu que les trente postes étaient remis en jeu donc en clair trente personnes ont été spoliées. On a volé trente personnes qui avaient déjà postulé et qui avaient donc réussi l’entretien d’embauche. On ne leur a pas donné le bénéfice du classement", maintient Christian Picard. 

Pour le syndicaliste, l’explication que la Région a donnée hier ne colle vraiment pas.

"Ils jouent sur le fait que ce sont des CDD qui se terminaient le 5 juillet plutôt que le 6 août. Sauf que là aussi c’est faux, il y a trois personnes qui finissaient le 6 août et qui étaient sur la liste et qu’ils n’ont pas prises donc c’est la preuve d’une chasse aux sorcières", selon lui. 

"Le politique se sert de la précarité"

"Ensuite, ils disent que la CRC mentionne qu’il y a trop d’emplois. Si on supprime, d’accord, mais c’est pas pour remettre trente personnes à la place, il faut être logique ! La Région va faire quoi ? Des appels à candidature jusqu’à ce que les personnes qu’ils souhaitent mettre dessus réussissent ? Donc voilà, tout leur communiqué est un tissu de mensonges. Après il y a le côté social ou à un moment donné, il faut être crédible. Tous les élus disent à la population qu’il y a 160.000 chômeurs, 110.000 illettrés et 400.000 personnes en-dessous du seuil de pauvreté. La réalité elle est là, ici (il montre du doigt les manifestants devant la pyramide inversée, ndlr) ce sont des femmes, des précaires, des gens qui ont réussi l’entretien. Donc voilà on se sert de la précarité. Le politique se sert de la précarité. Avant c’était comme soupape sociale, aujourd’hui c’est comme soupape par rapport aux promesses électorales, aux promesses d’embauches", selon sa lecture des mouvements de contractuels.

Le préavis de grève court toujours pour le mercredi 1er septembre. Ce qui n'a pas empêché les candidats recalés de planter un piquet sous les fenêtres de la pyramide inversée dès ce mercredi. La rue du Béarn devant la Région a été bloquée une partie de la journée, sous le contrôle des policiers.  



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La CAF et la CCIR unies pour soutenir les chefs d’entreprises

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La Caisse d’allocation familiale et la Chambre de commerce et d’industrie de La Réunion ont signé ce mercredi une convention pour renforcer les coopérations et soutenir les chefs d’entreprises.
La CAF et la CCIR unies pour soutenir les chefs d’entreprises
Le communiqué:
 
La crise sanitaire que traverse actuellement le territoire a des conséquences économiques et sociales dans les TPE-PME et peut impacter les chefs d’entreprise et leurs salariés dans leur quotidien. Face à ces difficultés, l’accompagnement des chefs d’entreprise mais aussi des porteurs de projets constitue un terrain d’action commun entre la Chambre de Commerce et d’Industrie de La Réunion et la Caisse d’Allocations Familiales de La Réunion. 
 
La CCI Réunion et la CAF ont signé ce jour, en présence d’un chef d’entreprise, une convention visant à renforcer les coopérations et à soutenir les chefs d’entreprise et les porteurs de projets. 
 
Ce partenariat innovant permet : 
 
-  D’accompagner les chefs d’entreprise dans la connaissance et l’exercice de leurs droits relatifs au service public des allocations familiales tant au niveau des prestations familiales et de la parentalité que des prestations sociales notamment pour le recours à la prime d’activité. Ainsi, un circuit d’information et d’orientation spécifique est mis en place entre les équipes de la CAF et celles de la CCI. 

 
-  De soutenir l’activité économique sur l’ensemble des champs d’interventions de la CAF notamment la petite enfance, le soutien à l’activité et l’insertion économique. 

 
-  De développer des actions de proximité et des évènements, au plus près des chefs 
d’entreprise. 


La CAF et la CCIR unies pour soutenir les chefs d’entreprises

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Confinement et couvre-feu pour quelques jours de plus ?

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La réunion entre le préfet et les maires de La Réunion a été l’occasion d’évoquer la situation sanitaire liée à l’épidémie de coronavirus. Le plus haut représentant de l’Etat envisagerait de maintenir les mesures actuelles pour quelques jours afin d’éviter une reprise épidémique suite à la rentrée scolaire.
Confinement et couvre-feu pour quelques jours de plus ?

Le préfet de La Réunion s’est exprimé devant les maires de l’île ce mercredi après-midi lors de la réunion de crise hebdomadaire. L’Agence régionale de Santé a fait le bilan de la semaine écoulée et a évoqué plusieurs points positifs comme la baisse des contaminations, des taux de positivité et d’incidence.

Mais l’ARS a aussi expliqué que la pression hospitalière restait importante et que la couverture vaccinale était toujours insuffisante. Le risque d’une reprise épidémique liée à la rentrée scolaire pourrait donc avoir un impact direct sur l’occupation des lits de réanimation. Les experts préconisent donc le maintien des mesures de restrictions au moins jusqu’à la fin de la semaine prochaine.

Le préfet pourrait donc décider de maintenir les mesures de couvre-feu et de confinement au-delà du 31 août, pour une durée de quelques jours afin d’évaluer à nouveau la situation la semaine prochaine.

Serge Hoareau, maire de Petite-Île et président de l’Association des maires de La Réunion explique qu’il s’agissait d’une réunion qui visait à prendre acte de l’évolution favorable mais surtout à préparer la réunion de crise de la semaine prochaine.

Si les chiffres continuent à évoluer positivement, des discussions pour un allègement des mesures pourraient alors être abordées.


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75 nouveaux cas de Dengue à La Réunion

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Du 9 au 15 août, 75 cas de dengue ont été confirmés (contre 117 la semaine précédente après consolidation des données). La baisse du nombre de cas se poursuit dans la majorité des communes. Toutefois, malgré l’hiver austral, la circulation du virus se poursuit dans l’île et reste importante par rapport aux années précédentes à la même période.
75 nouveaux cas de Dengue à La Réunion
La circulation du virus continue malgré une diminution des cas
 
Le secteur Ouest reste le plus touché, particulièrement la commune de Saint-Paul avec 30% des cas recensés dans la région. Par ailleurs, une légère augmentation des cas est observée dans le Sud.
 
Afin de freiner davantage l’épidémie et de se protéger des formes sévères de la maladie, la population et les acteurs de la lutte contre la dengue sont encouragés à poursuivre  les mesures de protection individuelle et collective : appliquer des répulsifs pour se protéger des piqûres de moustiques, éliminer tout ce qui peut contenir de l’eau (gîtes larvaires), consulter son médecin en cas de symptômes.
 
 
Depuis le 1er Janvier 2021
·    29 553 cas confirmés
 
 
·    948 hospitalisations
 
 
·     4 054 passages aux urgences     
 
 
·    19 décès directement liés à la dengue
 
 
Situation de la dengue au 25 août 2021
(données Cellule Santé Publique France en région, ARS)
 
Sur les deux dernières semaines, les cas confirmés sont répartis dans toutes les communes, à l’exception de Sainte-Rose, Cilaos, Salazie et La Plaine des Palmistes.
 
Le nombre de cas baisse dans l’île hormis au Tampon, à l’Etang Salé, Petite Ile et Sainte-Suzanne avec une dizaine de cas rapportés par semaine.
 
  •          Le secteur Ouest est majoritairement concerné : 30% des cas se situent à Saint-Paul et des cas sont comptabilisés dans les autres communes
  •          Dans le Sud, Saint-Pierre est principalement concerné. Des cas sont également recensés à Saint-Joseph, Le Tampon et L’Etang Salé.
  •          Toutes les communes du Nord rapportent des cas.
  •          Dans l’Est, la baisse de cas concerne toutes les communes.
 
Par ailleurs, des regroupements de cas (foyers de dengue) ont été identifiés dans les quartiers suivants :
 
REGION OUEST
  •          Saint-Paul (Roquefeuil, Plateau Caillou, la Plaine, la Saline les bains)
  •          Possession (Cap Noir)
 
REGION SUD
  •          Saint-Pierre (Bois d’Olives)
  •          Etang Salé (Etang Salé les bains)
 
Recommandations pour lutter contre la dengue
Il suffit d’une seule piqûre de moustique pour avoir la dengue. 
 
Les autorités sanitaires recommandent à la population de :
 
  •        Se protéger contre les piqûres de moustiques, y compris durant les 7 jours suivants l’apparition des symptômes pour protéger son entourage
Continuer à se protéger, même si on a déjà été malade de la dengue antérieurement ; plusieurs sérotypes de la dengue peuvent circuler et une infection par un sérotype ne protège pas de l’atteinte par un autre sérotype.
 
  •        Eliminer les gîtes larvaires (nids à moustiques) : vider tout ce qui peut contenir de l’eau tout autour de son domicile, vérifier les gouttières…
 
  •          Consulter un médecin en cas de symptômes : fièvre, maux de tête, douleurs musculaires/articulaires, nausées, vomissements, ... et réaliser le prélèvement en laboratoire d’analyse médicale prescrit par votre médecin pour confirmation du diagnostic de la dengue.
 
  •        Si vous êtes malade de la dengue :
    •    Continuez à vous protéger contre les piqûres de moustiques.
 
  •    Afin de prévenir les formes graves de la dengue :
    •   Surveillez votre état de santé, surtout entre le 4ème et le 8ème jour de la maladie
    •   Consultez votre médecin traitant ou un service d'urgence si vous avez des signes et symptômes suivants : douleurs abdominales sévères, vomissements persistants, impossibilité de s'alimenter/s'hydrater, grande fatigue, agitation.
    •    Consultez sans délai un ophtalmologue ou les urgences du CHU Nord, en cas de complications ophtalmologiques (baisse de la vue grave et brutale) survenant environ 8 jours après le début des signes de la dengue
    •   Rendez-vous à l’hôpital en cas de dégradation de votre état de santé
 
Les formes graves de dengue touchent tous les âges : nourrissons, enfants, adultes et personnes âgées.
Elles surviennent aussi bien chez des personnes en bonne santé que chez des personnes qui présentent des pathologies.
Les enfants de moins de deux ans, dont les parents pensent qu'ils pourraient avoir la dengue, doivent être de préférence pris en charge en milieu hospitalier.
La dengue étant susceptible d’altérer le foie, il est recommandé de suivre strictement les recommandations de son médecin sur la prise de paracétamol.
La circulation du virus continue malgré une diminution des cas
 
Du 9 au 15 août, 75 cas de dengue ont été confirmés (contre 117 la semaine précédente après consolidation des données). La baisse du nombre de cas se poursuit dans la majorité des communes. Toutefois, malgré l’hiver austral, la circulation du virus se poursuit dans l’île et reste importante par rapport aux années précédentes à la même période.
 
Le secteur Ouest reste le plus touché, particulièrement la commune de Saint-Paul avec 30% des cas recensés dans la région. Par ailleurs, une légère augmentation des cas est observée dans le Sud.
 
Afin de freiner davantage l’épidémie et de se protéger des formes sévères de la maladie, la population et les acteurs de la lutte contre la dengue sont encouragés à poursuivre  les mesures de protection individuelle et collective : appliquer des répulsifs pour se protéger des piqûres de moustiques, éliminer tout ce qui peut contenir de l’eau (gîtes larvaires), consulter son médecin en cas de symptômes.
 
 
Depuis le 1er Janvier 2021
·    29 553 cas confirmés
 
 
·    948 hospitalisations
 
 
·     4 054 passages aux urgences     
 
 
·    19 décès directement liés à la dengue
 
 
Situation de la dengue au 25 août 2021
(données Cellule Santé Publique France en région, ARS)
 
Sur les deux dernières semaines, les cas confirmés sont répartis dans toutes les communes, à l’exception de Sainte-Rose, Cilaos, Salazie et La Plaine des Palmistes.
 
Le nombre de cas baisse dans l’île hormis au Tampon, à l’Etang Salé, Petite Ile et Sainte-Suzanne avec une dizaine de cas rapportés par semaine.
 
  •          Le secteur Ouest est majoritairement concerné : 30% des cas se situent à Saint-Paul et des cas sont comptabilisés dans les autres communes
  •          Dans le Sud, Saint-Pierre est principalement concerné. Des cas sont également recensés à Saint-Joseph, Le Tampon et L’Etang Salé.
  •          Toutes les communes du Nord rapportent des cas.
  •          Dans l’Est, la baisse de cas concerne toutes les communes.
 
Par ailleurs, des regroupements de cas (foyers de dengue) ont été identifiés dans les quartiers suivants :
 
REGION OUEST
  •          Saint-Paul (Roquefeuil, Plateau Caillou, la Plaine, la Saline les bains)
  •          Possession (Cap Noir)
 
REGION SUD
  •          Saint-Pierre (Bois d’Olives)
  •          Etang Salé (Etang Salé les bains)
 
Recommandations pour lutter contre la dengue
Il suffit d’une seule piqûre de moustique pour avoir la dengue. 
 
Les autorités sanitaires recommandent à la population de :
 
  •        Se protéger contre les piqûres de moustiques, y compris durant les 7 jours suivants l’apparition des symptômes pour protéger son entourage
Continuer à se protéger, même si on a déjà été malade de la dengue antérieurement ; plusieurs sérotypes de la dengue peuvent circuler et une infection par un sérotype ne protège pas de l’atteinte par un autre sérotype.
 
  •        Eliminer les gîtes larvaires (nids à moustiques) : vider tout ce qui peut contenir de l’eau tout autour de son domicile, vérifier les gouttières…
 
  •          Consulter un médecin en cas de symptômes : fièvre, maux de tête, douleurs musculaires/articulaires, nausées, vomissements, ... et réaliser le prélèvement en laboratoire d’analyse médicale prescrit par votre médecin pour confirmation du diagnostic de la dengue.
 
  •        Si vous êtes malade de la dengue :
    •    Continuez à vous protéger contre les piqûres de moustiques.
 
  •    Afin de prévenir les formes graves de la dengue :
    •   Surveillez votre état de santé, surtout entre le 4ème et le 8ème jour de la maladie
    •   Consultez votre médecin traitant ou un service d'urgence si vous avez des signes et symptômes suivants : douleurs abdominales sévères, vomissements persistants, impossibilité de s'alimenter/s'hydrater, grande fatigue, agitation.
    •    Consultez sans délai un ophtalmologue ou les urgences du CHU Nord, en cas de complications ophtalmologiques (baisse de la vue grave et brutale) survenant environ 8 jours après le début des signes de la dengue
    •   Rendez-vous à l’hôpital en cas de dégradation de votre état de santé
 
Les formes graves de dengue touchent tous les âges : nourrissons, enfants, adultes et personnes âgées.
Elles surviennent aussi bien chez des personnes en bonne santé que chez des personnes qui présentent des pathologies.
Les enfants de moins de deux ans, dont les parents pensent qu'ils pourraient avoir la dengue, doivent être de préférence pris en charge en milieu hospitalier.
La dengue étant susceptible d’altérer le foie, il est recommandé de suivre strictement les recommandations de son médecin sur la prise de paracétamol.

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Tensions entre la Chambre d’agriculture et la CGPER

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Alors que la convention Canne approche à grands pas, la CGPER accuse la Chambre d’agriculture de lui mettre la pression pour que les négociations débutent. Le syndicat, de son côté, souhaite connaître la situation financière et les recettes des industriels avant de démarrer les discussions.
Tensions entre la Chambre d’agriculture et la CGPER
Le communiqué:

LA CGPER demande depuis plusieurs mois que les négociations soient ouvertes pour préparer la prochaine convention Canne. Ses élus siègent démocratiquement et légalement à la CPCS jusqu’au mois de mars 2022.

Nous sommes à un tournant important et les prochaines négociations de la convention canne prennent toutes leurs dimensions. De cela dépendra l’avenir de la filière canne et le revenu de nos agriculteurs.

Il est donc normal que les élus de la CPCS commencent à travailler sur les résultats des audits demandés par la CGPER.

Un premier audit a été réalisé et ses conclusions sont d’ailleurs reprises par la Chambre d’agriculture :

- Il faut selon cet audit continuer à financer le seul industriel sucrier de La Réunion, le groupe Téréos.

- La chambre en faisant pression pour que les négociations débutent dès maintenant contribue indirectement, volontairement ou inconsciemment à faire le jeu du seul industriel sucrier
  • car :
    • Nous devrions alors négocier l’avenir de la filière canne sans savoir réellement combien gagne l’industriel…du jamais vu…
    • Sans qu’il n’y ait de transparence sur les coûts de production, la recette des coproduits et la valorisation de notre fibre en énergie…
À la CGPER nous disons qu’il est plus que temps que les bilans de la filière soient communiqués en toute transparence aux acteurs de la filière canne-sucre rhum afin que les prochaines négociations s’établissent en toute connaissance des recettes et bénéfices du seul acteur industriel.
  1. La CGPER regrette que les conclusions du dernier audit sur les subventions à l’industrie aillent dans le sens du maintien des aides aux industriels, mais que rien ne soit dit ou plutôt rien n’indique que les principaux acteurs, c’est-à-dire les planteurs bénéficieront d’une meilleure répartition de ces aides actuellement majoritairement orientée vers le seul industriel sucrier
  2. Les prochaines négociations pour la filière canne doivent se tenir dans le cadre d’une plus grande équité et d’une plus juste rémunération des Co produits de la canne.
  3. À juste titre une presse locale a publié un article vantant la technologie réunionnaise la valorisation des coproduits…et notamment de la vente d’énergie électrique produite par la fibre, cet article mentionne que la fibre de la canne appartient à l’industriel alors qu’il a acheté la canne uniquement sur sa valeur sucre.
À La CGPER nous voulons que ces prochaines négociations portent sur une RÉPARTITION ÉQUITABLE DE LA VALEUR AJOUTÉE DE LA CANNE À SUCRE, l’évolution de la formule de richesse, l’écart technique…

Nous demandons : 
-une meilleure répartition des subventions entre tous les acteurs de la filière.
-Un examen de l’incidence de la fibre en termes de valorisation industrielle.
-une expertise sur la filière canne pour que la richesse soit payée équitablement aux planteurs

C’est pourquoi nous nous félicitons aujourd’hui que la Chambre d’Agriculture rejoigne la CGPER sur la nécessité de préparer ces futures négociations.

La CGPER et ses élus siégeront aux CPCS dans le cadre des négociations de la prochaine convention canne-Sucre et demande que les intérêts de nos agriculteurs soient préservés pour obtenir :
a.     Une remise à plat de la formule de paiement de la canne à sucre, qui date de 1984 et qui est aujourd’hui dépassée.
b.     Améliorer la formule de richesse, notamment pour tenir compte de l’obligation d’utiliser la coupeuse mécanique canne longue, à cause du manque de main-d’œuvre.
c.      Le paiement de la fibre, car celle-ci est valorisée en énergie par le sucrier, alors que le taux de fibre pénalise la richesse du planteur.
d.     Le paiement des coproduits : La Fibre, la Mélasse, le Rhum, l’Alcool, l’Énergie…
e.     Une plus grande transparence sur les recettes de la Filière industrielle…
f.      Un partage équitable des revenus entre les agriculteurs et le seul industriel sucrier de La Réunion, qui s’accapare toute la plus-value de la canne.
 
Aussi nous déplorons que certains acteurs agricoles souhaitent commencer ces prochaines négociations sans aucun préalable…
 
À la CGPER nous mettons comme préalable à l’ouverture des négociations que toute la transparence soit faite sur la filière canne
 
-Quelles sont les vraies recettes des industriels ?
-Comment est valorisée la fibre de notre canne alors que le taux de fibre contribue à faire baisser le prix payé au planteur ?
-Payer à leur juste prix les coproduits de la canne (Fibre transformée en énergie, recette mélasse, etc.
 

Alors pourquoi la chambre met elle la pression pour que les négociations débutent alors que nous n’avons aucun chiffre sur les recettes et résultats de l’industriel…c’est inconscient
 
La CPCS doit donc se réunir rapidement pour mettre sur la table résultats des audits, résultats financier de l’industriel et surtout diligenter comme le demande la CGPER : un audit général de la filière sur le plan économique et financier.
 
La CGPER a d’ores et déjà attiré l’attention de M. Le Ministre de l’Agriculture et de M. le Ministre des Outre-Mer sur la nécessité de diligenter un audit qui lèvera le jour sur la répartition des richesses de la canne au sein des acteurs économiques locaux.
 
Jean Michel MOUTAMA
Président de la CGPER

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Jets de pierres sur les gendarmes: Réponse musclée du tribunal, 18 mois ferme

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Plusieurs opérations de contrôle avaient lieu vendredi dernier dans la commune de Sainte-Marie. Il s'agissait de contrôles routiers mais également de contrôles de respect du confinement et du couvre-feu. Mais voilà, les forces de l'ordre avaient essuyé des jets de pierres. En réponse, un suspect avait été interpellé mardi à son domicile. Il était présenté ce mercredi dans le cadre d'une comparution immédiate.
Jets de pierres sur les gendarmes: Réponse musclée du tribunal, 18 mois ferme
Ce mardi matin à l'aube, les militaires de la gendarmerie ont mené une opération d'interpellation dans le quartier de la Réserve sur la commune de Sainte-Marie. Il s'agissait de mettre la main sur plusieurs individus afin qu'ils répondent de leurs actes devant la justice. L'un d'entre eux a été arrêté, alors qu'un deuxième individu sera convoqué par la gendarmerie.

Le prévenu est originaire de Sainte-Marie, il a 24 ans. Il a déjà été contrôlé au guidon d'un scooter en mars 2021 en ayant consommé des stupéfiants. Il reconnaît fumer 3 joints par jour. Les gendarmes l’avaient convoqué mais il ne s’est pas présenté : "je travaille et ensuite je m’occupe de ma fille de 8 mois", indique-t-il au tribunal. Le 15 juin, il se dispute avec sa compagne. Il lui donne deux claques, des coups de pied et casse des objets dans le logement. A l’arrivée des gendarmes, il s’était déjà enfui. Il était alcoolisé ce jour-là.

"Pourquoi vous avez fui alors ?" 

Il explique qu’elle a trouvé le numéro de téléphone d’une fille dans sa poche et qu'elle n'a pas apprécié. Il reconnaît également qu’ils se sont disputés puis qu’il a cassé des choses mais sans commettre des violences sur elle. "Pourquoi vous avez fui alors ?", questionne la présidente. "La peur du gendarme", répond le prévenu. Sa compagne, présente à l'audience, indique qu'elle ne souhaite pas se porter partie civile. 

La présidente passe aux faits survenus lors du contrôle d’identité effectué par les gendarmes de la compagnie de Saint-Benoît vendredi dernier. Là même où l’opération a dégénéré. Une quinzaine de jeunes sont présents sur les lieux et prennent les forces de l’ordre à partie. Ils caillassent les militaires avec des galets, des pierres et divers objets. Plus tard, des poubelles seront aussi incendiées dans le quartier de la Réserve. 

"Vous n’aviez rien à faire dehors, c’était l’heure du couvre-feu" 

Il est formellement reconnu par les militaires pour avoir participé et aussi pour avoir insulté les gendarmes en créole. "Où sont les preuves que j’ai été reconnu ?", demande-t-il au tribunal ? Pour autant, il admet avoir été présent mais indique qu’il n’a rien fait. "Vous n’aviez rien à faire dehors, c’était l’heure du couvre-feu", rétorque la présidente au prévenu qui s’énerve et s’estime stigmatisé. Le jeune Sainte-Marien possède un casier judiciaire qui fait état de 10 mentions pour des faits de nombreux vols aggravés, conduite sous l'empire d'un état alcoolique et de vol en réunion.

"Nous avons fait un package car il ne répond pas aux convocations", explique la procureure de la République qui requiert une peine de 18 mois de prison ferme ainsi qu'un mandat de dépôt. Le tribunal reconnaît le prévenu coupable et suit les réquisitions du parquet. Il est maintenu en détention. 

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La CGTR appelle à la mobilisation devant l’ARS contre le Pass Sanitaire

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La section Commerce et Services de la CGTR appelle à la grève et à une journée de mobilisation tous les salariés de ses champs d'activités le 31 août 2021 devant le siège de l'ARS. Le syndicat veut dénoncer le sort réservé aux travailleurs de ces secteurs qualifiés d’indispensables depuis le début de la crise mais qui risquent de perdre leur emploi à cause du Pass sanitaire.
La CGTR appelle à la mobilisation devant l’ARS contre le Pass Sanitaire
Le communiqué:

La CGTR Commerce et Services appelle à la grève et à une journée de mobilisation tous les salariés de ses champs d'activités le 31 août 2021 devant le siège de l'ARS.

Le Président de la République affirme « le virus tue, le vaccin sauve des vies », mais que prend-il comme décision ? Il promulgue une loi qui impose un « Pass » qui n’a de sanitaire que le nom de telle manière qu’une partie de la population sera amenée à contrôler l’autre. Cette situation est un fait sans précédent dans notre pays !

S’il y a des femmes et des hommes qui ont assumé leurs responsabilités dans cette crise, ce sont bien les salariés du Commerce et des Services, sans oublier les professionnels de la santé !

Ses salariés, indispensables hier, sont aujourd’hui « des oubliés » et sont tous pointés du doigt par le gouvernement et par le patronat.

En imposant à certains salariés, notamment ceux des Hôtels, Café, Restaurants et ceux des Services à la Personne de présenter un « Pass Sanitaire » à leur employeur afin d’exercer leur activité professionnelle, il a imposé la communication de données à caractère personnel de nature médicale à l’employeur, mais aussi à tout salarié « habilité » par ce dernier à opérer un contrôle du « Pass Sanitaire ». Quid de la médecine du travail garantissant le traitement objectif et non discriminant des données de santé ?

La CGTR Commerce et Services s’oppose à cette loi et à toute mesure antisociale et liberticide.

Quelle que soit l’opinion des uns et des autres sur le vaccin, nous devons rester unis sur des objectifs communs à tous les travailleurs et frapper ensemble contre l’état d’esprit répressif du gouvernement.

Aujourd'hui, les responsables de la gestion calamiteuse de cette crise vont sur le terrain de la morale pour s’attribuer le beau rôle. 

Là encore, c’est ignoble et inacceptable !

Dans les hôpitaux, comme dans beaucoup d’autres secteurs, ce sont les règles de la gestion capitaliste qui sont imposées : on parle de « rentabilité », « d’équilibre des comptes », de « contraintes budgétaires », dans les hôpitaux, on ne parle plus de « patients », mais de « clients » … 

Nous ne sommes pas contre la vaccination, mais contre des modalités d'obligation inscrite dans la loi.

Nous sommes contre les sanctions salariales.


Nous exigeons :
  • Le retrait de la mise en place du Pass Sanitaire pour tous les salariés,
  • La levée immédiate de l’obligation vaccinale pour certains salariés quelque soit la forme utilisée,
  • La levée des brevets,
  • Une reconnaissance de maladie professionnelle du SARS-CoV-2 pour tous,
  • Une reconnaissance en maladie professionnelle pour les conséquences des effets secondaires du vaccin,
  • La reconnaissance en maladie professionnelle du syndrome d’état post traumatique,
  • L’abrogation des jours de carence.

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La vaccination dans les établissements scolaires débute

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L’académie de La Réunion lance, avec le soutien de l’ARS, la vaccination pour les collégiens, les lycéens et le personnel qui le souhaitent. Les établissements concernés informeront directement les parents de la mise en place d’un centre de vaccination dans l’enceinte scolaire.
La vaccination dans les établissements scolaires débute
C’est donc parti pour la vaccination dans les collèges et lycées de La Réunion. L’académie de La Réunion a mis en place une campagne de vaccination, pilotée par l’ARS, depuis le 23 août à destination des collégiens de plus de 12 ans, des lycéens et du personnel volontaire. 

Cette campagne de vaccination prendra soit la forme de centres éphémères dans les établissements, soit de créneaux dédiés dans les centres de vaccination permanents.

Concernant les centres éphémères, 3 lycées de l’île vont en disposer. C’est le cas du lycée Lecomte Delisle à Saint-Denis dont les premières piqûres débutent aujourd’hui.

Règlement concernant la vaccination

Au lycée Lecomte Delisle, comme dans les autres établissements scolaires, des autorisations parentales pour la vaccination ont été diffusées dès la rentrée. Les élèves ont dû retourner la décision de leurs parents depuis le 19 août. 

Cette autorisation ne concerne que les moins de 16 ans puisqu’au-delà, les élèves peuvent décider par eux-mêmes s’ils souhaitent se faire vacciner.

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Météo : Du vent et des nuages attendus en journée

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L'île connaîtra un temps clément dans la matinée, avant de voir des nuages faire leur apparition en milieu de journée. Les températures elles restent fraîches et ne dépasseront pas les les 25° sur le littoral.
Météo : Du vent et des nuages attendus en journée
Le bulletin complet de Météo France:

Flux d'Est à Sud-Est modéré.

A part de rares entrées maritimes présentes le long de la Route des Laves, notre île se réveille sous un ciel peu nuageux et le soleil fait de larges apparitions en début de matinée.

Au fil des heures, les nuages se développent à mi-pentes, sur les flancs des remparts et dans les cirques. A la mi-journée, ces nuages s'épaississent et s'étalent vers l'Ouest. L'après-midi, le ciel est couvert sur une grande partie de notre île et de petites averses peuvent se produire sur le massif Volcan.

Les températures maximales restent un peu fraîches avec pas plus de 25°C à Saint-Denis, 20°C à Cilaos et 12°C au Maïdo.

Le vent de Sud-Est se renforce en journée avec des rafales à 60 km/h l'après-midi sur la côte Sud-Ouest, entre Saint-Pierre et Saint-Gilles notamment.

Des pointes à 50 km/h sont également attendues sur la côte Nord-Est entre Sainte-Rose et Saint-Denis. La mer est agitée à forte. Sur la côte la côte Est, la houle d'alizé est proche des 2 mètres.

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Pourquoi le confinement va-t-il être prolongé ?

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Les autorités ont évoqué la possibilité de maintenir le confinement et le couvre-feu durant quelques jours supplémentaires jusqu’à la fin de la semaine prochaine.
Pourquoi le confinement va-t-il être prolongé ?

Le préfet de La Réunion s’est entretenu avec les maires de l’île mercredi et a évoqué le plan de lutte contre le coronavirus pour les jours à venir. L’Agence régionale de Santé a aussi fait le point sur l’évolution de la situation sanitaire.

Prolongement du confinement inévitable ?

Rien n’est officiel tant que le préfet de La Réunion n’aura pas publié de communiqué ou de nouvel arrêté. Cependant l’Agence régionale de Santé a recommandé de maintenir le confinement et le couvre-feu jusqu’à la fin de la semaine prochaine.

Est-ce pour autant ce qu’il va se passer ? Serge Hoareau, maire de Petite-Île et président de l’Association des maires de La Réunion, rappelle qu’il s’agit d’une recommandation mais pas encore d’une décision.

Cependant les autres participants à la réunion entre le préfet et les maires précisent qu’aucune autre hypothèse n’a été évoquée. Il semble donc que le confinement et le couvre-feu devraient être prolongés de 5 jours.

Pourquoi prolonger le confinement ?

Les chiffres de l’épidémie montrent une forte chute des contaminations (-34% comparé à la semaine précédente). Les taux de positivité (5%) et d’incidence (226 cas pour 100.000 habitants) témoignent aussi de l’amélioration de la situation sanitaire à La Réunion.

Mais la pression hospitalière reste forte avec 117 personnes soignées en médecine Covid et 47 malades covidés pris en charge en soins critiques.

Les autorités souhaitent donc maintenir jusqu’au 5 septembre les mesures de freinage afin d’évaluer les conséquences de la rentrée scolaire sur l’évolution de l’épidémie de coronavirus à La Réunion. L’ARS explique qu’une reprise épidémique aurait un impact sur la tension hospitalière toujours trop forte sur notre île.

Et après le 5 septembre ?

La réunion du préfet et des maires aurait surtout servi à préparer le prochain rendez-vous la semaine prochaine. Si la situation sanitaire reste aussi favorable, les autorités et les édiles devraient alors évoquer un plan de désescalade avec un allègement progressif des différentes restrictions actuellement en vigueur.

Restez connectés sur Zinfos974 pour être informés des dernières données de l’épidémie de Covid et des prochaines annonces du préfet.


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Ligue des champions: Battu par le Shaktar, Monaco reversé en Ligue Europa

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Le miracle n'a pas eu lieu pour l'AS Monaco. Après sa défaite au match aller (1-0) le club de la Principauté n'a pas réussi à se qualifier pour les phases de groupe de la Ligue des champions après son match nul (2-2 après prolongation) hier soir lors du match retour face aux Ukrainiens du Shaktar Donestk. Petit lot de consolation pour l'ASM, le club sera reversé en Ligue Europa.
Ligue des champions: Battu par le Shaktar, Monaco reversé en Ligue Europa
Les joueurs de Niko Kovac avaient pourtant bien débuté la rencontre en inscrivant deux buts grâce à Wissam Ben Yedder (18e et 40e) et étaient à ce moment de la rencontre qualifiés pour les phases de groupe de la coupe aux grandes oreilles. Mais leurs adversaires ont montré un tout autre visage au retour des vestiaires, contrairement aux Monégasques qui subissaient de plus en plus et devenaient moins percutants devant les buts ukrainiens.

Et ce qui devait arriver arriva: à la 74e minute, le Shaktar revenait à 2-1 grâce à un très beau mouvement collectif conclut par Marlos, qui venait de rentrer sur la pelouse.

L'ASM, qui devait encore marquer un but pour se qualifier sans passer par les prolongations vendangera énormément d'occasions, à l'image de Kevin Volland, particulièrement maladroit dans le dernier geste.

Les Ukrainiens, eux, ne laisseront pas passer leur chance lors des prolongations. Et bénéficieront même d'un coup du sort. A la 114e minute, le joueur du Shaktar, Mykhaylo Mudryk a vu son centre être contré par le Monégasque Ruben Aguilar, dont le lob trompera malheureusement son gardien.

Pas récompensés de leurs efforts et au vu de leur prestation, les joueurs de l'ASM peuvent nourrir quelques regrets. Ils se consoleront en Ligue Europa où ils retrouveront l'Olympique lyonnais et l'OM.

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CHU Martinique: 13 lits de réanimation livrés par le conseil régional d'Île de France

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Actuellement en visite aux Antilles pour notamment livrer des lits de réanimation fournis par le conseil régional d'Île de France, le vice-président de la collectivité francilienne, Patrick Karam, s'est rendu lundi en Martinique après la Guadeloupe la semaine dernière. 13 lits de réa ont été livrés au CHU de Martinique. "La Martinique connaît une éclaircie depuis ce week-end. La courbe se stabilise, voire baisse mais il faudra encore 2 à 3 semaines pour désengorger la réanimation", explique le Guadeloupéen.
CHU Martinique: 13 lits de réanimation livrés par le conseil régional d'Île de France
Après la Guadeloupe, je me suis rendu en Martinique ce lundi afin de livrer les 13 lits de réanimation que Valérie Pécresse a décidé de fournir au CHU de la Martinique dans le cadre de notre politique de coopération et de solidarité interrégionale.

Le programme du jour comprenait des échanges sur la situation avec les présidents Letchimy et Saliber, la vice-présidente en charge de la santé, le docteur Dinal président de la commission santé, une visite au CHU, de multiples échanges avec le directeur général et ses collaborateurs, les professeurs et médecins, les infirmiers, les brancardiers, et les militaires qui ont monté un centre de réanimation COVID dans une aile de l'ancien hôpital.

Nous avons également échangé avec les renforts venus de l'hexagone, les sapeurs-pompiers du centre de secours du Robert, les équipes du centre de vaccination du Lamentin, les élus de la collectivité territoriale ou encore les adjoints aux maires qui m'ont accompagné tout au long de mon déplacement.

Même impression qu’en Guadeloupe, même malaise, même cœur serré, même tristesse. Le sentiment d’un immense gâchis, celui d’une immense souffrance des familles touchées par la pandémie, celui d’une grande dignité dans l’épreuve. Ce que j’ai pu voir et entendre m’a profondément marqué.

Le constat est partagé par tous, la situation est grave.

Les taux d'incidence, bien que deux fois inférieurs à la Guadeloupe, de l’ordre d’un millier de cas pour 100.000 habitants contre 2000 en Guadeloupe, sont inquiétants car ils atteignent des niveaux jamais, JAMAIS, atteints dans l'hexagone.

Le CHU de Fort-de-France est équipé de 389 lits COVID sur 3 sites dont 61 lits de réa, 20 lits gérés par les militaires et 26 lits dotés d’équipements d'oxygénothérapie. 45% des patients sont en médecine et non en réa.

Sur 120 passages aux urgences par jour, en moyenne 50 patients sont en urgence COVID et il n’y a plus de places pour placer en réanimation ceux dont l’état le nécessiterait.

Une fois en réanimation, les patients occupent les lits en général pendant 3 semaines. Les évacuations sanitaires se font au compte-goutte. Comme en Guadeloupe, les services classiques accueillent de nombreux malades qui auraient dû être en réanimation, et ceux qui ne trouvent pas de place à l’hôpital sont renvoyés chez eux, sous surveillance.

Pour tenter de libérer des lits en réanimation, lorsque les patients vont mieux, ils sont placés en médecine hospitalière.
Le nombre de morts en raison du COVID concerne 17% des hospitalisés, ce qui représente entre 10 et 16 décès par jour.

L’approvisionnement en oxygène a été compliqué en raison des difficultés à fabriquer rencontrées par Air Liquide et à l’intérieur de l’hôpital, tous les services ne peuvent accueillir des patients COVID+ en raison du sous-dimensionnement des tuyaux qui ne permettent pas d’injecter de l’oxygène à haute dose.

A ce jour, il reste 24 emplacements où il serait possible de mettre des lits supplémentaires de réanimation. C’est une excellente nouvelle car les 13 lits spécifiques pour la réanimation envoyés par Valérie Pécresse, la présidente du conseil régional d’Ile-de-France seront très vite opérationnels, sans qu’il soit besoin de faire des travaux de réhabilitation de site comme en Guadeloupe.

L’hôpital a gagné en agilité et a renforcé sa capacité à déménager les unités, former le personnel qui a dû s’adapter et parfois changer de lieu de travail.

La Martinique a un atout car le nouvel hôpital a été construit à côté de l'ancien, ce qui a permis d’y positionner 202 malades dont 20 lits en réanimation lesquels sont pris en charge par le personnel de santé militaire. J’ai pu accéder aux patients en réanimation et vu de nombreuses personnes, hommes et femmes, en situation d’obésité, dont des jeunes.

J’ai été ému tout au long de ma visite dans les services de réanimation du CHU, car tous ces malades inanimés, autour desquels s’affaire le personnel de santé héroïque, peuvent être des parents, des amis ou encore des proches et la COVID les a frappés, pour certains, en bonne santé.

Autre indicateur de l’étendu du drame qui se déroule sous nos yeux, les avis d’obsèques sur RCI s'allongent comme c’est le cas en Guadeloupe.

En ce qui concerne l’admission aux urgences COVID, si aujourd’hui la situation s’est améliorée, car on n’assiste pas au même phénomène de saturation à tous les bouts de la chaîne hospitalière, on a frôlé le pire. Faute de place jusqu’à 74 patients, dont certains étaient placés sous respirateur, ont dû être installés sous 3 tentes à l'extérieur de l'hôpital et le couloir d’entrée était plein. L’attente pouvait atteindre jusqu’à 15h.

Parmi les patients, il y avait notamment des jeunes sans pathologie mais en surpoids. Sur les 130 patients qui devraient être en réanimation 25% ont moins de 30 ans, 25% moins de 50 ans.

Le variant delta atteint plus les femmes enceintes que les formes précédentes. Il y a eu une dizaine de cas, il y a 10 jours qui sont de véritables drames car il a fallu faire des césariennes comme en Guadeloupe et si les bébés vont bien, les mères en revanche restent en réanimation avec un pronostic compliqué.

Les renforts venus de l’hexagone ont apporté une aide essentielle et ils sont arrivés à un moment où la situation serait devenue intenable sans eux. Ces renforts restent 12 jours en moyenne et sont remplacés quand ils repartent mais il manque encore du personnel.

Des personnels de santé en congés bonifiés ont également participé à la mobilisation générale et sont intervenus sur des temps qu’ils avaient souhaités. L'APHP a donné une liste de volontaires (aides-soignants et infirmiers) que le CHU a par la suite rappelés.

Je veux vraiment saluer la direction, les cadres, le personnel soignant, totalement dévoués et épuisés par l’ampleur de l’épidémie mais également les brancardiers qui multiplient les interventions pour déplacer les malades au gré des besoins.

Je tiens à saluer également les sapeurs-pompiers qui sont totalement engagés dans la campagne de vaccination mais également ceux du centre de secours du Robert, épaulés par les renforts de l’hexagone qui mettent tout en œuvre pour réagir rapidement. Un sapeur-pompier venu de l’hexagone me disait que leur organisation était plus rigoureuse et efficace que ce qu’il connait dans sa région. J’avoue avoir été fier et je veux leur tirer un grand coup de chapeau.

Depuis quelques jours, la Martinique connaît une inflexion des cas COVID. Quand j’y étais lundi, dans le grand couloir des urgences à l'entrée il n’y avait personne, et peu de patients en attente sous respirateur, sous les tentes. Depuis le week-end dernier, on constate une baisse du nombre de décès. En moyenne, 6 nouveaux corps par jour.

Je veux donner un chiffre que les médecins du CHU m’ont indiqué : sur les derniers décès, on compte 0 vaccinés et 0 vaccinés sont en réanimation. Peu de vaccinés sont hospitalisés.

Le vaccinodrome du Lamentin connaît une augmentation forte de sa fréquentation : 500 à 600 vaccinés par jour il y a 3 semaines environ, aujourd'hui 900 à 1000. J’ai interrogé de nombreuses personnes qui attendaient leur tour, et certains viennent en famille, avec les parents et grands-parents : les raisons de la vaccination sont multiples : les images fortes et la communication sur la gravité de la situation, la volonté de protéger les parents et la famille, l’intervention de Serge Letchimy à la sortie de sa visite du CHU en juillet, un débat télévisé avec en particulier les mots de Marijosée Alie,…

La Martinique connaît une éclaircie depuis ce week-end. La courbe se stabilise, voire baisse mais il faudra encore 2 à 3 semaines pour désengorger la réanimation. C’est le grand point noir : le manque de lits en réa pour prendre tous les patients dont l’état de santé l’exigerait. La baisse du nombre de lits de réa mobilisés devrait avoir lieu d'ici 15 jours/3 semaines, reste que pour le moment 121 patients qui devraient être en réanimation sont en service classique, ce qui est une perte de chance et peut avoir des conséquences néfastes.

Les Martiniquais sont habitués aux épreuves, mais celle-ci est d’une violence extrême et ils font preuve d’une grande résilience. Je veux leur dire force et courage.

Patrick Karam

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Collision impressionnante à Petit Saint-Pierre

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Une voiture s'est retrouvée sur le toit ce jeudi matin à Sainte-Anne suite à une collision entre deux voitures au niveau de Petit Saint-Pierre en direction de Sainte-Rose.
Collision impressionnante à Petit Saint-Pierre

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St-Pierre : Un motocycliste de 18 ans renversé par un poids-lourd

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Un grave accident s'est produit au niveau de Terre Sainte à Saint-Pierre. Le conducteur d'un deux-roues a été pris en charge par les pompiers et les médecins du Service médicale d'urgence et de réanimation peu avant 8 heures du matin.
St-Pierre : Un motocycliste de 18 ans renversé par un poids-lourd

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Il poignarde son fils de 5 ans dans son sommeil pour se venger de son ex

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Fou de colère en apprenant que sa compagne, dont il était pourtant séparé, avait une aventure avec son ami, un père de famille a tenté de tuer son fils en le poignardant pendant son sommeil. Il s'était ensuite tailladé la gorge.
Il poignarde son fils de 5 ans dans son sommeil pour se venger de son ex
"Je voulais me trancher la gorge, mais ça n'a pas marché". Des paroles et des actes invraisemblables sont reprochés à un père de famille dont nous tairons le nom afin de respecter la présomption d'innocence.

Ivre de rage en apprenant que son ex-compagne avait une aventure avec un de ses amis, Nicolas* a failli commettre l'irréparable. Depuis trois ans pourtant, le quadragénaire est séparé. "Ça se passe bien", a-t-il indiqué aux magistrats de la chambre de l'instruction chargés d'examiner sa demande de remise en liberté en attendant son procès. À l'origine de la rupture, une infidélité avait mis le feu aux poudres dans le couple. La compagne trompée avait décidé de refaire sa vie. "Vous ne supportez pas qu'elle fréquente vos amis ?" a résumé le président de l'audience. "Oui, c'est ça", a reconnu le mis en cause.

"Je ne suis pas violent

Le jour des faits, l'homme avait eu l'indélicatesse de surprendre volontairement son ex-conjointe et son ami. Son sang n'avait fait qu'un tour. Il s'était précipité au domicile d'un de ses cousins afin de récupérer un couteau. "Vous avez trouvé un premier couteau en bois mais la lame n'était pas assez tranchante", a indiqué le président de la cour. Le père de famille a expliqué qu'il avait préféré se munir d'une lame très pointue. Il s'était alors rendu au domicile de son fils qui dormait paisiblement. Le père lui aurait alors volontairement planté la lame dans le ventre. Le bambin de 5 ans s'était brusquement réveillé et avait vu son père en train de se trancher la gorge. Il avait été arrêté dans son funeste geste par des personnes présentes dans le logement qui avaient réussi à forcer la porte.

"Je l'aime plus que tout. C'est pour ça que je voulais qu'il parte avec moi", a lancé le prévenu accusé de tentative de meurtre sur mineur de moins de 15 ans. "On est plus au temps des pharaons où l'on tue son enfant pour se venger", a fustigé le magistrat. "Je ne sais pas comment j'ai pu en arriver là. Je ne bois pas, je ne suis pas violent et je n'ai pas de casier", s'est défendu le père infanticide qui ne souffre d'aucun trouble psychologique.

Ce jeudi, les juges ont décidé de refuser de le laisser retrouver la liberté en attendant sa comparution devant un jury populaire.

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Vidéo - La rectrice veut booster le taux de vaccination chez les élèves et étudiants de La Réunion

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Le premier centre de vaccination Covid dans un établissement scolaire se trouve à La Réunion. La rectrice a salué ce matin l’implication de l'ARS, des chefs d'établissements et des infirmiers scolaires qui ont permis cette première.
Vidéo - La rectrice veut booster le taux de vaccination chez les élèves et étudiants de La Réunion
"C’est la première, il y en aura d’autres. Et nous vous inviterons également à venir être témoin de cette contribution de l’Education nationale à la protection de la santé de nos élèves et de nos étudiants". Chantal Manès Bonnisseau sait plus que quiconque que l’obligation de transparence demeure primordiale en ces temps de mise en doute de la parole publique. 

Les week end se suivent et se ressemblent sur le front des mobilisations anti pass sanitaire et anti vaccination. C’est donc tout naturellement que l’opération inédite lancée ce matin dans un lycée du nord de l'académie était ouverte aux yeux de tous. 

Il s’agit tout simplement de "la première opération de centre éphémère dans toute La Réunion et dans toute la France d’ailleurs", précise la rectrice. Elle venait de prendre le pouls de l’opération en discutant avec les tout premiers élèves dans la file d’attente, prêts à recevoir leur vaccin contre les formes graves du Covid. 

La Réunion accuse un retard par rapport aux chiffres nationaux

Il ne s'agit pas d'un passage en force, avise le proviseur du lycée Leconte de Lisle mais une opération marquée du sceau du "volontariat", rappelle Thierry Bussy. "Nous avons informé dès la pré-rentrée scolaire de cette opération éphémère. Elle se fait sur la base du volontariat. Les parents donnent leur autorisation pour les élèves qui ont moins de 16 ans. Nous avons constaté dans nos établissements que beaucoup de nos élèves étaient déjà vaccinés pendant les mois de juillet-août, les personnels également", précise-t-il. 

Malgré ce constat très localisé, l’objectif de ces centres de vaccination ouverts au sein même des lieux d’enseignement s’explique par un taux de vaccination de nos jeunes qui n'atteint que les 30%, contre + de 60% en métropole. 

"L’objectif est de rapprocher le plus possible voire d'atteindre le taux national. L’objectif est aussi de sensibiliser, d’apporter de l’information aux jeunes mais aussi aux parents pour les inciter à faire vacciner leurs enfants parce que c’est ce qui va leur permettre d’avoir une année scolaire la plus normale possible", entrevoit Chantal Manès Bonnisseau.

Ce jeudi sert de rampe de lancement. Le centre de vaccination est ouvert uniquement aux élèves et personnels de la cité du Butor qui comprend trois lycées (Leconte, Rontaunay et Geoffroy) et à partir de demain, les portes seront ouvertes aux autres élèves et personnels du bassin nord, collèges et lycées compris.

Sur des images de Régis Labrousse


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75 cas de dengue à La Réunion : les cas en diminution

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75 cas de dengue à La Réunion : les cas en diminution
Dans leur dernier bilan chiffré, l’ARS et la Préfecture de La Réunion annoncent que la circulation du virus continue malgré une diminution des cas. Du 9 au 15 août, 75 cas de dengue ont été confirmés (contre 117 la semaine précédente après consolidation des données). La baisse du nombre de cas se poursuit dans la majorité des communes. Toutefois, malgré l’hiver austral, la circulation du virus se poursuit dans l’île et reste importante par rapport aux années précédentes à la même période.

Le secteur Ouest reste le plus touché, particulièrement la commune de Saint-Paul avec 30% des cas recensés dans la région. Par ailleurs, une légère augmentation des cas est observée dans le Sud.

Afin de freiner davantage l’épidémie et de se protéger des formes sévères de la maladie, la population et les acteurs de la lutte contre la dengue sont encouragés à poursuivre  les mesures de protection individuelle et collective : appliquer des répulsifs pour se protéger des piqûres de moustiques, éliminer tout ce qui peut contenir de l’eau (gîtes larvaires), consulter son médecin en cas de symptômes.

Situation de la dengue au 25 août 2021 (données Cellule Santé Publique France en région, ARS)

Sur les deux dernières semaines, les cas confirmés sont répartis dans toutes les communes, à l’exception de Sainte-Rose, Cilaos, Salazie et La Plaine des Palmistes.

Le nombre de cas baisse dans l’île hormis au Tampon, à l’Etang Salé, Petite Ile et Sainte-Suzanne avec une dizaine de cas rapportés par semaine.
– Le secteur Ouest est majoritairement concerné : 30% des cas se situent à Saint-Paul et des cas sont comptabilisés dans les autres communes
– Dans le Sud, Saint-Pierre est principalement concerné. Des cas sont également recensés à Saint-Joseph, Le Tampon et L’Etang Salé.
– Toutes les communes du Nord rapportent des cas.
– Dans l’Est, la baisse de cas concerne toutes les communes.

Par ailleurs, des regroupements de cas (foyers de dengue) ont été identifiés dans les quartiers suivants :

REGION OUEST
– Saint-Paul (Roquefeuil, Plateau Caillou, la Plaine, la Saline les bains)
– Possession (Cap Noir)

REGION SUD
– Saint-Pierre (Bois d’Olives)
– Etang Salé (Etang Salé les bains)

Recommandations pour lutter contre la dengue

Il suffit d’une seule piqûre de moustique pour avoir la dengue. 

Les autorités sanitaires recommandent à la population de :
– Se protéger contre les piqûres de moustiques, y compris durant les 7 jours suivants l’apparition des symptômes pour protéger son entourage
– Continuer à se protéger, même si on a déjà été malade de la dengue antérieurement ; plusieurs sérotypes de la dengue peuvent circuler et une infection par un sérotype ne protège pas de l’atteinte par un autre sérotype.
– Eliminer les gîtes larvaires (nids à moustiques) : vider tout ce qui peut contenir de l’eau tout autour de son domicile, vérifier les gouttières…
– Consulter un médecin en cas de symptômes : fièvre, maux de tête, douleurs musculaires/articulaires, nausées, vomissements, … et réaliser le prélèvement en laboratoire d’analyse médicale prescrit par votre médecin pour confirmation du diagnostic de la dengue.

Si vous êtes malade de la dengue :
–  Continuez à vous protéger contre les piqûres de moustiques.
– Afin de prévenir les formes graves de la dengue :
– Surveillez votre état de santé, surtout entre le 4ème et le 8ème jour de la maladie
– Consultez votre médecin traitant ou un service d’urgence si vous avez des signes et symptômes suivants : douleurs abdominales sévères, vomissements persistants, impossibilité de s’alimenter/s’hydrater, grande fatigue, agitation.
– Consultez sans délai un ophtalmologue ou les urgences du CHU Nord, en cas de complications ophtalmologiques (baisse de la vue grave et brutale) survenant environ 8 jours après le début des signes de la dengue
– Rendez-vous à l’hôpital en cas de dégradation de votre état de santé

Les formes graves de dengue touchent tous les âges : nourrissons, enfants, adultes et personnes âgées. Elles surviennent aussi bien chez des personnes en bonne santé que chez des personnes qui présentent des pathologies.

Les enfants de moins de deux ans, dont les parents pensent qu’ils pourraient avoir la dengue, doivent être de préférence pris en charge en milieu hospitalier.

La dengue étant susceptible d’altérer le foie, il est recommandé de suivre strictement les recommandations de son médecin sur la prise de paracétamol.

Retrouvez toute l’actualité sur la dengue à La Réunion sur le Facebook Ensemble contre les moustiques 

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Baignade interdite aux Roches Noires et à Boucan Canot

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Baignade interdite aux Roches Noires et à Boucan Canot
En raison d’une houle à venir, les filets de baignade de Boucan Canot et des Roches Noires seront retirés ce jeudi 26 août dans la matinée par la cellule nautique. Notez que la piscine naturelle est accessible à la baignade avec une flamme verte.

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