Quantcast
Channel: Faits divers – Zinfos974
Viewing all 96797 articles
Browse latest View live

[VIDEO] St-Denis : Le budget 2018 voté, les investissements en baisse de plus de 20 millions d'euros

$
0
0
[VIDEO] St-Denis : Le budget 2018 voté, les investissements en baisse de plus de 20 millions d'euros
Les élus municipaux dionysiens ont voté ce samedi 16 décembre le budget 2018 de la commune, qui s’élève à 296.195.580 €. Un budget "offensif et volontariste" pour la majorité municipale, "dans la droite ligne" des précédents exercices. Pas pour l’opposition qui dénonce un coup de rabot sur les investissements : la municipalité engagera en effet 22 millions d’euros d’investissements en moins par rapport à 2017…

Sur les 296 millions d’euros, près de 216 millions d’euros seront alloués à la section fonctionnement contre près de 80 millions d’euros pour la partie investissement. Sur cette section, les enveloppes les plus importantes iront l’année prochaine sur les dernières tranches du PRU des Camélias, sans oublier les travaux dans les écoles, les équipements sportifs et culturels ou encore un "relooking" annoncé du centre-ville pour un montant de plus d’un million d’euros.

Malgré un contexte de baisse de dotations de l’État et la suppression de la taxe d’habitation pour une très grande majorité des familles dionysiennes, la municipalité l’assure, ces deux phénomènes "n’auront pas d’incidence négative" sur le budget.

Pas de hausse des impôts locaux en 2018

De plus, la majorité municipale, qui souhaite mettre un point d’honneur à respecter les dispositions édictées dans le PLF 2018 et la Loi de programmation des finances publiques 2018-2022, ne cache pas sa satisfaction de voir une augmentation de la DGF, qui "permettra de soutenir le financement des dépenses dans un cadre maîtrisé, avec la mise en place du seuil de 1,2% pour les dépenses de fonctionnement".

La baisse des emplois aidés, elle, sera compensée en partie par l’externalisation des prestations en matière d’entretien des locaux ou de propreté de la commune. De ce fait, les enveloppes de subventions à destination des organismes employeurs qui assuraient le portage de l’insertion seront en baisse. En revanche, celles dédiées aux prestations et interventions seront de leur leur côté en augmentation. "La ville s’attachera, tant que cela est possible, de recourir aux entreprises d’insertion et aux opérateurs spécialisés dans l’emploi de personnes handicapées", ajoute-t-elle.

Sur le volet fiscal, "il n’y aura pas de hausse des taux d’impôts locaux en 2018", s’est félicité Gérard Françoise, l’élu dionysien chargé des finances.

Le point sur ce budget 2018 avec Gilbert Annette :


"Que de la poudre aux yeux"

L’optimisme affiché par les équipes de Gilbert Annette n’est pas partagé par l’opposition. "Vous nous présentez un budget ‘en équilibre’, alors que dans le même temps, 22 millions d’euros seront investis en moins l’année prochaine. C’est un budget qui éloigne Saint-Denis de sa qualité de ville-phare", dénonce Richenel Hubert. "Ce budget, ce n’est que de la poudre aux yeux et que de belles paroles", poursuit-il.

Même avis pour Philippe Jean-Pierre pour qui ce budget "n’est pas d’envergure mais répond à des contraintes globales".

Pour Dominique Fournel, les futurs investissements de la mairie de Saint-Denis s’apparentent plus à des "saupoudrages à coups de 1 ou de 2 millions d’euros" : "Heureusement que vous avez la CINOR pour vous aider à financer vos projets. Je tiens d’ailleurs à féliciter le président Maillot".

www.zinfos974.com

Le CHU dément les "allégations" portées à son encontre

$
0
0
Lionel Calenge, directeur du CHU Réunion, et Jean-Paul Virapoullé, président du conseil de surveillance du CHU Réunion, ont tenu à réagir aux "allégations" de Catherine Gaud sur la gouvernance de la structure hospitalière. Voici leur communiqué :
Le CHU dément les
Les accusations prononcées publiquement depuis plusieurs semaines dans les médias par Madame Catherine Gaud, praticien hospitalier dans l’établissement, portent gravement atteinte à l’intégrité et à l’ honneur de l’équipe de direction et plus globalement des acteurs de la gouvernance du CHU de La Réunion. Nous examinons actuellement les voies d’ordre judiciaire pour faire cesser ces accusations calomnieuses.

Plus grave encore, ces allégations sont de nature à remettre en cause la confiance de la population réunionnaise dans l’offre de soins du CHU, et plus particulièrement dans la qualité et la sécurité des soins, dont le niveau est aujourd’hui largement reconnu, grâce au professionnalisme des personnels médicaux et non médicaux de l’établissement dont nous tenons à saluer le dévouement quotidien au service des patients.

Le CHU de La Réunion doit aujourd’hui poursuivre sa modernisation et le développement de son offre de soins. Pour cela, il doit démontrer sa capacité à rétablir, dans le cadre d’un plan pluriannuel, un équilibre économique durable. C’est dans ce but qu’il présentera ses propositions le 31 janvier 2018 à Paris en Comité interministériel de performance et de la modernisation de l'offre de soins (COPERMO), après la concertation d’une part de la communauté médicale et de ses représentants élus en Commission Médicale d’Etablissement (CME), et d’autre part des organisations syndicales légitimement représentées au Comité Technique d’Etablissement. Cette concertation, déjà engagée, se poursuivra jusqu’à la réunion du COPERMO et après cette date.

Dans ce contexte, les attaques répétées et injustifiées contre le CHU et l’intégrité de ses dirigeants sont susceptibles d’affaiblir la position de l’établissement. Il n’y aura pas de nouveau report de cette réunion du COPERMO, qui constitue un rendez -vous crucial pour confirmer et renforcer le soutien de l’Etat dans l’accompagnement financier dont l’établissement a aujourd’hui indiscutablement besoin.

Appeler à la mise sous tutelle de l’établissement, comme l’a fait de façon irresponsable Mme Catherine Gaud, se traduirait par la suspension de la direction et des instances de l’établissement, et leur remplacement par des administrateurs provisoires. Cette mise sous tutelle souhaitée par Mme Gaud serait accompagnée inévitablement par des efforts en termes de restructuration et de suppression de postes beaucoup plus importants que ce qui est aujourd’hui envisagé. Le risque serait réel que le CHU ne maîtrise plus ni l’élaboration ni la conduite de sa politique d’investissements, de sa politique sociale, ou encore de son projet d’établissement, et perde en conséquence la maîtrise de son destin.

Au total, nous tenons à réaffirmer que la violence des accusations et des attaques contre notre établissement et sa gouvernance n’infléchira pas notre détermination à servir le CHU de La Réunion et à défendre ses intérêts, au plan local comme à l’échelle nationale.

Nous poursuivrons collectivement l’effort engagé de modernisation et d’efficience et nous défendrons toujours la qualité et la sécurité des soins qui rassemblent plus que jamais autour de cette mission commune l’ensemble des professionnels du CHU de La Réunion.

www.zinfos974.com

Village de Noël à La Plaine des Palmistes : Le programme du 16 au 20 décembre

$
0
0
Village de Noël à La Plaine des Palmistes : Le programme du 16 au 20 décembre
Vous trouverez ci-joint le programme du Village de Noel de la Plaine des Palmistes qui aura lieu du 16 au 20 décembre sur le parvis de la mairie. Une trentaine d'exposants sont attendus et plusieurs animations sont prévues.

www.zinfos974.com

[REVUE DE PRESSE] Dimanche 17 décembre 2017

$
0
0
Le Quotidien titre ce dimanche sur le moringue, dont les anciens ont été honorés hier, et le JIR fait sa Une sur des recettes créoles pour le réveillon.
[REVUE DE PRESSE] Dimanche 17 décembre 2017
Faits divers

L'un des deux jeunes gens blessés mardi dernier à scooter au Tampon a dû être amputé d'une jambe. Les deux scootéristes avaient pris un rond-point à contresens, ils ont percuté une voiture. Ils présentaient tous deux des fractures ouvertes, la conductrice n'a pas été blessée, mais est toujours en état de choc.

Un conflit entre un propriétaire et son locataire a dégénéré en bagarre hier à St-André. Le propriétaire et son frère se sont rendus chez le locataire, et lui ont porté des coups. Ils ont passé la journée en garde à vue.

[REVUE DE PRESSE] Dimanche 17 décembre 2017

Société

L'association 1000 sourires a offert un Noël "en l'air" à 25 enfants issus de quartiers défavorisés de St-Paul. Les enfants ont effectué un survol de leur quartier et du lagon, puis écouté un concert privé de MIK'L et Noémie.

La mairie de Ste-Suzanne a remis hier le titre de "Zarlor" à des moringueurs dont certains sont centenaires, en reconnaissance de leur rôle important dans l'histoire de notre île. La région souhaite faire inscrire la discipline au Patrimoine Mondial.

[REVUE DE PRESSE] Dimanche 17 décembre 2017

Économie

La marque réunionnaise "Freexion" lance un nouveau gilet de trail, fabriqué dans une usine de lingerie à Madagascar. La marque espère un développement à l'international, avec un produit ultra-technologique, haut de gamme.

Le marché de Noël dyonisien est ouvert depuis vendredi, jusqu'au 23 décembre. Des artisans réunionnais y proposent des cadeaux 100% artisanat péï, au square Labourdonnais.

www.zinfos974.com

Le permis à peine obtenu, on le lui retire

$
0
0
Le permis à peine obtenu, on le lui retire
Un jeune automobiliste Saint-Paulois n'a même pas eu le temps d'aller récupérer son permis fraichement obtenu à la sous-préfecture, qu'il se l'est vu retirer hier par les gendarmes. Le jeune homme roulait à tombeau ouvert sur la chaussée royale, contrôlé à 103 km/h, avec de surcroit 0,42 g d'alcoolémie.

Il avait obtenu le permis de conduire le 7 novembre, on le lui a retiré le 15 décembre, relate le Quotidien, ce pour la sécurité des autres automobilistes et des piétons.

www.zinfos974.com

Nuit d'horreur sur les routes réunionnaises

$
0
0
Nuit d'horreur sur les routes réunionnaises
Deux graves accidents ont eu lieu en fin de cette nuit de samedi à dimanche sur nos routes. L'on déplore le décès d'un homme à Sainte-Marie, et quatre blessés dont un en état d'urgence absolue sur la route des Tamarins.

Sur la RN2, quatre- voies de Sainte-Marie, la circulation était impossible ce matin, car un grave accident s'est produite vers 4h30 juste avant la bretelle de sortie du Verger. Les secours ont prodigué un massage cardiaque à un homme, en vain, il est décédé des suites de ses blessures, sur place.

La route des Tamarins était elle aussi la scène d'un drame ce matin, un accident impliquant plusieurs voitures a  blessé 4 personnes, l'une d'entre elles étant en état d'urgence absolue. Un camion de désincarcération était sur les lieux, et la circulation a été bloquée durant plusieurs heures.

Nuit d'horreur sur les routes réunionnaises

www.zinfos974.com

Des cocktails Molotov lancés contre le commissariat du Port

$
0
0
Des cocktails Molotov lancés contre le commissariat du Port
Dans la nuit de samedi à dimanche, vers 3h30, deux fonctionnaires de police de garde au commissariat du Port entendent un bruit de verre brisé, puis un second.

Ils se rendent dans la cours intérieure du commissariat, et constatent qu'une bouteille de bière brisée se trouve près de la roue d'un véhicule de police, dont l'aile avant-droite est enfoncée. Un peu plus loin, une seconde bouteille de verre a fini sa course à deux mètres d'une autre voiture de police, sans qu'elle ait occasionné de dégâts matériels, cette fois.

Les deux policiers sont partis à la recherche des auteurs de cette nouvelle incivilité contre le commissariat du Port, sans les trouver. Une forte odeur de carburant émanait des deux bouteilles de verre, il s'agissait donc bien de cocktails Molotov, dont on connait le pouvoir de nuisance.

Le commissariat du Port est régulièrement la cible d'attaques, la dernière en date ayant eu lieu le 12 novembre, et les syndicats de police demandent la reconstruction du bâtiment, vétuste. Le syndicat Alliance entre autres dénonce "les incivilités sur la commune du Port et le manque de moyens dont disposent les collègues", et réclame que "des travaux soient faits rapidement pour améliorer les questions de sécurité".  

www.zinfos974.com

(Pierrot Dupuy) Où je vous révèle le nom de celui qui sera élu président du Département lundi matin

$
0
0
(Pierrot Dupuy) Où je vous révèle le nom de celui qui sera élu président du Département lundi matin
Les 50 conseillers départementaux sont convoqués demain matin au palais de la Source pour l'élection de leur président, en remplacement de Nassimah Dindar, contrainte à la démission pour cause de non cumul des mandats depuis qu'elle a été élue sénatrice.

A noter que Nassimah Dindar démissionnera lundi matin de son mandat de présidente, mais pas de celui de conseillère départementale. Elle avait en effet le choix entre la Région et le Département, et elle a choisi de conserver son poste au palais de la Source.

"Si tu me donnes une voiture de fonction, je viens avec toi"...

Le "cirque électoral" va commencer très tôt lundi matin. Si les tractations, avec leur lot de promesses à la clé, ont commencé depuis plusieurs semaines, voire plusieurs mois pour certains, il est de notoriété publique que c'est souvent dans la dernière heure, voire les dernières minutes, que se joue une élection à la présidence. Plusieurs exemples dans le passé sont là pour le prouver.

Les différents groupes seront réunis à plusieurs endroits stratégiques, et il n'est pas rare de voir certains conseillers faire la navette entre les deux camps. "J'ai obtenu tel poste de l'autre côté. Si vous m'offrez la même chose, mais avec une voiture de fonction en plus, je viens avec vous".

Bien sûr, la plupart des élus ont les convictions chevillées au corps. Mais il suffit de 2 ou 3 mercenaires pour qu'une élection bascule...

Un ami, ancien conseiller général, qui a assisté à plusieurs de ces élections à la présidence, me racontait encore récemment qu'on ressortait de ce genre de réunion avec un sentiment de dégoût dans la gorge et qu'on ne regardait plus par la suite, certains collègues de la même façon...

Et s'il n'y avait pas le quorum ?

Mais avant de savoir qui va être élu, encore faut-il se poser la question de savoir s'il y aura le quorum pour pouvoir procéder à l'élection.

Les conseillers départementaux étant au nombre de 50, le quorum nécessaire est donc de 34.

Le score risquant d'être très serré, il n'est pas impossible que quelques élus, voire un groupe qui sent pointer la défaite, décide de jouer aux abonnés absents, histoire de se donner quelques jours supplémentaires pour négocier et espérer faire basculer l'élection.

Autre question : la Gauche va-t-elle présenter un candidat? Si tel était le cas, il est probable qu'il faille attendre le deuxième tour pour voir émerger le nom du futur président...

Didier Robert seul contre tous

Si le quorum est réuni, on pourra passer au vote.

Qui est aujourd'hui favori?

La rumeur populaire voudrait que ce soit Cyrille Melchior, sans doute impressionnée par le nombre de ses soutiens : Michel Fontaine, président des Républicains à la Réunion, Nassimah Dindar, Thierry Robert, TAK, Joseph Sinimalé...

En face, Didier Robert est seul -ou presque avec Jean-Paul Virapoullé- à soutenir Jean-Claude Lacouture...

Nassimah Dindar ne pèse que deux voix

Mercredi soir, j'étais invité sur le plateau de Réunion 1ère pour commenter cette élection.

J'avais en face de moi Yves Montrouge, l'ancien rédacteur en chef du JIR passé depuis à Freedom. Pour lui, je n'avais rien compris et il était évident que c'était Melchior qui allait l'emporter.

Venant de lui, ça ne m'étonnait pas. Vue la proximité de Camille Sudre et de sa radio avec Thierry Robert et Nassimah Dindar, le contraire eut été étonnant.

Non, la surprise est venue pour moi de l'ensemble des journalistes de Réunion 1ère présents ce soir là, sur le plateau et en coulisses, qui m'ont fait part de leur étonnement devant mon sentiment que ce serait Jean-Claude Lacouture qui serait élu. Ils ne comprenaient pas, voire même me soupçonnaient de tentative de manipulation de l'opinion publique.

Je les rassure, il n'en est rien... Il faut juste se donner la peine de peser en toute objectivité les rapports de forces et le poids de chacun de ces leaders pour arriver à la même conclusion que moi.

Prenons Nassimah Dindar par exemple. Elle ne pèse que deux voix au sein de l'assemblée : la sienne et celle d'Alain Armand.

TAK, c'est quatre élus.

Thierry Robert, c'est deux.

A St-Denis, les voix sont partagées et Gilbert Annette ne peut compter que sur une minorité d'élus issus de sa majorité...

Même Joseph Sinimalé ne peut compter que sur deux voix sur six à Saint-Paul : celle de Cyrille Melchior et celle de sa fille Sandra. Les quatre autres conseillers départementaux saint-paulois sont proches de Fabrice Marouvin, et voteront donc probablement pour Jean-Claude Lacouture.

Et on peut continuer ainsi commune par commune.

Jean-Claude Lacouture favori

Alors, quel est le rapport de forces aujourd'hui?

On l'a dit, pour être élu, il faut réunir au moins 26 voix sur son nom.

Les deux camps sont très proches l'un de l'autre et une ou deux voix qui feraient défection seraient susceptibles de faire basculer l'élection. Au risque de me répéter, tout se jouera peut être dans les dernières minutes avant d'entrer dans l'hémicycle.

Mais si l'élection avait lieu ce matin, je peux affirmer sans grand risque de me tromper, que ce serait Jean-Claude Lacouture qui serait élu. Il dispose actuellement, sur le papier, de 26 ou 27 voix, suffisamment donc pour être élu.

Une lutte à mort entre Didier Robert et Michel Fontaine

Rendez-vous donc demain matin pour le dénouement de cette histoire.

Si cette élection ne passionne pas les foules, elle est pourtant capitale pour les deux ténors de la politique actuellement à la Réunion : Didier Robert et Michel Fontaine.

C'est peu dire que les deux hommes se détestent. Pour des raisons obscures, le maire de Saint-Pierre n'a jamais pu supporter le jeune président de la Région. Quand on essaie d'en savoir plus, un argument revient souvent : "Moi j'ai dû me battre contre les communistes, contre Elie Hoarau, pour conquérir Saint-Pierre et être celui que je suis aujourd'hui. Pour lui, tout a été facile"...

Et TAK, grand ami de Michel Fontaine, n'a de cesse de le mettre en garde et de lui rappeler "la trahison" dont il a lui même été victime.

Il n'en reste pas moins vrai qu'il s'agit d'un duel à mort entre les deux hommes depuis que Michel Fontaine, sous la pression de Nassimah Dindar, a franchi le Rubicon en faisant alliance avec Thierry Robert, l'ennemi juré du patron d'Objectif Réunion.

Chacun s'est investi à fond derrière son candidat et la défaite du poulain sera aussi celle de son mentor.

Est en jeu le rôle de leader politique à la Réunion. Si Jean-Claude Lacouture gagne demain matin, Didier Robert aura le champ libre devant lui. Il pourra quitter Les Républicains et être de plus en plus "Macron compatible", avec pourquoi pas, un poste de ministre à la clé.

S'il perd, ce serait sa première vraie défaite et donc très certainement un coup d'arrêt à une carrière jusqu'ici sans nuages.

Encore plus que Lacouture et Melchior, Didier Robert et Michel Fontaine jouent très gros demain matin.

www.zinfos974.com

Descente surprise de la gendarmerie, des pompiers et des services vétérinaires cette nuit au Coco Beach

$
0
0
Le Coco Beach, le fameux bar-restaurant pieds dans l'eau de l'Hermitage a subi hier soir contrôle impromptu des services de l'État. Le sous-préfet de Saint-Paul, Frédéric Carre, avait fait le déplacement.
Descente surprise de la gendarmerie, des pompiers et des services vétérinaires cette nuit au Coco Beach
Établissement bien connu du littoral de l'Hermitage, le "Coco Beach" a fait hier soit l'objet d'un contrôle inopiné.

C'est vers 23 heures, en pleine soirée dansante, que les forces conjuguées de la gendarmerie, des pompiers, de la DEAL (Direction de l'environnement, de l'aménagement et du logement), de la DAF (Direction aux affaires financières) et de la DSV (Direction des services vétérinaires) ont procédé à une série de vérifications approfondies.

Aux commandes, le sous-Préfet Frédéric Carre, accompagné pour l'occasion de Jean-Marc Aure, adjoint saint-paulois à la sécurité et d'Emmanuel Casso, chef d'escadron de la gendarmerie de Saint-Paul.  

Une nourriture qui laisse à désirer

Le contrôle des cuisines par la DSV et les pompiers a semble-t-il porté ses fruits. Selon des propos entendus sur place hier soir, les fonctionnaires en opération ont lâché qu'ils ne seraient surpris si les médecins devaient aujourd'hui recevoir des patients indisposés par l'ingestion de la nourriture fournie par le restaurant. 

La chasse à la musique trop forte

"Des citoyens issus de différentes couches sociales ont appelé l'État à agir", nous a déclaré Frédéric Carre, qui précise que cette "initiative commune" répond à "la double nécessité de préserver l'emploi généré par les restaurants de bord de plage, mais aussi à celle de protéger les riverains des nuisances nocturnes".

"Il y a des discothèques insonorisées un peu partout à Saint-Gilles, on peut donc comprendre que les riverains ayant un enfant ou une personne malade soient agacés par la musique",
ajoute le sous-préfet.

Le volume de la musique a d'ailleurs sensiblement baissé à l'arrivée des autorités, selon un des gendarmes présents hier soir.

Dans le prolongement de l'action des collectifs

Cette opération, qui en annonce d'autres, s'inscrit dans le cadre particulièrement sensible de la polémique liée aux restos "pieds dans l'eau" de l'Hermitage, initiée par les collectifs tels "Rend a nou la plage", "AKKO", et le Dr Karl Bellon.

Ces rassemblements citoyens ont pris pour cheval de bataille la privatisation des plages et organisé des manifestations de riverains et de militants identitaires sur place.

Le groupe lié au Dr Karl Bellon dénonce entre autres les nuisances sonores subies par les habitants des villas de bord de mer de ce quartier chic de Saint-Gilles les Bains.

Un pique-nique partage est organisé aujourd'hui aux Roches Noires par l'association AKKO, pour les mêmes motifs.

Descente surprise de la gendarmerie, des pompiers et des services vétérinaires cette nuit au Coco Beach

Descente surprise de la gendarmerie, des pompiers et des services vétérinaires cette nuit au Coco Beach

www.zinfos974.com

Maëva Coucke, Miss Nord Pas-de Calais, est Miss France 2018

$
0
0
Maëva Coucke, Miss Nord Pas-de Calais, est Miss France 2018
Elle a 23 ans et est Miss Nord-Pas-de Calais... Le Nord voit à nouveau l'une de ses reines de beauté remporter le précieux titre après ceux de Camille Cerf et bien entendu d'Iris Mittenaere. Maëva a eu ses premiers mots hier soir à Châteauroux :  " J’essaierai de porter l’écharpe aussi bien que Camille et Iris l’ont fait ".

Une phrase de la nouvelle Miss France a toutefois fait réagir les réseaux sociaux, qui l'accusent de racisme "en douce" : "Après une blonde, une brune, une miss à la crinière de lionne, pourquoi pas une rousse". Crinière de lionne étant dit en référence aux cheveux afro d'une ancienne Miss France.

A saluer la très belle prestation de notre Miss Réunion Audrey Chane Pao, qui a brillé tout au long de la soirée et a réussi à obtenir l'écharpe de 4ème dauphine. Miss Corse a été élue 1ère dauphine...

www.zinfos974.com

Alliance dénonce des violences envers l'institution policière

$
0
0
Alliance dénonce des violences envers l'institution policière
 
Encore une fois le commissariat du Port a fait l'objet de dégradations. Dans la nuit de samedi à dimanche 2 cocktails molotov ont été lancés à l'intérieur du commissariat. 
 
Heureusement pas de blessés, mais des dégâts matériels dont un véhicule. Alliance police nationale n'a de cesse de dénoncer les problèmes de sécurité liés à l'enceinte. 
 
A multiples reprises ALLIANCE à demandé à ce que soit rehausser la clôture du commissariat.
A multiples reprises ALLIANCE a demandé que soit déplacé le bouton poussoir permettant la sortie du commissariat.
La seule réponse de l'administration à été le manque de budget.
 
ALLIANCE n'accepte pas cette réponse. 
La sécurité n'a pas de prix surtout celui des collègues. Les policiers ne sont pas que des simples matricule.
 
ALLIANCE demande que l'état garantisse la sécurité des policiers et que le commissariat du Port soit inscrit au futur plan quinquennal pour qu'un nouveau bâtiment voit le jour prochainement. 
 
ALLIANCE apporte son soutien à tous les policiers qui assurent la sécurité des biens et des personnes tous les jours.
 
Idriss RANGASSAMY
Secrétaire départemental ALLIANCE POLICE NATIONALE

www.zinfos974.com

Souvenirs, souvenirs… Alan Ladd, Eddie Constantine, Johnny Weissmuller… Le cinéma de papa : “Aaaallééééé !”

$
0
0
Souvenirs, souvenirs… Alan Ladd, Eddie Constantine, Johnny Weissmuller… Le cinéma de papa : “Aaaallééééé !”
Le cinéma, dans ces années là, était "la" grande distraction, pour ainsi dire la seule régulière. Il y avait bien quelque fête foraine ici ou là, un carrousel de temps à autre et c’est tout. La radio ? Elle émettait deux à trois heures par jour et les programmes n’étaient guère affriolants : "Une heure avec Luis Mariano"… "Une heure avec Michèle Arnaud"… Tandis que le ciné, ça c’était du sûr.

Du Casino à l’Odéon…

Nous apprenions par coeur la programmation des différentes salles de l’île. On la trouvait chaque jour en dernière page du Journal de l’Île de La Réunion de monsieur Fernand Cazal.

Une anecdote au passage : nous avions collé un visage sur le nom de monsieur Cazal, celui du bonhomme de la publicité Chevillard. On apprit bien plus tard qu’il n’en était rien.

Cette liste, accolée à la programmation de Radio Saint-Denis, donnait les programmes des différentes salles permanentes : Le Casino, futur Ritz, le Plaza et le Rio pour Saint-Denis ; le Cristal à Saint-Benoît ; le Splendid à Saint-Paul ; le Rex et le Roxy à Saint-Pierre (Ciné Porno-Mario n’est venu que bien plus tard) ; le Plaza à Saint-Louis ; le Concorde à La Rivière ; le Métro et l’Eden au Tampon ; l’Odéon à Saint-Joseph ; cinéma Le père Hauck à Cilaos… j’en oublie certainement car il y en avait plus d’une vingtaine à travers l’île alors.

Dans ces années, les films ne nous parvenaient qu’avec plusieurs années de retard après leur sortie en métropole. Ils arrivaient par bateau. Deux sociétés se partageaient alors le marché de l’importation et, saine concurrence, elles se faisaient un devoir de n’importer QUE de bons films. Raison pour laquelle, même en étant fauchés comme un champ de lentilles par les zoiseaux béliers, nous avions acquis très vite un goût incurable pour le bon cinéma et une culture idoine.

"Coqué-coqué-coqué marmailles…"

Même les plus démunis s’arrangeaient souvent pour économiser quelques sous aux fins de cinéma du samedi. Et lorsqu’ils n’y arrivaient pas, la resquille faisait l’affaire. Les ouvreurs ne se montraient jamais méchants. Eux-mêmes chichement rémunérés, savaient ce qu’être pauvre voulait dire, et laissaient filer entre leurs grandes pattes bien des mômes aux regards brillants de convoitise.

Au cinéma Concorde du père Collette, à La Rivière, le filtrage des entrées était confié à Grand-Mico, une manière de balaise de deux mètres, aux mains comme des battoirs de bûcheron, dont le kaki des vêtements avaient bien du mal à contenir une musculature dissuasive.

Grand-Mico avait été un des nervis de choc de mon papa. Un énorme sourire illuminait son farouche visage quand il voyait débarquer "z’enfants ti-Jules", accompagnés de Dédé, de Jo, et quelques autres camarades des "paillotes champs de cannes". Il laissait passer la flopée de marmailles comme une volée de tec-tec. Nous nous installions dans le poulailler et attendions l’instant béni en écoutant les galéjades des adultes, certains pleins comme des moules de Saint-Leu.

La meilleure de toute cette époque, nous l’avons entendue dans la bouche baveuse d’un brave zabitan de Tapage pété au rhum du Gol. Il y avait une chanson publicitaire alors, généreusement diffusée sur Radio Saint-Denis, à la gloire du Coca-Cola, nouvellement introduit dans l’île. Il me semble que Loulou avait été payé pour cette commission inavouable. A moins que ce ne fût Julien Vauzelle ?
Elle disait, sur un rythme de calypso lent : "Coca-coca-coca-cola, ça l’ bien bon pou zot’ l’estomac". On admirera la richesse des paroles!

Ben ce génial poivrot, devant l’auditoire époustouflé, s’était levé péniblement de sa banquette (elles n’étaient pas capitonnées alors), chancelant, hilare, et avait entonné des paroles de sa composition :
"Coqué-coqué-coqué marmailles, ça lé bien bon pou zot zaffair-là !" L’auditoire était écroulé ; les femmes riaient sous cape, le rose du plaisir aux joues.

Eh ! Les joies de l’esprit sont tout de même les plus belles, non ?

Alala garçon, là !

A Cilaos, le cinéma paroissial, appelé "cinéma le père Hauck" car géré par ce brave capucin, avait un statut un peu spécial. Il s’approvisionnait auprès des distributeurs locaux mais avait également son propre fournisseur, diffusant ainsi des films jamais passés dans les autres salles. Je me souviens avoir vu un film d’aventures sur la vie d’Ignace de Loyola, grand pourfendeur de mécréants avant de devenir le glaive flamboyant de Jésus.

Le père Hauck se chargeait en personne des entrées et, à sa décharge, il faut dire qu’il laissait passer bon nombre de ses ouailles qu’il savait sans grand argent. Il n’y perdait guère au change, sa générosité faisant augmenter la foi de ses ouailles et la fréquentation de la belle Notre-Dame-des-Neiges. Ainsi que les contributions aux quêtes et autres deniers du culte, je suppose.

La participation à ce qui se passait sur l’écran était parfaite, le public s’investissant totalement dans l’action. Le héros du film s’appelait toujours "Garçon", selon l’ami André-Maurice, un dérivé de "Kit Carson" peut-être, authentique héros américain et un de nos personnages de BD favoris. Chaque fois que paraissait le héros sur la toile blanche, les soupirs de contentement s’élevaient dans la salle. Le moindre coup de poing d’Eddie Constantine, de Jeff Chandler, de Randolph Scott, de John Payne ("Payne", pas Wayne), se scandait d’un "Allez !" vibrant et prolongé. De vrais shootés de cinéma !

Le cinéma alors, se vivait aussi bien au-dehors que dans la salle. Nous allions ainsi régulièrement tourner autour des salles de projection, histoire d’enrichir nos collections de bouts de pellicules.

A La Rivière, par exemple, la salle de projection était accessible par un escalier extérieur en colimaçon. C’est au pied de cet escalier que le projectionniste jetait les bouts de pellicules issus des raccords effectués lors des changements de bobines. Nous nous jetions dessus et tentions de reconnaître quel acteur pouvait bien figurer sur ces négatifs.

En y repensant, nous jouions là à "Cinéma Paradiso" avant la lettre.

Nous passions aussi de très longs moments à admirer et commenter les photos-annonces placardées sur de grands panneaux protégés par les grilles ajourées des salles. Lorsque j’y repense, cela évoque inévitablement pour moi le petit gosse-à-la-canne peint par Truffaut dans "La nuit américaine". Et c’était bien ça : nous étions tous proprement des shootés de ciné !

Un de nos émerveillements venait largement des affiches placardées dans l’entrée. Elles nous faisaient rêver comme les romans de Jules Verne par leur immense pouvoir évocateur. Quelques-unes sont restées dans nos mémoires et pourquoi celles-là plutôt que d’autres ? Mi conné pas…

Dans le hall d’entrée du vieux Plaza de Saint-Denis, il y avait l’affiche d’un film d’épouvante avec Abel Salazar, acteur espagnol aussi beau et effrayant que notre ami Christopher Lee, les crocs bien en évidence et le regard épouvantable. Si quelqu’un se souvient du titre… Une autre, au vieux Casino de Romuald Robert (homme d’une gentillesse proverbiale), montrait Vincent Price, l’idole des rockers et monstre irréprochable, enfonçant les pinces d’un étau à main bien acéré, dans le cou d’une vieille femme affolée. "Le musée des horreurs" ? P’têt bien.

A Saint-Joseph, quand notre vieille Mémé Anéa nous emmenait à l’Odéon, le dimanche après-midi, nous passions de merveilleuses minutes, Michel, Alain et moi, à décortiquer les portraits d’Eddie Constantine ou Johnny Weissmuller, le premier Tarzan d’une longue lignée.

"Petite valse" et "Biguina coco"

Histoire de nous faire patienter, on nous mettait de la musique, souvent les derniers succès du jour. Mais dans ces années 50/60, fallait pas s’attendre à du Armstrong ou de l’Elvis. Non ! Restons français, que diable. Alors, on écoutait « Allez savoir pourquoi » de nos célèbres Compagnons de la chanson, ou "Brigitte Bardot-Bardot" de Dario Moreno, chanter turc déguisé en latino par ses producteurs.

Il arrivait parfois, miracle ! que l’on nous serve quelques airs locaux. C’est encore  au Plaza que nous avons découvert le très joli petit calypso "Biguina coco" de Claude Vinh San, sinon le tordant "Rythmes typiques" de Vauzelle.

A La Rivière, on bouillait d’impatience en attendant que retentisse le "ding… ding… ding…", les trois premières notes de "La petite valse" (joliment reprise par Marcel Dadi, des décennies plus tard). Un énorme aaaaahhhhh !!!!!) de félicité s’élevait : ça allait commencer.
On attendait l’apparition d’Alan Ladd, l’inoubliable Shane de "L’homme des vallées perdues", un des meilleurs westerns de tous les temps ; du grand Johnny Weissmuller dans "Tarzan l’homme singe" ; ou encore Anthony Quinn dans "Attila fléau de Dieu". 

Le BCG du centurion

Ce n’est que bien plus tard que nous avons appris que ce film n’était qu’une vaste fumisterie : Anthony/Attila, aux portes de Rome, impressionné par l’aura mystique du Pape venu à sa rencontre, fait son mea culpa et s’en retourne dans ses steppes arides. Qui aurait osé douter du pouvoir divin du saint Père ?

Il revint à M. "Ouloulou" Monteil, notre vénéré prof d’histoire-géo, de rectifier le tir : c’est en Champagne, aux Champs Catalauniques, à des milliers de kilomètres de Rome, qu’Attila s’est ramassé une pile sévère avec le centurion roman Aétius.

Plus tard encore, nous avons appris à nous méfier du m’en-foutisme yankee concernant l’authenticité historique, comme de voir un Colt pacemaker (commercialisé en 1873) pendant la Guerre de Sécession ; qui s’était achevée en… 1865 !

Mieux encore, une trace de vaccin BCG sur l’épaule d’un centurion du 3è siècle ap. J.-C., sinon un bracelet-montre oublié au poignet d’un Wisigoth d’Alaric.

Mais tout ça ne vaudra jamais, dans un "Godzilla" de série 392 bis, l’inscription "Miniature Norev" sous un train expédié ad patres par l’irascible lézard en carton-pâte !

Weissmuller, de Tarzan à Jim-la-Jungle

Nous apprenions par coeur les noms de nos acteurs favoris. Les Jacques Sernas de « Hélène de Troie », très beau et très lâche Pâris ; le ténébreux Raf Vallone ; Fernandel, impayable Ali Baba ; et les sublimes Silvana Mangano, et sa copine Antonella Lualdi, qui nous avait laissés sur le cul en exhibant ses suggestives touffes de "Riz (pas) amer"…

Même nos héros vieillissants, nous continuions de les aimer. Comme lorsque Johnny Weissmuller devint trop enveloppé pour continuer d’incarner Tarzan. Il campa alors un très honorable Jim-la-Jungle, sorte de Tarzan bedonnant en short kaki et casque colonial.

Les salles de cinéma avaient souvent leurs héros involontaires et ça nous ramène à un célèbre sketch de Daniel Vabois.

Un brave homme nommé Cologon avait obtenu de Romuald Robert l’autorisation, avant le début de séance et à l’entracte, de passer entre les rangées de fauteuils en bois, vendre ses cornets de pistaches grillées. Une aubaine pour lui comme pour nous.

Il fabriquait ses cornets dans du papier à lettres que vendaient tous les Chinois alors, des feuilles quadrillées à petits carreaux, vendues à l’unité pour trois fois rien.

Il avait été vite surnommé "Cologon papier à lettres", surnom qui fusait lors de ses pérégrinations entre les travées. Un jour, excédé par cette irrévérence, il se tourna vers quelqu’un qui venait ainsi de l’interpeller :
"Cologon papier à lettres ? Ton monmon z'enveloppe !"

Jules Bénard

www.zinfos974.com

La marque réunionnaise Blard rappelle des foie-gras, terrines, gésiers et rillettes

$
0
0
La marque réunionnaise Blard, spécialisée dans les produits dérivés de canard, élevés à la Plaine des Palmistes, se voit obligée de retirer des étals des produits, par mesure de précaution. Ci-dessous, le communiqué de la société.
La marque réunionnaise Blard rappelle des foie-gras, terrines, gésiers et rillettes

En accord avec les services de l'Etat, la société Blard procède, par principe de précaution, au rappel des produits précisés ci-dessous et présentant sur l'étiquetage une date d'emballage entre le 26 octobre 2017 et le 15 décembre 2017. 

Produits de type verrines ou poches sous-vide
Numéro d'agrément : FR 974.06.006
Marque commerciale : BLARD
 
Nature des produits : foie-gras, terrines, gésiers, rillettes
Foie-gras : entier (250g), goyavier, nature (130g, 250g), vanille, bloc (130g, 250g), mi-cuit torchon, papaye (130g), figues (250g), mi-cuit bocal (250g), pruneaux (250g), mangue, sel de Saint-Leu, au galabé, bloc avec morceaux SBS (50g), vanille bleue
Rillettes : de canard (50g, 130g), bocal (250g), au foie-gras (130g, 250g), sous vide
Terrine de canard ; nature (130g, 250g), au foie gras (130g), au rhum ambré
Gésiers de canard confit
 
Pour ces produits, il a été constaté des défauts d'enregistrement de production à compter du 26 octobre 2017 qui ne permettent pas de confirmer leur stabilité et donc l'absence de risque microbiologique. Aussi, par mesure de précaution, la société Blard demande aux consommateurs qui ont acheté l'un de ces produits de ne pas le consommer et de le ramener en magasins. Les produits retournés seront remboursés.
 
Un retrait des produits concernés a déjà été effectué dans les différents points de vente. Les enseignes où ils sont habituellement commercialisés (détaillants : principalement cavistes, ainsi que l'ensemble du réseau GMS) ont informé les consommateurs depuis ce samedi 16 décembre 2017 avec des affiches apposées dans leurs différents magasins.
 
Pour tout renseignement, les clients peuvent s'adresser à leur point de vente habituel ou s'adresser à la société Blard (0262 51 87 32 – qualite@canardblard.re). 
 
La société Blard, forte de 30 années d'expériences dans l'élevage de canards à La Réunion, a toujours été soucieuse de proposer une gamme de produits de qualité. Elle regrette fortement cette situation, et tient à s'excuser auprès de ses clients et des consommateurs réunionnais.
 
Elle tient également à rappeler que les canards de la société, proposés à la vente entiers et en découpes sous la même marque, ne sont aucunement concernés par cette mesure. 

www.zinfos974.com

Nathacha Appanah lauréate du Prix du Roman Métis des Lycéens 2017

$
0
0
Nathacha Appanah lauréate du Prix du Roman Métis des Lycéens 2017

Le Prix du Roman Métis des Lycéens 2017 a été attribué ce jeudi, au terme des délibérations à huis-clos de 20 lycéens réunionnais.

Après Beyrouk (lauréat 2016), Mohamed Mbougar Sarr (2015), Guillaume Staelens (2014), Cécile Ladjali (2013), Carole Zalberg (2012) et Delphine Coulin (2011), les élèves réunionnais et malgaches (ces derniers ont envoyé leur vote par sous enveloppe cachetée) ont choisi de récompenser Nathacha Appanah pour son roman Tropique de la violence paru chez Gallimard.


Nathacha Appanah lauréate du Prix du Roman Métis des Lycéens 2017

"L’auteur nous met face à une réalité violente et il faut en prendre conscience pour essayer de changer le monde", a souligné Louna Driol, lycéenne de 1ère L à Saint-Denis. 

Tropique de la violence est le sixième roman de l’écrivain, journaliste et traductrice mauricienne Nathacha Appanah. Son récit relate une plongée dans l’enfer d’une jeunesse livrée à elle-même à Mayotte, où cinq destins vont se croiser et révéler la violence de leur quotidien. Un thème qui a séduit les lycéens, qui se sont déclarés touchés par le thème de l’immigration et ses résonances dans l’actualité. 

C'est donc un prix de plus pour ce livre déjà salué par le Prix Anna de Noailles de l’Académie française, le Prix Fémina des Lycéens 2016; le Prix roman France Télévision, ainsi que le Prix du Roman Métis des Lecteurs de la Ville de Saint-Denis.

Début 2018, l'auteure viendra rencontrer les lycéens réunionnais et malgaches.

Initié par la Ville de Saint-Denis, la Réunion des Livres, l’académie de La Réunion et la DAC-OI, en partenariat avec le Rotary club Saint-Denis Bourbon, la Sofia et l’Institut Français de Madagascar, le Prix du Roman Métis des Lycéens vise à mobiliser depuis six ans "des jeunes et des équipes pédagogiques de toute l’île autour d’une littérature contemporaine, ouverte sur le monde et porteuse de valeurs d’humanisme, de métissage et de diversité".

 

www.zinfos974.com

Rando tec-tec : Un autre regard sur la randonnée péï !

$
0
0
Rando tec-tec : Un autre regard sur la randonnée péï !
Avis aux randonneurs "2.0". Le Parc national de La Réunion a dévoilé ce vendredi 15 décembre son outil web gratuit "Rando tec-tec". Ce dernier propose de vivre une expérience de la randonnée découverte en toute autonomie et propose 26 itinéraires accessibles, sélectionnés pour la découverte des richesses du territoire.

Les agents du Parc national, passionnés du territoire, vous livrent leur connaissance issue du travail de terrain mené depuis 10 ans sur la biodiversité, la géologie, l’histoire ou encore l’archéologie afin de mieux décrypter les paysages.

Tous les itinéraires sont ponctués de nombreux points d’intérêts - véritable valeur ajoutée de l’outil - dont les thèmes sont diversifiés :
• patrimoines naturels : faune - flore - écosystèmes – géologie et volcanisme actif - hydrologie - météorologie, climat...;
• patrimoine culturel, matériel et immatériel : croyances et religions – mythes et légendes – anecdotes et faits divers, histoire, colonisation, marronage – architecture...;
• enjeux environnementaux : espèces rares ou en danger - espèces exotiques envahissantes...;
• dispositifs de conservation : Life+ forêt sèche, Life+ pétrels...; • recherches : archéologie – protocole scientifique...; • usages : trail ...; • divers : risques naturels....

Les randonnées sont accessibles à tous, l’objectif n’est pas la performance sportive mais la découverte des sites à forte valeur patrimoniale ou à fort potentiel émotionnel !

La navigation sur le site s’appuie sur une cartographie dynamique de très bonne qualité. Des fonctionnalités innovantes permettent une visualisation 3D du parcours pour prévisualiser l’itinéraire choisi, et aussi le téléchargement de traces GPS. Rando tec-tec n’a oublié personne ! Ceux qui le souhaitent pourront imprimer des topoguides.

L’offre est organisée selon un découpage territorial et un moteur de recherche permet d’affiner son choix (difficulté, durée, dénivelé, longueur, configuration du parcours...). Les itinéraires de découverte sont organisés selon 6 grandes thématiques territoriales visibles dès la page d’accueil du site.

Toutes les randonnées s’effectuent exclusivement sur des itinéraires aménagés, entretenus, balisés et autorisés. La valorisation de ces itinéraires de randonnée pédestre auprès du public sous l’angle patrimonial a vocation à être permanente, fiable et régulièrement mise à jour.

Pour optimiser la navigation sur tablette et smartphone, une application gratuite est en cours de conception et sera disponible prochainement !                            

Consulter le site web Rando tec-tec.

www.zinfos974.com

L'artiste réunionnais Lightning sort un album entièrement instrumental

$
0
0
L'artiste réunionnais Lightning sort un album entièrement instrumental
Il ne s'arrête pas. Après sa collaboration avec l’artiste japonaise "Ne-chansan", qui fut une première dans l’univers du J-Rock, le chanteur et compositeur réunionnais Lightning sort un nouvel album.

Entièrement instrumental, cet album de 11 titre s’intitule "Guitar Melody I". Un véritable retour aux sources pour celui qui se définit avant tout comme un guitariste.
 
Et pour le plus grand bonheur de ses fans, le jeune homme originaire de Saint-Joseph sort également un nouveau single, "Love with the demon", dont le clip a été dévoilé sur Youtube ce mercredi. 


www.zinfos974.com

Top 5 des articles les plus lus sur Zinfos cette semaine

$
0
0

L'animateur TEX aux oubliettes... ... parce que Desproges avait raison !

$
0
0
L'animateur TEX aux oubliettes... ... parce que Desproges avait raison !

 
Pierre Desproges, un des humoristes les plus géniaux dessous les temps, disait : "On peut rire de tout... mais pas avec n'importe qui".
Oups ! a dû penser l'animateur Tex, des "Amours", viré de son émission, lui aussi humoriste de talent, mais à la mémoire courte.
Il aurait dû se rappeler, par exemple, que 99,99% des Français sont essentiellement cons ! Donc pas aptes à comprendre une amusette au 3è degré.

Dans une émission de Courbet (Julien, pas Gustave-de-la-Touffe), Tex avait lancé : "Que dit-on, à une femme qui a les deux yeux au beurre noir ?... On ne dit rien parce qu'on le lui a déjà expliqué".

Seuls les connards, les crétins, les abrutis, les trous-duc', c'est-à-dire 99,99% des téléspectateurs penseront que Tex approuve le fait que cette femme soit battue.

Tex dissimule son profond humanisme sous ses sourires et ses ironies acerbes, souvent frappées au coin du bon sens.

Mais voilà, les abrutis etc. ont appelé en masse le CSA (Cénacle des Super Abrutis) pour réclamer son renvoi. Le CSA (Compagnie des Séniles Abscons) a aussitôt obéi, de peur de déplaire.

Parce qu'on n'a plus le droit de parler ouvertement. Faut pas dire "Didier Robert est un mégalomane introverti" mais "quelqu'un ayant du mal à communiquer". Pas le droit de dire que "Michel Fontaine est un salaud qui trahit ses amis" mais "un élu qui ne sait pas s'entourer de vrais amis".
 

😧😧😧🖕🖕🖕🖕🖕😢😢😢💩💩

www.zinfos974.com

UNITE SGP POLICE FO : Jets de "cocktails molotov" dans le commissariat du Port !!!

$
0
0
Suite aux évènements de la nuit dernière au commissariat du Port, UNITE SGP POLICE FO publie son mécontentement dans un communiqué de presse, ci-dessous.
UNITE SGP POLICE FO : Jets de
 
Dans la nuit du 15 au 16 décembre, aux alentours de 3H30, le commissariat du port a une nouvelle fois été la cible de jets de "cocktails molotov".

En effet, 2 engins explosifs artisanaux ont été envoyés dans l 'enceinte, au niveau des places de stationnement des véhicules de service.

Fort heureusement, ces derniers ont fait long feu et n'ont que légèrement endommagé une voiture de police.

UNITE SGP POLICE FO n'a de cesse de dénoncer l'explosion de violences à l'encontre de nos collègues portois et envers les policiers de manière globale.

Où s'arrêtera cette escalade ?
Doit on attendre un drame ?

UNITE SGP POLICE FO tire la sonnette d'alarme et exige de l'administration, que des mesures concrètes et immédiates, soient enfin prises afin d'éradiquer les agressions envers les policiers du port, pour qui les conditions de travail frôlent le catastrophique.

Qui protègera nos concitoyens, si l'administration elle-même ne protège pas ses policiers ?

www.zinfos974.com

Le bilan de sécurité routière du WE marqué par deux accidents dramatiques

$
0
0
Le bilan de sécurité routière du WE marqué par deux accidents dramatiques
Les motards de la gendarmerie ont relevé au total 59 infractions génératrices d'accidents graves, dont 28 alcoolémies avec des taux compris entre 0.40 mgl par litre d'air et 0,71 pour le taux le plus élevé. Un usager a été contrôlé positif au cannabis à Saint-Benoit.
14 délinquants routiers se sont vu retirer leur permis de conduire sur le champ.

Sur le secteur de Saint-Gilles, à la traditionnelle sortie de boîtes, 200 véhicules ont été contrôlés. Une conductrice de 26 ans présentant un taux de 0,38 mg/litre circulait malgré l'annulation de son permis de conduire.

Les deux dramatiques accidents survenus au petit matin ont pour dénominateur commun l'alcool au volant.

Les effectifs de Police de la Direction Départementale de la Sécurité Publique de La Réunion ont quant à eux réalisé 25 opérations de sécurisation et de sécurité routière au cours du week-end, relevant 16 délits : 5  conduites sous l'empire d'un état alcoolique, 6 défauts d'assurance, et 5 défauts de permis de conduire.

La gendarmerie rappelle que le but de cette mobilisation est de faire que pour les usagers de la route, l'esprit demeure à la fête et la joie sans basculer brutalement dans le drame, la peine et la douleur.



 

www.zinfos974.com
Viewing all 96797 articles
Browse latest View live


<script src="https://jsc.adskeeper.com/r/s/rssing.com.1596347.js" async> </script>