Alors que beaucoup d’étudiants vivent leur première histoire d’amour véritable, croient-ils encore en l’amour éternel ? En ce jour de Saint-Valentin, nous sommes allés leur poser la question sur le campus universitaire du Moufia.
« J’ai carrément zappé la Saint-Valentin ! » Darryl vient tout juste de finir ses partielles, et la fête des amoureux lui est un peu sortie de l’esprit.
Qu’à cela ne tienne, il compte bien rattraper le coup avant ce soir et improviser un petit quelque chose pour sa bien-aimée. À la question de l’amour éternel, du haut de ses 24 ans, Daryl répond que « quand on aime vraiment quelqu’un, tout est possible ! »
Rien de prévu ce soir pour Loïc. Ce célibataire endurci a l’habitude de ne pas fêter la Saint-Valentin, et il le vit bien : « mieux vaut être seul que mal accompagné ! »
S’il aimerait bien trouver « son petit bonheur », envisager d’aimer pour la vie lui semble difficile aujourd’hui : « les moeurs ont changé », explique-t-il.
« L’amour, la Saint-Valentin tout ça , on est pas trop là-dedans nous… », expliquent Lucas et Samuel en pressant le pas. Pour les deux jeunes hommes célibataires, le programme de cette Saint-Valentin est tout décidé : ce sera soirée jeu-vidéo !
Rahno et Delphine, 19 ans tous les deux, célèbrent leur première Saint-Valentin ensemble. Ils ne se font pas d’illusion sur l’amour éternel : « on ne sait pas ce que l’avenir nous réserve ! »
« L’amour pour toujours, je ne sais pas… mais il faut essayer ! » affirme Sandra, célibataire. Son amie Jade, elle, admet qu’il est compliqué d’y croire quand on voit peu de couples tenir dans la durée.
Repas en amoureux et échange de cadeaux : pour Ema et son compagnon ce sera une Saint-Valentin simple mais romantique. À 17 ans, cette étudiante dit ne pas croire en l’amour éternel : « j’essaie d’y croire, mais dans la vie rien ne dure … […] Même si là je suis très amoureuse de mon chéri et j’ai espoir que ça dure toute la vie ! » explique-t-elle, le sourire aux lèvres.
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