
Nous poursuivons notre cinquième édition du concours de la correspondance avec comme invité Charles Baudelaire.
Après vous avoir présenté l’exposition consacrée au patrimoine littéraire de Baudelaire qui se déroule actuellement à la Bibliothèque nationale de France (il est possible de la visiter virtuellement), cette semaine nous allons nous attacher à la relation que le poète avait avec les femmes de sa vie. Lui qui s’est épris de la jeune esclave Dorothée alors qu’il avait tout juste vingt ans de passage à Bourbon n’a eu de cesse de rédiger rimes et vers, de puiser son inspiration dans ses relations avec les femmes qu’il a rencontrées au cours de son existence.
En cela trois femmes ressortent d’une manière distincte de ses écritures : Jeanne Duval la muse officielle est une jeune comédienne qu’il rencontre dès son retour de Bourbon. Aglaé Savatier fut l’amour secret de sa vie, Marie Daubrun est actrice, il l’avait surnommée « mon enfant, ma sœur »
Au-delà de son mal-être, de ses crises existentielles, Charles Baudelaire « tombait amoureux raide dingue » à chaque amour. Romantique, optimiste à l’intérieur, il devenait « pessimiste sur les sentiments humains à l’extérieur » comme le soulignait Théodore de Bancarville (un autre poète de sa génération).
Nous vous renvoyons au texte de Claude Stéphane Perrin, professeur de philosophie. Ce dernier a effectué des recherches sur l’idée du neutre, historique et intemporelle (voici le lien Baudelaire et l'amour des femmes - Claude Stéphane PERRIN (eris-perrin.net)
Et comme lecture rime avec écriture, vous serez (j’en suis certaine) inspirée pour la rédaction de votre lettre.
Charles Baudelaire, poète sensible à l’âme féminine est le destinataire de la cinquième édition de notre concours de la correspondance.
À l’automne de sa vie Charles Baudelaire nous interpelle :
De ce lointain séjour à Bourbon, je garde le souvenir de Dorothée, la belle affranchie « obligée d’entasser piastre sur piastre pour racheter sa petite sœur » ? Et la dame créole aux charmes ignorés ? Et la Malbaraise « grands yeux de velours ». Que sont-elles devenues ? Comment vivent les femmes aujourd’hui là-bas « au pays parfumé que le soleil caresse ? »
. Le règlement est à lire sur notre site http://aparmedia.wixsite.com/appel
Bonne semaine à tous et à bientôt.
Après vous avoir présenté l’exposition consacrée au patrimoine littéraire de Baudelaire qui se déroule actuellement à la Bibliothèque nationale de France (il est possible de la visiter virtuellement), cette semaine nous allons nous attacher à la relation que le poète avait avec les femmes de sa vie. Lui qui s’est épris de la jeune esclave Dorothée alors qu’il avait tout juste vingt ans de passage à Bourbon n’a eu de cesse de rédiger rimes et vers, de puiser son inspiration dans ses relations avec les femmes qu’il a rencontrées au cours de son existence.
En cela trois femmes ressortent d’une manière distincte de ses écritures : Jeanne Duval la muse officielle est une jeune comédienne qu’il rencontre dès son retour de Bourbon. Aglaé Savatier fut l’amour secret de sa vie, Marie Daubrun est actrice, il l’avait surnommée « mon enfant, ma sœur »
Au-delà de son mal-être, de ses crises existentielles, Charles Baudelaire « tombait amoureux raide dingue » à chaque amour. Romantique, optimiste à l’intérieur, il devenait « pessimiste sur les sentiments humains à l’extérieur » comme le soulignait Théodore de Bancarville (un autre poète de sa génération).
Nous vous renvoyons au texte de Claude Stéphane Perrin, professeur de philosophie. Ce dernier a effectué des recherches sur l’idée du neutre, historique et intemporelle (voici le lien Baudelaire et l'amour des femmes - Claude Stéphane PERRIN (eris-perrin.net)
Et comme lecture rime avec écriture, vous serez (j’en suis certaine) inspirée pour la rédaction de votre lettre.
Charles Baudelaire, poète sensible à l’âme féminine est le destinataire de la cinquième édition de notre concours de la correspondance.
À l’automne de sa vie Charles Baudelaire nous interpelle :
De ce lointain séjour à Bourbon, je garde le souvenir de Dorothée, la belle affranchie « obligée d’entasser piastre sur piastre pour racheter sa petite sœur » ? Et la dame créole aux charmes ignorés ? Et la Malbaraise « grands yeux de velours ». Que sont-elles devenues ? Comment vivent les femmes aujourd’hui là-bas « au pays parfumé que le soleil caresse ? »
. Le règlement est à lire sur notre site http://aparmedia.wixsite.com/appel
Bonne semaine à tous et à bientôt.
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