Quantcast
Channel: Faits divers – Zinfos974
Viewing all 97587 articles
Browse latest View live

Embouteillages : Le point sur tout le réseau routier de La Réunion

$
0
0
Les automobilistes font face à un réseau routier particulièrement encombré ce mercredi matin.
Embouteillages : Le point sur tout le réseau routier de La Réunion
Circulation compliquée ce mercredi matin sur les routes de l'île. Aux traditionnels embouteillages matinaux s'ajoutent ceux engendrés par la manifestation en cours sur la quatre-voies de Pierrefonds

Mise à jour 8h15 : 

Dans le Sud, dans le secteur de Pierrefonds, les bouchons démarrent au niveau du la Ravine Blanche dans le sens Saint-Pierre/Saint-Denis, soit 6 km. Dans l'autre sens, ils débutent au niveau du Gouffre (6 km). Le barrage des manifestants, levé vers 7h, n'a pas été réinstallé.

Dans l'Ouest, l'embouteillage sur la quatre-voies de Saint-Paul s'est résorbé.

Côté route du Littoral, les bouchons débutent au niveau de la Ravine à Malheur en direction de Saint-Denis, avec des zones roulantes. 

Dans l'Est, les ralentissements se font ressentir au niveau Beaulieu (Saint-Benoît) en direction de Saint-Denis. A Sainte-Marie, la circulation est encombrée au niveau des Jacques et de la Jamaïque. 
 


www.zinfos974.com

Manifestation anti-pass : Barrage levé à Pierrefonds

$
0
0
Des manifestants bloquaient la circulation ce mercredi matin au niveau de Saint-Pierre. Il s'agirait de militants anti-pass. Le barrage a été levé peu après 7 heures du matin.
Manifestation anti-pass : Barrage levé à Pierrefonds
Des grosses difficultés de circulation ont été ressenties ce mercredi matin dans la capitale du Sud. Des manifestants ont installé un barrage à l'aide de palettes sur la quatre-voies de Pierrefonds. Les automobilistes ont été bloqués dans les deux sens.

Le barrage aurait été dressé par des militants anti-Pass sanitaire. Des embouteillages importants se font faits ressentir dans le secteur. Les forces de l'ordre se sont déployées sur place dans les minutes qui ont suivi, mais les manifestants n'ont libéré les voies de circulation qu'aux alentours de 7 heures du matin.

A noter que les gendarmes sont aussi mobilisés dans le secteur de Gillot, également visé par l'appel à mobilisation diffusé ce mardi sur les réseaux sociaux. Aucun manifestant ne se trouve pour l'instant sur place.

Des difficultés de circulation se sont ressentir aux quatre coins de l'île, retrouvez le point sur le réseau routier via notre carte interactive.

www.zinfos974.com

Rencontre des présidents de Région avec le Premier Ministre

$
0
0
Rencontre des présidents de Région avec le Premier Ministre
Ce lundi 13 Septembre, les présidentes et présidents des Régions ont été reçus hier à Matignon par le Premier ministre Jean Castex, afin d’échanger sur un certain nombre de dossiers d’importance dont l’avancée exige un dialogue soutenu avec l’État.

La présidente du Conseil Régional de La Réunion, Huguette Bello, est intervenue sur les sujets inscrits à l’ordre du jour de cette rencontre afin que les particularités de La Réunion soient prises en compte.

S’agissant de la crise sanitaire, la gravité de la situation notamment aux Antilles, en Nouvelle Calédonie et en Polynésie, est extrêmement inquiétante. Le taux de vaccination est faible aux Antilles et demeure médiocre à La Réunion. La présidente a invité l’Etat à une puissante campagne de communication pour inciter à la vaccination. 

Concernant plus particulièrement la question de l’obligation des test payant à partir du 15 octobre, Huguette Bello a appelé l’attention du Premier ministre sur les conséquences de cette mesure, notamment pour les voyages entre la métropole et La Réunion qui se traduiront par une augmentation de 98 euros du prix du billet d’avion. Les familles aux revenus modestes ainsi que le tourisme vont ainsi être pénalisés.

Le Premier ministre a annoncé que des précisions seront prochainement apportées quant à l’application de ces mesures.

La présidente du Conseil Régional de La Réunion a tenu à souligné également les impacts de la crise sanitaire qui sont aggravés pour les petites économies insulaires et vulnérables, comme celles des régions et collectivités d’outremer. Ses impacts frappent en première ligne le secteur touristique, et aujourd’hui, ils affectent l’ensemble de l’économie avec une envolée du coût du fret.

S’agissant du plan de relance et du plan d’investissements 2030 annoncé par le Gouvernement.

En parfait accord avec ses collègues présidents de Région, Huguette Bello a proposé, au Premier ministre de mettre en oeuvre une territorialisation du plan d’investissements, et un véritable co-pilotage État-Région.

Elle a également posé pour l’outre -mer la question de l’articulation du futur contrat de plan avec le contrat de convergence.

Soulignant l’expositions particulière des îles aux risques naturels, elle a proposé au Premier ministre une mobilisation des crédits du plan de relance pour l’adaptation au dérèglement climatique , en particulier , pour le financement d’un programme de résorption des radiers à La Réunion, afin de prévenir les crues et les inondations provoquées par la recrudescence de phénomènes de pluies diluviennes.
Enfin, Huguette Bello a souhaité que ce plan d’investissement 2030 prenne en compte le chantier de la NRL dont l’envergure nationale exige une implication financière de l’État à la hauteur des enjeux.

S’agissant du projet de Loi 3DS (Déconcentralisation, Décentralisation, Différenciation et Simplification)

Huguette Bello a suggéré au Premier ministre que l’opportunité de l’élaboration de ce texte soit saisie pour organiser une nouvelle gouvernance pour la politique maritime et la pêche, dans l’esprit d’une plus grande association des Régions ou collectivités ultra-marines. La loi 3DS peut offrir l’occasion de coordonner les différents niveaux de compétences dans la gestion des zones maritimes dont les TAAAF dans l’Océan indien, à 3000 kilomètres de la Réunion, et qui représentent 2,39 millions de km2.
Tous ces sujets concernant La Réunion, exigent des discussions approfondies avec l’État.

Le Premier ministre a répondu positivement à Huguette Bello pour l’organisation d’une prochaine réunion spécifique avec la Région Réunion.

www.zinfos974.com

Le préfet condamne le blocage de la circulation à Saint-Pierre

$
0
0
Voici le communiqué de la préfecture suite au barrage installé puis levé ce matin sur la 4 voies de St-Pierre.
Le préfet condamne le blocage de la circulation à Saint-Pierre
Barrage des axes de circulation : Le préfet condamne le blocage de la circulation routière opéré ce jour lors d’une manifestation non déclarée

Ce mercredi matin à 6h, une cinquantaine de manifestants anti-passe sanitaire ont bloqué la RN1 à hauteur de la station Vito entre Saint-Pierre et Saint-Louis, dans les deux sens de circulation.

Les forces de l’ordre ont été immédiatement mobilisées afin de faire cesser le trouble à l’ordre public le plus rapidement possible ;  la circulation a été rétablit  à partir de 7h00. Des interpellations ont eu lieu.

Le préfet condamne, avec la plus grande fermeté, ce blocage routier mettant en danger la sécurité des usagers.

Pour rappel
Toute manifestation sur la voie publique est soumise à une obligation de déclaration, au moins trois jours avant la date du rassemblement. Ce délai doit permettre aux autorités chargées du maintien de l’ordre d’organiser la sécurité des personnes et des biens.


www.zinfos974.com

World Cleanup Day : “la propreté, c’est l’affaire de tous !”

$
0
0
World Cleanup Day : “la propreté, c’est l’affaire de tous !”
En prévision de la journée mondiale de nettoyage de la planète qui se déroulera ce samedi 18 septembre, les élèves des 14 classes de l’école de Saint-Leu – centre se mobilisent depuis lundi dans le cadre d’activités pédagogiques sur la gestion de déchets, un projet d’école d’envergure.

Les professeurs impliquent leurs élèves dans une belle dynamique de nettoyage à l’intérieur comme à l’extérieur de l’établissement. Hier en bord de mer, la classe de Madame Lenclume a débarrassé la plage citerne 46 de déchets en tous genres. Les élèves étaient équipés de gants, pinces et sacs de poubelles pour ramasser notamment les masques usagers.

Ce mardi après midi, place aux élèves de CE2/ CM1 de Mesdames Decoudras et Baugé. La quarantaine d’enfants a méticuleusement ramassé les mégots, bouchons et bouteilles diverses sur les aires de pique-nique du front de mer du centre-ville sous les yeux des promeneurs sensibilisés eux-aussi à cette démarche éco citoyenne.

Comme le rappelle Madame Baugé à ses élèves : « la propreté, c’est l’affaire de tous ! »

www.zinfos974.com

Conseil communautaire du lundi 13 septembre 2021

$
0
0
Conseil communautaire du lundi 13 septembre 2021
Les Élus de la CIVIS se réunissaient le lundi 13 septembre 2021 à la salle Le Kerveguen de Saint-Pierre pour décider des grandes orientations de l’intercommunalité et des projets à mettre en place.
64 points étaient inscrits à l’ordre du jour.
Parmi eux :
  • La mise en place de fonds de concours
  • La réalisation d’un pôle d’échange
  • L’achat de 1 000 vélos électriques
  • Les avis d’opportunité
  • Le rapport du Service Public d’Élimination des Déchets 2020
Le dossier de presse à télécharger

www.zinfos974.com

Écouter la mémoire de notre île avec Leon

$
0
0
Écouter la mémoire de notre île avec Leon
Ce samedi 18 et dimanche 19 septembre : À l’ère du 2.0, l’office de Tourisme de l’Ouest en partenariat avec Léon,  proposeront lors des Journées Européennes du Patrimoine des balades hybrides avec la présence d’un guide péï et l’utilisation de l’application Leon offrant ainsi une nouvelle expérience et un nouveau regard sur notre patrimoine. 

Pour toutes inscriptions, contactez le service Culturel de la Ville au 0262 34 49 20 !

Le programme des Journées Européennes du Patrimoine en cliquant ici.

www.zinfos974.com

Kaf Malbar chante contre le couvre-feu mais pour une contestation pacifique

$
0
0
Alors que des manifestants anti-pass sanitaire ont bloqué pendant quelques heures la 4 voies de Saint-Pierre ce matin, Kaf Malbar a aussi souhaité faire entendre son mécontentement avec des moyens tout aussi efficaces : sa musique.
Kaf Malbar chante contre le couvre-feu mais pour une contestation pacifique
Ce mercredi 15 septembre allait être un jour important pour les contestataires mais aussi pour l'ensemble de la société. C'est la date de l'entrée en vigueur de l'obligation vaccinale pour de nombreuses professions au service de la population : soignants, pompiers et bien d'autres.

Il y a donc eu un barrage dressé de 6 heures à 7 heures sur la 4 voies de Saint-Pierre au niveau de Pierrefonds. De très importants embouteillages ont été constatés dans le secteur avant la levée du blocage suite à l'intervention des forces de l'ordre. Le préfet a par ailleurs condamné cette manifestation non déclarée.

Pendant ce temps, c'est sur les plateformes de streaming que Kaf Malbar a pris position. Le roi de la dancehall devenu spécialiste du reggae a d'ailleurs utilisé ce style musical qu'il maîtrise maintenant parfaitement pour faire passer des messages de conscientisation du peuple mais aussi de contestation pacifique.

Il rappelle que le peuple peut manifester mais évoque aussi les dangers : "Fais gaffe quand même car tout ça peut dégénérer !"

En effet, il lance un appel à une mobilisation réfléchie et solidaire : "Il faudrait qu'on agisse calmement", explique-t-il avant de prévenir : "Ne nous laissons pas dominer par la haine", et de finir : "Destroy pa tout' mon ban'. Gard' un peu pou nout marmay."

Mais Kaf Malbar se positionne toujours contre "Babylone" (même si pour une fois, il n'utilise pas cette symbolique rastafarienne) : "1% de la population mondiale est ultra-riche, ils contrôlent les gouvernements", déclare le chanteur qui déplore : "Ils font de la misère un business !"


www.zinfos974.com

Le Comité départemental des services aux familles est en place

$
0
0
Le Comité départemental des services aux familles est en place
Le Comité départemental des services aux familles de La Réunion ou CDSF a vu le jour ce mardi 14 septembre. L’événement s’est déroulé à Saint-Benoît, en présence de tous les acteurs de cette nouvelle « instance de réflexion, de conseil, de proposition et de suivi concernant toutes questions relatives à l’organisation, au fonctionnement et au développement des services aux familles ». 

Pour le préfet Jacques Billant qui le préside, le 2e Schéma départemental des services aux familles signé en février 2021 définissant le cadre du CDSF « n’est pas une simple déclaration d’intention, mais au contraire, c’est un instrument de gouvernance à forte utilité sociale et sociétale ».  

Le Président  du Département Cyrille Melchior qui assure la vice-présidence du CDSF nouvellement installé - avec un représentant de l’association des maires et le président du conseil d’administration de la CAF - pour sa part, a indiqué que la participation du Conseil départemental dans cette instance est essentielle : « Nous sommes là dans un rôle au cœur même de nos priorités. Le Département est pleinement partenaire : nous avons des missions qui nous sont confiées par la loi, nous avons aussi un devoir et une responsabilité envers les familles réunionnaises : bien accompagner tous les marmailles, puis trouver des solutions en cas de problème, pour que chaque enfant qui naît à La Réunion ait la meilleure chance de réussir sa vie ». 

Cyrille Melchior a insisté sur l’importance de la démarche partenariale de tous les acteurs : « La force de ce territoire, c’est son vivre-ensemble mais aussi le travailler-ensemble. Quand on voit la richesse du partenariat qu’il y a autour de la thématique de l’enfance, je ne peux que me réjouir. Le Département ne peut qu’encourager les initiatives de tout un chacun. À travers le CDSF, nous entrons dans une nouvelle phase opérationnelle qui vise à privilégier le dialogue, la concertation, la mise en commun de nos compétences et de nos ressources ». 

La présentation de quelques services innovants proposés au quotidien aux familles réunionnaises, figurait au programme de la matinée d’installation à Saint-Benoît. Sur le thème de « l’accueil des enfants différents », une rencontre avec deux familles bénédictines, en présence de l’Alefpa, lauréat de l’appel à projet local «Pôle ressources handicap» a été organisée à la médiathèque Antoine Roussin. Les acteurs ont ensuite visité le bébébus de l’association Babyland, lauréat de l’appel à manifestation d’intérêt national sur le thème «Accueil pour tous». Déjà opérationnel à Salazie, ce modèle de micro-crèches sera déployé sur 10 communes, principalement dans les Hauts à partir de l’année prochaine.

L’événement s’est achevé avec l’intervention en visioconférence du Secrétaire d’État en charge de l’enfance et des familles, Adrien Taquet. Le membre du gouvernement n’a pas manqué d’évoquer son séjour à La Réunion en octobre 2020 : « J’étais venu contractualiser avec le Président du Conseil départemental la stratégie de prévention et de protection de l’enfance. Nous devons investir d’avantage dans la prévention pour éviter que la situation se dégrade et que nous puissions garantir un parcours d’accompagnement plus fluide pour minimiser le risque de rupture de prise en charge des enfants auprès de leurs parents. Je cite souvent La Réunion comme exemple, en matière de travail de partenariat ». 

Adrien Taquet a répondu aux questions posées par l’assistance et a terminé son intervention avec l’annonce de la tenue d’un « rendez-vous important : la Conférence des familles qui se tiendra les 5 et 6 octobre prochains à l’échelle nationale. Ce sera l’occasion de revaloriser et de reparler ensemble de ce qui a pu être mis en place en matière de services aux familles. Mais aussi de tracer des perspectives pour l’avenir » 

Quelques actions du Département en faveur de la petite enfance

En matière de développement de l’offre d’accueil, notre Collectivité, soutient le développement des Maisons d’Assistants Maternels depuis près de 10 ans. Ce mode d’accueil innovant a connu un développement important en une décennie avec la création de 122 structures pour 1441 places. 

Sur le plan de la protection de l’enfance, le Département consacre près de 90M€ à cette politique, en mobilisant notamment les agents des PMI. 

Concernant le plan pauvreté, le Département a porté depuis 2020 un programme ambitieux de plus de 55 actions visant à renforcer le soutien et l’accompagnement des personnes les plus vulnérables mais également développer les actions d’insertion en faveur des publics éloignés de l’emploi et favoriser la réussite éducative de nos jeunes. Plus de 6M€ ont été engagés. Pour 2021, le Département porte un programme d’actions sans précédent de plus de 15M€. Ce nouveau programme sera porté à la délibération de la commission permanente du mercredi 15 septembre.

Dans sa nouvelle organisation, une direction consacrée à la politique en faveur de la jeunesse sera créée au Département. 

www.zinfos974.com

Pour honorer sa mémoire, Béthény nomme son nouveau stade Bastien Payet

$
0
0
La ville de Béthény a tenu à honorer la mémoire de Bastien Payet en baptisant son nouveau terrain de football à son nom. Le jeune homme d’origine réunionnaise avait été battu à mort dans les rues de Reims en mars 2019.
Pour honorer sa mémoire, Béthény nomme son nouveau stade Bastien Payet
Plus de deux ans après sa tragique disparition, ceux qui ont connu Bastien Payet veulent continuer à honorer sa mémoire. Le jeune homme est décédé en mars 2019 après avoir été battu à mort par trois individus à Reims.

Pour lui rendre hommage, la commune de Béthény, où il vivait, a décidé de baptiser son nouveau de terrain de football "Stade Bastien Payet". Après l’inauguration, ses amis ont joué un match amical pour faire vivre sa mémoire. 

La famille de Bastien Payet est très touchée par le geste de la commune. Dans les colonnes du journal l’Union, sa mère explique :"Quand la commune nous a demandé si le nouveau terrain pouvait porter le nom de Bastien, ça a été une évidence de dire oui tout de suite, et une grande fierté".

Une soirée tragique

Le 8 mars 2019, Bastien Payet était de sortie avec des amis à Reims. Alors que les deux couples marchaient en direction d’une boîte de nuit, les deux femmes, qui marchaient devant, ont été interpellées par trois jeunes hommes exhibant leur sexe.

Ces derniers n’ont pas lâché le groupe et lorsque Bastien Payet leur a demandé d’arrêter, il s’est fait violemment passer à tabac par les trois jeunes hommes. Ses amis présents évoquent un déchaînement de violence incompréhensible. Il décédera de ses blessures dans la nuit.

L’instruction vient de se clôturer, la qualification des faits n’est pas encore connue. Les trois suspects ne cessent de s’accuser mutuellement.

Un passage remarqué dans les Douze coups de midi

Bastien Payet s’était fait remarquer lors d’un passage dans l’émission Les Douze coups de midi, diffusée sur TF1. Le jeune avait évoqué sa passion pour le foot et le slam, dont il avait fait une démonstration à l’antenne. Sa disparition avait suscité un très fort émoi chez les téléspectateurs de l’émission. 

Jean-Luc Reichmann lui avait rendu hommage en apprenant sa disparition. "Très mauvaise nouvelle. Bastien de Reims sur le plateau des 12 Coups de Midi, nous avait offert un moment d'émotion hors normes. Un de ces moments suspendus que l'on ne peut oublier dans une vie. À 23 ans Bastien représentait la joie de vivre", avait écrit l’animateur sur Twitter.

www.zinfos974.com

Fausse fusillade à St-Pierre : Le teasing original de La Zoone

$
0
0
Vous avez vu les images de cette fusillade à Saint-Pierre circuler sur les réseaux sociaux, publiées par un membre du groupe de rappeurs La Zoone. Mais les internautes n’ont pas été dupes et ont vite compris qu’il s’agissait d’une mise en scène pour la sortie d’un nouveau clip.
Fausse fusillade à St-Pierre : Le teasing original de La Zoone

Une fusillade en plein tournage d’un clip ! C’est ce qu’ont voulu faire croire les membres de La Zoone, collectif de rappeurs Saint-Pierrois.

L’un d’entre eux a publié avant-hier sur les réseaux sociaux une vidéo prise à distance du lieu de tournage du prochain clip d’Omar, intitulé “Maria”. On y distingue difficilement deux hommes à scooter arriver sur un groupe de jeunes, tirer en l’air avant de fuir.




La vidéo est laissée en ligne sans explication pendant 24 heures. Mais les internautes ne se font pas avoir, et pensent tout de suite à la mise en scène pour annoncer un prochain clip.

Hier soir, La Zoone (production d'artistes, marque de streetwear) révèle le pot-aux-roses sur les réseaux sociaux. On y voit la même scène, mais filmée avec du matériel de vidéaste, pour le tournage d’un clip. L’intro de la nouvelle chanson d’Omar commence donc bien par une fusillade qui vient perturber un rassemblement paisible entre jeunes de Saint-Pierre. 




Le clip sera disponible ce vendredi.
 

 

www.zinfos974.com

​Le Collectif Sport 974 mobilisation alerte la secrétaire d'Etat de la Jeunesse et des Sports

$
0
0
​Le Collectif Sport 974 mobilisation profite de chaque opportunité pour se faire entendre. La visite ministérielle était l’occasion rêvée de faire remonter la préoccupation du moment du monde sportif : faire que les pratiquants et encadrants soient exemptés de pass sanitaire.
​Le Collectif Sport 974 mobilisation alerte la secrétaire d'Etat de la Jeunesse et des Sports
La motion portée à la connaissance du préfet début septembre n’a pas encore influé sur les décisions de Jacques Billant. Il faut dire que le préfet applique stricto sensu la mesure nationale du Pass sanitaire. Depuis la publication du décret du 7 août 2021, il rend obligatoire la présentation du Pass sanitaire pour accéder à un établissement recevant du public (ERP de type X et PA) au 30 août et pour les mineurs de 12 à 17 ans, salariés et bénévoles qui interviennent dans ces lieux à compter du 30 septembre.

Le monde du sport est directement concerné par cette mesure. Ce qui ne l’empêche pas d’accepter son sort sans rien dire. Selon le Collectif Sport 974 mobilisation, il y a une "incohérence flagrante" dans la superposition des mesures. Un seul exemple saute aux yeux, les scolaires et périscolaires sont exemptés du Pass, or "On peut comparer une équipe sportive à une classe scolaire, un club sportif à une école. En 1 heure scolaire, un professeur de sport peut emmener une classe dans un ERP sans Pass sanitaire. Après l’école, ce même professeur qui doit intervenir dans une association, comme c’est souvent le cas, ainsi que ces mêmes enfants, sont soumis au Pass sanitaire. Et c’est pourtant bien le même public !"

Le collectif a obtenu l'écoute d'une collaboratrice de la secrétaire d'Etat auprès du ministre de l’Education nationale, de la Jeunesse et des Sports. Sans pouvoir donner son avis évidemment, la collaboratrice de Nathalie Elimas a pris la mesure du paradoxe et a promis de relayer leur point de vue. 

"On ne doit pas refuser à un enfant de faire du sport !"

"Évidemment le gouvernement a un discours favorable à la vaccination, c’est évident. Après, nous ce qu’on a dit c’est qu’il faut faire une distinction car, déjà, ce ne sont pas les enfants qui choisissent, ce sont les parents donc les enfants ne doivent pas subir une double peine parce que les parents ne veulent pas, par exemple, du Pass sanitaire ou du moins du vaccin pour leur enfant. On ne doit pas refuser à un enfant de faire du sport !", soutient Johan Guillou du collectif.

L’autre point abordé est celui du coût des tests antigéniques et PCR qui vont devenir payants (à partir du 15 octobre, ndlr). "A un moment donné, il va y avoir une disparité entre ceux qui peuvent payer le test et ceux qui n’auront pas les moyens de le faire. Donc forcément on va se retrouver avec une masse incroyable d’associations, d’enfants, de bénévoles et d’éducateurs qui ne pourront plus fonctionner, qui ne répondront plus présent", entrevoit-il comme sombre perspective.

Par ailleurs aux manettes d’une ligue, Johan Guillou a également tenté de faire parler les chiffres. "On lui a mis en évidence ce qu’il se passe au niveau scolaire et au niveau associatif. On lui a dit qu’il y a zéro cas de transmission Covid chez nous dans le sport, grâce à la mise en place du protocole."

Le sport qui s'arrête c'est aussi des incidences sur la santé et le social

Néanmoins, le préfet pourra difficilement échapper à la hiérarchie des normes du droit français en s’exonérant du décret visé mais le collectif a aussi demandé à ce "que le préfet puisse bénéficier d’un droit d’adaptation du Pass sanitaire." 

A défaut de pouvoir être entendu sur la totalité de la mesure du pass obligatoire, le collectif entend faire valoir une indulgence partielle "au moins sur les créneaux d’entrainements par exemple, et que le pass soit gardé sur les compétitions du week end". Au rythme de 2 à 3 séances par semaine plus les matches du samedi ou dimanche, la multiplication des tests Covid à passer (pour ceux qui refusent le vaccin) aura en effet de quoi décourager la jeunesse sportive. Un pilier social qu’il ne faut pas négliger selon Johan Guillou.

"Puisque tout le monde se renvoie la balle : c’est pas le préfet qui décide, c’est pas non plus le ministre. De ce que qu’on a compris, tout est décidé par les autorités sanitaires, alors la prochaine étape sera de demander audience à l’ARS d’ici le 30 septembre, date d’entrée en vigueur du pass chez le public mineur", ajoute Audrey Faggion, présidente du club de gymnastique de Saint-Pierre. "Si ça ne suffit pas, nous sommes prêts à alerter le président de la République", montre-t-elle sa détermination. 

Le collectif a un petit frère en Guadeloupe

Une urgence sociale doublée d’une urgence de santé publique. "Pas mal de jeunes qui sont susceptibles d’aller vers des compétitions nationales vont malheureusement arrêter car des associations vont fermer ! De nombreux jeunes n’ont pas resigné leur licence. Des éducateurs ont tout arrêté", complètent-ils leur propos. "On a aussi expliqué qu’il n’y a pas que la Covid-19 aujourd’hui, il y a d’autres problèmes pour lesquels le sport aide : nous pensons au diabète ou aux violences intrafamiliales." 

Seule bonne nouvelle du jour, le collectif n'est plus seul. "Le collectif a un petit frère en Guadeloupe. Un collectif qui s’est basé sur ce qu’on a fait à la Réunion", ajoute Audrey Faggion. Autant de ruisseaux qui pourront peut-être faire évoluer l'application du décret.

www.zinfos974.com

L'entreprise de marketing digital prend l'argent de Pôle emploi et laisse ses élèves sur la paille

$
0
0
​La fuite en avant. Tel pourrait être le titre du scénario du film dans lequel sont embourbés bien malgré eux une vingtaine de demandeurs d’emploi réunionnais. Ils ont suivi une formation en marketing digital avec la promesse d’un CDI mais c’est surtout des ennuis qu’ils ont récoltés jusque-là.
L'entreprise de marketing digital prend l'argent de Pôle emploi et laisse ses élèves sur la paille
S’engager dans une formation rémunérée avec pour horizon un emploi, voilà la promesse de la société Marktperf. Le problème, comme souvent en marketing, c’est que la promesse de vente est éloignée de la réalité. 

28 Réunionnais ont fait les frais d’une "mauvaise gestion" de chefs d’entreprises qui ont fui leurs responsabilités au moment des difficultés. Autant à La Réunion qu'en région Centre-Val de Loire, des candidats à l'emploi estiment avoir été bernés. 

Au mois de mars pour certains et de mai dernier pour d'autres, leur formation a débuté. Objectif : acquérir des connaissances en digital marketing. Elle devait s’emboîter avec un CDI correspondant exactement à la formation délivrée. Deux sociétés ont été créées pour les besoins de l’opération formation + emploi. La première, Formperf, était dédiée à la formation des élèves. Elle a su séduire l’administration de Pôle emploi Réunion pour bénéficier de fonds publics. Jusque-là, tout ce qu’il y a de plus classique étant donné que Pôle emploi est dans son rôle de facilitateur pour favoriser un retour à l’emploi de personnes inscrites dans ses registres.

La seconde entreprise, Marktperf, devait employer les 28 demandeurs d'emploi préalablement formés. Les deux sociétés étant gérées par le même tandem de gérants.

Mais la belle perspective d'un emploi a été stoppée nette dès lors que les salaires ont commencé à prendre du retard. "Chaque semaine, quand on relançait, les gérants nous disaient : 'sans problème, la semaine prochaine', ainsi de suite chaque semaine", se remémore Pascaline (prénom d’emprunt). 

"Pour moi c'est plutôt des gérants qui grattaient les subventions !"

"Ils me doivent 1500 euros", annonce la jeune femme qui a suivi un mois de formation au sein de Formperf. "Je n’ai pas eu d’explications", déplore-t-elle encore à ce jour. "Au bout d’une à deux semaines, je voyais que le patron ne répondait toujours pas concrètement à mes réponses quant au versement des salaires. Il n’y a eu aucune transparence", ajoute-t-elle avant de décider, comme d’autres de sa promotion, d’agir collectivement. Une bien triste expérience d’autant que "si toutes ces personnes accédaient à cette formation, c’est justement parce qu’on était demandeurs d’emploi et à la fin de la formation, un CDI en tant que télé-conseiller-vendeur nous était promis. Pôle emploi a décidé de signer avec cette entreprise donc ils étaient au courant de tout", raconte-t-elle son vécu, avec amertume.

Autre cas concret, celui de Sylvie. Elle aussi se retrouve à courir derrière son salaire. A la différence près que ce n’est pas un mais deux mois qu’elle a effectués chez Formperf, mais aussi qu'elle est embarquée dans cette galère avec son compagnon. Les tracas multipliés par deux en somme...

"J’ai commencé le 26 mars et terminé la formation le 26 mai. Je trouve que la partie théorie était super car c’était vraiment innovant. La pratique, par contre, était mal organisée. J’avais l’impression de perdre mon temps. Par la suite, mon compagnon et moi avons été embauchés car la formation était financée par Pôle emploi dans l’optique d’une embauche", rappelle-t-elle l'imbrication formation + emploi. Sylvie souligne d’emblée le ressenti "pas terrible" sur les gérants qu’elle a eu au début de la formation.

"J’ai trouvé qu’ils n'étaient pas nets. J’ai eu une appréhension, je me disais que ce n’était pas très sain. Mes doutes se sont confirmés au début de ma prise de poste en tant que soi-disant 'marketer digital 2.0' comme ils aimaient le dire. La réalité c’est qu’ils ont démarré l’entreprise mais avec un seul produit à vendre, c’était bizarre", donne-t-elle un aperçu du manque de sérieux.

L'entreprise de marketing digital prend l'argent de Pôle emploi et laisse ses élèves sur la paille
Au mois de juin, le travail de Sylvie consistait à démarcher des gérants de TPE pour qu'ils utilisent le "chèque numérique" d’un montant de 500 euros, un dispositif leur permettant de leur donner une visibilité sur internet en créant leur site web par exemple. "Malheureusement, les gérants de TPE revenaient vers nous en nous signalant qu’ils n’avaient pas eu la prestation", se souvient Sylvie. "Il y a eu aussi le chèque FEDER de 4000 euros", ajoute-t-elle. "Sur les 150 clients démarchés, on a eu 80 qui ont signé le devis mais, eux, attendaient toujours les prestations", se rappelle-t-elle de la délicate situation avant de quitter le navire sans capitaine. 

Les deux entrepreneurs laissent tout en plan, sans même informer la responsable de la formation

"Au final ils nous ont payé une partie début juin mais pour le reste, chaque semaine ils nous ont roulé dans la farine en répétant : 'Oui ça va être payé'. Au final, c’est 600 euros qu’ils me doivent et près de 3000 euros à mon compagnon pour juillet plus août", fait-elle les comptes. 

Et il n’y a rien de rassurant pour les personnes formées. Leurs deux responsables brillent par leur dérobade en métropole aussi. 

Cette stratégie de fuite de leurs responsabilités a pourtant gravement impacté la vie de certains élèves. "Avec les salaires de juin qui n’ont pas été payés dans les délais, cela nous a mis dans les difficultés financières vis-à-vis de la banque avec beaucoup de prélèvements qui ont été rejetés. J’ai dû avoir recours au CCAS pour subvenir aux besoins vitaux de mes deux enfants", souffle une élève. "Jusqu’à aujourd’hui, le 10 septembre, mon solde de tout compte n’est toujours pas payé. Pour moi cette société c’était une grosse arnaque. Pour moi c'est plutôt des gérants qui grattaient les subventions ! Malgré le fait qu’ils ne payaient pas les gens, au mois d’août ils ont quand même continué à embaucher", ajoute-t-elle.

A La Réunion, un collectif des personnes lésées s’est formé. "Avec les autres élèves, nous nous sommes rencontrés finalement pour la première fois lorsqu’ont surgi les problèmes", raconte l’un d'eux, car les cours se faisaient en visio avec des masterclass avec la métropole et un travail qui était lui aussi proposé en distanciel.

Un indice aussi probant qu'alarmant vient ajouter de l’eau au moulin des élèves réunionnais laissés sur la paille. Le duo d’entrepreneurs a également déserté en métropole, en région Centre-Val de Loire plus précisément où les mêmes promesses sans lendemain ont été miroitées à un public déjà précaire de Pôle emploi. Nous avons interrogé la responsable de la formation.  

Val de Loire: Un beau matin, formatrice et élèves découvrent le local fermé

"Il y a vraiment eu un problème de mauvaise gestion. M.Fraiseau a eu une gestion un peu désinvolte et irresponsable. Les gérants ont employé 500.000 personnes sans prendre la mesure de ce que ça impliquait", nous répond la responsable de la formation chez Formperf, depuis la région Centre-Val de Loire où 24 élèves ont également pris part au même type de formation en marketing 2.0. "Nous on avait monté une formation de haut vol", mais "c'est toute la partie marketing, avec les fichiers de prospects qualifiés, qui a été mal préparée", dit-elle, confirmant l'impression que nous partageaient les élèves de La Réunion.

L'entreprise de marketing digital prend l'argent de Pôle emploi et laisse ses élèves sur la paille
​Début septembre en région Centre-Val de Loire, le tribunal de commerce s’est en tout cas emparé du dossier en mandatant un liquidateur judiciaire. Il reviendra à Me Villa d’arbitrer les créances prioritaires à honorer en fonction des éventuels actifs laissés par le duo de chefs d’entreprises.  

"Ils ont manqué à leurs obligations qui étaient de payer les salaires", affirme l’ancienne responsable formation. "On peut comprendre qu’il y ait eu des difficultés dans la gestion, ça arrive à toute société, mais ce que je trouve déplorable c’est ce total manque de transparence lorsque les difficultés sont apparues. Ils auraient pu faire un mea culpa", reproche-t-elle. Mais au lieu d’affronter le regard de leurs salariés, les gérants ont disparu de la circulation, que ce soit en métropole ou à La Réunion. 

Une anecdote donne la mesure de la politique de l'autruche des deux gérants. "On avait notre local à Orléans. On est arrivé un matin devant le local et il était fermé ! On a découvert que le bailleur avait repris le local, faute d’avoir été payé", raconte-t-elle, déçu pour ses élèves. 

Dans le journal La République du Centre (voir plus bas), l'un des gérants fait porter le chapeau à Pôle Emploi en l'accusant d'un "décalage de quatre mois dans la formation". Nous avons contacté les deux gérants, avec le même succès que leurs ex-salariés laissés sur la paille...

Pour avoir une idée de l’argent public qui a été attribué par Pôle Emploi à la société Formperf, il faut considérer qu’entre 2700 à un peu plus de 3000 euros (fonction de la durée de formation longue ou courte) lui ont été donnés pour chaque demandeur d’emploi formé. Ils étaient 28 à La Réunion et 24 en métropole, soit environ 150.000 euros l'opération "retour à l'emploi". 
 

Pôle Emploi Réunion répond à Zinfos974 : 
"Pôle emploi Réunion a effectivement financé une formation préparatoire à la prise de poste, grâce au dispositif POE (Préparation Opérationnelle à l’Emploi) pour 28 demandeurs d’emploi dont 25 ont été embauchés par Marktperf.

Ce dispositif permet de développer les compétences des demandeurs d’emploi pour mettre en adéquation les compétences requises pour accéder aux postes proposés par l’entreprise.

La POE  finance tout ou partie des frais engagés par l’entreprise pour une formation réalisée en interne ou en organisme externe ; Il est tout à fait courant et conforme à la réglementation juridique que l’organisme de formation appartienne à l’entreprise.

Le paiement des frais de formation intervient à l’issue de la formation (J+30 dans le cas présent) selon le coût horaire habituel pour ce type d’action.

Les 25 demandeurs d’emploi ont été formés du 22 mars au 25 mai 2021 et rémunérés par Pôle emploi au titre de leur statut de stagiaire. Il n’y a eu aucun retard de paiement dans les rémunérations de stage. Lors du bilan final de la formation, les stagiaires ont exprimé leur pleine satisfaction tant sur le contenu pédagogique que sur les modalités d’apprentissage.

Les 25 contrats de travail en CDI ont été signés le 26 mai 2021. Dès lors, les conflits dans la relation employeur/salarié relèvent de l’Inspection du Travail."

 
Julien Muñoz, le président de Marktperf, s'explique dans La République du Centre. Un extrait de l'article   : 
"Les salaires seront payés. Il y a des assurances. On a fait des avances quand c’était possible", explique Julien Muñoz. Il incrimine Pôle emploi "qui a commencé la formation avec quatre mois de décalage. Elle aurait dû débuter fin novembre et elle a commencé fin mars. Pendant ces quatre mois, payer le loyer, les salaires, les licences informatiques, etc., a déjà beaucoup entamé notre trésorerie. Nous avons essayé de solliciter nos banques, mais elles n’ont pas suivi…" Il attendait ensuite un chiffre d’affaires de 6.000 euros mensuel pour chacun des 52 téléopérateurs. "Mais on n’a eu que 8.000 euros, au total, en trois mois !"

L'entreprise de marketing digital prend l'argent de Pôle emploi et laisse ses élèves sur la paille

www.zinfos974.com

Une photo mal légendée de Miss Réunion fait réagir les internautes

$
0
0
Une erreur s'est glissée dans les publications du Comité Miss Réunion. Lors de la visite de Dana Virin à la mairie de Sainte-Suzanne, le buste de Marianne a été légendé comme étant celui d'Edmond Albius. Les internautes s'en sont donnés à coeur joie dans les commentaires.
Une photo mal légendée de Miss Réunion fait réagir les internautes

www.zinfos974.com

Polémique Miss Réunion 1986, Nathalie Marquay contre-attaque

$
0
0
Il y a quelques jours Geneviève de Fontenay revenait sur le devant de la scène en créant une vive polémique. Le titre de Miss France 1987 a-t-il été volé à Miss Réunion 1986, la très jolie Joëlle Ramyead ? Nathalie Marquay, la Miss France élue, répond à la dame au chapeau, sans utiliser de pincettes...
Polémique Miss Réunion 1986, Nathalie Marquay contre-attaque
Geneviève de Fontenay a la première lancé un pavé dans la mare en déclarant : " L’opinion publique avait voté pour une Réunionnaise mais LIRE LA SUITE

www.zinfos974.com

Le Club Export Réunion expose ses solutions pour l’internationalisation des entreprises réunionnaises

$
0
0
2020 et 2021 sont des épreuves inédites pour les entreprises exportatrices locales. Dans un Livre Blanc, le Club Export Réunion élabore des propositions concrètes pour donner un nouveau souffle à l’internationalisation du territoire dans les 5 prochaines années. Le communiqué :
Le Club Export Réunion expose ses solutions pour l’internationalisation des entreprises réunionnaises
Le Club Export Réunion, qui rassemble depuis 22 ans de véritables « explorateurs de l’export », publie un Livre Blanc sur une nouvelle approche de l’internationalisation des entreprises de La Réunion à l’horizon 2026. Chargé de sa rédaction, le cabinet Verso Consulting a interrogé les adhérents du Club Export, mais aussi ses partenaires institutionnels et acteurs clés de l’export à La Réunion et dans la zone OI.

Cette publication est une réflexion globale sur les enjeux de la filière export, avec un état des lieux et des propositions concrètes pour en faire un secteur économique à part entière, susceptible d’atteindre le milliard d’euros de chiffre d’affaires dans 5 ans.

Une démarche collaborative et partenariale

Élaboré entre janvier et juin 2021, le document d’une soixantaine de pages regroupe 19 propositions opérationnelles, réparties en 3 grands axes stratégiques : structurer l’offre réunionnaise à l’export, améliorer l’environnement des affaires et dynamiser la capacité de projection à l’international.

Ce défi ne peut être relevé seul, précise le Club Export Réunion. De nombreuses actions proposées revêtent une dimension collective et d’intérêt général. Elles ont vocation à être portées par l’ensemble des partenaires, institutionnels et socioprofessionnels.

Parmi les propositions développées au sein de ce Livre Blanc :

- Créer une base de données de l’international permettant d’améliorer la connaissance des entreprises et des filières à l’export.

- Fédérer les acteurs publics et privés autour d’une « task force » permanente à l’international, outil permettant les échanges sur les grands enjeux (fret, Accords de partenariats économiques, création d’une compagnie maritime régionale, etc.), le pilotage des actions de coopération régionale et le suivi efficace des actions entreprises.

- Améliorer l’offre locale éducative à l’international pour renforcer les compétences des jeunes, des porteurs de projets et des chefs d’entreprise (renforcement du lien école/entreprise, formations de haut niveau, apprentissage renforcé de l’anglais).

- Construire ou consolider des outils de financement adaptés à la taille des PME locales par la création d’un fonds spécifique Outre-mer, outils de financements participatifs, recours à la défiscalisation.

- Développer de nouvelles approches de l’export via l’exportation collaborative, en encourageant les entreprises locales à travailler ensemble pour gagner en efficience à l’export. Le Club Export Réunion est le premier à porter cette approche dans l’océan Indien. Un premier groupement d’artisans de l’agroalimentaire avec une offre commune doit voir le jour dans quelques mois.

- Proposer un accompagnement technique renforcé aux entreprises à chaque étape de leurs démarches d’internationalisation, grâce au recours à un ensemble de services basés sur des expertises métiers reconnues (juridique, fiscal, commercial, marketing, logistique, etc.). Le Club Export Réunion envisage une montée en gamme de ses prestations et une refonte de ses services en ce sens.

- Renforcer la visibilité et la lisibilité de l’offre réunionnaise à l’export, en développant des outils promotionnels visant à mieux la présenter (catalogues sectoriels).

- Appuyer la structuration de filières dans l’océan Indien pour permettre aux entreprises du territoire de s’inscrire dans une chaîne de valeur à l’échelle régionale et favoriser l’émergence d’initiatives entrepreneuriales conjointes en fonction des opportunités offertes par chaque pays.

Selon Laurent Lemaître, Président du Club Export Réunion : « 2020 et 2021 ont été deux années particulièrement difficiles pour tout le monde, y compris pour nos entreprises TPE/PME exportatrices du territoire. Mais nous sommes résolument optimistes pour l’avenir et convaincus que nos entrepreneurs peuvent et doivent prendre position dans leur environnement régional.

Pour y répondre efficacement, il sera primordial de jouer collectif. Ce Livre Blanc est une feuille de route construite dans cette logique. Nous devons poursuivre la structuration de notre filière pour que nos entreprises soient mieux informées, mieux valorisées, et mieux accompagnées à exporter, voire à s’implanter de manière durable dans les pays de la zone océan Indien. C’est dans cette ambition collective que le Club Export Réunion, doit continuer de travailler et se développer ». 

www.zinfos974.com

CGTR : "Le président et le directeur de La Créole se sont retenus eux-mêmes de leur plein gré"

$
0
0
Ce mardi, le conseil municipal de Saint-Paul "condamnait fermement les comportements des grévistes ayant conduit à retenir contre leur gré le président de la Créole et le directeur par intérim". Ce mercredi, la CGTR dément les faits. "C’est à l’arrivée d'une trentaine de gendarmes et du GIGN qu'ils sont sortis d'eux-mêmes des locaux, faisant passer les salariés grévistes pacifistes pour des criminels", exprime le syndicat.
CGTR :
Le communiqué du syndicat :

Le lundi 6 septembre au soir, un accord global a été trouvé notamment avec le maintien de salaire pour les jours de grève. La direction devait rédiger le lendemain un protocole de sortie de grève pour signatures en prenant en compte l’ensemble des revendications ci-après :

-Maintien des paiements de l’astreinte
-Maintien des 36 jours de congés ouvrés  ACQUIS PAR CERTAINS SALARIES DEPUIS 1990 et applicable a l’ensemble du personnel de La Créole
-Maintien de la prime de l’intéressement en l’état

Le protocole ainsi rédigé et transmis par la direction ne mentionne ni les jours de congés ni le maintien de salaires pour les jours de grève. Dans ses contre-propositions, la délégation syndicale a pour sa part parfaitement respecté les échanges entre les deux parties, rétablissant les jours de congés et jours de grève.

Apres une semaine d'échanges, passant même par une médiation de l'inspection du travail qui n'a pas abouti, hier 14 septembre vers 16h, une nouvelle réunion a eu lieu avec la délégation syndicale. La direction campe sur sa position et a proposé la retenue de 5 jours de salaires alors qu’elle s’était engagée au maintien de salaire.

La délégation syndicale responsable avait une proposition de retrait sur les jours de congés que le président du conseil d’administration M. S. GUYON a rejetée. Il a mis un terme aux négociations, le délégué syndical lui a proposé de venir parler avec les salariés, ce dernier a répondu je cite : "je ne parle pas aux salariés",  d’où le courroux de l'ensemble des agents qui s’étaient rassemblés aux abords des locaux.

A aucun moment les salariés n’ont retenu le Président du CA et le Directeur par intérim qui se sont enfermés à clef à l’intérieur des locaux. C’est à l’arrivée d'une trentaine de gendarmes de la Bac et du GIGN qu'ils sont sortis d'eux-mêmes des locaux, faisant passer les salariés grévistes pacifistes pour des criminels.

Le Président du CA et le Directeur par intérim se sont retenus eux-mêmes de leur plein gré. Ce matin le directeur par intérim a regagné ses bureaux sans escorte, nous sommes toujours dans l’attente d’une sortie de grève. La délégation syndicale a par ailleurs transmis au Directeur par intérim une proposition de sortie de crise.

Pour la Délégation Syndicale CGTR EAUX
Le Délégué Syndical
 

www.zinfos974.com

Vidéo - Plan de relance agricole dans les DOM : "Un zéro pointé"

$
0
0
Il ne faudra pas s'attendre à un retour rapide à l'équilibre des finances de la Chambre d'agriculture. Lors de l'assemblée plénière de la chambre verte qui s'est tenue ce mardi, son président, Frédéric Vienne, a présenté les comptes de cette dernière, toujours dans le rouge. Une situation liée crise sanitaire dans l'île mais aussi à de nombreux mouvements de personnel.
Vidéo - Plan de relance agricole dans les DOM :
En effet, après révision du budget initial voté en fin d'année dernière, le résultat de fonctionnement de la chambre consulaire affiche un résultat de -420 391 €, alors qu'elle prévoyait un solde positif de +87 632 €. Les dépenses de fonctionnement, elles, ont été réajustées à +123 601 € tout en restant inférieures à celles enregistrées en 2019 et en 2020. Au total, les dépenses du personnel sont en augmentation de 393 256 €, soit une hausse de 4,28%.

La Chambre d'agriculture explique ces hausses principalement par l'augmentation de la ligne des indemnités de licenciement, des ruptures conventionnelles ou encore des indemnités de fin de CDD (+329 782 €, soit + 83,8%), mais aussi par la hausse de la rémunération du personnel et des cotisations sociales correspondantes (+61 738 €).

"La situation financière ne s'améliore pas", reconnaît Frédéric Vienne, qui rappelle avoir hérité de près de 5,2  millions d'euros de déficit lors de son arrivée à la tête de la chambre verte. Malgré tout, il compte bien résorber la dette de l'institution "dans les 3, 4 voire 5 prochaines années". Cela passera par des négociations notamment avec la CGSS à qui la Chambre d'agriculture va demander un nouvel échelonnement de sa dette.

Frédéric Vienne a profité de cette assemblée pour revenir sur le Plan de relance destiné à l'agriculture dans les territoires ultramarins, doté de 80 millions d'euros. "Un zéro pointé", peste le président de la Chambre d'agriculture, qui dénonce des critères d'éligibilité trop contraignants pour les petits agriculteurs. "Il faut que l'agriculteur avance l'achat total du matériel. Exemple : pour un microtracteur de 30 000 euros, il faudra que l'agriculteur avance le montant et se fasse rembourser on ne sait pas quand les 75% de financements auxquels il peut prétendre", explique-t-il. De ce fait, Frédéric Vienne estime que ce Plan de relance "ne marchera pas du tout dans les Outre-Mer", prévoyant déjà que la totalité des crédits "ne pourra être consommée dans ces territoires".

Frédéric Vienne a de nouveau fait part de son incompréhension concernant la situation à la Commission partiaire de la canne et du sucre (CPCS). Pour rappel, les élections qui s'étaient déroulées en juin dernier avait vu la liste conduite par le FDSEA remporter le scrutin, mais la nouvelle équipe élue attend toujours de siéger. Au grand dam du président de la chambre consulaire, ex-patron de l'antenne locale de la FDSEA. 
 
Canne : La FDSEA demande la mise en place de la nouvelle équipe élue au CPCS

Or, c’est à partir de ces résultats que les personnes siégeant au CPCS sont désignées. L’enjeu est essentiel pour la renégociation de la future convention canne de 2022. "Le président actuel (NDLR : du CPCS) avait dit qu'il allait démissionner mais cela ne s'est pas fait. Nous avons une équipe élue qui attend de siéger alors que les négociations autour de la future convention canne ont déjà commencé", dénonce Frédéric Vienne, qui voit dans cet imbroglio une manœuvre "orchestrée très certainement par les industriels qui doivent encore tirer les ficelles de la Commission paritaire, au détriment du bon fonctionnement de celle-ci".


www.zinfos974.com

Une légère reprise du trafic en juillet-août à l’aéroport de La Réunion Roland Garros

$
0
0
Une légère reprise du trafic en juillet-août à l’aéroport de La Réunion Roland Garros
Malgré le durcissement des mesures sanitaires sur l’île, à compter du 31 juillet, et l’exigence maintenue de motifs impérieux pour les personnes non vaccinées à l’arrivée souhaitant voyager, le nombre de passagers a enregistré une reprise douce en juillet et août sur la métropole et Mayotte.

Les lignes desservant les deux aéroports parisiens, ainsi que Lyon et Marseille (desserte ouverte par Corsair en juin 2021) ont accueilli 249.290 passagers, en forte progression (+47,7%) par rapport à 2020. L’activité est toutefois restée en recul (-19,5%) par rapport à 2019.

Sur Mayotte, où la situation sanitaire s’était considérablement améliorée ces derniers mois, le nombre de passagers (35.210) a dépassé celui de 2019, sur les deux mois de Juillet et août. Seuls quelques vols ont, d’autre part, été opérés sur l’île Maurice et Madagascar, pendant cette période de vacances scolaires, qui correspond, habituellement, à un pic de trafic sur ces destinations.

Dans le domaine du fret, l’activité a bénéficié du quasi-rétablissement des fréquences d’avant crise, en juillet-août, entre la métropole et La Réunion. La baisse globale de l’activité a été limitée à 15% sur la période, par rapport à 2019.


Le trafic aérien reste en fort recul sur les 8 premiers mois de l’année

L’aéroport Roland Garros a accueilli 570 747 passagers de janvier à août 2021, un chiffre en recul de 21,7% par rapport à 2020 et de 55,8% par rapport à 2019. L’impact de la crise sanitaire se fait encore, durement, ressentir sur le trafic aérien, réduit aux liaisons avec la métropole et Mayotte et à des échanges très limités avec Madagascar et Maurice.

Au cours des huit premiers mois de l’année, 486.583 personnes ont voyagé entre la Métropole et La Réunion, soit un trafic quasiment équivalent à celui de 2020 (-1,3%) mais moitié moindre (-48,4%) que celui de 2019.
L’activité entre La Réunion et Mayotte est également en fort recul par rapport à 2019 (70.154 passagers depuis le début de l’année, -36,4%) mais a progressé de 35,4% par rapport à 2020. Depuis décembre 2020, la ligne est desservie par Air Austral et Corsair. Le nombre de passagers en provenance et à destination de l’île Maurice est en chute libre (1 697 depuis le début de l’année) et l’activité reste limitée à quelques vols ponctuels entre Madagascar et La Réunion (1 337 passagers). Les autres lignes régionales (vers les Comores, les Seychelles, l’Afrique du Sud) et long-courriers internationales (vers l’Inde, la Thaïlande et la Chine) sont fermées, depuis le début de la pandémie.

La baisse du trafic est moins forte dans le domaine du fret, l’aéroport Roland-Garros restant un maillon essentiel de l’approvisionnement de l’île en produits périssables et en médicaments ainsi que pour les exportations de produits frais (fruits, poissons). 13.736 tonnes de marchandises ont été comptabilisées de janvier à août 2021. Si ce chiffre est en recul de 21,8% par rapport à 2019, il progresse légèrement (+1,3%) par rapport à l’an passé et la baisse est plus sensible sur les exportations que sur les importations. 

www.zinfos974.com

L'Espace Océan utilisé comme site de décharge éphémère, l'explication de la mairie

$
0
0
L'étrange ballet "dépôt d’encombrants suivi d’une collecte par les camions grappin" de la Cinor sur l’Espace Océan se fait dans le cadre de l’opération "Netoy nout vil". La mairie de Saint-Denis explique la démarche provisoire, et exceptionnelle par son ampleur, de lutter contre une flambée de la dengue à l’approche de l’été.
L'Espace Océan utilisé comme site de décharge éphémère, l'explication de la mairie
"Hier mardi avait lieu le deuxième jour de l’opération géante "Netoy nout vil" dans le quartier du centre ville et du bas de la rue Maréchal Leclerc. Or, il faut une zone « tampon » pour réunir les déchets des riverains après leur vide cour pour permettre aux camions de la Cinor de les conduire en déchèterie.... Nous nettoyons la ville en prévision de la saison des pluies et donc de la dengue et sommes en phase avec la journée mondiale de nettoyage de la planète", nous indique la mairie de Saint-Denis. 

La semaine dernière en effet, la mairie avait prévenu la population (voir le lien plus bas) de cette opération "vide fond de cour" à l’occasion du World Clean-up day 2021, en français : la journée mondiale du nettoyage de la planète. 

Ainsi, du 13 au 16 septembre, les habitants de quatre nouveaux quartiers du chef-lieu étaient (et sont) invités à un vide cour participatif afin d’éliminer les sources de gîtes larvaires.

La mairie et la Cinor ont pour ce faire mobilisé 130 agents, 16 camions et tous les habitants des quartiers prêts à y mettre du leur.

"Cette seconde édition de Nétoy nout vil a pour ambition de prévenir la prolifération des moustiques aedes, vecteurs de la dengue. À l’issue de ces deux opérations, c’est l’ensemble du territoire communal qui aura été passé au crible", programme la Ville.


9 septembre : World Clean Up Day : Saint-Denis lutte contre les déchets et la dengue
14 septembre : St-Denis : Le Pôle Océan transformé en décharge éphémère !

L'Espace Océan utilisé comme site de décharge éphémère, l'explication de la mairie

www.zinfos974.com
Viewing all 97587 articles
Browse latest View live
<script src="https://jsc.adskeeper.com/r/s/rssing.com.1596347.js" async> </script>