Après un premier renfort de 200 policiers et gendarmes envoyé la semaine dernière en Guadeloupe pour tenter de mettre fin aux scènes de violences nocturnes, le ministre des Outre-mer, Sébastien Lecornu, actuellement en déplacement aux Antilles, a annoncé hier le renfort de 70 gendarmes et 10 éléments du GIGN supplémentaires dans l'île.

Après une brève rencontre avec l'intersyndicale ("les négociations avec l'intersyndicale n'auront duré que 10 minutes"), Sébastien Lecornu a appelé "à une prise de conscience collective" concernant les violences notamment envers les forces de l'ordre.
Le ministre des Outre-mer a par ailleurs rappelé que plus de 120 interpellations ont été réalisées depuis le début de la crise en Guadeloupe. "L'autorité judiciaire a enregistré en une semaine une activité équivalente à trois ou quatre mois ordinaires", avance Sébastien Lecornu.
Ce dernier a par ailleurs critiqué l'attitude de l'intersyndicale qui demandait une amnistie "pour celles et ceux qui ont voulu délibérément assassiner des policiers ou des gendarmes". Membre de l'intersyndicale, Jocelyn Zou (FO Pompiers), a déclaré peu après cette brève entrevue "qu'on ne peut pas négocier en 24h". "C'est le père venu gronder son fils, venu donner une leçon, mais la leçon ne passera pas", a déclaré le syndicaliste à la presse.
La crise sociale actuellement en cours en Guadeloupe trouve son origine dans le refus de l'obligation vaccinale pour les soignants et les pompiers mais s'est rapidement étendue à d'autres revendications comme la vie chère ou le fort taux de chômage, des jeunes notamment.
Le ministre des Outre-mer a par ailleurs rappelé que plus de 120 interpellations ont été réalisées depuis le début de la crise en Guadeloupe. "L'autorité judiciaire a enregistré en une semaine une activité équivalente à trois ou quatre mois ordinaires", avance Sébastien Lecornu.
Ce dernier a par ailleurs critiqué l'attitude de l'intersyndicale qui demandait une amnistie "pour celles et ceux qui ont voulu délibérément assassiner des policiers ou des gendarmes". Membre de l'intersyndicale, Jocelyn Zou (FO Pompiers), a déclaré peu après cette brève entrevue "qu'on ne peut pas négocier en 24h". "C'est le père venu gronder son fils, venu donner une leçon, mais la leçon ne passera pas", a déclaré le syndicaliste à la presse.
La crise sociale actuellement en cours en Guadeloupe trouve son origine dans le refus de l'obligation vaccinale pour les soignants et les pompiers mais s'est rapidement étendue à d'autres revendications comme la vie chère ou le fort taux de chômage, des jeunes notamment.
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