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Le candidat LREM Jérôme Peyrat retire sa candidature et sème la confusion

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L’ancien conseiller d’Emmanuel Macron a été condamné en 2020 pour violences conjugales. Il s’est représenté en Dordogne pour les législatives, avant de se retirer sous la pression. Il a été soutenu par le délégué général de LREM, qui a dû se rétracter peu après.
Le candidat LREM Jérôme Peyrat retire sa candidature et sème la confusion
"J'entends que ma candidature aux élections législatives pourrait porter atteinte à ma famille politique. Je la retire", annonce Jérôme Peyrat, candidat dans la 4e circonscription de Dordogne, soutenu par LREM. "J'invite chacune et chacun à regarder précisément les faits qui me sont reprochés, la décision de justice et les autres décisions prises dans cette affaire", ajoute-t-il.

Ce qui "pourrait" porter atteinte au parti présidentiel, c’est sa condamnation pour violences conjugales en 2020 sur son ancienne compagne. Celle-ci s’était vue prescrire 14 jours d’ITT. De quoi susciter les critiques de l’opposition.

Un soutien malvenu

En direct à la radio, Stanislas Guérini a tenté de défendre le maire de La Roque-Gageac. Le délégué général de LREM s’est lancé dans une défense assez malvenue : "C'est un honnête homme, je ne le crois pas capable de violences sur les femmes." De quoi mettre de l’huile sur le feu.

Stanislas Guérini sera obligé de s’excuser publiquement quelques heures plus tard. "Je mesure que les propos que j'ai tenus ce matin sur France Info (...) ont pu heurter et blesser", a-t-il indiqué sur Twitter.


Jérôme Peyrat est député depuis 25 ans dans sa région. Il a été tour à tour conseiller de Jacques Chirac, Nicolas Sarkozy et Emmanuel Macron. Il avait intégré le pôle politique de l’actuel président en mai 2019. En janvier 2020, il a quitté ce poste après l’ouverture de l’enquête qui mènera à sa condamnation.

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Le billet d'humeur de Mohamed Aït-Aarab : "Vive la crise !"

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Le billet d'humeur de Mohamed Aït-Arab à retrouver ci-dessous :
Le billet d'humeur de Mohamed Aït-Aarab :
Au siècle dernier, en 1984 très précisément, France 2 (Antenne 2 à l’époque) diffusait une émission d’un genre nouveau, mélange de faux reportages et d’interventions en plateau du comédien Yves Montand, promu ce soir-là présentateur en chef. Le titre, volontairement provocateur - « Vive la crise ! » - résonnait étrangement avec la période, marquée par les fermetures d’usines, une explosion du chômage et la montée en puissance du Front national de Jean-Marie Le Pen.
 
Aujourd’hui, certains pourraient entonner le même refrain tant la crise sanitaire leur a été bénéfique. Si l’on en croit l’Observatoire des multinationales, la pandémie n’a pas été une si mauvaise chose, du moins pour une certaine catégorie de Français : 
  • 2/3 des entreprises du CAC40 battent leurs records historiques de profits ; 
  • les actionnaires ont vu leurs dividendes augmenter de 33% (57,5 milliards d’euros sur les profits 2021) ; 
  • les rémunérations des PDG se montent à 237 millions d’euros, soit une augmentation de 23%.
Ces chiffres sont à mettre en parallèle avec d’autres : 
  • plus de 27.613 emplois supprimés en France ; 
  • une augmentation du SMIC de 2,65% (alors que les économistes envisagent une inflation autour de 5,1% pour l’année 2022), ce qui signifie clairement une baisse du pouvoir d’achat. Et pas besoin d’être économiste pour le comprendre.
Au même moment, les PME et TPE, avec toute la résilience dont elles sont capables, font face à un environnement économique et politique inquiétant et imprévisible et se battent quotidiennement pour préserver les emplois, pérenniser leur activité.
 
Et je n’ose même pas parler du gel du point d’indice (on va m’accuser de corporatisme) qui a fait perdre à tous les fonctionnaires, depuis dix ans, entre 300 et 700€ mensuels (selon la catégorie à laquelle ils appartiennent).
 
Un dicton affirmait qu’en période de crise les gros maigrissaient et les maigres mouraient. Dans la France de M. Macron et de Mme Borne, notre nouvelle première ministre, si rien n’est mis en œuvre pour aider les plus fragiles de nos concitoyens, la crise viendra à bout des maigres. Mais les gros, les gras, les joufflus, continueront de bien se porter. 

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Olivier Hoarau félicite Pierrick Robert

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Le maire du Port félicite Pierrick Robert pour son élection à la tête de la CCIR.
Olivier Hoarau félicite Pierrick Robert
Le communiqué :

Je salue l'élection de Pierrick Robert et de sa liste à la destinée de la Chambre de Commerce et d'Industrie de La Réunion. La CCIR est une institution fondamentale au service des entreprises et de la formation professionnelle sur notre territoire. Je leur souhaite une pleine réussite dans leurs nouvelles responsabilités. Nos acteurs économiques doivent pouvoir compter sur leur détermination et leur engagement.

Olivier Hoarau 
Maire de Le Port

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Prévention : Ces maladies incurables de l'intestin

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Le MICI, maladies inflammatoires de l’intestin, touchent plus de 8000 nouvelles personnes par an mais restent inconnues. Pour que le grand public se rende compte de leurs impacts et pour récolter des fonds pour la recherche, l’organisation World IBD Day organise aujourd’hui et depuis 2010 la journée mondiale des MICI.
Prévention : Ces maladies incurables de l'intestin
Ce vendredi 19 mai célèbre la journée mondiale des MICI, la maladie inflammatoire chronique de l’intestin. Ce nom ne parle pas forcément à tous, mais ces maladies, comme la maladie de Crohn, sont très répandues, avec plus de 10 millions de cas recensés dans le monde, dont 250.000 en France. 

Cette journée est organisée en France par l’Association François Aupetit, l’association française d’aide pour les MICI, et dans le monde par World IBD Day, une organisation qui vise la sensibilisation et l’information autour des MICI via le rassemblement des associations du monde entier le 19 mai. Ce jour et ces associations sont représentés par un ruban de couleur violette pour symboliser leur lutte.
 

MICI : qu’est-ce que c’est ?

Les maladies inflammatoires chroniques de l’intestin rassemblent la maladie de Crohn et la rectocolite hémorragique. Les deux se caractérisent par une inflammation de la paroi du tube digestif. Les MICI sont dites "chroniques" car se sont des maladies dont on ne guérit pas, les traitements existants sont donc destinés à limiter l’impact sur le quotidien de la personne touchée. 

Les maladies peuvent dans certains cas évoluer vers des cancers, notamment du côlon, qui sont extrêmement compliqués à traiter, c’est pour cela qu’il est très important de suivre un traitement même si celui-ci ne permet pas la rémission totale.

MICI : quels soins et préventions ?

Même si on ne peut pas soigner complètement les MICI, on peut les réduire au minimum et pour cela, il est très important de détecter le plus tôt possible une potentielle inflammation. Pour cela, l’AFA a créé une grande campagne de prévention. 

Dans ces rapports, l’association et le gouvernement décrivent plusieurs signes pour détecter les MICI. Le signe le plus courant est un épisode de diarrhée très important. Si on ne connaît pas avec exactitude l’origine de ces maladies, on suspecte notamment les mauvais comportements alimentaires ou le tabagisme d’en faire partie.

La journée internationale des MICI a permis depuis sa création d’organiser les organisations du monde entier pour mettre en place un lobbying auprès de gouvernements et ainsi récolter des fonds pour la recherche de traitements plus efficaces.
 


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Il prendra ses fonctions à la CCIR le 25 mai prochain : Pierrick Robert ne veut pas la jouer solo mais être un "fédérateur"

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Vainqueur ce mercredi des élections à la Chambre de commerce et d'industrie de La Réunion, Pierrick Robert devra attendre l'assemblée générale de la chambre consulaire du 25 mai prochain pour être officiellement investi dans ses nouvelles fonctions. Ce dernier veut jouer collectif avec l'ensemble des collectivités et du milieu économique, tout en étant "dans la continuité" de son prédécesseur Ibrahim Patel. "L’important ce n’est pas de se placer au-dessus ou être celui qui veut tout représenter ou tout gérer mais d'être celui qui veut fédérer et accompagner", clame le nouveau patron de la CCIR, qui s'est confié à nous au lendemain de sa victoire.
Il prendra ses fonctions à la CCIR le 25 mai prochain : Pierrick Robert ne veut pas la jouer solo mais être un
Dans quel état d'esprit vous trouvez-vous ?

Dans un premier temps, je tiens à remercier l’ensemble des ressortissants et chefs d’entreprise qui nous ont fait confiance lors de cette élection. Je tiens également à remercier l’équipe qui a été à mes côtés pour travailler, particulièrement Ibrahim Patel pour son implication dans la campagne qu’on a menée.

Et aujourd’hui, nous nous engageons à mener un travail pour les ressortissants de la Chambre de commerce. Il y a une vraie proximité, un accompagnement fort et une protection forte pour eux dans cette période de crise. Effectivement, nous aurons une première assemblée pour élire le bureau, et à la suite de ça nous déploierons en urgence la feuille de route que nous avons établie et notre programme.

Justement quelles sont les grandes lignes de ce programme ?

Je suis moi-même chef d’entreprise et je connais parfaitement la situation économique. Je connais les difficultés et je vais m’attacher dès ma prise de fonction à être en relation avec les différents parties prenantes, que ce soit la Région, le Département, l’Etat pour que nous puissions établir ensemble un diagnostic et trouver des solutions parce que sinon nous serons proches d’une hécatombe au vu de la crise qu’on traverse. La priorité des priorités sera justement d’apporter des solutions rapides et urgentes pour les entreprises, qu’on puisse sauver justement notre économie.

Quels sont les projets qui vous tiennent à cœur ?

La transmission d’entreprise est aujourd’hui un sujet important. Nous avons en 2021 mis en place l’école supérieure de management mais aussi l’école du numérique. C'est sous cette mandature que nous allons commencer mettre en place l’école de l’entreprenariat, une école dédiée pour notre jeunesse réunionnaise qui veut entreprendre mais aussi une école qui sera utile pour la transmission d’entreprise. Former notre jeunesse pour que nous ayons demain une économie solidaire et que La Réunion soit un exemple, une terre d’excellence en matière économique.

Quelle sera la "patte Robert" sous cette mandature ?

Je ne veux pas être celui qui se met au-dessus du lot pour tout gérer. Non, je veux vraiment une adhésion du tissu économique réunionnais pour que nous puissions collaborer et travailler ensemble. Ce n’est pas une question de personnes ou de majorité ou de position… C’est une question vraiment de travail pour l’intérêt général. L’important ce n’est pas de se placer au-dessus ou être celui qui veut tout représenter ou tout gérer mais être celui qui veut fédérer et accompagner.

Allez-vous vous inscrire dans la continuité de votre prédécesseur Ibrahim Patel ?

Écoutez, Monsieur Ibrahim Patel a été un acteur incontournable pour la défense des TPE et PME à La Réunion. Il a été élu président de la Chambre de commerce en 2010, c’est un soutien qui a apporté toute sa collaboration et son énergie à faire en sorte que nous puissions gagner cette élection. Nous allons pouvoir travailler avec lui et nous avons aujourd’hui une équipe qu’il a préparée donc nous prenons la suite. Mr Patel aura comme tout chef d’entreprise un droit de regard sur la maison des entreprises qu’est la chambre de commerce. Mais aujourd’hui c'est l’équipe d’Action TPE-PME à la tête de la CCIR.

Élu aujourd’hui à la tête de cette dernière, comptez-vous poursuivre parallèlement à votre fonction de président votre engagement politique ?

Écoutez, à la Chambre de commerce il n’y a ni étiquette ni couleur politique. Je veux travailler avec l’ensemble et je dis bien l’ensemble des parties prenantes, c’est-à-dire les collectivités et les élus pour que nous puissions porter d’une seule voix l’économie réunionnaise. Nous avons à trouver des adaptations et je ne m’inscris pas du tout dans une dans une position politique mais plutôt dans une position économique pour construire l’avenir de La Réunion.

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Nice : La mère d’un dealer expulsée de son HLM

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Après la condamnation de son fils pour trafic de drogue, une mère de famille a été informée par son bailleur social qu’elle devait quitter son logement. Une décision totalement assumée par la mairie de Nice.
Nice : La mère d’un dealer expulsée de son HLM
Une habitante d’un logement HLM à Nice a été informée par son bailleur social qu’elle devait quitter son logement. La raison invoquée est la condamnation de son fils âgé de 19 ans pour contrôle de stupéfiants.

Cette décision fait suite à une convention signée entre la mairie de Nice, le Parquet et la préfecture des Alpes-Maritimes qui permet à l’office HLM d’être averti de la condamnation d’un locataire ou d’une personne vivant à cette adresse. À partir de là, une procédure peut être déclenchée. En cas de non-départ, la résiliation du contrat de bail est soumise à un juge. C’est le cas pour cette habitante.

Trois ans de procédure

Invité sur les ondes d’Europe 1, Anthony Borré, le 1er adjoint LR de la mairie de Nice, a justifié ce choix. 

"J'ai souhaité marquer un principe de fermeté et proposer des sanctions qui sont graduées sur des nuisances sonores, des incivilités, mais aussi sur des actes de délinquance ou du trafic de drogue. 5…) Et en l'occurrence, nous sommes face à une famille qui depuis 2018 est connue pour des faits graves comme des dégradations, de l'occupation de halls d'immeuble et plus récemment des trafics de stupéfiants. Et j'ai considéré que tous ces effets conjugués étaient suffisamment graves pour demander aux tribunaux leur expulsion. Ce qui a été accordé"
Anthony Borré

L’élu souligne que cette décision faite suite à 3 ans de procédure avec la famille, qui n’a jamais répondu aux mains tendues. "Je ne veux rien céder face aux ennemis de la République qui terrorisent des familles entières qui, pour la grande majorité, veulent vivre paisiblement", ajoute-t-il.

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Législatives 2022 : "Pour La Réunion, un nouveau contrat social et écologique !"

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Giovanni Payet et Audrey Coridon ont annoncé leur candidature sur la première circonscription de La Réunion aux élections législatives. Voici leur communiqué :
Législatives 2022 :
Ce mercredi 18 mai, Giovanni Payet et sa suppléante Audrey Coridon, ont présenté à la presse locale à Vauban au pied des immeubles de Bouvet, leur programme pour les élections législatives des 12 et 19 juin prochains.

Qui sont-ils ?

Giovanni PAYET, 37 ans
Réunionnais de retour au péi, citoyen de terrain engagé dans les associations et collectifs de Saint-Denis et sans mandat électif, Giovanni Payet milite pour l’intérêt général, les solidarités et le renouveau démocratique à l’échelle des territoires. Habitant de la Montagne 8ème et directeur-adjoint de la Réserve Naturelle Nationale de l’Etang de Saint-Paul, il agit au quotidien pour la protection de la nature et du lien social et se présente aux élections législatives sur la 1ère circonscription de Saint-Denis.

Audrey CORIDON, 38 ans
Depuis plus de 15 ans, Audrey Coridon s’investit dans des collectifs d’artistes et d’associations d’éducation populaire. Militante, elle défend activement la place des femmes dans l’espace public. Elle développe et anime des projets citoyens, des actions d’insertion et des dispositifs en développement local. Elle est aujourd’hui directrice d’un centre social à Saint-Denis et suppléante de Giovanni Payet.

Ce duo veut apporter des réponses précises aux enjeux démographiques, sociaux, environnementaux et économiques que vont connaître Saint-Denis et La Réunion dans les 50 prochaines années. Ils souhaitent mettre un terme à l’expérience de l’absence et de l’incompétence de certains de nos élus.

Qu’est-ce que la voix citoyenne ?
La voix citoyenne est un mouvement politique citoyen dont la seule boussole est l’intérêt général. Il revendique la défense des valeurs de la République (liberté, égalité, fraternité et laïcité) et agit pour les biens communs et la nature. Le mouvement a constitué son idéologie sur l’honnêteté, l’exemplarité et la transparence. Ce sont des valeurs qui nous ressemblent et qui nous rassemblent.

Quel est le programme pour les législatives 2022 ?

Notre projet est simple et cohérent : Faire société pour construire un nouveau contrat social et écologique en menant un travail collectif avec tous les acteurs de la société réunionnaise : citoyen.ne, entreprises, associations, syndicats et pouvoirs publics.

Pour parvenir à l’écriture de ce contrat, Giovanni Payet et Audrey Coridon vont défendre une méthode : une personne, un mandat et rappeler également la responsabilité et la compétence de chaque élu.

Il faut mettre fin au cumul des mandats pour donner plus de lisibilité aux citoyens et une vraie responsabilité au député. Le mandat du député, qui est le dépositaire de la voix et du pouvoir de chaque citoyen, est lourd et demande un investissement total pour la réussite.

Notre contrat commun doit répondre aux cinq grands défis qui attendent notre île pour les 50 ans à venir :

Vivre dignement et sortir de l’injonction du “Pouvoir d’achat”

• Garantir l’accès aux besoins essentiels (eau, électricité, internet)
• Construire et rénover des logements dignes et adaptés au changement climatique
• Se battre pour des revenus décents et une retraite juste
• Améliorer la prévention et la santé (alcool, drogues, santé mentale, diabète…)

Garantir l’accès aux droits

• Défendre un service public humain, proche des citoyens et efficace
• Améliorer la lutte contre les violences intrafamiliales et protéger toute personne discriminée
• Garantir une éducation de qualité, partout sur le territoire, à tous les âges de la vie

Construire la nouvelle économie durable, responsable et à forte valeurs sociétale

• Favoriser l’économie sociale et solidaire : économie à échelle humaine pour dynamiser l’emploi de proximité et la
production locale.
• Encourager l’économie circulaire pour lutter contre les déchets et créer de nouvelles richesses non-délocalisables
• Soutenir le développement de l’économie de la mer
• Accompagner et sécuriser le statut d’artiste-auteur.

Se mobiliser pour la citoyenneté

• Reconnaître et défendre le rôle capital de l’éducation populaire
• Faciliter le référendum d’initiative populaire
• Ouvrir le droit de vote à 16 ans pour les élections locales.

Préserver l’eau, la nature et la terre réunionnaise
• Préserver la ressource en eau et lutter contre les déchets par l’économie circulaire
• Encourager la sobriété énergétique et le développement des énergies renouvelables locales
• Planifier la révolution agricole de l’ île.

Conscients de l’héritage légué par les générations qui ont construit La Réunion, Giovanni Payet et Audrey Coridon veulent préserver ce capital précieux pour écrire le nouveau contrat social et écologique et installer résolument La Réunion dans le XXIème siècle.

Par ce nouveau contrat, La Réunion sera plus émancipée et moins dépendante des tourments extérieurs. Conscients qu’ils n’ont pas l’appareil municipal mais libérés des pratiques politiciennes d’un autre temps, Giovanni Payet, Audrey Coridon et les militants de la voix citoyenne, utilisent le courage, la conviction et l’honnêteté pour convaincre les citoyen.ne.s de provoquer le changement et libérer toutes les énergies du territoire autour d’un projet fédérateur.

Chaque jour et depuis plus de 10 ans, ils revendiquent et pratiquent une politique de terrain et une politique de l’écoute auprès des citoyen.ne.s. C’est ainsi qu’ils assoient leur légitimité et entendent défendre l’ensemble de nos voix à l’Assemblée nationale.

Oui, les 12 et 19 juin prochains, si fo lévé, na lévé !

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​Pour une gauche pluraliste et émancipatrice

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Les gauches enfin réconciliées, s’exclament nombre de militant-e-s de la gauche modérée à la gauche radicale en passant par le Parti communiste. Cette réconciliation répond pour sûr à une profonde aspiration des électeurs et électrices de gauche. D’où leur « vote utile » en faveur de Jean-Luc Mélenchon, au premier tour de la présidentielle, le 10 avril 2022, dans l’espoir qu’il soit présent au second tour, – du moins pour la moitié d’entre eux, selon l’institut de sondage Opinion way.
​Pour une gauche pluraliste et émancipatrice
Fort de son succès au premier tour de la présidentielle en arrivant à la troisième position avec 21,59 % des suffrages exprimés [1], Jean-Luc Mélenchon s’est présenté comme le leader incontesté de la gauche, tout en invitant les partis de gauche à rejoindre son mouvement, La France insoumise, dans une Nouvelle union populaire écologique et sociale (Nupes) en vue des législatives du mois de juin. Une ‘ OPA’ couronnée de succès. Après le ralliement d’EELV et du PCF, le PS a fini, après une semaine de négociations intenses, par donner son accord à cette union des gauches. De quelle union populaire s’agit-il de construire ?
 
Vers une nouvelle union de la gauche ?
 
Pour Jean-Luc Mélenchon, cette union des forces de gauche pour les prochaines législatives a déjà un caractère historique, « nous sommes en train d’écrire une page de l’histoire politique de la France », a déclaré le leader de France Insoumise. Mais tout dépendra de la suite. Pour l’instant, il y a un accord électoral qui se veut programmatique. L’objectif est d’obtenir une majorité, en imposant Jean-Luc Mélenchon comme Premier ministre dans une cohabitation avec Emmanuel Macron, – une cohabitation qui pourrait être houleuse : à défaut d’obtenir cette majorité, la Nupes deviendrait la principale force d’opposition dans la prochaine législative. Présentement, on n’est qu’au début d’une alliance électorale reposant sur des bases fragiles. Les communistes, les écologistes et les socialistes y voient une chance d’avoir un groupe (ou de sauver leur groupe) de députés à l’Assemblée nationale pour exister. Les Insoumis, même triomphants au sein de la gauche, ont besoin des socialistes et des écologistes (de leurs réseaux locaux notamment) pour obtenir un nombre conséquent de députés. S’ils y vont seuls, le risque existe qu’ils soient réduits à une poignée seulement.

 Outre ce sauve-qui-peut ou ce pari audacieux, il s’agit d’un accord d’appareils qui impose d’en haut des arbitrages, – paradoxe à l’heure où on parle de plus en plus de démocratie participative. Et ce, de manière brutale et pour un résultat très inégalitaire : plus de 350 circonscriptions pour les Insoumis contre 100 pour les écologistes, 70 pour le PS et 50 pour les communistes. Ensemble, mais sous l’empire du plus fort ! En outre, il s’agit d’accord programmatique qui porte la marque de LFI et qui masque les divergences profondes, voire antagonistes, sur la politique économique et la politique internationale entre les diverses formations politiques de l’union des gauches.

L’alliance électorale pourra-t-elle durer au-delà du scrutin ?

Dans un premier temps, il faut que le calcul d’appareils soit effectivement suivi sur le terrain. Mais, comme le dit Bruno Cautrès, chercheur au CEVIPOF, c’est finalement le résultat des législatives qui donnera un coup d’accélérateur ou de frein à l’union. "Si les écologistes et les socialistes n’obtiennent pas un gain net de sièges par rapport à s’ils s’étaient présentés seuls, l’alliance sera mise à rude épreuve." (cf. Ouest-France, Alice DAUDRIX, 06/05/2022)

En revanche, si les diverses composantes de l’alliance obtiennent un très bon score, mieux qu’en 2017[2], et parviennent à une opposition constructive, tout en surmontant leurs désaccords, ils pourront présenter une candidature unique à la prochaine élection présidentielle. Ce n’est pas gagné d’avance, tant les divergences sur l’Union européenne, sur l’Otan, le degré de soutien à l’Ukraine, les dispositions économiques… sont profondes.

Gagner les élections, pour faire quoi ?

Avec la stratégie mise en place par LFI et maintenant par la Nouvelle union populaire écologique et sociale, on en reste au traditionnel Comment gagner les élections et la délégation de nos attentes à des professionnels ou futurs professionnels de la politique, avec, de surcroît, un combat Mélenchon/Macron dans un dit ‘troisième tour’. Or, être la principale force d’opposition à la politique d’Emmanuel Macron ne signifie pas enclencher une dynamique de transformation sociale forte, et encore moins une dynamique d’émancipation – « l’émancipation avec laquelle se confond la gauche » (Jean-Luc Mélenchon) – à partir des initiatives citoyennes, des paroles populaires, des mouvements sociaux et les expériences alternatives afin de contrôler tout pouvoir vertical (Philippe Corcuff)[3].

Cette élection présidentielle – il convient de ne pas l’oublier – a été marquée, comme le dit justement Pierre Rosanvallon, « par la montée de “l’électeur stratège”, qui décide en fonction des sondages et tente de conjurer ce qu’il identifie comme des dangers ». Et il sait que son travail n’est pas fini. D’où la nécessité d’une démocratie participative qui ouvre la voie à un débat serein, ininterrompu et constructif (cf. Chloé Morin et Véronique Reille Soult, Le Monde, 29/04/2022).

Il ne convient pas d’oublier non plus que l’extrême-droite a cumulé au premier tour de la présidentielle un peu plus que 30 % des suffrages exprimés et que Marine Le Pen a obtenu au second tour 41,46 % des suffrages, soit 13, 2 millions de voix. Du jamais vu depuis le début de la Ve République pour un parti d’extrême-droite qui porte une solution nationaliste et xénophobe. À la Réunion, Marine Le Pen, au second tour, est arrivée en tête dans pratiquement toutes les communes, obtenant 59, 57 % des voix. Presque le même score qu’à Mayotte. Dans les Antilles, toujours au second tour, elle a enregistré plus de 60 % des voix. Certes, les voix recueillies par Marine Le Pen ne peuvent être dans leur totalité qualifiées « d’extrême-droite », mais les idées de l’extrême-droite gagnent du terrain. Nous assistons même à une droitisation du débat public depuis quelques décennies. "L’extrême-droite impose des mots, des raisonnements, des images qui ont infiltré les têtes », commente Raphaël Llorca, communicant et auteur de « Les nouveaux masques de l’extrême-droite". Et que dire du taux d’abstention : près de 3 0% en métropole et 50 % en moyenne dans les territoires ultramarins !

Des défis à relever

Comment relever tous ces défis ? Comment réconcilier les citoyens avec leurs représentants politiques et leurs institutions ? Comment reconquérir toute une partie de la société qui s’est détachée de la gauche après le quinquennat de François Hollande ? Comment répondre à celles et ceux qui demandent plus de démocratie, en refusant une politique des tutelles – un chèque en blanc pour cinq ans à une force politique quelconque ? Comment réorganiser la gauche autour de ses grandes valeurs – d’égalité, de liberté, de fraternité, d’émancipation, de progrès, de culture et d’ouverture sur l’international – et qui porte haut les couleurs de la transformation sociale et écologiste ? Comment réinventer une gauche qui aide les uns et les autres à agir pour leur émancipation, en faisant émerger des sujets libres et l’émancipation collective. A court terme, proposer les voies et moyens pour mettre nos sociétés sur la voie d’une transformation sociale et écologiste. Pour répondre à ces nombreux défis et s’unir dans la clarté, la gauche doit se dégager de son confusionnisme idéologique actuelle, c’est-à-dire du bricolage idéologique entre des idées d’extrême-droite, de droite, de gauche modérée et de gauche radicale, en vue de redessiner une gauche pluraliste et émancipatrice.

[1] À la Réunion, Jean-Luc Mélanchon est arrivé en tête avec 40, 26 % des suffrages exprimés contre 24,73 % à Marine Le Pen.
[2] En 2017, le PCF avait récolté 10 sièges ; LFI , 17 ; le PS, 30, et les écologistes 1 seul.
 
[3] CORCUFF, Philippe philosophe et sociologue), Pour une gauche d’émancipation, dans Libération, 28/06/2017 ; P. CORCUFF arpenteur du chaos, dans Libération, 31/03/2021.

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Législatives : La NUPES arriverait devant la majorité présidentielle au 1er tour

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Selon un sondage réalisé par Elabe, la NUPES pourrait arriver en tête au soir du premier tour des élections législatives. Au final, Emmanuel Macron devrait garder une majorité absolue.
Législatives : La NUPES arriverait devant la majorité présidentielle au 1er tour
La route vers les législatives n’est pas un fleuve aussi tranquille pour le camp présidentiel. Selon un sondage Elabe pour BFMTV, L’Express et SFR, l’alliance de gauche pourrait bien voler la vedette au soir du premier tour à Ensemble, l’alliance rassemblant LREM, le MoDem, Horizons et Agir.

À trois semaines du scrutin, le sondage indique que la Nouvelle alliance populaire écologiste et sociale (NUPES) récolterait 27,5% des suffrages. Ensemble obtiendrait 27% des voix. Le Rassemblement national serait à 21,5%, LR et l’UDI à 10%, les candidats divers (6%), Reconquête (5%) et Lutte ouvrière ou NPA (2%).

 

La majorité au bout du suspense

Néanmoins, le sondage indique que le soufflet va retomber au second tour. En se basant sur le "rapport de force actuel mesuré dans l'intention de vote", le "résultat aux élections précédentes et (...) l'histoire politique de chacune des circonscriptions", Elabe estime qu’Ensemble obtiendrait la majorité absolue avec une fourchette comprise entre 290 à 330 sièges sur 577.

La NUPES récolterait au final entre 160 à 185 sièges, soit entre 87 et 112 sièges supplémentaires à gauche.

Le RN obtiendrait entre 35 et 65 députés, ce qui représenterait entre 27 et 57 élus supplémentaires. Le parti ne comptait que 8 membres lors du dernier quinquennat, ce qui ne permet pas de constituer un groupe parlementaire, la limite étant à 15.

La chute est brutale pour LR, l’UDI et les candidats divers droite qui devraient perdre entre 86 et 111 sièges. Ils ne seront qu’entre 27 à 57 élus.

Du côté des autres candidats, ils vont se battre pour recueillir les restes, compris entre 5 et 15 sièges.

 

L’abstention toujours favorite

L’enquête révèle également que l’abstention va de nouveau briller lors de ce scrutin. Seuls 47% des personnes inscrites sur les listes électorales vont se déplacer pour voter. 12% y pensent et 41% savent qu’ils ne voteront pas.

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​Pour une société plus apaisée.

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Au final, les élections présidentielles sont vites passées. Elles sont, à présent, derrière nous. Cependant, les problèmes qu’elles ont soulevés, les préjugés qu’elles ont accentués, les idées néfastes qu’elles ont introduites sont bel et bien persistantes. Et ces idées-là vont continuer à polluer les débats de la vie publique de notre pays, pas seulement être des sujets d’actualité politique ou de simples questions/points de désaccords profonds/réels/supposés/légers.
​Pour une société plus apaisée.
Pourtant, ce dont on a le plus besoin, c’est bien d’apaisement. L’apaisement face aux chocs dus à la violence économique résultant de l’effort de guerre. L’apaisement face à un délitement manifeste et profond du tissu social. L’apaisement, encore et toujours, face à la perte de repères, face à l’inexorable décrédibilisation de la parole politique qui s’arroge à tout-va tous les problèmes qui se posent aux Hommes et à la vie en société sans toutefois disposer des moyens de tous les régler, notamment les problèmes existentiels et de perte de sens de la vie.

On a donc besoin d’apaisement dans un moment de rejet fort et de persistance de graves tensions au sein de la population, entre ses différentes composantes. Parce qu’au final, aucun discours présidentiel n’a prôné le compromis et la réconciliation des français les uns avec les autres. Aucun mot n’a été prononcé pour faciliter, indépendamment de leur statut social, toutes celles et touts ceux qui sont le cœur battant de la France. De ce si grand et beau pays sur lequel le soleil ne se couche jamais, en raison de la diversité de ses territoires dispersés aux quatre coins du Monde, en raison de la richesse de son héritage, trésor qui ne cesse de se fructifier au gré de son métissage.

Parce que beaucoup d’espoirs, de voix et d’êtres ont été déçus par les résultats, courus d’avance, de la ferveur d’un moment central de notre vie politique, certains se sont dits qu’ils joueraient, bon gré, malgré, le troisième tout, qui, dans les rues, au travers des mouvements sociaux qui se promettent comme durs et éprouvants alors que le syndicalisme n’a cessé la poursuite implacable de son déclin. Tandis que d’autres, attendent, des législatives, qu’un véritable contre-pouvoir, aux contours, pour l’instant, incertains, s’installe et permette un fonctionnement réellement démocratique des rouages de notre pays au travers de l’éventualité d’une 4ème cohabitation.

Cependant, quels que soient les résultats des législatives, nous devons avoir en tête que l’amour de notre patrie embrasse dans le même idéal, un bel avenir pour chacun(e) de ses citoyen(nes) qui n’ont pas à être opposé(e)s constamment les un(e) aux autres dans un raisonnement dualiste et manichéen, dans une forme de quasi-fiction et de déni, dans une dichotomie purement rationnelle en dehors de tout esprit affectif, de tout impératif de fraternité entre celles et ceux qui peuvent faire quelque chose pour les autres et qui doivent le faire envers celles et ceux qui en ont le plus besoin, avant que les Appels à la solidarité ne soient exprimés.  

Par ailleurs, il ne s’agit pas seulement de générosité ou de philanthropie qui nous serviraient de gage de bonne conscience, qui masqueraient nos propres insuffisances ou encore qui souligneraient nos propres limites. Il s’agit plutôt de faire œuvre d’apaisement au sein de la société. Un apaisement nécessaire, que l’on obtient par la basique revivification de l’esprit d’entraide, de l’activation énergique et vivace de la logique des réseaux au profit de nos jeunes talents et compétences. Au demeurant, il s’agit de redonner la dignité, qu’il(elle) mérite, à chacun(e) par le sentiment d’utilité dans l’expression d’une volonté unanime et manifeste d’engagement envers autrui. Voilà, ce à quoi, chacun(e) d’entre nous, qu’il(elle) soit élu ou pas, doit s’évertuer à lutter contre toutes les formes d’une société portée par la dérive des émotions ou par le débordement de colères face aux injustices les plus flagrantes et aux impuissances les plus frappantes. Chacun(e) peut le faire, à son échelle, à son niveau d’action !

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Bouteille de Cot sur Netflix : C'est grâce à un acteur originaire de Bras-Panon !

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Léo Mazo est un acteur réunionnais installé depuis quelques années à Paris et qui a joué dans la dernière grande série française de Netflix intitulée "Les 7 vies de Léa". La série a été remarquée à La Réunion car une bouteille de soda produite sur notre île était visible lors d'une des scènes. Le jeune Panonais explique qu'il est derrière cette apparition insolite d'un produit emblématique de notre département.
Un acteur originaire de La Réunion a joué dans une série Netflix. Léo Mazo est âgé de 23 ans et a interprété le rôle de Jonathan (adolescent) dans la série "Les 7 vies de Léa", diffusée sur la plateforme de streaming depuis la fin du mois d'avril.

Le jeune homme est originaire de Bras-Panon et a quitté La Réunion à17 ans à la recherche de sa vocation. Il s'est formé au Cours Florent avant d'apparaître récemment dans la série Tikkoun sur Canal+ et dans la saison 9 de Skam sur France Télévisions.

Léo Mazo lance un message à tous les Réunionnais : "Osez, c'est pas parce qu'on est loin, à 10.000 kilomètres, qu'on ne peut pas réussir. Notre différence peut être une force !"
 

Bouteille de Cot sur Netflix : C'est grâce à un acteur originaire de Bras-Panon !
Une vocation découverte par hasard

Le jeune Léo Mazo ne s'est intéressé au métier d'acteur que tard. "J'ai toujours aimé faire rire et divertir. Je savais qu'il fallait que j'en fasse quelque chose, mais je ne savais pas quoi", explique-t-il.

Le Panonais a donc décidé de s'envoler pour la métropole, soutenu par ses parents. Il a d'abord tenté la Sorbonne mais sans succès : "J'ai pété un câble ! J'ai quitté La Réunion où j'étais assis derrière un bureau pour venir à Paname, m'asseoir derrière un bureau", déplore le jeune homme.

Il a alors tenté le Cours Florent, école renommée des arts du spectacle. Il raconte : "Quand je suis arrivé, j'ai pété un câble ! Mais dans le bon sens ! Je me suis enfin senti à ma place !"

Mais le jeune intermittent du spectacle a ensuite comme beaucoup "galéré". Son père lui a donc proposé de revenir à La Réunion pour chercher un travail dans une autre voie. Et c'est alors qu'il a reçu un coup de fil de Netflix.

Bouteille de Cot sur Netflix : C'est grâce à un acteur originaire de Bras-Panon !
L'anecdote de la bouteille de Cot

Léo Mazo explique qu'il a fait son stock de produits locaux avant de se rendre sur le tournage de la série "Les 7 vies de Léa". Mais lorsqu'il a terminé ses dix jours devant la caméra, il a laissé quelques boissons sur place.

Et c'est à l'écran qu'il a découvert qu'une de ses bouteilles de Cot avait été trouvée et placée sur une table en plein dans la scène de l'épisode 2 où Léa (Raïka Hazanavicius) discute avec sa meilleure amie.

Voilà, le mystère de l'apparition d'une bouteille de Cot dans une série Netflix est enfin résolu. Léo Mazo n'assure pas qu'il ne laissera pas un Sambo ou des bouchons traîner sur son prochain tournage !

Bouteille de Cot sur Netflix : C'est grâce à un acteur originaire de Bras-Panon !

Bouteille de Cot sur Netflix : C'est grâce à un acteur originaire de Bras-Panon !

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Comité de pilotage stratégique du Service Départemental d’Incendie et de Secours

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Ce mardi 17 mai, Cyrille Melchior, Président du Conseil départemental a présidé aux côtés de Jacques Billant, préfet de La Réunion le comité de pilotage stratégique du SDIS en présence de Stéphane Fouassin, Président délégué du Conseil d’administration du SDIS, et le Colonel Frédéric Léguillier, directeur du SDIS.
Comité de pilotage stratégique du Service Départemental d’Incendie et de Secours
Cette séance de travail inédite, depuis le début de la crise, vise à fixer les échéances importantes en matière d’évolution structurelle et organisationnelle du SDIS. Le contour du Schéma Départemental d’Analyse et de Couverture des Risques constitue un des enjeux des réflexions menées ce matin à la Villa du Département.

En préambule, le Préfet a tenu à rappeler le nouveau cadre réglementaire fixé par la loi Matras qui vise à consolider le modèle de sécurité civile et valoriser le volontariat des sapeurs et les sapeurs-pompiers professionnels.

En tant que financeur principal du SDIS, le Département a rappelé la signature, pour l’année 2022, d’une convention transitoire à hauteur de 59 millions d'euros de fonctionnement et de 6 millions d'euros d’investissement. Le président du Département tient, au travers ce soutien, conforter les efforts déjà engagés dans les évolutions transformatives du SDIS.

« Nous avons une convention signée entre le SDIS et le Département et faisons aussi appel au financement des différentes communes. L’enjeu pour le Département est d’avoir de l’ambition pour le SDIS et la lutte contre les incendies tout en maîtrisant les dépenses. Il convient de maintenir le cap pour la sécurité des réunionnais. »

Du dialogue de gestion à la révision du SDAC, en passant par l’agenda social, les sujets abordés au cours de la matinée devraient prochainement donner lieu à un plan d’action offrant au SDIS de nouvelles perspectives en terme d’organisation, et d’opérationnalité.

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Le Département soutient les planteurs face aux crises conjoncturelles et structurelles que connait la filière

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Lundi 16 mai, Cyrille Melchior, Président du Conseil départemental a rencontré les acteurs de la filière canne. Autour de la table, le Comité Paritaire interprofessionnel de la Canne et du Sucre (CPCS), la Confédération Générale des Planteurs et Éleveurs de La Réunion (CGPER), la Fédération Départementale des Syndicats d'Exploitants Agricoles (FDSEA), le syndicat agricole « Unis pour nos agriculteur » (UPNA) et le Syndicat du sucre ont pu rendre compte des difficultés qui bouleversent la filière dans un contexte de crise aggravée par la forte inflation.
Le Département soutient les planteurs face aux crises conjoncturelles et structurelles que connait la filière
Cyrille Melchior a partagé les inquiétudes des planteurs et l’incertitude qui plane sur le devenir de la filière à l’aune des négociations qui se sont engagées dans le cadre de la convention canne 2022-2027. Baisse significative des tonnages, érosion des revenus des planteurs, augmentation des coûts de production…les représentants de la canne ont énuméré les difficultés conjoncturelles mais aussi structurelles du secteur.

Le président a alors confirmé que « Le maintien d’un espace cannier d’au minimum 22 000 ha constitue une orientation prioritaire du projet de mandature au regard du rôle pivot de la filière canne pour l’agriculture réunionnaise. Le Département accompagne déjà les planteurs dans le cadre de son plan AGRIPéi 2030 pour augmenter les performances des exploitations, les rendements au champ, et valoriser les différents produits de la canne ainsi que les complémentarités inter-filières.»

De concert, les propositions d’un accompagnement départemental renforcé se sont construites aux termes des échanges de la matinée.

Le Département entend donc poursuivre ses efforts via le FEADER dans le soutien aux investissements en faveur de la canne et également contribuer à la mise en place d’un fond local pour soutenir la trésorerie des entreprises agricoles.

Un renfort des aides de L’État est aujourd’hui indispensable pour répondre à l’urgence de la situation, c’est pourquoi la collectivité appelle à la signature de la convention 2022-2027 fixant les conditions de production et d’achat de la canne entre les planteurs et les industriels.

Pour aller plus loin, le Département demande également la création d’un plan de résilience pour la filière végétale et notamment la filière canne à sucre et souhaite avec l’ensemble de la filière inviter les ministres concernés à La Réunion.

Cyrille Melchior : « l’action doit être collective pour donner un nouveau souffle à l’agriculture cannière et soutenir nos planteurs ».

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Léa Churros embrase Bras-Panon

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Le phénomène musical de l'année à La Réunion était en représentation à Bras-Panon ce mercredi soir. Léa Churros a chanté devant un public nombreux et totalement conquis.

Léa Churros était ce mercredi sur la scène de la Foire de Bras-Panon. Le public a répondu présent et a chanté en chœur les paroles de ses tubes.

Léa Churros embrase Bras-Panon
(Images : Passion Réunion)

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Le candidat RN montre la photo de sa femme pour démontrer qu’il n’est "pas un extrême"

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Lors d’un débat télévisé avec les candidats de la 3e circonscription du Rhône, le candidat du Rassemblement national a montré en direct une photo de sa femme noire pour prouver qu’il n’est "pas un extrême".
Le candidat RN montre la photo de sa femme pour démontrer qu’il n’est
Il a probablement pris l’expression "une image vaut 1000 mots" un peu trop à la lettre. Gérard Vallory, candidat du RN dans la 3e circonscription du Rhône, s’est laissé à une hasardeuse démonstration.

Alors que les débats entre les candidats se portaient sur le basculement de la circonscription à gauche, la candidate LR, Béatrice de Montille, s’est adressée à son opposant : "On a perdu du bon sens et du pragmatisme. J’ai envie qu’on retrouve de la liberté et que les Français se sentent représentés, sinon on fait monter les extrêmes."

Des propos auxquels Gérard Vallory va répondre laconiquement : "Je ne suis pas un extrême". La candidate LR va alors ajouter qu’être pour "la préférence nationale, c’est de l’extrémisme".

La candidate de la NUPES, Marie-Charlotte Garin, va alors insister en affirmant que "la dédiabolisation du Rassemblement national ne dupe personne" et "qu'on peut dire autant qu'on veut qu'on n'est pas extrême, à partir du moment où on appartient à un parti extrémiste, ça restera un extrême".

Le candidat va alors montrer une photo de son épouse en ne déclarant qu’un unique "merci !". 


Après un moment de malaise, le débat a repris son cours en changeant de sujet.

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Foire de Bras-Panon : T-Matt rend hommage à son père décédé en chanson puis fond en larmes

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Une scène très émouvante s'est produite mercredi soir à la Foire de Bras-Panon. T-Matt faisait partie des artistes à faire le show hier. Il en a profité pour rendre un vibrant hommage à son père décédé il y a quelques mois.

T-Matt s'est livré à cœur ouvert devant des milliers de fans à la Foire de Bras-Panon. Le rappeur originaire de l'Est a souhaité rendre hommage à son père décédé récemment. Il a chanté un texte qui l'a ému aux larmes. Le public l'a soutenu et l'a applaudi pendant de longues minutes.

Le Saint-Andréen est allé chercher sa fille qu'il a serrée fort dans ses bras avant de reprendre le show devant les Réunionnais qui scandaient son nom.

Foire de Bras-Panon : T-Matt rend hommage à son père décédé en chanson puis fond en larmes

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Fête de la Bretagne : restrictions de circulation

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Fête de la Bretagne : restrictions de circulation

La Fête  de la Bretagne se déroulera notamment à la Grotte du Peuplement. Par conséquent, la Ville de Saint-Paul interdit par arrêté municipal la circulation et le stationnement au parking de la Grotte (côté sud) du vendredi 20 mai, 6 heures du matin, jusqu’au dimanche 22 mai à 12 heures.

Cette mesure est prise afin de permettre l’installation de la logistique de cette manifestation.


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Le Vaccinobus s’arrête à Saint-Paul

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Le Vaccinobus s’arrête à Saint-Paul

Le Vaccinobus effectuera plusieurs arrêts à Saint-Paul. Découvrez ci-dessous les prochaines dates.

  • Le lundi 23 mai sur le parking de Run Market à Savanna, de 8h30 à 18 heures
  • Le vendredi 3 juin au Mail de Rodrigues, de 8h30 à 18 heures
  • Le lundi 13 juin sur le parking de Run Market à Savanna, de 8h30 à 18 heures
  • Le lundi 27 juin sur le parking de l’église du Guillaume, de 8h30 à 18 heures

Il s’agit d’un rendez-vous organisé par l’Agence régionale de Santé La Réunion (ARS), en partenariat avec la Ville de Saint-Paul. Le public pourra venir se faire vacciner sans rendez-vous.

L’ARS continue en collaboration avec les communes et ses partenaires de proposer ces opérations de proximité.

Plus d’informations sur les conditions d’accès à la vaccination en cliquant ici.

 
 

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Aides à la formation individuelle - Art et Culture 2022-2023

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Aides à la formation individuelle - Art et Culture 2022-2023
La Région Réunion partenaire de votre projet de formation dans le domaine des Arts et de la Culture

La Région Réunion soutient les projets de formation professionnelle des jeunes Réunionnais désirant se former aux métiers des arts et de la culture.


Objectifs de l’aide régionale
Accompagner les projets de formation relevant des métiers des arts et de la culture au niveau national et international
Trois dispositifs :
➢ Un dispositif « Formation professionnelle »
➢ Un dispositif « Préparation au Diplôme d’État (DE)/Certificat d’Aptitude (CA) »
➢ Un dispositif « Parcours artistique d’excellence »
Pour le dispositif « Aide Régionale pour les Etudes Artistiques Secondaires en Métropole » (AREASM), toutes les informations seront à retrouver sur le site de la Région à partir du 1er juillet.
Le détail de ces dispositifs ainsi que les critères d’éligibilité sont disponibles ci-dessous.
Pour la session 2022-2023, le dossier de demande d’aide peut être retiré auprès des services de la Région :
Hôtel de Région Pierre Lagourgue Direction de la Culture et du Patrimoine Culturel (DCPC) Avenue René Cassin – Moufia 97490 Sainte-Clotilde Tél. : 02 62 92 22 77 – 02 62 92 22 72
ANTENNE EST 92, chemin Lebon - 97440 Saint-André Tél. : 02 62 58 21 00
ANTENNE OUEST 6, route de Savannah – 2ème étage porte 201 - 97460 Saint-Paul Tél. : 02 62 33 46 00
ANTENNE SUD 15, rue Marius et Ary Leblond - 97410 Saint-Pierre Tél. : 02 62 96 97 10


À TÉLÉCHARGER :
Formation Professionnelle - Doc 1
Formation Professionnelle - Doc 2
Formation Professionnelle - Doc 3
Préparation au Diplôme d’État (DE)/Certificat d’Aptitude (CA) - Doc 1
Préparation au Diplôme d’État (DE)/Certificat d’Aptitude (CA) - Doc 2
Préparation au Diplôme d’État (DE)/Certificat d’Aptitude (CA) - Doc 3
Parcours artistique d’excellence - Doc 1
Parcours artistique d’excellence - Doc 2
Parcours artistique d’excellence - Doc 3

Le dossier complet doit être envoyé :
➢ soit par mail à l’adresse suivante : isabelle.robert@cr-reunion.fr (avec copie à ludivine.bancala@cr-reunion.fr) Dossier en format pdf – 10 Mo maximum.
➢ soit par voie postale à l’adresse suivante : Hôtel de Région Pierre Lagourgue, Direction de la Culture et du Patrimoine Culturel (DCPC) Avenue René Cassin - Moufia - BP 67190 97 801 Saint Denis cedex 9

Entre le 16 mai et le 1er juillet 2022 (cachet de la poste faisant foi)
Pour tout renseignement, contactez la Direction de la Culture et du Patrimoine Culturel au 0262 92 22 77 ou 0262 92 22 72
Pour plus de renseignements sur les autres dispositifs d’aides à la mobilité, rendez-vous sur le site www.regionreunion.com  rubrique Guichet Jeunes.
 

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Communiqué de presse de la conférence des présidents des régions ultrapériphériques

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Communiqué de presse de la conférence des présidents des régions ultrapériphériques
La Conférence des Présidents des Régions ultrapériphériques, réunie à Fort de France le 17 mai 2022, sous la présidence de M. Serge Letchimy, Président de la collectivité territoriale de Martinique, après un premier échange, a pris acte des orientations de la communication de la Commission européenne en date du 3 mai 2022, intitulée « Donner la priorité aux citoyens, assurer une croissance durable et inclusive, libérer le potentiel des Régions Ultrapériphériques de l’Union ».

Cette communication fait suite aux positions exprimées par la Conférence des Présidents des RUP, tant lors de la déclaration finale du 18 novembre 2021 (Ponta Delgada, Açores), que lors de la contribution du 19 janvier dernier adoptée conjointement avec la France, l’Espagne et le Portugal.

La communication ne répond que partiellement à certaines de nos interrogations telles que :
- Les problématiques démographiques que rencontrent nos territoires ;
- L’avenir de nos flottes de pêche ;
- La définition des moyens concrets, y compris législatifs, de mise en œuvre opérationnelle.
- La réforme possible du POSEI.

La Conférence des Présidents des Régions ultrapériphériques accueille favorablement les nouvelles orientations européennes qui visent à :
- Placer au premier rang des préoccupations le bien-être des populations des RUP, citoyens européens ;
- Renforcer le partenariat stratégique qui la lie à la Commission européenne ;
- Promouvoir la qualité du dialogue et de la concertation au travers de nouveaux outils dédiés ;
- Poursuivre le traitement sur-mesure des RUP
- Adopter des mesures urgentes, adaptées et adéquates pour la gestion des défis spécifiques de la migration irrégulière dans les RUP, en tant que frontières ultimes de l’UE.

L’usage, plus large, de nouvelles opportunités au titre des politiques sectorielles de l’Union, jusqu’ici peu accessibles, constitue également une avancée positive pour lequel la Conférence réaffirme son attachement.
Cependant, la Conférence attend la concrétisation rapide des mesures proposées dans la communication et, dans un contexte de crises multiples, elle tient à souligner l’urgence de réponses immédiates, gages d’efficacité, ne laissant pas les RUP « au bord du chemin ».

Ainsi, elle prend acte, à ce stade, de l’engagement global de la Commission européenne à recourir à l’article 349 du TFUE mais continue de s’interroger et donc, de s’inquiéter, de sa non utilisation, notamment dans le cadre du paquet législatif « Fit for 55 », si préoccupant en termes de conséquences pour un traitement équitable des populations des RUP.

Elle rappelle que la biodiversité de ces territoires nous place de fait comme des contributeurs négatifs dans les objectifs de réduction d’émissions de carbone. Elle rappelle que ses populations sont déjà confrontées aux surcoûts liés à leur grand éloignement et ne sauraient supporter une nouvelle taxe européenne sur les émissions de carbone. Cette menace aurait des répercussions insurmontables pour la desserte aérienne et maritime de ses régions, aussi bien interne qu’externe.

Par ailleurs, ses régions pâtissent des conséquences négatives des perturbations d’approvisionnement par voie maritime : à la pénurie en matières premières, en biens de consommation courante, en aliments pour animaux, en engrais notamment, s’ajoutent les retards de livraison de marchandises, l’augmentation excessive du coût du fret, de l’énergie et des intrants. Le pouvoir d’achat des ménages est aujourd’hui gravement atteint et les différents secteurs d’activité subissent d’importants surcoûts d’ordre conjoncturels, qui s’additionnent aux surcoûts structurels liés aux contraintes recensées à l’article 349 du TFUE.

La relance post crise sanitaire est actuellement compromise en raison d’une nouvelle onde de choc sur les économies des RUP, imprévisible et massive, qui témoigne de la particulière vulnérabilité de ses régions. Cette situation retarde énormément l’exécution des projets financés par REACT EU nécessitant un report de deux années supplémentaires, au-delà du 31 décembre 2023, pour permettre aux RUP d’atteindre leurs objectifs de relance. De même, elle exige des mesures de simplification et de flexibilisation des programmes 2021-2027, au bénéfice des citoyens.

La Conférence plaide ainsi pour l’adoption, en urgence, de solutions pragmatiques et sur mesure afin d’éviter que l’objectif de relance économique, sociale et durable ne soit compromis, de même qu’elle réitère la nécessité d’engager les adaptations règlementaires conformes aux demandes exprimées par les RUP.

D’une manière plus globale, la Conférence appelle la Commission européenne à l’élaboration conjointe d’une feuille de route opérationnelle, assortie d’un calendrier.

Elle attend enfin une mobilisation décisive de la France, de l’Espagne et du Portugal pour accélérer, compléter et rendre opérationnelle cette stratégie, en premier lieu dans les conclusions du Conseil de l’Union relative à l’ultrapériphérie de juin prochain.

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