Correctionnelle Sud – Mardi 28/11/2017

On n’est pas plus idiot. Parce que les histoires d’héritages, de partages, de terrains mal cadastrés conduisent souvent aux pires extrémités, des familles se déchirent pour un centimètre/carré de trop, de plus ou de moins. Qu’est-ce que je suis heureux que notre maman ne nous ait laissé aucun terrain en héritage : Michel, Alain et moi n’avons vu notre amour mutuel entaché par aucun bout de territoire que ce fût.
Crac ! Boum ! Hue !
Là, on n’est pas plus débile. Les deux frangins ne sont pas jaloux de leurs surfaces respectives, même pas ! Juste sur les empiètements que l’un reproche à l’autre "et lycée de Versailles", comme disait Bérurier.
L’un des frères, U.A., a commencé à construire une maison sur sa parcelle. Dans un moment d’étourderie sans doute, au lieu de faire appel à une société de débarras des gravats (il y en a par pelletées entières), il a jugé bénin de se débarrasser de ses "encombrants" sur la parcelle de son frère, contiguë à la sienne.
Pour le frangin, c’était trop beau pour être vrai. Alon coquer, non mais !
Le frangin soi-disant pollué, n’en croyant pas ses yeux et ses secrètes espérances anti-fraternelles, après avoir hurlé "Dieu est grand !" dans tous les dialectes planétaires possibles, est allé, sans se rebraguetter, réclamer des comptes à ce frère qu’il chérit. La simple explication se résume à "Paf ! Pif ! Bang ! Crac ! Boum ! Hue ! Prends ça po toué ! Ala po ta guèle !..." Voyez c’que je veux dire.
Ce que voyant, le fils de son papa-qui-construit-sa-maison, vient aux nouvelles… et s’en prend plein la tronche pour pas un rond.
Son oncle le poursuit, le cogne, continue de le cogner alors qu’il est au sol, s’acharne à coups de poing et de pied dans la tête du gamin. Lequel n’est âgé que de 12 ans. Qui n’a toujours pas compris ce qui lui est arrivé.
"C’est la faute au môme !"
Le tonton cogneur n’est pas venu s’expliquer à la barre : il est plus facile de taper un môme sans défense que d’assumer ses responsabilités !
Aux enquêteurs, ce lâche a dit que le gamin lui avait jeté des pierres. Ce qu’aucun des témoins n’a confirmé.
La partie civile a réclamé 1.200 euros au titre du préjudice physique, mais surtout moral. On s’imagine, effectivement ce que peut ressentir un gosse, quand il est au sol, escagassé par son oncle furibard et mille fois plus costaud.
La substitut Simbille a mis en avant le côté affligeant de l’affaire, insistant sur le fait que les parents ont toujours tort de se battre et que personne n’a le droit de taper, réclamant 300 euros d’amende. C’est plutôt gentil et pas assez que trop, si vous voulez mon avis.
La présidente Peinaud déteste (elle l’a maintes fois prouvé) que l’on s’en prenne à des êtres sans défense, et est allée plus loin que les réquisitions du ministère public : 1.000 euros dont 7 avec sursis. Et 1.200 euros à la partie civile.
On me dit que le droit "légal" de correction n’existe plus. Dommage !
Post-scriptum : Il y a des mécomptes au tribunal Saint-Pierre (Décidément ! Je finirai par me faire jeter de cette enceinte, moi, après avoir "allumé" la présidente Dinot cette semaine…) :
Les policiers assurant, avec l’efficacité qu’ils ont mainte fois prouvée, la sécurité du Palais de Justice de Saint-Pierre, sont punis ! Les travaux de rénovation sont finis et les places de parking "de service" sont libres de nouveau. Nous l’avons constaté ce matin, la moitié des places est libre. Ben nos amis les flics n’y ont plus accès. Pourquoi ? Comment ? Akoz ? Kosalafé ? Aucune explication n’a été fournie à cette aberration. A partir de dorénavant jusqu’à désormais inclus, ils casqueront leur place extérieure comme vous et… non, pas moi, je ne conduis plus depuis belle lurette. Je le dis sincèrement : on doit à ces gens (les flics, j’veux dire) de se sentir à l’aise. Un minimum d’égards n’arracherait la tronche à personne. (J.B.)
Crac ! Boum ! Hue !
Là, on n’est pas plus débile. Les deux frangins ne sont pas jaloux de leurs surfaces respectives, même pas ! Juste sur les empiètements que l’un reproche à l’autre "et lycée de Versailles", comme disait Bérurier.
L’un des frères, U.A., a commencé à construire une maison sur sa parcelle. Dans un moment d’étourderie sans doute, au lieu de faire appel à une société de débarras des gravats (il y en a par pelletées entières), il a jugé bénin de se débarrasser de ses "encombrants" sur la parcelle de son frère, contiguë à la sienne.
Pour le frangin, c’était trop beau pour être vrai. Alon coquer, non mais !
Le frangin soi-disant pollué, n’en croyant pas ses yeux et ses secrètes espérances anti-fraternelles, après avoir hurlé "Dieu est grand !" dans tous les dialectes planétaires possibles, est allé, sans se rebraguetter, réclamer des comptes à ce frère qu’il chérit. La simple explication se résume à "Paf ! Pif ! Bang ! Crac ! Boum ! Hue ! Prends ça po toué ! Ala po ta guèle !..." Voyez c’que je veux dire.
Ce que voyant, le fils de son papa-qui-construit-sa-maison, vient aux nouvelles… et s’en prend plein la tronche pour pas un rond.
Son oncle le poursuit, le cogne, continue de le cogner alors qu’il est au sol, s’acharne à coups de poing et de pied dans la tête du gamin. Lequel n’est âgé que de 12 ans. Qui n’a toujours pas compris ce qui lui est arrivé.
"C’est la faute au môme !"
Le tonton cogneur n’est pas venu s’expliquer à la barre : il est plus facile de taper un môme sans défense que d’assumer ses responsabilités !
Aux enquêteurs, ce lâche a dit que le gamin lui avait jeté des pierres. Ce qu’aucun des témoins n’a confirmé.
La partie civile a réclamé 1.200 euros au titre du préjudice physique, mais surtout moral. On s’imagine, effectivement ce que peut ressentir un gosse, quand il est au sol, escagassé par son oncle furibard et mille fois plus costaud.
La substitut Simbille a mis en avant le côté affligeant de l’affaire, insistant sur le fait que les parents ont toujours tort de se battre et que personne n’a le droit de taper, réclamant 300 euros d’amende. C’est plutôt gentil et pas assez que trop, si vous voulez mon avis.
La présidente Peinaud déteste (elle l’a maintes fois prouvé) que l’on s’en prenne à des êtres sans défense, et est allée plus loin que les réquisitions du ministère public : 1.000 euros dont 7 avec sursis. Et 1.200 euros à la partie civile.
On me dit que le droit "légal" de correction n’existe plus. Dommage !
Post-scriptum : Il y a des mécomptes au tribunal Saint-Pierre (Décidément ! Je finirai par me faire jeter de cette enceinte, moi, après avoir "allumé" la présidente Dinot cette semaine…) :
Les policiers assurant, avec l’efficacité qu’ils ont mainte fois prouvée, la sécurité du Palais de Justice de Saint-Pierre, sont punis ! Les travaux de rénovation sont finis et les places de parking "de service" sont libres de nouveau. Nous l’avons constaté ce matin, la moitié des places est libre. Ben nos amis les flics n’y ont plus accès. Pourquoi ? Comment ? Akoz ? Kosalafé ? Aucune explication n’a été fournie à cette aberration. A partir de dorénavant jusqu’à désormais inclus, ils casqueront leur place extérieure comme vous et… non, pas moi, je ne conduis plus depuis belle lurette. Je le dis sincèrement : on doit à ces gens (les flics, j’veux dire) de se sentir à l’aise. Un minimum d’égards n’arracherait la tronche à personne. (J.B.)
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