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Confinement: 136.000 Réunionnais vivent dans un logement suroccupé

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Confinement: 136.000 Réunionnais vivent dans un logement suroccupé
Les mesures de confinement mises en place depuis le 17 mars ne touchent pas tout le monde de la même manière. Le type de logement occupé ou la composition du ménage ont forcément un impact sur la manière dont est vécue cette mesure de restriction des sorties et déplacements. 

Dans ce contexte, l’Insee a souhaité rassembler différents indicateurs à l’échelle locale pour éclairer les phénomènes liés à la suroccupation des logements, et à la spécificité des ménages concernés.

Confinement: 136.000 Réunionnais vivent dans un logement suroccupé
10,4% des ménages vivent dans un logement suroccupé

Il en ressort qu'à La Réunion, pas moins de 136.000 personnes vivent dans un logement suroccupé, soit 10,4% des ménages. Les régions Nord, Ouest et Est sont particulièrement concernées. 3.120 personnes vivent dans un ménage d'au moins 4 personnes et dans un appartement d'une ou deux pièces. Et 86.340 vivent dans une familles monoparentale et en appartement.

Au total, à La Réunion, 233 640 personnes vivent en appartement. 608.330 en maison et 7.050 en communauté
 
Beaucoup de personnes âgées seules et en situation de pauvreté

Si la surrocupation est particulièrement difficile à vivre en cette période, il en est de même pour l'isolement, surtout lorsqu'il est cumulé à la précarité.

À La Réunion, ce sont d'ailleurs 14.480 bénéficiaires de l'allocation adulte handicapé qui vivent seuls. C'est aussi le cas de 11.130 personnes de plus de 75 ans.

Fait tristement remarquable, chez 75 ans vivent seules, 56,2% sont en situation de pauvreté (contre 11,8% en métropole). 

Confinement: 136.000 Réunionnais vivent dans un logement suroccupé

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Coronavirus en France: l'épidémie ralentit, interrogations sur le déconfinement

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Des employés au travail dans l'usine Toyota d'Onnaing (Nord), le 21 avril 2020 - FRANCOIS LO PRESTI / ©AFP

(AFP)

Avec un bilan "particulièrement douloureux" de plus de 20.000 morts du Covid-19, la France s'interrogeait toujours mardi sur le déconfinement programmé de la population, le gouvernement envisageant par exemple un retour à l'école étalé sur plusieurs semaines.

Le macabre bilan de l'épidémie a dépassé lundi "un cap symbolique et particulièrement douloureux" selon les mots du directeur général de la Santé, Jérôme Salomon, avec 20.265 morts depuis le début de l'épidémie et 547 nouveaux décès en 24 heures. 

Mais malgré ces chiffres terribles, l'épidémie se diffuse désormais plus lentement dans le pays et pour le douzième jour consécutif, le nombre de personnes hospitalisées en réanimation était en légère baisse, à 5.863 (-61).

Mais la prudence reste la règle, car selon des estimations publiées mardi par l'Institut Pasteur, seuls 6% des Français auront été infectés par le coronavirus le 11 mai, date prévue pour le début du déconfinement de la population, après huit semaines d'une quasi paralysie inédite du pays. C'est selon les spécialistes un niveau très insuffisant pour éviter une deuxième vague épidémique si toutes les mesures étaient intégralement levées après cette date.

Le gouvernement affiche donc une stratégie de tests "massifs" (500.000 par semaine) pour pouvoir isoler les malades à la sortie d'un confinement qui "a permis d'écrêter le pic épidémique", a répété mardi matin sur France 2 le ministre de la Santé, Olivier Véran.

"Depuis le début, nous disons qu'il y aura une phase de plateau et ensuite une phase de décroissance et il faut que le nombre de malades soit le plus bas possible au moment du déconfinement pour être capable de dépister chaque personne, de l'isoler, de la tester (...) dans de bonnes conditions", a-t-il souligné.

Un retour à la normale est donc clairement exclu et la vie des Français restera bouleversée pour un long moment. Pourtant, il faut relancer le pays, menacé d'une récession peut-être encore pire que déjà  annoncée.

"Il y aura peut-être un troisième budget rectificatif avec des chiffres sans doute encore plus impressionnants", a affirmé le ministre des Comptes publics Gérald Darmanin sur France Inter, alors que le plan d'action de 110 milliards d'euros du gouvernement est examiné à partir de mardi au Sénat.

Un budget rectificatif qui prévoyait déjà une contraction du produit intérieur brut (PIB) de -8% cette année, un déficit de 9% du PIB, une dette publique de 115%.

Emmanuel Macron, lui, va poursuivre cette semaine ses consultations en vue des prochaines étapes de la crise, notamment en s'entretenant avec les maires et des représentants de l'hôtellerie-restauration, a indiqué l'Elysée.

Le chef de l'Etat va "continuer ses consultations très larges pour préparer les prochaines étapes de l'après-confinement et de l'après-crise du Covid-19", indique-t-on dans son entourage.

- Risque de "catastrophes" -

La ministre du Travail, Muriel Pénicaud, a de son côté appelé lundi les chefs d'entreprise à reprendre leur activité s'ils le pouvaient, comme par exemple dans la seule usine française du constructeur japonais Toyota, près de Valenciennes dans le Nord mais avec une production drastiquement réduite.

Le chômage partiel, qui concerne actuellement 9,6 millions de personnes, soit près d'un salarié du privé sur deux, ne sera pas abandonné le 11 mai, "sinon il y aurait des catastrophes", a souligné Mme Pénicaud, "mais ça va être dégressif" a-t-elle prévenu. 

Dans cette perspective de reprise, les masques, et leur pénurie, restent un sujet de crispation majeur.

M. Véran a réaffirmé mardi la volonté du gouvernement de pouvoir prochainement "commencer à équiper les malades, les personnes fragiles, les personnes vulnérables" en masques chirurgicaux "au fur et à mesure" que la pénurie toujours vive se résorbera.

Pour le reste de la population le ministre a réitéré les affirmations sur la montée en puissance de la production de "masques grand public" pour lesquels le gouvernement a édicté des normes permettant d'assurer "quasiment la même filtration qu'un masque qui est destiné aux soignants". 

Selon le gouvernement ils seront produits en France à un rythme de 17 millions d'exemplaires par semaine d'ici le 11 mai et seront probablement rendus obligatoires dans les transports publics. Certaines villes ont d'ailleurs commencé à en équiper leurs habitants, ou à en commander, comme Nantes qui attend de premières livraisons de 600.000 masques lavables et réutilisables.

Le gouvernement a par ailleurs accepté mardi que les futurs débats prévus à l'Assemblée nationale sur le  déconfinement, et notamment le traçage des données mobiles dans la lutte contre le coronavirus, soient suivis de votes des députés.

- Retour en classes étalé -

Dans ces conditions, le retour à l'école parait incertain. Le ministre de l'éducation Jean-Michel Blanquer a évoqué mardi un retour étalé sur trois semaines, par niveaux de classe. 

La première semaine concernerait les élèves de grande section de maternelle, de CP et de CM2; la deuxième semaine ceux de sixième, troisième, première et terminale ainsi que les ateliers industriels en lycée professionnel, avant une reprise de l'ensemble des élèves la troisième semaine, avec des groupes ne dépassant pas 15 élèves.

"A partir du 11 mai ce sera si et seulement ainsi", avait insisté dès lundi le premier syndicat des chefs d'établissement. "Ce sera (aux) autorités sanitaires de valider des conditions satisfaisantes pour rouvrir les établissements, comme le ferait une commission de sécurité dans des temps bien moins complexes".

Sur la route du déconfinement progressif, le gouvernement a permis aux aînés fragiles confinés dans les Ehpad de recevoir à nouveau des visites, dans des conditions très encadrées.

Lundi, un établissement toulousain aménageait son entrée avec un "sas de visite" vitré et équipé d'hygiaphones pour renouer le contact entre ses 80 résidents et leurs proches. Les échanges dans ce parloir ne se feront que sur rendez-vous et selon la direction de l'établissement, qui ne déplore aucun cas de coronavirus, "il y a déjà une liste d'attente".

Selon le gouvernement, 45% des Ehpad ont signalé au moins un cas positif de Covid-19.

Au total, 7.752 morts sont à déplorer dans les Ehpad et 12.513 dans les hôpitaux, selon le dernier bilan.

Stéphane ORJOLLET avec les bureaux de l'AFP



Source : ...

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COVID-19 à Mayotte: 311 cas confirmés au total

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COVID-19 à Mayotte: 311 cas confirmés au total

À Mayotte, le nombre de cas confirmés de Covid-19 à Mayotte s'élève à 311, rapporte le média Les Nouvelles de Mayotte.

Vingt-deux personnes sont hospitalisées au CHM, dont 4 en réanimation. Quatre décès sont à déplorer. 

Depuis l’introduction du virus à Mayotte, plus de 2000 tests ont été réalisés par le laboratoire du CHM.


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Deux marins secourus au large de St-Pierre

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Deux marins secourus au large de St-Pierre
Deux marins ont été secourus ce mardi matin au large de St-Pierre. Partie du port de la capitale sudiste, leur vedette a chaviré, emportée par une vague à 6 miles des côtes, a indiqué Bertrand Baillif, président du comité des pêches, à Clicanoo.

Un bateau de pêche se trouvant à proximité et la SNSM sont venus à leurs secours. Les deux marins ont été pris en charge en état de choc. 

Les conditions dans le secteur sont difficiles. Mer et vent forts sont à signaler. 

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Numérique: La Réunion moins équipée que la métropole

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Numérique: La Réunion moins équipée que la métropole

Depuis le 17 mars, comme partout sur le territoire nationale, la population réunionnaise est soumise à des conditions de confinement strictes. Un confinement qui s'inscrit "dans un cadre spécifique marqué par un accès au numérique différent de la métropole," note l'Insee.

En effet, selon les données de 2017, si les équipements numériques sont largement présents à La Réunion, ce sont 78 % des habitants qui ont un accès à internet à domicile, contre 85 % des résidents métropolitains. "Le retard par rapport à la métropole s’est cependant réduit de moitié depuis 2009", note l'Institut de sondage. Le téléphone portable est quant à lui aussi fréquent.

Près d’un Réunionnais sur quatre ne s’est jamais connecté à internet, précise l'Insee. "Les plus âgés sont les plus éloignés du numérique, mais de façon plus prononcée et plus précoce à La Réunion", est-il indiqué. "Ainsi, l’écart se creuse dès 45 ans, en lien notamment avec un niveau de diplôme particulièrement bas à La Réunion".

59% ont peu ou pas de compétences en informatique

En outre, 59 % des Réunionnais déclarent avoir de très faibles ou aucune compétence en informatique, contre 48 % en métropole. L'écart avec la métropole est particulièrement marqué pour les moins de 45 ans : 48 % des Réunionnais contre 27 % en métropole.

Le manque de compétences et des coûts d’accès élevés sont les freins les plus cités, mais les habitants des Hauts sont également pénalisés par une couverture numérique encore moindre que dans les Bas. 58 % ont accès au haut débit contre 71 % dans les Bas.

"L’accès à l’emploi, qui favorise l’usage d’internet, est aussi un frein à La Réunion où le taux de chômage est élevé", souligne par ailleurs l'institut de sondage. 

Et conséquence du déficit d’équipement et d’un usage moins fréquent d’internet, la plupart des services disponibles en ligne sont moins utilisés. Les sites administratifs sont ainsi moins fréquentés, beaucoup de Réunionnais préférant en temps normal se rendre directement sur place.


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Déconfinement : Pour Jean-Louis Lagourgue, il ne faut pas "prendre des décisions trop hâtives"

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Le Sénateur Jean-Louis Lagourgue adresse un courrier au Président de La République. Dans cette lettre, le Sénateur fait part au Président Emmanuel Macron de son inquiétude par rapport à la reprise annoncée des établissements scolaires le 11 mai et l’interpelle sur les garanties sanitaires apportées par l’Etat concernant la préservation de la santé de nos concitoyens réunionnais à compter de cette date.
Déconfinement : Pour Jean-Louis Lagourgue, il ne faut pas
Monsieur le Président,

Depuis le 17 mars, à l’image de la France hexagonale et des autres territoires ultramarins, La Réunion se trouve dans une situation socio-économique inédite (restriction des déplacements, fermeture des commerces non essentiels, des lieux de sociabilité et de loisirs, fermeture partielle de l'aéroport,....), en raison du confinement en vigueur.

Ces mesures, nous le concevons, sont bien évidemment nécessaires afin de limiter la propagation du COVID-19. Et bien que cela soit difficile à vivre au quotidien, les Réunionnais montrent leur sens des responsabilités et suivent les règles imposées.

Sur le plan sanitaire, je ne reviendrai pas sur les quelques dysfonctionnements constatés ici, notamment concernant le manque de moyens pour les professionnels de santé. Chacun devra assumer ses responsabilités le moment venu.

Toutefois, dans ce contexte particulier, nous devons reconnaître que l’Etat, en la personne de Monsieur le Préfet, assure une bonne gestion de cette crise, dans le dialogue mais aussi en faisant preuve de fermeté.

Aujourd’hui, sur notre territoire la situation sanitaire semble contenue. Nous recensons un peu plus de 400 cas et les derniers chiffres communiqués par l’Agence Régionale de Santé sont rassurants quant à la propagation du virus.

Cependant, et bien que certaines mesures du stade 3 soient déjà appliquées à La Réunion, le Conseil Scientifique, dans un récent rapport, envisage une aggravation de l’épidémie en Outre-mer dans les semaines qui viennent.

Cette autorité préconise un maintien indispensable, voire un renforcement du confinement dans les territoires ultramarins.
Ce constat nous interpelle, alors même que vous avez annoncé le 13 avril dernier, une reprise progressive de la vie économique et sociale, à compter du 11 mai.

Parmi les mesures envisagées, celle de la réouverture des établissements scolaires suscite une très vive inquiétude chez les familles réunionnaises.

Le virus aura-t-il disparu à cette date ? Les écoles disposeront-elles de matériels suffisants et adéquats pour protéger les élèves ?

Quelles garanties avons-nous que nos enfants ne soient pas contaminés ? Etc.

Ces questions légitimes que se posent les parents, il nous est bien difficile d’y répondre aujourd’hui.

Dans un contexte démographique particulier, avec près de 223 000 élèves scolarisés dans le premier et second degrés, avec une moyenne de 27 élèves par classe, avec un taux d’encadrement pédagogique insuffisant et un effectif vieillissant en termes de personnel communal dans les écoles, nous avons toutes les raisons d’être pessimistes.

Si nous sommes bien conscients que la vie sociale et économique doit pouvoir reprendre son cours le plus tôt possible, au regard notamment des nombreux enjeux, vous conviendrez que la santé de nos enfants, de nos concitoyens les plus fragiles, de notre population doit rester notre priorité absolue.

Si cette terrible crise du COVID-19 a renforcé les solidarités, elle a surtout ébranlé nos territoires, bousculé nos modes de vie et mis à jour les lacunes et les faiblesses de notre organisation sanitaire.

Aujourd’hui, il nous appartient collectivement de tirer les leçons de cette épreuve, notamment en évitant de prendre des décisions trop hâtives.

A La Réunion, comme ailleurs, vous le savez, nous manquons de moyens matériels et de protections (masques, gels hydro-alcoolique, tests,...) ainsi que de personnel soignant.

Je ne crois pas que cette pénurie s'estompe avant la mi-mai, ou que le virus disparaisse de la circulation d'ici là.

Aussi, je vous interpelle pour qu'ensemble, Etat, élus, autorités, nous fassions preuve de prudence et de vigilance dans le cadre d'une sortie de confinement, ici à La Réunion et en Outre-mer.

Une sortie précipitée, et sans que les conditions ne soient réunies, pourrait avoir des conséquences dramatiques pour nos territoires. Tant que le virus circulera, le risque sera toujours là, d'ici le 11 mai et bien au-delà, surtout dans les établissements scolaires.

Les Réunionnais, qui ont fait preuve d'une solidarité et d'une responsabilité exemplaires depuis le début de cette épidémie, souhaitent bien évidemment reprendre une vie normale, mais aujourd'hui ils attendent surtout de l'Etat que toutes les garanties soient apportées pour préserver leur santé et celle de leurs enfants, où qu'ils aillent sur leur territoire.

Je compte sur votre diligence et vous prie de croire, Monsieur le Président de La République, en l'expression de ma très haute considération.

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Covid-19, de la pensée à l'action soutenue de chacun !

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Covid-19, de la pensée à l'action soutenue de chacun !
La France n'a pas encore débarrassé de la première vague du Covid-19, et sans médicament, sans vaccin et on ne va pas nier les difficultés d’approvisionnements en masques et autres protections, les rationnements quasi permanents, l’appel aux dons…etc etc, malgré tout, elle s’oriente quand même vers un déconfinement progressif.
 
Le 1er Ministre insiste et annonce que l’unique paravent reste l'intervention humaine, référence aux gestes-barrière ainsi que les tests limités. Alors que l'Organisation mondiale de la santé (OMS) met en garde contre un déconfinement prématuré qui pourrait "entraîner une résurgence mortelle". C’est ainsi que chacun semble complaire à une pensée stratégique.
 
La première c’est l’économie avant tout. Le Gouvernement s’oriente vers un déconfinement progressif à compter du 11 avril, avec la réouverture des écoles et des crèches mais aussi le redémarrage d’une partie de l’activité économique. Ainsi le chef de l’État fait un choix politique économique qui n’est pas sans risques pour faire redémarrer l’économie.
 
La deuxième, priorité des Maires (ou futurs) les Municipales en urgence. Beaucoup de candidat(e)s aux municipales du 15 mars, pensent l’organisation et à la date du deuxième tour. Alors que le 1er Ministre a affirmé dimanche "ne pas savoir" si le deuxième tour des élections pourrait se tenir fin juin, alors que la ministre de la Cohésion des territoires avait estimé quelques heures plus tôt qu'il se tiendrait "sûrement après l'été". L’inquiétude pour certains de voir les élections Municipales recommencées à zéro ou reportées une fois de plus.
 
Troisième, pour nos scientifiques notre santé via l’alerte de la 2ème vague possible. D’après les scientifiques, la perspective d’une deuxième vague épidémique n’est pas à exclure et peut paraît aussi tangible. Parce qu'il n'y aurait pas davantage d'obstacles autres que les barrières pour empêcher une nouvelle propagation disent-ils. Et la crainte d’un rebond du virus grandit. Seul "frein" restant l'arrivée de l'été. 
 
En finalité, la pensée stratégique de tous doit-être, respecter scrupuleusement  les gestes barrière, le confinement, la distanciation sociale, le port des masques, les tests, la quarantaine…sont les seuls moyens pour éviter la propagation du virus en attendant un vaccin ou un médicament qui n’est pas attendu de sitôt. Alors, tous ensemble on peut arriver à faire barrage et vaincre ce virus  que par ces actions.

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COVID-19 : L'heure n'est pas encore au bilan mais certains constats s'imposent déjà

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COVID-19 : L'heure n'est pas encore au bilan mais certains constats s'imposent déjà
Celui d'abord de notre vulnérabilité croissante face aux pandémies.

Avec la déforestation, l’urbanisation et l’industrialisation effrénées, nous avons offert aux microbes, présents avec la faune sauvage, les moyens d’arriver jusqu’au corps humain et de s’adapter.

Si l’origine du Covid-19 n’est pas encore déterminée, il a d'ores et déjà été démontré que d’autres épidémies comme Ebola ont été provoquées par le contact rapproché avec les chauves-souris victimes de la destruction de leurs habitats, de même que la maladie Nipah en Malaisie.

On voit bien que si s'accaparer tout les espaces naturels est nuisible pour la faune et la flore, c'est aussi et surtout nuisible pour nous mêmes !

Il est donc urgent que les politiques menées à l'échelle de tous les territoires abandonnent les modèles de développement et d'aménagement prédateurs de ressources et d'espaces naturels. Ici à la Réunion, nous pensons plus particulièrement à la Région.

Ce virus qui expose toute l'humanité au même risque et au même moment nous montre aussi comme il est dangereux d'être totalement dépendants des importations. D'autant plus quand on vit sur une île. Quelle a été la réaction des Réunionnais quand on a pris conscience de la crise sanitaire qui allait nous toucher ? On s'est précipité dans les super-marchés pour faire des provisions, comme à chaque fois qu'il y a un risque de blocage (cyclone, grève...). L’angoisse de la pénurie a des racines profondes dans l’histoire de notre île.

C’est pourquoi les choix en matière de développement agricole sont déterminants et la décision politique de sortir du « tout canne » ne peut plus être reportée. Notre combat pour l’autonomie alimentaire est plus que jamais d’actualité, il faut un véritable Plan de Transition écologique de l’agriculture avec comme objectifs prioritaires :

. protéger les terres agricoles contre le grignotage de l'urbanisation et contre les prélèvements d’andains

. mobiliser les friches agricoles pour l'agriculture bio

. soutenir les agriculteurs pour aller vers la diversification de leur production

. développer des unités de transformation des produits frais.

. multiplier les potagers communaux bio

Le Covid-19 ne doit pas non plus faire passer à la trappe la nécessaire sortie des pesticides. Les problèmes de santé liés aux pesticides (maladie de parkinson par exemple) sont maintenant démontrés. Il faut que le travail sur la transition vers une agriculture bio reprenne après la crise sanitaire.

Autre constat : la pandémie met en évidence, en négatif, l'impact de nos activités (l'industrie, la circulation) sur la qualité de l'air. L'association AirParif, par exemple, a relevé une baisse de jusqu'à 30 % des niveaux de pollution par rapport à un mois de mars "normal", sans confinement. Carole Deniel, responsable des programmes Atmosphère et Climat du Cnes le souligne également : « Ces images (satellites) sont frappantes car elles illustrent à quel point les activités humaines ont un impact sur la qualité de l’air que nous respirons ».

Les chiffres nous rappellent notre rôle irréfutable dans la dégradation de la qualité de l'air qui est responsable d' un quart des morts prématurées et des maladies dans le monde, selon l'ONU, sans compter son rôle dans le réchauffement climatique avec les conséquences annoncées ; ils nous montrent aussi que nous pouvons agir :

Tous les territoires doivent s'engager dans l'effort. Ici à la Réunion, s'il est compliqué de se passer de l'avion, il est en revanche totalement ubuesque de tout miser sur le routier. Il nous faut développer davantage les transports moins polluants, sur rail, par câbles, le vélo.

Continuons aussi à militer contre les  activités inutiles  qui prospèrent grâce à l'obsolescence programmée. C'est maintenant un lieu commun : les électroménagers qui duraient auparavant 30 ans, ne dépassent pas les 6 ans aujourd'hui. Beaucoup de nos industries n'ont maintenant pour but que de nous faire consommer. Nous avons donc des marges de manœuvre quant à la baisse de nos activités industrielles qui ont à viser le durable.

Privilégions quand cela est possible la production locale et la consommation locale pour participer à faire baisser autant que possible le coût écologique des transports de marchandises.

Enfin, différents sondages réalisés montrent que ce qui manque le plus aux français pendant le confinement, en terme d'activités, ce sont les sorties entre amis, aux restaurants, au ciné, et les activités sportives. Il y a une prise de conscience de l’importance des liens sociaux et des activités de bien-être. Le superflu et la surconsommation ne nous sont pas nécessaires. Souhaitons que les politiques accompagnent cette prise de conscience des priorités.

Ne repartons pas, après la crise, comme si de rien n'était ! Les carences avérées de notre système doivent être corrigées, celles de notre système de santé bien entendu, qui ont été largement commentées, celles de notre rapport à notre environnement aussi.

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Défi sport de Saint-Paul : venez le relever !

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Défi sport de Saint-Paul : venez le relever !
On vous donne des idées pour rester en forme ! Saint-Paul, labellisée Ville active et sportive, lance un nouveau défi. Venez-vous tester sur des activités de renforcement musculaire depuis votre domicile.
 
La commune diffusera sur son site, sa page  Facebook et son compte  Instagram des vidéos d’exercices à réaliser à distance. Premier rendez-vous ce mardi 21 avril 2020 à 20 heures sur les différents supports de la collectivité.
 
Cette séance vidéo animée par Georgy Fernante, du service des Sports de la collectivité, s’adresse aux débutants. Cinq minutes de renforcement musculaire à pratiquer quand vous voulez.
 

Testez-vous !

  Une seconde vidéo sera aussi diffusée cette semaine. Elle conviendra davantage à des sportifs confirmés. Nous vous indiquerons l’horaire et la date de sa publication. Ensuite : à vous de choisir quel type d’activités s’adapte le mieux à vos besoins et à vos envies. 

N’hésitez pas à nous montrer ce que vous ce que vous valez pendant ce confinement. Testez-vous ! Envoyez-nous des photos ou des vidéos de vos performances en plein effort en message privé sur Facebook ou Instagram.
 

Défi sport

  Ce défi sport intervient suite au premier challenge lancé du 13 au 17 avril sur le compte Instagram de la ville. Julien Moutoussamy, également du service des Sports de Saint-Paul, proposait quatre séances de danse en vidéo. Objectif : apprendre les pas d’une chorégraphie. 
 
Vous avez été nombreux à suivre ce défi. Un bon moyen pour continuer à bouger. Direction Instagram en cliquant   si vous n’avez pas encore vu ces séquences.

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Une rentrée scolaire en 3 phases, les conditions sanitaires "passent avant tout" indique le ministre

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Une rentrée scolaire en 3 phases, les conditions sanitaires
Jean-Michel Blanquer, ​ministre de l'Education Nationale a évoqué ce mardi les conditions préalables à un retour à l'école à partir du 11 mai prochain. Cette reprise sera étalée sur trois semaines par niveaux de classe et fera l'objet d'une audition à l'Assemblée nationale.

La semaine du 11 mai, concernerait les élèves de grande section de maternelle, de CP et de CM2. La semaine du 18 mai, ceux de Sixième, Troisième, Première et Terminale ainsi que les ateliers industriels en lycée professionnel. La semaine du 25 mai, une reprise de l'ensemble des élèves avec des groupes ne dépassant pas 15 élèves. 

Pour y parvenir, le ministre évoque quatre situations pour les élèves :

- En demi-groupe,
- en cours,
- en enseignement à distance ou à l’étude,
- en activité physique à l’extérieur (si la commune est en mesure d'en mettre en place)

Les parents garderont la possibilité de ne pas envoyer leur enfant à l'école, s'ils le souhaitent, à condition qu'ils suivent un enseignement en ligne soit assuré. 

"Outre la taille des groupes, des gestes barrières devront être respectés, les écoles devront être alimentées en savon et gel hydroalcoolique. Il est évident que quand ces conditions ne seront pas réunies, l’école n'ouvrira pas", a expliqué Jean-Michel Blanquer. Le ministre assure que les conditions sanitaires "passent avant tout".

La doctrine nationale définira l'obligation du port du masque ou la réalisation de tests. 

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[PHOTO] St-Leu: Un serpent de 1m50 aperçu à La Pointe au Sel

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[PHOTO] St-Leu: Un serpent de 1m50 aperçu à La Pointe au Sel
En se rendant sur son lieu de travail aux alentours de 7H30 ce matin, ce Saint-Leusien ne s’attendait pas à tomber nez à nez avec un animal de près de deux mètres !
 
Un serpent a été aperçu, perché sur le tronc d’un arbre du côté de la Pointe au Sel. L’animal se trouvait sur un secteur très fréquenté par les promeneurs, qui ont réagi avec effroi à la publication de la photo sur les réseaux sociaux.
 
L’auteur du cliché nous a confié avoir pris ses jambes à son cou à la vue du reptile, mais a tout de même eu le temps d’observer trois petits points blanc sur la tête de l’animal. Une indication qui pourrait permettre à son propriétaire de le reconnaître…

[PHOTO] St-Leu: Un serpent de 1m50 aperçu à La Pointe au Sel

[PHOTO] St-Leu: Un serpent de 1m50 aperçu à La Pointe au Sel

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La pandémie, une menace pour le lien social

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La pandémie, une menace pour le lien social
Lors de sa conférence de presse du 13 avril, le président Emmanuel Macron, prenant acte de la non maîtrise à ce jour de la pandémie Covid-19, a annoncé le prolongement du confinement jusqu’à la date du 11 mai, tout en laissant la porte ouverte à un nouveau prolongement  en cas de scénario catastrophe. Cela paraît parfaitement logique, étant donné que la méthode la plus efficace pour contenir la pandémie et permettre aux systèmes de soins de faire face à l’afflux des patients consiste à limiter de façon drastique les contacts physiques entre individus et d’imposer le confinement, c’est-à-dire le rester chez soi. L’objectif est le même : réduire à leur plus strict minimum les contacts physiques avec les autres. 
 
Les scientifiques, tout comme les responsables politiques et médias parlent alors de « distanciation sociale » ‒  traduction du terme anglais de « social distancing » - pour désigner ces consignes visant les restrictions des interactions dites sociales : éviter les poignées de main, proscrire les embrassades, s’abstenir de côtoyer les personnes âgées (cibles privilégiées pour le Covid-19) et ne pas mettre les jeunes en contact avec leurs grands-parents…  Nous souhaitons porter notre interrogation d’abord sur la notion de « distanciation sociale », qui nous semble impropre dans le contexte de cette pandémie. 
 
La distanciation sociale, un défi à l’existence de nos sociétés ouvertes
 
S’il s’agit bien d’instaurer une distance physique, spatiale, plus importante qu’à l’accoutumée entre les personnes, il ne s’agit pas d’imposer un nouveau commandement : Eloignez-vous les uns des autres. Encore moins une invitation au rejet de l’autre. Le but est plutôt de protéger les autres, particulièrement nos aînés. En ce temps de pandémie où la mort rôde toujours autour des personnes les plus vulnérables et où le futur est incertain, ce dont nous avons besoin c’est de plus de proximité sociale, de plus d’élans de solidarité, de plus de connivence au sein de la population. Bref, nous avons besoin de plus de lien social,  "cette ambition d’une cohésion plus profonde de la société dans son ensemble" (Serge Paugam, 2018). D’où la nécessaire prise de distance qu’il convient d’avoir avec cette appellation inappropriée de distanciation sociale, voire même avec les énoncés accompagnant les recommandations de  distanciation/confinement. 
 
Il nous semble qu’une meilleure prise de conscience de la situation actuelle s’impose pour relativiser tout discours pouvant conduire à l’établissement de nouvelles frontières entre nous et les autres. Contrairement à d’autres situations d’urgence (attaques terroristes, catastrophes naturelles ou des accidents) où des formes de coopération émergent grâce à des contacts physiques (protéger les enfants, porter secours aux victimes en les mettant en sécurité), coopérer, dans la situation d’urgence sanitaire actuelle, consiste, paradoxalement, à s’éloigner physiquement d’autrui en recourant à des comportements généralement utilisés pour manifester un rejet de l’autre : garder ses distances, rester à l’écart. D’autre part, en postulant, que nos corps sont potentiellement contagieux, que nous sommes tous des menaces, pour nous-mêmes et les autres, pour parler comme le philosophe Michaël Fœssel, la stratégie de distanciation/confinement, quoi que absolument indispensable provisoirement, peut induire à court terme à un délitement du lien social, ce lien qui « donne à voir les relations qui naissent des interactions entre des individus et qui fondent les sociétés » (Pierre Bouvier, 2005). Déjà, ici et là, les infirmières, considérées comme des pestiférées, sont priées de quitter leur domicile pour d’aller  résider ailleurs. Que dire de l’explosion actuelle de la délation !

Notre propension unique à nouer des rapports sociaux est notre atout clé 
 
Pour Scott Atran, anthropologue franco-américain, la stratégie de distanciation/confinement, bien que nécessaire à un certain degré, est contre-nature. C’est l’existence même de nos sociétés ouvertes qui est défiée. Selon notre anthropologue, c’est notre capacité à créer et à maintenir des liens sociaux solides avec les autres (proches ou plus lointains) qui a permis à notre espèce de dominer tous les grands concurrents biologiques. Quoi qu’il en soit, l’animal social que nous sommes ne peut être privé de relations. Il est fait pour nouer des relations, pour la vie en société. Conséquemment, c’est lorsque la distance physique s’impose comme un impératif, comme ultime recours, qu’il y a lieu de renforcer le lien social, à tout le moins sur un mode symbolique. 
 
C’est ce que font les gens confinés, dans différentes régions du monde, depuis le début de la pandémie en utilisant un florilège de moyens via les médias et les réseaux sociaux pour entrer en contact et renforcer leurs liens avec leurs proches et avec celles et ceux qui sont en première ligne face à la pandémie Covid-19 : soignants, infirmières, caissières, sapeurs-pompiers, éboueurs, travailleurs sociaux, livreurs… Dans certains endroits, tous les soirs, à 20 heures, des personnes applaudissent aux fenêtres les soignants…. Et l’entraide aux personnes âgées ou fragiles se multiplie. Ce souci des autres, ce caring attitude, pour les spécialistes de la psychologie sociale, n’a rien de surprenant. Il s’appuie sur un besoin irrépressible qui sommeille en nous, celui de soigner nos relations de toujours et d’en susciter de nouvelles.
 
Cette attention aux personnes que nous ne connaissons pas, cette reconnaissance des métiers de soin qui s’occupent du fonctionnement quotidien de la société gagnent soudain de la valeur à nos yeux et du sens pour la société. On voit également émerger un care globalisé sensible aux souffrances qui secouent d’autres pays que le nôtre, de l’Italie à l’Afrique en passant par l’Espagne et les pays d’Amérique latine, souligne la philosophe Sandra Laugier (Cf. Marianne, 06/04/2020). C’est à  cette capacité, à notre capacité de nouer des liens avec nos semblables, proches ou lointains que le virus s’attaque pour la retourner contre nous. Il nous enlève jusqu’à la singularité de notre propre mort. C’est en quoi la distanciation/confinement, bien qu’absolument indispensable dans un temps limité, ne peut que fragiliser le lien social, ce désir et cette volonté des humains de vivre ensemble.  Elle ne peut et ne doit s’éterniser.
 
Autre danger. Dans le contexte actuel où la majorité de nos populations de par le monde, accepte assez facilement les limitations de leurs libertés, nos gouvernants n’hésitent plus à prendre des mesures de plus en plus autoritaires avec un renforcement de la hiérarchisation dans les prises de décisions. Là où les démocraties semblaient déjà fragiles, comme en Hongrie…, des mesures autocratiques sont appliquées. Le temps n’est plus propice à l’épanouissement de la démocratie. Il convient donc, à toutes et à tous, d’être vigilants. Mieux, cette crise nous offre l’opportunité de mettre nos sociétés sur de nouveaux rails en commençant par la mise en question d’un fonctionnement économico-politique acquis aux prémisses du néolibéralisme et une grande attention et reconnaissance aux métiers du care.  

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Dengue : Une forte augmentation de passages aux urgences observée ces dernières semaines

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Dengue : Une forte augmentation de passages aux urgences observée ces dernières semaines
La préfecture et l'ARS font le point sur l'épidémie de dengue à La Réunion.

Du 6 au 12 avril, 751 cas de dengue ont été confirmés. L’épidémie de dengue poursuit sa progression dans l’île, avec un nombre important des cas recensés et d’hospitalisations, et une forte augmentation de passages aux urgences pour dengue observée ces dernières semaines. Bien que la majorité des cas se situe toujours dans le Sud de l’île, une recrudescence de cas est mise en évidence dans l’Ouest et dans l’Est, à Saint-Benoît.  Afin de limiter la propagation du virus, les équipes de l’ARS La Réunion et du SDIS poursuivent leurs interventions dans les zones fortement impactées par la dengue, en intégrant les mesures barrières contre la diffusion du covid-19.

Dans ce contexte, la mise en œuvre des gestes de prévention par tous contre la dengue est indispensable pour freiner l’épidémie sur le territoire. Aussi, la préfecture de La Réunion et l’ARS rappellent à la population l’importance de consulter rapidement un médecin en cas de symptômes pour se faire dépister, se protéger des piqûres de moustiques et continuer à se protéger même malade pour protéger ses proches, et éliminer les gîtes larvaires à son domicile.

Depuis le début de l’année

4 207  cas autochtones confirmés
183 hospitalisations
482 passages aux urgences
1 décès directement lié à la dengue

Situation épidémiologique au 21 avril 2020 (données de la Cire OI, Santé Publique France)

 Sur ces dernières semaines, 23 communes sont concernés par l’épidémie de dengue :
- la majorité des cas se situe toujours dans le Sud de l’île (66%) avec toutefois une baisse de cas recensée à Saint-Louis.
- une forte augmentation de cas est observée dans l’Ouest, notamment à Saint-Leu et au Port, dans l’Est, à Saint-Benoît.

Les principaux regroupements de cas se situent à :

Région Sud 

Saint-Louis (Plateau Goyaves, Cité Cocos, Bel air, Camp du Gol, Petit Bon Dieu, Kerveguen, le Ouaki, Savignan, La Rivère, Les Canots, Pont Neuf, Le Ruisseau, Roches Maigres, les Cocos et le Bois de Nèfles)
Saint-Pierre (Bassin Bœuf, Terre Sainte, La Vallée, Ravine Blanche, Casabona, Baster les Bas, Pierrefond, Concession, La Ligne des Bambous, La ligne Paradis, La Cafrine, Grand Bois, Ste Céline, Ravine des Cabris, Bois d’Olive)
Les Avirons (La Ravine Sèche, Bois de Nèfle Cadet, Barouty, La Croix, le Ruisseau, Fond Mauric
L'Entre Deux (Ville, Bras long, Grand fond intérieur, La pente d’Orange)
L’Etang Salé (Ravine Sheunon, Les Canots, Pied des Roches, le Bois de Nèfles, La Roche aux Oiseaux)
Saint-Joseph (Langevin, Les Jacques, Le Plateau)
Le Tampon (La Chatoire)

Région Ouest 

Saint-Paul (Trou d’Eau, Lotissement Bellevue, Grand Fond, Fleurimont, La Baie, Grande Fontaine,  Cambaie, La Plaine)
Trois Bassins (Grande Ravine, Souris Blanche)
La Possession (St Laurent, Moulin Joli)
Saint-Leu (Stella, Butor,Piton, Le Portail,  Quartier Pêcheur, Dubuisson, La Fontaine, 4 Robinets, La Fontaine, L’Etang, Les Camélias)
Le Port (Rivière des Galets, Parc Boisé, Mondon, Lotissement Corut)

Région Nord

Sainte-Marie (Grande Montée, Le Verger)
Saint-Denis (La Bretagne, Sainte Clotilde, chemin Finette)

Région Est

Saint-André (Lotissement Satec, La cressonnière, Milles Roches, Patelin)
Bras Panon (Rivière du Mât)
Saint-Benoit (Boubier, Beaufonds, Ste Anne)

Afin de limiter la propagation du virus, les équipes de l’ARS La Réunion et du SDIS interviennent dans les foyers épidémiques tout en intégrant dans leurs interventions de lutte anti-vectorielle les mesures barrières contre la diffusion du covid-19.

Au cours de la semaine du 6 au 12 avril, les passages aux urgences pour dengue sont en forte augmentation (plus de 100 passages) et l’activité hospitalière liée à la dengue poursuit sa progression (plus de 30 hospitalisations), principalement au CHU sud qui reste l’établissement hospitalier le plus impacté.

Recommandations pour lutter contre la dengue

 Consulter un médecin en cas d’apparition des symptômes : apparition brutale de fièvre éventuellement associée à des maux de tête, douleurs musculaires/articulaires, nausées, vomissements ou fatigue.

Dans le contexte Covid-19, certains médecins proposent la téléconsultation. N’hésitez pas à appeler votre médecin avant de vous rendre à son cabinet médical. Il décidera avec vous de la meilleure prise en charge (consultation au cabinet sur RDV, téléconsultation par smartphone/ordinateur, ou visite à domicile si nécessaire) et vous orientera pour la réalisation d’un prélèvement en laboratoire d’analyses médicales pour confirmation du diagnostic de la dengue.

Des gestes simples à mettre en œuvre au quotidien :

- Se protéger des piqûres de moustique (répulsifs, moustiquaires, vêtements longs, diffuseurs), et continuer à se protéger même malade pour ne pas contaminer son entourage
- Eliminer les récipients en eau autour de son habitation (vider soucoupes et petits objets pouvant contenir de l’eau, vérifier l’écoulement des gouttières…)
- Eliminer les déchets pouvant générer des gîtes larvaires
- Respecter les jours d’enlèvement des déchets et encombrants
- Couvrir les réservoirs avec un tissu ou une moustiquaire, et abriter les pneus

Les gestes de prévention réalisés par tous peuvent permettre de limiter des co-infections dengue/covid-19 susceptibles d’affaiblir les personnes fragiles, et préserver le système de santé mobilisé actuellement sur ces deux épidémies. 

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Fruits et légumes: Pour des circuits courts même après le Covid 19

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Fruits et légumes: Pour des circuits courts même après le Covid 19

"Mettre en relation les agriculteurs avec les consommateurs pour notre approvisionnement en fruits et légumes". C’est ce que le Collectif Citoyen 974 envisage comme solution qui "pourrait continuer de fonctionner après le Covid 19".

Le collectif appelle donc à signer le courriel adressé aux élus réunionnais. Les deux propositions : une plateforme d’échanges de fruits et légumes ou un "marché forain drive". Le but étant de promouvoir les circuits courts en sécurité et en quantité importante.

Les consommateurs sont invités à remplir un formulaire de commande pour évaluer les besoins par semaine et cocher la case afin de signer le courriel.

Le lien vers le courriel à signer

Le lien vers la commande fictive


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CHU: Comment se passe la prise en charge des patients Covid 19?

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Comment les patients COVID + sont-ils pris en charge dans les services d’hospitalisation dédiés ? Comment ces services ont-ils été réorganisés et quelles précautions sont mises en oeuvre pour les soignants et les patients de ces services ?
CHU: Comment se passe la prise en charge des patients Covid 19?

Le CHU Nord ouvre ses portes et vous propose de découvrir ses coulisses. Focus dans ce reportage réalisé par le centre hospitalier sur la prise en charge des patients positifs au Covid-19.



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La Fondation Ravate offre des repas aux soignants de six EHPAD

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La Fondation Ravate a décidé d'offrir des repas aux soignants de six EHPAD pendant tout le confinement. Voici son communiqué :
La Fondation Ravate offre des repas aux soignants de six EHPAD
Ils soignent, accompagnent et rassurent nos aînés en cette période difficile. Les soignants des Établissements d’Hébergement pour Personnes Agées Dépendantes (EHPAD) font un travail extraordinaire au sein de ces structures particulièrement touchées par la crise sanitaire actuelle. Pour les soutenir, la Fondation Ravate a voulu leur offrir des déjeuners quotidiennement. Cette initiative a débuté ce lundi 20 avril et durera jusqu’à la fin du confinement prévue pour le 11 mai. Les établissements concernés par cette initiative sont ceux de Bois d’Olives, Bras Long, Les Alizés, Les Lataniers ainsi que l’EHPAD Fabien Lanave et la Résidence Astéria.

"Au-delà du fait que ce geste de notre part est un moyen de montrer au personnel des EHPAD que nous sommes solidaires et que nous les soutenons, il s’agit d’abord et avant tout de soulager chacun de ses membres, qui opère en mode dégradé depuis quelque temps. Depuis le début de cette crise sans précédent, ils font un travail remarquable et difficile auprès de nos aînés, qui sont particulièrement à risque. Nous voulons leur dire que nous ne les oublions pas et surtout, que nous leur sommes reconnaissants pour les risques qu’ils prennent tous les jours", explique Farouk Ravate, PDG du Groupe Ravate. L’idée est de leur mettre du baume au cœur dans cette lutte qu’ils mènent au quotidien contre le coronavirus.

Pour ce projet, la fondation d’entreprise a fait appel aux services d’un traiteur. En sus de les préparer, ce dernier sera également responsable de la distribution des repas auprès des différents établissements. Des règles d’hygiène strictes ont été mises en place pour toutes les étapes, de la préparation à la distribution, afin d’éviter tout risque de propagation du coronavirus. Toutes les mesures seront prises pour respecter les protocoles de sécurité dans les EHPAD qui font actuellement l’objet d’une surveillance étroite.

« Nous remercions la Fondation Ravate pour l’aide qu’elle nous apporte dans la gestion de cette crise sanitaire. Ces démonstrations de solidarité et de soutien sont essentielles pour nos établissements de santé et chacun de ses professionnels qui œuvrent au quotidien avec engagement et courage », confie Frédéric Pothin, Délégué régional de la FEHAP Océan Indien. 

Pour la Fondation Ravate, cette action s’inscrit dans le droit-fil de ses engagements depuis sa création, à savoir le soutien aux projets de solidarité et d’entraide dans les domaines éducatif, culturel, scientifique et médical. « Nous avons toujours été guidés, dans chacune de nos initiatives, par la responsabilité du groupe Ravate, qui est de toujours agir dans l’intérêt général et veiller au bien commun », soutient Farouk Ravate. D’ailleurs, des masques de protection ont également été distribués par le groupe Ravate aux héros en blouse blanche du Centre Hospitalier Universitaire (CHU) Ouest. 

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En Métropole, deux couples sont surpris en plein ébat dans leur voiture pendant le confinement

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Jeudi soir a Montbéliard, dans le Doubs, les gendarmes sont tombés nez à nez avec deux couples en plein acte sexuel durant leur patrouille. Un des deux couples contrevenant a même présenté un attestation de déplacement dérogatoire. Chacun d’eux devra néanmoins payer une amande de 135 euros.
En Métropole, deux couples sont surpris en plein ébat dans leur voiture pendant le confinement

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La confiance se perd 😂

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Un père de famille visiblement soucieux d'apprendre la valeur de la confiance à ses enfants, se lance dans un jeu sensé la renforcée... Le confinement nous rends tous décidément plus distraits.

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Un candidat à la mairie drague ses électeurs sur des sites de rencontre

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Xavier Brunschvicg est candidat à la mairie de Saint-Cloud dans les Hauts-de-Seine. Mais il est également inscrit sur les sites de rencontre Gleeden, Tinder et Meetic. Afin de séduire ses concitoyens, il affiche comme description de ses différents comptes « Mon cœur est déjà pris, mais j'ai des idées à partager. Je suis là pour séduire et rencontrer les habitant(e)s de Saint-Cloud dans la perspective des #Municipales 2020. En tout bien tout honneur ». Redoutable coup Marketing, méthode peu Orthodoxe, ou les deux ? A vous de juger !
Un candidat à la mairie drague ses électeurs sur des sites de rencontre

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[Pierrot Dupuy] Quand Jean-Hugues Ratenon se lâche contre "les enfoirés de politiciens"...

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Quand Jean-Hugues Ratenon se lâche contre ceux qu'il qualifie lui-même d'"enfoirés de politiciens", c'est décapant. Pas sûr que ses collègues parlementaires apprécient... C'est courageux de sa part, mais le courage aurait pu consister à citer des noms. C'était trop demander... Pierrot Dupuy
[Pierrot Dupuy] Quand Jean-Hugues Ratenon se lâche contre
"Élus de la majorité et de l'opposition ou prétendants à un poste,

Très actifs ils le sont, par communiqués de presse ou sur les réseaux sociaux en période électorales mais très silencieux après.

Pourtant ils sont là, ils regardent, ils observent, en quête de proies.

Pourquoi ils ne prennent pas ou peu position sur des sujets de société ?

Pourquoi sont-ils si absents à défendre une position pour faire pencher la balance en faveur de la population ?

Ne savent-ils pas que chaque voix, que chaque position compte ?

Plusieurs explications à cela :

Premièrement, toujours être bien avec le pouvoir et quel que soit le prix.

Mais aussi garder une posture de clans discuté en catimini ou inconnu du public.

Par la même occasion veiller à ne vexer personne parmi ses électeurs ou les futurs électeurs qui ne pensent pas comme eux ;

En effet, ne jamais prendre position car c'est : "mi aime zot tout" ;

Par exemple, avec une personne qui soutient les Gilets jaunes il dira : "vous avez raison de les soutenir".

Et dans la maison d'en face avec des anti-gilets jaunes il dira : "je vous comprends parfaitement car c'est un réel problème".

En ce moment encore, avec la crise du COVID-19, même comportement... SILENCE TOTAL !

L’enfoiré ne dit RIEN sur les primes, RIEN sur l'aide aux entreprises, RIEN sur le confinement, RIEN sur le protocole du docteur Raoult,
RIEN sur la rentrée scolaire, RIEN sur la gestion parallèle de la dengue... Pas d’avis, RIEN SUR RIEN !

Pour séduire son auditoire, il utilise le langage bateau sur tous les sujets, cette parole qui ne veut rien dire et qui veut tout dire en même temps.

Vous avez deviné, ce sont des caméléons. Ils maitrisent l’art de la tromperie. Ils changent de masque en fonction de la situation. Ils ont cette capacité à se glisser dans la peau de la personne idéale.

Des enfoirés de politiciens je vous le dis.

Ne savent-ils pas que lorsqu’on s’engage en politique, c’est pour le peuple et non pour soi ?

Je ne mangerai jamais de ce pain-là quitte à faire des mécontents en donnant ma position. L'honnêteté d'abord !"
Jean Hugues RATENON

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