Jusqu’à quand va-t-on accepter ça ? Les sirènes d’alerte hurlent de plus en plus fort, de plus en plus souvent : chaque matin, la terre est un peu plus dévastée et exception faite de quelques jeunes, hautement concernés, on dirait que tout le monde s’en fout. A commencer par les multinationales et les gouvernements de partout. A tel point que lorsqu’on en prend conscience, la guerre en Ukraine, si dévastatrice et monstrueuse pourtant, apparaît comme un épiphénomène, un dégât collatéral de la folie humaine. C’est pas Poutine qui va détruire toute vie sur terre… mais nous-mêmes.

New-Delhi n’existe plus
La capitale de l’Inde n’est plus qu’un ectoplasme, engoncée qu’elle est dans un nuage énorme de micro-particules. Cette ville est la plus polluée du monde. Un seul exemple : les jours où cela va plus pire que d’habitude, sur un terrain de foot, un gardien de but n’aperçoit même plus son collègue adverse dans ses poteaux ! La quantité de nanoparticules y est 500 fois supérieure aux normes tolérées par l’OMS.
Il faut dire que le sous-continent indien est devenu comme nombre de pays africains, notamment le Nigéria, une des poubelles tiers-mondistes de l’Occident : on veut bien vous aider mais en échange, vous acceptez nos déchets.
New-Delhi disparaîtra des cartes de géographie, comme les autres villes indiennes en bordure d’océan, qui acceptent le démantèlement des bateaux devenus pourris chez nous. Avec le nombre de morts « accidentels » que l’on sait. Les réservoirs sont vidés directement dans l’océan Indien où existe déjà un des « cinq continents en plastique » envahissants que l’on sait.
L’Amérique et la Chine sont sans doute les pays les plus pollueurs. Nous ne valons guère mieux en Europe ; nous le cachons mieux, c’est tout.
Le delta du Niger est, avec New-Delhi, le coin le plus pollué. Ce territoire de centaines de milliers de kilomètres carrés ne contient plus aucune vie humaine, animale ou végétale : le pétrole a tout tué avec la bénédiction de Shell, Total, Exxon Valdez etc. La dictature militaire n’améliore pas le problème mais comme elle est soutenue par ces multinationales, plus soucieuses de bénéfices que d’humanisme, la question est réglée d’avance.
Va-t-on alors reprocher aux milliers d’immigrants nigérians de chercher asile dans des pays où on respire encore un peu ?
Va-t-on le leur reprocher alors que leur désastre a été directement créé par nous ?
La capitale de l’Inde n’est plus qu’un ectoplasme, engoncée qu’elle est dans un nuage énorme de micro-particules. Cette ville est la plus polluée du monde. Un seul exemple : les jours où cela va plus pire que d’habitude, sur un terrain de foot, un gardien de but n’aperçoit même plus son collègue adverse dans ses poteaux ! La quantité de nanoparticules y est 500 fois supérieure aux normes tolérées par l’OMS.
Il faut dire que le sous-continent indien est devenu comme nombre de pays africains, notamment le Nigéria, une des poubelles tiers-mondistes de l’Occident : on veut bien vous aider mais en échange, vous acceptez nos déchets.
New-Delhi disparaîtra des cartes de géographie, comme les autres villes indiennes en bordure d’océan, qui acceptent le démantèlement des bateaux devenus pourris chez nous. Avec le nombre de morts « accidentels » que l’on sait. Les réservoirs sont vidés directement dans l’océan Indien où existe déjà un des « cinq continents en plastique » envahissants que l’on sait.
L’Amérique et la Chine sont sans doute les pays les plus pollueurs. Nous ne valons guère mieux en Europe ; nous le cachons mieux, c’est tout.
Le delta du Niger est, avec New-Delhi, le coin le plus pollué. Ce territoire de centaines de milliers de kilomètres carrés ne contient plus aucune vie humaine, animale ou végétale : le pétrole a tout tué avec la bénédiction de Shell, Total, Exxon Valdez etc. La dictature militaire n’améliore pas le problème mais comme elle est soutenue par ces multinationales, plus soucieuses de bénéfices que d’humanisme, la question est réglée d’avance.
Va-t-on alors reprocher aux milliers d’immigrants nigérians de chercher asile dans des pays où on respire encore un peu ?
Va-t-on le leur reprocher alors que leur désastre a été directement créé par nous ?
Pesticides, fongicides : cela ne sert à rien !
Plus de 60% des insectes ont définitivement disparu de la terre. En moins de 30 ans. Ces animaux, indispensables à notre survie à nous, les humains, continuent de s’en aller. Parce que les multinationales chimiques, Monsanto et autres, ont phagocyté l’esprit du monde agricole en faisant croire que l’agriculture serait meilleure, mieux protégée et plus productive avec pesticides, fongicides etc.
Le monde scientifique (non stipendié par les multinationales, ça existe encore) tire la sonnette, que dis-je, la sirène d’alarme : les pesticides ne servent à rien !
Je connais un exemple, ici-même. Nos arboriculteurs fruitiers se plaignent, à juste titre, de la mouche des fruits. Et hop ! que j’te balance là-dessus des tonnes de pesticides… qui, dans le même temps qu’ils liquident les mouches des fruits, déquillent les abeilles et flanquent le cancer et les maladies respiratoires aux enfants des écoles d’à côté. Pourtant, nos gramounes, eux, avaient une solution, simple, efficace ; plus écolo tu meurs !
Sous leurs arbres fruitiers, ils plantaient des tapis de capucines avec double avantage : le parfum des fleurs de capucine étant cent fois plus puissant que celui des fleurs de fruits arborescents, la mouche des fruits se dirige vers les fleurs de capucine. Elle avale tellement de suc de capucine qu’elle crève de boulimie. Qui plus est, les graines de capucine, confites, rendent mille points aux câpres en conserve qui sont bourrés de saloperies.
Pour ce qui concerne votre potager personnel, vous n’avez besoin d’aucun pesticide. Je parle de notre jardin « à la Créole », aimable fouillis sans logique apparente, totalement encombré et qui se suffit parfaitement à lui-même.
Vous avez un parasite sur votre pied d’bringelle ? Don’t panic ! Ce parasite, à coup sûr, a son prédateur sur sur la touffe romarin à côté, qui se lèche déjà les babines. Mais pour que le carnage se produise, il faut que les feuilles se touchent au gré d’un courant d’air : le prédateur ne va pas se promener sur un sol de terre battue pour aller bouloter son copain.
Et voilà toute la raison de nos cours créoles encombrées, dédaliennes en apparence, sans rime ni raison autres que la sagesse de nos Anciens et qui tient en peu de mots : votre jardin, potager ou fruitier, n’est jamais aussi bien protégé que lorsqu’il ressemble à une petite forêt vierge. Sans pesticide, sans fongicide, sans engrais chimique.
Bref, depuis des décennies, au seul nom du profit ultra-capitaliste, quelques puissants détruisent sciemment le monde vivant, humain, animal et végétal ; car pour moi, un arbre est AUSSI un être vivant.
Et engrangent des milliards. Pendant que la Nature et nous, on crève à feu vif.
Plus de 60% des insectes ont définitivement disparu de la terre. En moins de 30 ans. Ces animaux, indispensables à notre survie à nous, les humains, continuent de s’en aller. Parce que les multinationales chimiques, Monsanto et autres, ont phagocyté l’esprit du monde agricole en faisant croire que l’agriculture serait meilleure, mieux protégée et plus productive avec pesticides, fongicides etc.
Le monde scientifique (non stipendié par les multinationales, ça existe encore) tire la sonnette, que dis-je, la sirène d’alarme : les pesticides ne servent à rien !
Je connais un exemple, ici-même. Nos arboriculteurs fruitiers se plaignent, à juste titre, de la mouche des fruits. Et hop ! que j’te balance là-dessus des tonnes de pesticides… qui, dans le même temps qu’ils liquident les mouches des fruits, déquillent les abeilles et flanquent le cancer et les maladies respiratoires aux enfants des écoles d’à côté. Pourtant, nos gramounes, eux, avaient une solution, simple, efficace ; plus écolo tu meurs !
Sous leurs arbres fruitiers, ils plantaient des tapis de capucines avec double avantage : le parfum des fleurs de capucine étant cent fois plus puissant que celui des fleurs de fruits arborescents, la mouche des fruits se dirige vers les fleurs de capucine. Elle avale tellement de suc de capucine qu’elle crève de boulimie. Qui plus est, les graines de capucine, confites, rendent mille points aux câpres en conserve qui sont bourrés de saloperies.
Pour ce qui concerne votre potager personnel, vous n’avez besoin d’aucun pesticide. Je parle de notre jardin « à la Créole », aimable fouillis sans logique apparente, totalement encombré et qui se suffit parfaitement à lui-même.
Vous avez un parasite sur votre pied d’bringelle ? Don’t panic ! Ce parasite, à coup sûr, a son prédateur sur sur la touffe romarin à côté, qui se lèche déjà les babines. Mais pour que le carnage se produise, il faut que les feuilles se touchent au gré d’un courant d’air : le prédateur ne va pas se promener sur un sol de terre battue pour aller bouloter son copain.
Et voilà toute la raison de nos cours créoles encombrées, dédaliennes en apparence, sans rime ni raison autres que la sagesse de nos Anciens et qui tient en peu de mots : votre jardin, potager ou fruitier, n’est jamais aussi bien protégé que lorsqu’il ressemble à une petite forêt vierge. Sans pesticide, sans fongicide, sans engrais chimique.
Bref, depuis des décennies, au seul nom du profit ultra-capitaliste, quelques puissants détruisent sciemment le monde vivant, humain, animal et végétal ; car pour moi, un arbre est AUSSI un être vivant.
Et engrangent des milliards. Pendant que la Nature et nous, on crève à feu vif.
1% possède plus que 99%
Oui, ceci est le constat effarant révélé par les économistes les moins suspects de parti-pris. Un pour cent des presque huit milliards d’humains de la planète, possèdent deux fois plus de richesses que les 99% restants. Qui ne possèdent rien.
Et ça ne dérange que quelques illuminés comme votre serviteur.
Le mal va aller en s’aggravant car personne ne semble vouloir déranger le sacro-saint « ordre des choses ».
Un paradoxe me trouble : en raison de cette disproportion énorme, il ne restera bientôt plus grand monde de ces 99%. Quand ils resteront les seuls sur la terre, que feront les membres de ce 1% ?
Sans doute seront-ils satisfaits, avant de subir les effets de l’extinction de masse à leur tour, de mettre leur fortune dans leurs salières…
Oui, ceci est le constat effarant révélé par les économistes les moins suspects de parti-pris. Un pour cent des presque huit milliards d’humains de la planète, possèdent deux fois plus de richesses que les 99% restants. Qui ne possèdent rien.
Et ça ne dérange que quelques illuminés comme votre serviteur.
Le mal va aller en s’aggravant car personne ne semble vouloir déranger le sacro-saint « ordre des choses ».
Un paradoxe me trouble : en raison de cette disproportion énorme, il ne restera bientôt plus grand monde de ces 99%. Quand ils resteront les seuls sur la terre, que feront les membres de ce 1% ?
Sans doute seront-ils satisfaits, avant de subir les effets de l’extinction de masse à leur tour, de mettre leur fortune dans leurs salières…
Darmanin à l’Intérieur : merci qui ?
Grâce à l’outremer et ses zones d’exclusivité, la France possède un des territoires maritimes les plus étendus de la terre. Avantage territorial, avantage économique, avantage stratégique. Et une population ultramarine qui fournit son lot d’esprits et de sportifs à la science et à la gloire françaises.
Le Macro(n) de l’Elysée, grand cerveau devant l’Eternel, s’en rend si bien compte qu’il a supprimé le ministère des Outremers. On a refilé la patate au ministre de l’Intérieur en lui collant aux miches un « sous »-ministre chargé de gérer nos affaires.
C’est bien la première fois que l’on nous montre aussi vertement du mépris !
Je ne suis ni macroniste (Dieu m’en préserve… s’Il existe !), ni lepéniste, encore moins mélanchoniste ; je deviens peut-être anarchiste à 74 balais. Vous en pensez quoi ?
Grâce à l’outremer et ses zones d’exclusivité, la France possède un des territoires maritimes les plus étendus de la terre. Avantage territorial, avantage économique, avantage stratégique. Et une population ultramarine qui fournit son lot d’esprits et de sportifs à la science et à la gloire françaises.
Le Macro(n) de l’Elysée, grand cerveau devant l’Eternel, s’en rend si bien compte qu’il a supprimé le ministère des Outremers. On a refilé la patate au ministre de l’Intérieur en lui collant aux miches un « sous »-ministre chargé de gérer nos affaires.
C’est bien la première fois que l’on nous montre aussi vertement du mépris !
Je ne suis ni macroniste (Dieu m’en préserve… s’Il existe !), ni lepéniste, encore moins mélanchoniste ; je deviens peut-être anarchiste à 74 balais. Vous en pensez quoi ?
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