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La motilité, la mobilité, la motricité sont nécessaires à la vie. Ou comment les poumons deviennent des incubateurs à infections

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La motilité, la mobilité, la motricité sont nécessaires à la vie. Ou comment les poumons deviennent des incubateurs à infections
En fonction de la concentration en charge virale des gouttelettes émises, de la température ou de l'humidité ambiante, la durée de vie du virus dans l'air peut varier de 0 à 3 heures. Pour survivre, il est tributaire d’un hôte qui deviendra son vecteur pour une contagion, sans cela son destin a une durée de vie limitée, selon les spécialistes.
 
Quant à nous, humains, avant de devenir des êtes complexes, pluricellulaires, dotés de nos cinq sens et d’un cerveau nous permettant de mémoriser les expériences acquises, il nous aura fallu nous déplacer de façon autonome pour nous alimenter et nous reproduire. La motricité est une condition nécessaire - certes non suffisante - à notre santé dont il ne devrait pas être superflu de rappeler la définition : désir, plaisir d’agir, sentiment d’exister, rapport actif à l’environnement, créativité.
 
Lors de mes études de psychologie j’ai évalué comme logique et rationnel le fait suggéré par le professeur Henri Laborit qui affirmait, preuves à l’appui, que la vie était tributaire du déplacement. Dès lors l’on pouvait s’interroger, par comparaison, par exemple au destin des plantes. Elles, pour vivre, ne se déplacent pas. Elles puisent du sol leur nourriture. On sait aussi qu’elles bénéficient d’autres ressources comme l’air, l’attraction terrestre pour se reproduire, avec le concours d’animaux volatiles. 
 
La motilité est donc la condition minimale de la vie expansive chez l’animal. En complément des travaux d’Henri Laborit, (voir le lien 2), le modèle qui nous aura dynamisé dans notre recherche d’une logique existentielle d’humain en lien avec le « premier animal » provient de travaux du biochimiste espagnol Faustino Cordon (1999). Celui-ci imagina la transformation de la planula des océans qui serait devenu méduse et qui a dû  migrer sur terre. Après plusieurs milliards d’années, certains de ses composants se retrouvent inclus dans nos estomacs. Les analyses cytologiques des tissus de nos estomacs nous renseignent en effet sur la présence de structures cellulaires semblables à celles de la planula (famille des cnidaires, comme plus bas une espèce pluricellulaire de myxozoaires Henneguya salminicola) après un circuit pour le moins surprenant, pour ne pas dire hasardeux, (voir le lien 3). La planula se décrochant des rochers pour s’alimenter se serait transformée en méduse pour enfin s’intégrer en partie dans les tissus de nos estomacs, telle une bouche qui dégrade les aliments. Plus question pour elle de migrer, elle devrait absorber et dégrader la nourriture qui sera à sa portée. Une échappatoire serait, peut-être, de se métamorphoser en ulcère, plus préjudiciable pour l’organisme en cancer mais c’est un autre sujet. 
 
Pour pouvoir migrer, telles les méduses qui ont une capacité de propulsion mobile évidente, il nous aura fallu des neurones. Nous retrouvons, après plusieurs milliards d’intervalles incrustés dans nos estomacs de façon symbiotique, les vestiges des planulas. Nous pourrions, à ce propos, considérer l’estomac comme antérieur au cerveau sur le plan de notre évolution neuronale. Qu’en est-il des voies respiratoires, que l’actualité liée à l’infection du Coronavirus aura placées aux avant-postes de la contamination chez l’homme ? Les poumons sont-ils innervés de neurones ? La réponse est oui, sauf que ceux-ci ne dépendent pas de notre volonté. Ils sont sous le leadership des systèmes sympathique et parasympathique qui gèrent, de façon autonome, les voies respiratoires et nos émotions (émotion « exmovere » en latin qui évoque le mouvement).  Nous retrouvons, certes, des neurones comme dans l’ensemble du corps, agencés comme une toile qui renseigne in fine notre cerveau sur les conditions d’équilibre en alimentation notamment. En terme de chimie organique, si la vie de l’organisme est assurée, et cela à notre insu, c’est ce qui est appelé : homéostasie. Nos poumons, comme l’ensemble de nos organes à muscles blancs, sont placés sous l’autorité fonctionnelle des voies végétatives, ce qui veut dire qu’ils échappent à notre volonté.
 
Comment les poumons peuvent-ils devenir des incubateurs à virus ?
 
Il devrait exister une marge de manœuvre, une certaine plasticité de cette homéostasie avant que l’organisme signale que sa physiologie est menacée vitalement. Nous pourrions la nommer « norme de vitalité », impliquant un seuil à ne pas dépasser et qui se signale à l’insu de la personne, nous y reviendrons. Arrêtons-nous aux poumons. Imaginons que pour assurer leur fonction d’oxygénation des tissus de façon optimale, douze amplitudes par minute soient nécessaires. Pour des raisons de qualité de vie pulmonaire - les poumons n’ayant pas leur capacité d’inhalation air correspondant aux besoins de l’organisme du fait d’une oppression émotionnelle et par réaction en chaîne une vasoconstriction des tissus sous l’effet d’une multitude de stress - ils seraient amenés à fonctionner selon une fréquence de quinze ou vingt amplitudes par minute par compensation ; tout en délaissant des parties oppressées des poumons, plus profondes, qui se verraient sous-oxygénées. Dans ce contexte les tissus perdraient de leur vitalité, du fait de miasmes et stases énergétiques entravant leur physiologie et rendant les tissus progressivement pathogènes. La barrière immunologique n’assume plus la protection qu’il convient. Voir le lien ci-dessous : « L’imbrication des niveaux génétique, moléculaire et émotionnel : l’exemple du thymus. »
 
https://www.zinfos974.com/Le-Covid-19-met-a-l-epreuve-nos-certitudes-sur-notre-sante-et-la-vulnerabilite-de-notre-civilisation_a152646.html
 
La vasoconstriction réduisant la surface et les amplitudes nécessaires aux transactions chimiques, seul le haut des poumons assure ses fonctions tout en réduisant sa surface fonctionnelle. Imaginons maintenant que lors de ces échanges pulmonaires entre l’extérieur et le poumon lui-même, s’interposent des résidus toxiques, bactéries nocives, allergènes et autres intrus. L’organisme et ses poumons se trouveraient assaillis d’agressions, ne pouvant s’en libérer par les défenses immunitaires. Comment peut-il s’en sortir sans trop de dommages ? Comme le font les viscères, par des polypes ou des hématocèles ? Bref, les voies respiratoires, en incapacité de s’auto-protéger, deviendraient des incubateurs à virus. Les tissus des voies respiratoires n’ont pas la plasticité des neurones de s’auto-déprogrammer comme pourraient le faire les neurones et cellules gliales qui se détourneraient d’une habituation physiologique morbide générée par des stress en connectant de nouvelles synapses ; comme le font les neurones avec leurs dendrites telles de petites fées munies de baguettes magiques pour changer d’habitudes ou de (re)présentations avec d’autres neurones pour compenser une fonction entravée, par exemple. Les cellules pulmonaires, bronchioles et alvéoles, n’ont pas à l’évidence cette plasticité et placeraient les poumons dans un état de vulnérabilité exacerbée. 
 
Quant aux virus, à l’abri de « l’hôte poumon », on l’a suggéré, ils deviendraient de véritables incubateurs à virus. Ces derniers se trouveraient ainsi dans des conditions d’expansion et de mobilité potentielles favorables pour explorer d’autres territoires, emportés par mucus, glaires et postillons.
 
Citons un autre exemple qui viendrait conforter l’hypothèse de la planula des océans comme « premier animal » et pourrait étayer plus largement la thèse de Faustino Cordon. Il permet d’imaginer le passage d’un minuscule animal à l’homme en s’incrustant dans son estomac. Considérons Henneguya salminicola dans le cas  des saumons. C’est une espèce parasite pluricellulaire de myxozoaires, des animaux de l'embranchement des cnidaires, comme les méduses et les coraux. Il infecte plusieurs espèces de saumons du nord de l'océan Pacifique du genre Oncorhynchus, notamment le Saumon rouge (et la Truite arc-en-ciel d’ailleurs). Il y forme de petits points blancs dans la chair qui posent problème aux pisciculteurs mais sont non dangereux pour l'être humain. Ce serait le « premier animal » multicellulaire (moins de dix cellules) bien réel, connu lui des scientifiques. Complétement dépourvu de mitochondries et de gènes mitochondriaux, il n'utilise donc pas d'oxygène pour produire son énergie. Il aurait perdu cette capacité de respiration aérobie, peut-être en raison de la pauvreté en oxygène de son milieu de vie ou d'une éventuelle capacité de tirer son énergie de son hôte, et celui-ci lui permettant mobilité.
 
Oui, Henri Laborit avait raison d’associer la vie à la mobilité, à la motilité et enfin à la motricité chez nous Sapiens. Il avait aussi raison de soutenir « que la seule raison d’être d’un être c’est d’être ». C’est le cas du virus. En ce qui nous concerne, lorsque les conditions d’action ne sont pas possibles, alors il est nécessaire, pour assurer notre survie, de fuir la situation qui génère le mal être ou de combattre l’agresseur en cas d’agression. De là les nombreuses démonstrations du chercheur qui devait prouver expérimentalement toutes les conséquences pathogéniques de l’inhibition de l’action prolongée. Lorsque nous fuyons ou luttons pour nous extraire d’une situation nocive, nos poumons se chargent d’énergie et notre structure organique peut retrouver des conditions favorables d’homéostasie.
 
A quand l’enseignement des travaux d’Henri Laborit dans les collèges et les lycées ? Après le confinement ?
Réf. :
 
1) Ce courrier fait suite à celui intitulé :   L’infection du coronavirus révélerait-elle une « névrose » épigénétique de la physiologie pulmonaire ?
https://www.temoignages.re/chroniques/di-sak-na-pou-di/l-infection-du-coronavirus-revelerait-elle-une-nevrose-epigenetique-de-la-physiologie-pulmonaire,97799
2) La seule raison d’être d’un être c’est d’être, c’est de maintenir sa structure selon Laborit.
https://www.temoignages.re/chroniques/di-sak-na-pou-di/la-seule-raison-d-etre-d-un-etre-c-est-d-etre-c-est-de-maintenir-sa-structure-selon-le-professeur-henri-laborit-et-l-enigme-du-cancer,96604
3) Les travaux du grand biochimiste Faustino Cordon : http://www.europesolidaire.eu/article.php?article_id=3975&r_id=&t=Les%20travaux%20de%20%20Faustino%20Cordon%20et%20l%27%E9nigme%20du%20ph%E9nom%E8ne%20cancer%A0?

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Coronavirus : 2 nouveaux cas à La Réunion, 410 au total

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Coronavirus : 2 nouveaux cas à La Réunion, 410 au total
La préfecture et l'Agence Régionale de Santé confirment 2 nouveaux cas de coronavirus COVID-19 à La Réunion, ce mardi 21 avril à 15h00, soit au total 410 cas depuis l’apparition  du premier cas le 11 mars 2020.

405 cas ont été investigués à cette heure par l’ARS et Santé publique France.

•  Bilan des cas investigués

Les chiffres du jour : 

Coronavirus : 2 nouveaux cas à La Réunion, 410 au total
5 cas sont toujours en cours d’investigation

Tous les cas confirmés font l’objet de l’identification de toutes les personnes ayant été en contact avec ces malades (entourage familial, professionnel, passagers proches dans les avions…).

Toutes ces personnes « contact » sont appelées individuellement par la cellule de suivi de l’ARS en collaboration avec Santé publique France. Leur état de santé est évalué à cette occasion. Il leur est reprécisé au cours de l’entretien l’importance du respect d’un isolement strict, de la surveillance quotidienne de leur état de santé (avec prise de température) et d’appeler immédiatement le 15 en cas d’apparition de symptômes.

A ce jour, plus de 3 200 personnes ont été identifiées dans le cadre du contact-tracing organisé par l’ARS.

Toutes ces personnes ont été contactées par l’ARS afin de leur demander un confinement strict, de s’assurer de leur état de santé, de les orienter sans délai vers le SAMU-15 en cas d’apparition de signes et de leur livrer des masques afin de s’assurer d’une protection envers leur entourage proche.

 Ces personnes font actuellement l’objet d’un suivi actif à 3 niveaux :

-       Il est demandé à ces contacts de rappeler tous les jours un numéro vert dédié dans le cadre de leur auto-surveillance prescrite par l’ARS
-       Les contacts qui ne rappellent pas régulièrement le numéro vert sont rappelés (dans le cadre d’une collaboration avec le CIC du CHU) à mi-parcours de leur quatorzaine pour s’assurer du maintien de leur isolement et de leur état de santé
-       L’opérateur chargé du numéro vert rappelle tous les contacts en fin de quatorzaine pour leur signifier la fin de leur quatorzaine et s’assurer là encore de leur état de santé.



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Solidarisons-nous en humanité par les moyens multimédias, numériques et digitaux

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Solidarisons-nous en humanité par les moyens multimédias, numériques et digitaux
La crise du Covid 19 n’a jamais autant défrayé la chronique des réseaux sociaux et des outils informatiques. Nous n’allons pas, ici, tous les énumérés ; même les plus septiques en la matière s’y mettent… ! Alors qu’ils juraient leurs grands dieux, il n’y  a pas si longtemps :              « Jamais au grand jamais ! » ; faisant valoir la fable du Grand Poète du même nom.                     « Ne jamais dire  Fontaine… ! ». Ne jamais dire jamais, il y a toujours quelque chose à           tenter ! » - parait-il ! Mais la vie n’est pas du paraître, preuve en est ! La pandémie EST ! Nous existons bel et bien et nous la prenons en pleine poire ! D’aucun ne l’aurait imaginé celle-là un jour, même Mr Le plus fort du monde se la ramasse ! Plus fort, plus fort, cela reste à voir, nous parlons là, bien entendu du portefeuille économique de son pays ! 

Aujourd’hui plus que jamais, nous avons besoin d’être connecté les uns avec les autres. Alors comment faire lorsque tout a été fait pour que nous soyons fâché, rivaux, les uns avec les autres ? … Ce confinement lui-même n’est pas anodin ! Deux réalités sautent à nos yeux  et font davantage surface en cette période : celui de la femme battue mais aussi celui de l’enfant. Réalité encore bien plus présente en ce moment. Trop souvent, il ne nous est plus possible de revenir en arrière disons-nous, du moins, c’est l’impression que cela donne ! Mais,  nous avons besoin d’être connecté entre nous, puisque l’être humain est relation et échange ! Qu’est-ce à dire, une nouvelle fois lorsque « tout » a été fait pour que des liens fragiles d’amitiés soient rompus par des bruits divers ? Cette violence est verbale et comportementale ! Alors légitimement nous sommes en droit de nous demander : « qu’avons nous fait de cette solidarité d’échanges ? » Elle est celle qui rend possible l’amitié.  Et l’amitié elle-même où est elle passée ? 

Nous n’avons jamais autant évoqué la solidarité ! Pourtant, ici à La Réunion, nous connaissons bien ce comportement, ce type de caractère insulaire ! Oui à chaque passage de cyclones, nous remarquons des élans de toutes parts qui se manifestent ! Ah mais oui, c’était quand le dernier phénomène qui a ravagé La Réunion toute entière ? Personnellement, je me souviens de Firinga qui n’était pas un puissant phénomène mais il a mobilisé des énergies humaines colossales. Firinga a été dévastateur à La Réunion. Une solidarité sans pareille s’est développée et c’est le quarantenaire d’aujourd’hui qui témoigne alors que je n’avais que 10 ans ! Ce sont bien avec, mes yeux, que j’ai, vu des banians presque centenaires déracinés avec toutes leurs racines devenues aériennes, témoignant de la force des vents ! La solidarité autour de cette catastrophe naturelle était comme innée en chacun. Elle l’est en règle générale devant un cataclysme ! Et les jeunes générations voyaient les aînés interagir mutuellement et réciproquement, les plus grands d’entre-nous, nous mettions la « mains à la patte », mine de rien, nous les enfants de l’époque, nous étions en train d’apprendre ce que voulait dire être, humain, tout en nous humanisant ! Nos aïeux, de manières instinctives, ce dont ils ne rendaient certainement pas compte, nous donnaient l’exemple. Non sans vantardises, mais qui de nous, aient appris comme nous avons appris de nos pères ? De même en 1977 et 1986 lorsque « Dame Fournaise » fit gronder son chaudron magique lorsque le cratère sommital avait littéralement exploser ! Mathusalem que cela ne s’est produit. Mis à part les fissures éruptives qui s’ouvrent de temps en temps elles n’excitent là merveilleusement que nos yeux mais non le cœur de la solidarité. Elle ne s’exerce pas de la même manière de ce dont nous avons vécu lorsque tout Bois Blanc a dû être évacué ainsi que toute la région de                            Piton Ste Rose. 

Dans l’effort de confinement, nous voyons deux styles de comportements même s’ils ne sont pas toujours révélateurs d’une attitude profonde. Nous avons d’une part, ceux qui sont stressés ayant peur de l’autre - celui va rendre malade tout le monde ! Et d’autre part, ceux qui se pensent invulnérables et qui exaspèrent…. parce que le confinement c’est pour les autres !    Je me suis posé la question : « tout le monde… qui sort dans la rue avec leur voiture « boite de nuit » en plein jour, possède-t-il réellement leur autorisation dérogatoire de sortie ? »             Le motif coché est-il bien réel ? N’a-t-on pas coché pour se donner bonne conscience et être en règle devant Mr La Police ou Mr Le Gendarme ? Ne nous jouons-nous pas de la crédulité des autorités pour pouvoir sortir et les tromper. Il y a trop de monde dehors ! Depuis l’annonce de Mr Marcron pour une éventuelle reprise le 11 Mai, je constate davantage de monde dans la rue ! A penser que c’est déjà fini ! Ce n’est pas ce que j’appelle  « la Solidarité respectueuse » des mesures édictées ! Mais qu’en est il de la solidarité légendaire ? – Celle du respect des règles ! Oui nous la voyons s’exercer dans différents corps de métier avec cette épidémie. Bravo, les soignants de tous bord, de même à ceux qui sans relâches organisent la protection civile et à ceux qui participent à cet effort ! 

Mais pour une frange de la population, force et de constater une solidarité à deux vitesses, je suis solidaire avec moi-même et avec les autres quand cela m’arrange et lorsque cela n’altère pas de trop à ma liberté personnelle ! Nous sommes libres, c’est un fait ! Mais ici elle se conjugue avec le devoir de la vie des autres par le confinement ! C’est lui qui sauve des vies en attendant un traitement et un vaccin. Au risque de passer pour un moraliste, ce que je  ne suis pas : la liberté personnelle s’arrête à l’endroit où commence celle de l’autre. De plus, il n’existe pas de liberté sans devoirs, dans aucunes civilisations pas plus que de relations humaines interrompues initiées par des alter ego exacerbés et ou sous influences ! Apprenons à nous connaître nous-mêmes pour davantage connaître les autres et nous construirons un monde plus solidaire.

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Se dirige t-on vers l'organisation d'une contamination de masse ?

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Se dirige t-on vers l'organisation d'une contamination de masse ?
Une étude de l’Institut Pasteur nous apprend que le virus corona a infecté seulement 6% de la population et a conduit à 20 000 décès en 3 mois. Cette information a aussitôt été décryptée par les épidémiologistes. Ils sont formels :

1) Ce taux de 6% de contamination signifie qu’une très faible minorité serait immunisée contre le Covid-19. Certaines personnes avisées rappellent néanmoins qu’il ne faudrait pas oublier trop vite que l’immunité dite individuelle n’est pas acquise.

2) Un déconfinement, même partiel, va occasionner une deuxième, voire même une troisième vague de contamination dans les prochaines semaines. Selon les chercheurs c’est inévitable.

3) Les experts émettent alors l’hypothèse qu’avec le déconfinement, les autorités ont peut-être en tête l’idée de « refaire circuler un peu le virus » pour espérer atteindre l’immunité collective. Selon les scientifiques, cet objectif ne pourrait être atteint que si,  au moins 70 % de la population est contaminée. 

Ces remarques interpellent car aucune personne de raisonnable ne peut imaginer que la patrie des « Droits de l’Homme et du Citoyen » puisse organiser sciemment une contamination de masse avec un virus meurtrier.

A quelques semaines de la rentrée pour les enfants des écoles primaires et maternelles une clarification ne s’impose t-elle pas ?

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COVID-19 • DENGUE : Face au risque sanitaire, les bons gestes sont plus qu'essentiels - gestion des déchets

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COVID-19 • DENGUE : Face au risque sanitaire, les bons gestes sont plus qu'essentiels - gestion des déchets
UNE DOUBLE MENACE SANITAIRE

LE SERVICE PUBLIC DE GESTION DES DÉCHETS ET SON PERSONNEL SE MOBILISENT
 
Le territoire doit faire face à une situation particulièrement grave liée au COVID-19 ainsi qu’à une recrudescence des cas de dengue. Dans ce contexte inédit, un plan de continuité d’activité a été mis en œuvre pour assurer le maintien du service public de gestion des déchets, un service essentiel à la sécurité sanitaire des Réunionnais.

Cette continuité se traduit par la mobilisation des équipes en charge de la collecte, de l’accueil et du traitement des déchets. La sécurité de ceux qui sont en première ligne pour assurer ce service public est une priorité et une responsabilité collective.

ENSEMBLE, PROTÉGEONS-NOUS

Des gestes simples pour se préserver et préserver le personnel qui oeuvre au quotidien pour votre cadre de vie et votre sécurité sanitaire.
 

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751 cas de dengue confirmés à La Réunion

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751 cas de dengue confirmés à La Réunion
751 cas observés du 6 au 12 avril 2020 dans l’île. Plusieurs secteurs de Saint-Paul restent touchés par cette épidémie.Trou d’Eau, Lotissement Bellevue, Grand Fond, Fleurimont, La Baie, Grande Fontaine,  Cambaie et La Plaine.
 
L’Agence régionale de Santé va d’ailleurs réaliser des opérations  de démoustication nocturnes à La Plaine et à Trou d’eau cette semaine. Cliquez ici pour obtenir plus de détails sur ces interventions.
 
Nous publions ci-dessous le communiqué de la préfecture de La Réunion à propos du bilan chiffré de la dengue.
 
L’EPIDEMIE DE DENGUE CONTINUE SA PROGRESSION A LA REUNION
 
Du 6 au 12 avril, 751 cas de dengue ont été confirmés. L’épidémie de dengue poursuit sa progression dans l’île, avec un nombre important des cas recensés et d’hospitalisations, et une forte augmentation de passages aux urgences pour dengue observée ces dernières semaines.
 
Bien que la majorité des cas se situe toujours dans le Sud de l’île, une recrudescence de cas est mise en évidence dans l’Ouest et dans l’Est, à Saint-Benoît. 
 
Afin de limiter la propagation du virus, les équipes de l’ARS La Réunion et du SDIS poursuivent leurs interventions dans les zones fortement impactées par la dengue, en intégrant les mesures barrières contre la diffusion du covid-19.
 
Dans ce contexte, la mise en œuvre des gestes de prévention par tous contre la dengue est indispensable pour freiner l’épidémie sur le territoire.
 
Aussi, la préfecture de La Réunion et l’ARS rappellent à la population l’importance de consulter rapidement un médecin en cas de symptômes pour se faire dépister, se protéger des piqûres de moustiques et continuer à se protéger même malade pour protéger ses proches, et éliminer les gîtes larvaires à son domicile.
 
Depuis le début de l’année
  • 4 207  cas autochtones confirmés
  • 183 hospitalisations
  • 482 passages aux urgences
  • 1 décès directement lié à la dengue
 

Situation épidémiologique au 21 avril 2020
(données de la Cire OI, Santé Publique France)

 
Sur ces dernières semaines, 23 communes sont concernés par l’épidémie de dengue :
 
la majorité des cas se situe toujours dans le Sud de l’île (66%) avec toutefois une baisse de cas recensée à Saint-Louis.
 
une forte augmentation de cas est observée dans l’Ouest, notamment à Saint-Leu et au Port, dans l’Est, à Saint-Benoît.
 
Les principaux regroupements de cas se situent à :
 
Région Sud
 
Saint-Louis (Plateau Goyaves, Cité Cocos, Bel Air, Camp du Gol, Petit Bon Dieu, Kerveguen, le Ouaki, Savignan, La Rivère, Les Canots, Pont Neuf, Le Ruisseau, Roches Maigres, les Cocos et le Bois de Nèfles)
 
Saint-Pierre (Bassin Bœuf, Terre Sainte, La Vallée, Ravine Blanche, Casabona, Basse-terre-les-Bas, Pierrefonds, Concession, Ligne des Bambous, Ligne Paradis, La Cafrine, Grand Bois, Ste Céline, Ravine des Cabris, Bois d’Olive)
 
Les Avirons (La Ravine Sèche, Bois de Nèfle Cadet, Barouty, La Croix, le Ruisseau, Fond Maurice
 
L’Entre Deux (Ville, Bras long, Grand fond intérieur, La pente d’Orange)
 
L’Étang Salé (Ravine Sheunon, Les Canots, Pied des Roches, le Bois de Nèfles, La Roche aux Oiseaux)
 
Saint-Joseph (Langevin, Les Jacques, Le Plateau)
 
Le Tampon (La Chatoire)
 
Région Ouest
 
Saint-Paul (Trou d’Eau, Lotissement Bellevue, Grand Fond, Fleurimont, La Baie, Grande Fontaine,  Cambaie, La Plaine)
 
Trois Bassins (Grande Ravine, Souris Blanche)
 
La Possession (St Laurent, Moulin Joli)
 
Saint-Leu (Stella, Butor,Piton, Le Portail,  Quartier Pêcheur, Dubuisson, La Fontaine, 4 Robinets, La Fontaine, L’Étang, Les Camélias)

Le Port (Rivière des Galets, Parc Boisé, Mondon, Lotissement Corut)

Région Nord
 
Sainte-Marie (Grande Montée, Le Verger)
 
Saint-Denis (La Bretagne, Sainte Clotilde, chemin Finette)
 

Région Est
 
Saint-André (Lotissement Satec, La Cressonnière, Milles Roches, Patelin)
 
Bras Panon (Rivière du Mât)
 
Saint-Benoît (Boubier, Beaufonds, Ste Anne)
 
Afin de limiter la propagation du virus, les équipes de l’ARS La Réunion et du SDIS interviennent dans les foyers épidémiques tout en intégrant dans leurs interventions de lutte anti-vectorielle les mesures barrières contre la diffusion du covid-19.
 
Au cours de la semaine du 6 au 12 avril, les passages aux urgences pour dengue sont en forte augmentation (plus de 100 passages) et l’activité hospitalière liée à la dengue poursuit sa progression (plus de 30 hospitalisations), principalement au CHU sud qui reste l’établissement hospitalier le plus impacté.
 
Recommandations pour lutter contre la dengue
 
 Consulter un médecin en cas d’apparition des symptômes : apparition brutale de fièvre éventuellement associée à des maux de tête, douleurs musculaires/articulaires, nausées, vomissements ou fatigue.
 
Dans le contexte Covid-19, certains médecins proposent la téléconsultation. N’hésitez pas à appeler votre médecin avant de vous rendre à son cabinet médical.
 
Il décidera avec vous de la meilleure prise en charge (consultation au cabinet sur RDV, téléconsultation par smartphone/ordinateur, ou visite à domicile si nécessaire) et vous orientera pour la réalisation d’un prélèvement en laboratoire d’analyses médicales pour confirmation du diagnostic de la dengue.
 
 Des gestes simples à mettre en œuvre au quotidien :
 
Se protéger des piqûres de moustique (répulsifs, moustiquaires, vêtements longs, diffuseurs), et continuer à se protéger même malade pour ne pas contaminer son entourage
 
Éliminer les récipients en eau autour de son habitation (vider soucoupes et petits objets pouvant contenir de l’eau, vérifier l’écoulement des gouttières…)
 
Éliminer les déchets pouvant générer des gîtes larvaires
 
Respecter les jours d’enlèvement des déchets et encombrants
 
Couvrir les réservoirs avec un tissu ou une moustiquaire, et abriter les pneus
 
Les gestes de prévention réalisés par tous peuvent permettre de limiter des co-infections dengue/covid-19 susceptibles d’affaiblir les personnes fragiles, et préserver le système de santé mobilisé actuellement sur ces deux épidémies.

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Confinement non respecté: La tentation de taper dans le ballon est trop forte

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Confinement non respecté: La tentation de taper dans le ballon est trop forte
Cette photo a été prise ce mardi en fin de journée à Saint-Denis, Champ Fleuri. Sur un stade de football, de nombreux joueurs s'adonnent à leur sport favori. Si l'envie de se dépenser peut être compréhensible, le confinement n'est pas respecté.

Seule la pratique d'un sport dans un rayon d'un kilomètre, pendant une heure maximum, autour de son domicile et surtout pratiqué seul, est permise en complétant une attestation de sortie.

La pratique de tout sport collectif est à bannir en cette période où la distanciation sociale doit demeurer le maître mot contre le coronavirus.

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Coup de gueule des étudiants de la L1 SHS de l’Université de Saint-Denis

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Les étudiants de la L1 SHS de l’université de Saint-Denis adressent ce courrier pour dénoncer les difficultés qu'ils rencontrent avec l'enseignement à distance. Ils dénoncent également le manque de soutien de l'Université de La Réunion pour les étudiants de l'enseignement supérieur :
Coup de gueule des étudiants de la L1 SHS de l’Université de Saint-Denis
"Nous, Etudiants de l’Université de la Réunion, sommes révoltés face au manque d’intérêt que nous subissons. Solidarité et fraternité sont les maitres mots à l’heure actuelle. Néanmoins, cela ne suffit pas pour continuer notre cursus sans encombre. Malgré le soutien de quelques professeurs, l’enseignement à distance reste difficile.

Nous avons constaté une rapide mise en place de solutions concernant les autres institutions d’enseignement (les collèges, lycées, concours et autres). La Direction de l’université a pris des décisions notamment concernant nos partiels mais ne répond pas réellement à toutes les problématiques. Nous parlons particulièrement de la L1 "Sciences de la Société". Notre année devrait se finir le 5 mai. Ici nous sommes particulièrement perdus.

Pour l’instant nous n’avons concrètement que deux devoirs de maison ainsi qu’un partiel en ligne de "Sources et données" qui regroupe les évaluations de 4 professeurs. Ce n’est pas sans difficulté car les cours arrivent au compte goutte et parfois dans un temps très limité avant le début du partiel. 

De plus, il a déjà été annulé et reporté à plusieurs reprises, ce qui accentue notre confusion. Pour les autres matières, nous n’avons aucune annonce de partiel sachant que le temps est très limité avant la fin du semestre, ce qui ne nous permettrait pas de tout assimiler correctement. Nous comptions fortement sur la réunion qui était initialement prévue le 16 avril…

C’est pourquoi aujourd’hui nous proposons une note plancher de 10/20 afin de permettre l’égalité à tous les étudiants. En effet, nous pensons particulièrement à ceux qui n’ont pas de connexion internet fiable, de matériel pour y accéder ou simplement des conditions de travail nécessaire. Evidemment cette note ne serait qu’une note minimale. Les étudiants qui visent une note supérieure pourront tout de même le faire. Nous demandons aussi, à ce que les professeurs soient indulgents en se basant surtout sur les cours que nous avons travaillé en présentiel. 

L’attente devient très longue. L’épuisement, l’angoisse et la révolte se font sentir.  Nous ne sommes surement pas la seule filière à rencontrer ces problèmes alors nous vous demandons de bien vouloir nous accompagner ! Écoutez ce qu’on a à dire et ce que l’on propose ! Soutenez nous dans notre requête pour qu’ensemble nous puissions faire avancer les choses face au silence de l’Université ! 

Ce message est très important à nos yeux !  Force à nous tous, prenez soin de vous et de vos proches."

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[VIDÉO] prévisions pour la nuit prochaine et mercredi, tendances pour jeudi et vendredi

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Le début de journée de mercredi est prévu plutôt humide sur une large moitié Est de la Réunion.


[VIDÉO] prévisions pour la nuit prochaine et mercredi, tendances pour jeudi et vendredi
Prévisions pour la nuit du 21 au 22 Avril

L'alizé  charrie ses averses sur la moitié Est de l'île en seconde partie de nuit.

➡️  Des averses arrivent du large et touchent le quart Sud-Est de l'île en cours de nuit. Elles gagnent l'Est et débordent temporairement vers Sainte Marie. Voir la courte vidéo jointe.

🎏 Les vents faiblissent mais restent sensibles sur le Nord et le Sud ainsi que dans la région du volcan.

🌊  La mer est agitée à forte à l'exception de la zone comprise entre Saint Leu et la Possession en passant par la baie de Saint Paul.

🌡️ Les températures minimales voyagent entre 20° à Pont Mathurin et 24° au Port. Sur les pentes la fourchette va de 15° à 19°.
Les minimales les plus basses ne sont pas loin des 10°  à Bourg Murât et à Cilaos et affichent des valeurs à 1 chiffre dans les régions du volcan et du Maïdo.

 
Prévisions pour la journée du mercredi 22 Avril
 
➡️ En début de matinée:  l'ensoleillement est très contrarié en partant de Saint Jo et en remontant tout le long de la côte Est et par débordement jusqu'aux portes de Saint Denis.
Des averses sont observées sur les pentes, vers Salazie, les Plaines et le  volcan. Sur le littoral les averses sont rapidement moins fréquentes mais le soleil ne prend pas un avantage décisif avant la mi-journée.
A l'Ouest de ces régions humides le soleil répond présent.

➡️ L'après-midi  le bleu a viré au gris sur les pentes d'une large moitié Ouest. Cela se traduit par quelques averses isolées.
Des averses éparses mais de faible intensité persistent sur les pentes de l'Est.
Les zones littorales ventées comme celles comprises entre Saint Pierre et Saint Paul à l'Ouest et Saint André à Saint Denis au Nord bénéficient d'un après-midi assez lumineux.

🎏 Les rafales  de Sud-Est commencent à mollir progressivement mais flashent encore à 60/65km/h entre Saint Jo et Saint Leu et à près de 55km/h vers Gillot.

🌊 La mer demeure agitée à forte  de Saint Leu à Sainte Clotilde en passant par Sainte Rose. La houle d'alizé de secteur Est peut atteindre 2m50.
La température du lagon est voisine de 27 à 28° .

🌡️ Les températures maximales sont proches des normales sur l'Ouest mais en dessous des normales sur le Nord et l'Est et dans les hauts de ces régions. Voir détails ci-dessous.

➡️ Marées Hautes / Marées Basses :  DONNEES METEO FRANCE/SHOM

➡️ Calendrier lunaire Avril 2020

➡️ Lever du soleil : 06h32 le 22 -- Coucher du soleil : 18h01 le 22

🧳 La pression atmosphérique à 18h00 à Gillot : 1015.3 hectoPascals.


🌡️ Températures prévues

Températures maximales sous abri attendues dans les stations de Météo France et de MeteoR OI  
Stations Températures Maxi en degrés Celsius
Gillot 27
Le Port 30
Saint Paul 29
Grand Fond 31
Pointe 3 Bassins 31
Tan Rouge 26
Colimaçons 24
Les Makes 24
Saint-Louis 29
Pierrefonds 28
Saint Joseph 27
Saint Philippe 26
Sainte Rose 27
Saint Benoit 27
Saint André 27
Volcan 15
Maïdo 16
Bourg Murât 18
Plaine des Palmistes 19
Cilaos 25
Mare à Vieille Place 20

Températures maximales relevées sous abri dans les stations de Météo France: il a fallu attendre 14heures pour que les 25° soient atteints à Gillot. Frais dans les Plaines, à Salazie(à peine 20° à MAVPlace) et au volcan. Malgré tout 31° près de la Saline.
[VIDÉO] prévisions pour la nuit prochaine et mercredi, tendances pour jeudi et vendredi


17heures: cumuls de pluie des dernières 24heures dans les stations de Météo France. Contraste très net entre l'Est et l'Ouest typique par temps d'alizés plutôt humides.
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Analyse de la situation de surface cet après-midi. Les alizés commencent à faiblir légèrement. L'anticyclone( H) de 1030hpa ne se décale que très lentement.
[VIDÉO] prévisions pour la nuit prochaine et mercredi, tendances pour jeudi et vendredi


Tendances générales pour le jeudi 23 et le vendredi 24 Avril
Jeudi les alizés sont temporairement moins humides notamment le matin sur la moitié Est. La journée s'annonce assez ensoleillée avec une remontée des thermomètres sur la moitié Est et dans les hauts.
En revanche vendredi est prévu sensiblement plus humide d'abord par l'Est alors que ce temps humide aura ensuite tendance à s'étendre à la majorité de l'île.

🎏 Les rafales n'excèdent plus les 50km/h sur les régions exposées.

🌊 La mer reste agitée du Sud sauvage à Sainte Marie en passant par Sainte Rose.

🌡️ Les températures sont en hausse jeudi grâce à l'ensoleillement et contrastent avec celles de la veille sur la moitié Est et dans les hauts.
 

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Les députés socialistes demandent la revalorisation de la prime de feu des pompiers

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Les députés du groupe Socialistes, dont fait partie Éricka Bareigts, ont demandé au ministre de l’Intérieur d’augmenter la "prime de feu" promise aux pompiers dès l’été prochain. Considérant les soldats du feu comme des oubliés du gouvernement dans cette lutte contre le virus.
Les députés socialistes demandent la revalorisation de la prime de feu des pompiers

En adressant un courrier à Christophe Castaner, le député de la Loire Régis Juanico souhaite mettre en lumière la situation des pompiers dans la situation actuelle. "Ils semblent quelque peu oubliés dans cette période si particulière, exclus de tous dispositifs de reconnaissance de la Nation", affirme-t-il au ministre de l’Intérieur. C’est pourquoi le groupe PS de l’Assemblée nationale demande au gouvernement de revaloriser la "prime de feu" à défaut d’une prime exceptionnelle spécifique. Une requête soutenue par Éricka Bareigts, cosignataire du courrier.

Après des mois d’un conflit social sans précédent dans la profession, les syndicats avaient obtenu que la "prime de feu" soit revalorisée de 19% à 25% du salaire de base dès l’été prochain. Les socialistes demandent donc que cette prime passe désormais à 28% pour saluer leur mobilisation dans cette lutte contre le Covid-19. Le groupe parlementaire exige également que les pompiers soient équipés en nombre suffisant de masques de type FFP2.

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Artisanat: Plus de 30000 masques produits par semaine par les petites mains du secteur de la couture

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Artisanat: Plus de 30000 masques produits par semaine par les petites mains du secteur de la couture
Une aide bienvenue. La Chambre de métiers et de l'artisanat de La Réunion a fait un point d'étape ce mardi concernant la structuration de la filière couture, mobilisée en cette période de crise sanitaire avec la fabrication de masques.

Plus de 30.000 sont actuellement produits aux normes AFNOR chaque semaine par près de 200 couturier(e)s dans l'île et à destination du grand public. Un bon début pour Bernard Picardo, qui espère, avec l'accompagnement de ces petites mains, une "montée en puissance" des masques de protection dans les prochaines semaines.

Près de 200 artisans du secteur ont répondu aux sollicitations de la Chambre de métiers. Le but pour la Chambre: les identifier et voir s'ils sont prêts à aller beaucoup plus loin dans la fabrication de masques comme le respect de la norme AFNOR. "Aujourd'hui, avec les chiffres que nous avons, ce sont près de 30.000 masques faits par semaine par les couturières de l'île. Notre rôle à nous est de structurer tout ça et de faire en sorte que la matière première soit disponible", se félicite Bernard Picardo.

Artisanat: Plus de 30000 masques produits par semaine par les petites mains du secteur de la couture
Sur la partie distribution, la Chambre de métiers va proposer dans les prochains jours, aux artisans couturiers et couturières de l'île, d'être référencés sur son site reparer.re, un annuaire en ligne des artisans réparateurs de La Réunion, pour faciliter la vente de ces masques auprès de la population.

Les artisans couturiers et des petits malins qui profitent de la pénurie

Bernard Picardo veut aller encore plus loin comme par exemple la vente de ces masques à travers des distributeurs automatiques comme cela se fait dans plusieurs pays, voire une distribution à plus grande échelle dans la grande distribution à La Réunion.

S'il salue les initiatives qui ont fleuri ces dernières semaines sur les réseaux sociaux concernant la distribution de masques à destination du personnel hospitalier ou des personnes âgées, Bernard Picardo tient malgré tout à ce qu'il n'y ait pas de concurrence entre les artisans couturiers et certains petits malins qui profiteraient de cette crise pour se faire un ti moné. En effet, certains internautes proposent à la vente des masques ou des visières de protection de leur composition à des prix complètement prohibitifs, le tout sans être déclarés contrairement aux couturiers inscrits au registre de la Chambre, qui eux vendent en moyenne leur masque aux alentours de 3-5 euros.

"Quand des gens non inscrits et non déclarés fabriquent ces masques et les vendent, c'est du travail au noir, je dis stop. On ne peut pas être d'accord avec ça. On a vu sur les réseaux sociaux des masques qui sont vendus entre 15 et 20 euros par des gens qui ne sont pas obligatoirement inscrits chez nous. Nos artisans eux, proposent des masques aux normes à des prix abordables et qui sont lavables", argue le président de la CMAR, qui assure qu'il sera vigilant avec les pouvoirs publics à ce sujet.


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Le violeur présumé d’une sexagénaire placé en détention provisoire

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Le violeur présumé d’une sexagénaire placé en détention provisoire
Il était présenté ce mardi au palais de justice de Champ fleuri. Le violeur présumé d’une sexagénaire a été placé en détention provisoire à l’issue de son déferrement. 

La parquet a décidé de l’ouverture d’une information judiciaire. Le trentenaire nie les faits de viol sur personne vulnérable. Sa présumée victime est âgée d’une soixantaine d’années. 

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Huguette Bello exige du gouvernement des clarifications pour la rentrée scolaire

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Dans les traditionnelles questions aux gouvernements, la députée de La Réunion compte demander que des prérequis incontournables soient respectés avant de rouvrir les écoles. Huguette Bello veut que le dépistage dans les territoires ultramarins soit la clé de voûte de cette lutte contre le virus.
Huguette Bello exige du gouvernement des clarifications pour la rentrée scolaire

C’est au nom des députés d’outre-mer du groupe de la Gauche démocrate (GDR) qu'Huguette Bello demande au gouvernement des éclaircissements sur les conditions d’organisation de la rentrée scolaire.

Selon la députée de La Réunion, cette ouverture des écoles doit répondre à des impératifs sanitaires au risque de relancer une vague épidémique. Un risque d’aggravation comme l’a déclaré le Conseil scientifique, n’est pas à exclure, rappelle-t-elle. 

Afin d’éviter tout risque dans les territoires ultra-marins, très fragiles en cette période, l'élue souhaite que des "prérequis incontournables" soient garantis afin de protéger les enfants et adultes. Au-delà des gestes barrière à faire respecter, Huguette Bello exige que le gouvernement garantisse l’accès de tous aux masques de protection. 

Selon la députée, la principale mesure doit être le dépistage massif dans les territoires ultramarins. "L’éloignement géographique, la fréquence des comorbidités, l’épidémie de dengue à La Réunion et en Guyane, les coupures d’eau en Martinique, affectent évidemment ces questions d’un coefficient d’urgence et de gravité", souligne-t-elle.

Enfin, pour une meilleure sécurité sanitaire et l’égalité des chances, elle souhaite que soient annulées les suppressions de postes prévues dans leurs académies pour 2020. La période de confinement ayant accentué les différences d’apprentissage, il serait même souhaitable de créer des postes selon elle.

Dans sa réponse le Ministre de l’éducation nationale a souligné l’impact social du confinement sur l’aggravation des différences sociales dans les Outre-mer. Il a précisé que le taux de décrochage scolaire est de 15 à 25% (contre 4% dans l’Hexagone), ce qui justifie la démarche volontariste du Gouvernement. 

Sur la carte scolaire pour la prochaine rentrée, il a rappelé les créations de postes à Mayotte et en Guyane pour des raisons démographiques. Il a indiqué aussi avoir retravaillé la carte scolaire de la Guadeloupe et de la Martinique avant même le début de l’épidémie et que l’une et l’autre enregistrent le meilleur taux d’encadrement de France. 

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Opération de sauvetage en mer réussie pour les FAZSOI

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Sur demande du centre régional opérationnel de surveillance et de sauvetage (CROSS), les FAZSOI ont réalisé une évacuation médicale à bord du bateau Avalon.
Opération de sauvetage en mer réussie pour les FAZSOI
Lundi 20 avril, le CROSS a sollicité les Forces armées dans la zone sud de l’océan Indien (FAZSOI) pour une intervention en haute mer.

Un navire de type vraquier répondant au nom d’Avalon vient de signaler la présence d’un marin malade à son bord. Le navire étant situé à 70 nautiques (130km) au large des côtes de La Réunion, les militaires n’ont d’autres choix que de déployer l'hélicoptère de type Panther du détachement 36F affecté sur la frégate de surveillance Floréal.

Le marin, qui présentait des pathologies cardiaques, est récupéré par l’hélicoptère. L’équipe médicale du Floréal, composée du médecin et de l'infirmier-major, ainsi que le plongeur du Panther, a rapidement pris en charge le malade. Celui-ci a ensuite été évacué vers le CHU Nord de La Réunion.

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[CLIP] Jérémy Sans Famille est confiné !

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confinement pour rendre cette période plus agréable à passer, en musique notamment. Découvrez aujourd'hui la chanson et le clip plein d'imagination de Jérémy Sans Famille. Le titre arrive comme une évidence : "Confiné".
[CLIP] Jérémy Sans Famille est confiné !


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​Fret aérien et continuité territoriale : la FEDOM tire la sonnette d’alarme

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​Fret aérien et continuité territoriale : la FEDOM tire la sonnette d’alarme
Dans un courrier daté du 27 mars adressé à la Ministre des Outre-mer et au Secrétaire d’Etat chargé des Transports, le président de la FEDOM, Jean Pierre Philibert, leur avait fait part de sa vive inquiétude sur la situation particulièrement difficile du transport entre l’hexagone et les Outre-mer et notamment sur les risques de rupture des chaînes d’approvisionnement compte tenu de la crise sanitaire sans précédent que nous traversons.

Difficultés rencontrées par les opérateurs du transport maritime, situation des grands ports, raréfaction des liaisons aériennes entraînant des difficultés dans l’acheminement du fret indispensable (notamment alimentaire et médical), survie des compagnies aériennes qui desservent nos territoires isolés et dépendants... le président de la FEDOM avait alerté dès la fin du mois de mars les ministres concernés sur ces problématiques.

Si la Ministre des Outre-mer a pris acte de ces problèmes et que des solutions ont pu être apportées dans un certain nombre de domaines, la hausse du prix du fret aérien (parfois multiplié par trois), causé par la diminution drastique des liaisons aériennes (plus de 80 % des liaisons ne sont plus assurées) est un problème majeur qui s’accroît chaque jour.

Pour endiguer cette hausse du prix du fret qui empêche l’acheminement de produits indispensables (alimentaires, agroalimentaires, médicaux), qui impacte les prix à la consommation, qui met des vies humaines en danger et qui paralyse complètement l’activité économique de nos territoires, les discussions entamées avec les différents acteurs concernés doivent aboutir à des solutions opérationnelles.

Si ces discussions n’aboutissent pas très rapidement, le président de la FEDOM demande au gouvernement de prendre ses responsabilités afin d’assurer par tous moyens – la réquisition des compagnies aériennes ou des subventions à ces mêmes compagnies aériennes – pour rétablir la continuité territoriale entre la France et ses outre-mer.

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Oser une nouvelle culture de l'humanité

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Oser une nouvelle culture de l'humanité
Alors que le confinement s'installait sous notre sidération absolue, que l'on s'engouffrait dans le tunnel d'une crise aux relents de souffre, nous émettions tous peu ou prou les mêmes sentiments, comme une grappe de bonnes résolutions de début d'année : assurément, plus rien ne sera comme avant ; il y aura forcément un avant et un après covid19 ; nous allons devoir réinventer nos modèles et notre société ; à nous de veiller à tirer les bonnes leçons de cette crise ; etc.

Au 11 mai prochain, "qui n'en finit pas de provoquer réactions, remous et reflux, pourrions-nous, non seulement nous souvenir de toutes ces résolutions, mais également penser à les appliquer réellement ? Soyons en résonance avec nos espoirs d'avenir, et transformons la crise en opportunités.

Puisque le sujet de la rentrée et de l'école sème la plus grande discorde, ne serait-ce pas le bon prétexte pour enfin mettre en place les fameuses classes de 20 élèves, de proroger l'expérience de l'enseignement à distance pour certaines matières, de repenser certains contenus et programmes à l'aune des nouvelles technologies, de penser à un décalage des temps de pause et des horaires d'entrées et de sorties ?

Et si les restaurateurs veulent pouvoir à nouveau travailler et accueillir du public, cela peut se concrétiser en adaptant leurs établissements à une bien-pensance sanitaire (le vocable "distanciation sociale" me met mal à l'aise…), en restructurant l'agencement des tables de leur établissement, en créant des box et des salles privatives, et en développant de nouveaux outils comme la prise de commande par tablettes, par exemple.

Concernant le monde du spectacle, le développement de nouvelles formes de diffusion est à l'ordre du jour, en même temps qu'il s'agit d'une opportunité pour éduquer de manière différente les goûts des publics. Nous avons besoin de stars évidemment, mais la culture est avant tout affaire de nombreux artistes locaux et régionaux moins connus qui méritent une lumière plus accentuée, et la sortie de crise doit permettre de faire cet éclairage, d'autant que les déplacements entre le continent et notre île seront dans un premier temps limités.

Et puis, il y a toutes ces entreprises qui doivent pouvoir ré-embrayer sur leurs activités dans des conditions de sécurité revisitées. Si la grande distribution a dû rapidement s'adapter aux contraintes corona-virées, et a plutôt bien réussi dans cette tâche, les autres métiers et secteurs d'activité doivent pouvoir en faire de même. La réflexion est déjà largement menée au sein des organismes professionnels.

Il en va ainsi d'un nécessaire engagement de redressement social et économique, en même temps d'assurer une bonne santé mentale et psychologique à une population qui ressent, jour de confinement après jour de confinement, une pression morale ascendante. Cela passe toutefois par un préambule obligé : la sécurité sanitaire qui exige des masques, des tests de dépistage, du matériel pour les soignants, et des outils de sensibilisation et de précautions pour les particuliers.

À ce sujet, on sait que ces applis de tracking, même anonymisé, soulèvent de vives inquiétudes, quand bien même nous avons l'habitude de laisser d'innombrables traces sur les réseaux sociaux en particulier, et sur le net en général. Faut-il s'amuser ou s'inquiéter de cette conception paradoxale, voire schizophrénique du monde digital ?

D'autres projets existent, qui vont permettre d'être alertés lorsque les gestes barrière seront oubliés, qui vont optimiser et mutualiser les e-commandes, qui vont rapprocher les consommateurs des producteurs pour privilégier les circuits courts, etc. Il faudra accepter, dompter et vivre avec ces outils.

Nous avons tous suffisamment parlé de changement de paradigme, de changement de culture, de changement sociétal. Sortir avec un masque, se dire bonjour de façon différente, être à l'écoute de son appli de tracking, tout cela fera partie de cette nouvelle culture de l'humanité qu'il nous faut oser.

En ce sens, il nous faut sortir le plus rapidement de l'ornière, et profiter de ces temps de réflexion pour anticiper sur un nouveau monde. Si rien ne change, le Covid-19 aura gagné…

Et notre "vieux monde", violemment consumériste et financiarisé, aussi… Est-ce cela que nous voulons transmettre à nos enfants ?

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Dominique Voynet n'est pas favorable à un retour à l'école le 11 mai à Mayotte

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Dominique Voynet n'est pas favorable à un retour à l'école le 11 mai à Mayotte
S'achemine-t-on, dans les faits, à un déconfinement régionalisé ? L'annonce d'un déconfinement national le lundi 11 mai a été perçu différemment selon les endroits de France.

A Mayotte, la direction de l'Agence régionale de santé est assurée depuis quelques mois par une ancienne ministre. Dominique Voynet est sortie quelque peu de son champ de compétences pour rendre compte de sa très grande crainte d'une application pure et simple du déconfinement le 11 mai dans le 101ème département français.

"J'ai le pied sur le frein", a ainsi imagé la directrice au micro de Mayotte La 1ère. Dominique Voynet dit avoir "tendance à penser que les arguments de ceux qui ne sont pas favorables à cette rentrée scolaire sont audibles".

La directrice de l'ARS fait notamment référence au difficile respect de la distance de sécurité dans des écoles surpeuplées, le manque de points d'eau et de toilettes. Selon elle, il conviendrait de continuer le confinement "jusqu'à fin mai", donc "après le ramadan", propose-t-elle. Une période, pendant laquelle, déjà, "les enfants sont fatigués, ils dorment moins, ils auront encore plus de mal à intégrer et respecter les gestes barrière", expose la directrice de l'Agence régionale de santé. 

Il y a, à ce jour, 311 cas confirmés ​de coronavirus à Mayotte. 22 personnes sont hospitalisées dont 4 en réanimation. 4 personnes sont décédées depuis le début de l'épidémie.

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531 décès Covid-19 ces dernières 24H en France, le cap des 13000 en hôpital se rapproche

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Le ministère des Solidarités et de la Santé a publié son bilan quotidien des cas de covid-19 en France. Le pays compte 12900 morts en hôpital depuis le début de l’épidémie. Mais la baisse des hospitalisations et des réanimations se poursuit.
531 décès Covid-19 ces dernières 24H en France, le cap des 13000 en hôpital se rapproche

Comme chaque jour, le Pr Jérôme Salomon, directeur général de la Santé est venu présenter le bilan quotidien de l’épidémie. En France, 117.324 cas seraient confirmés selon les estimations de Santé Publique France. 30106 personnes sont actuellement hospitalisées pour infection au COVID-19. La baisse est de 478 par rapport à hier en tenant compte des sorties. 1885 nouveaux patients ont été hospitalisés ces dernières 24H. 

5433 patients dans un état grave sont en réanimation. Au cours des dernières 24H, 190 nouveaux malades ont été admis en réanimation. Le solde reste négatif depuis 13 jours : il est de 250 patients en moins en réanimation. 
 
81% de ces décès concernent des plus de 70 ans

Depuis le 1er mars, il est déplorer 20796 décès liés au COVID 19 en France : 12900 décès dans les hôpitaux et 7896 décès dans les établissements sociaux et médico-sociaux. 81% de ces décès concernent des plus de 70 ans. 531 personnes sont mortes ces dernières 24H en France.
 
Depuis le début de l’épidémie, 39181 personnes hospitalisées sont rentrées à domicile, sans compter les dizaines de milliers de personnes guéries en ville, sans passage par l’hôpital. 

Mortalité "toutes causes" : 17% de plus depuis le début de l’épidémie
 
Le Pr Jérôme Salomon a évoqué la mortalité "toutes causes" sur le territoire national qui est supérieur à celle attendue. Ainsi, le pays enregistre 17% de mortalité supplémentaire depuis le début de l’épidémie. Un chiffre qui est monté à 61% lors de la semaine 14 (du 30 mars au 5 avril) et à 47% en semaine 15 (du 6 au 12 avril).

Le directeur général de la santé a également confirmé que les soignants atteints par le virus seraient considérés comme maladie professionnelle. Aucune recherche sur l’origine de la contamination ne sera réalisée.


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La Réunion confinée - Interview de Brice Liie

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C'est depuis son fief de Dos d'Ane que Brice Liie nous livre ses "constatatures" sur le confinement. L'humoriste péi répond à nos questions en visio, dans "la frais les hauts !" où le confinement est sûrement moins difficile à supporter.
La Réunion confinée - Interview de Brice Liie


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