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[SONDAGE] Vous êtes 76% à être favorables au référendum pour les animaux

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Selon notre sondage Facebook, vous êtes 76% à être favorables à l'organisation d'un référendum sur les droits des animaux.
[SONDAGE] Vous êtes 76% à être favorables au référendum pour les animaux
Êtes-vous favorable à l’organisation d’un référendum pour les animaux ? C'est la question que nous vous avons posé sur Facebook il y a quelques jours. La réponse est "oui", dans une très large majorité. 76% des internautes ayant répondu au sondage se sont en effet montrés favorables, et 24% se sont prononcés contre. À l'échelle nationale, un sondage Ifop révélait que 73% des Français y étaient favorables.

Pour rappel, l'initiative baptisée "référendum pour les animaux " a été lancée par plusieurs grands patrons, personnalités et associations. Pour faire avancer la cause animale, ils ont décidé d'utiliser le RIP (referendum d'initiative partagée), cet outil permet aux citoyens de soumettre une proposition de loi par referendum, à condition de recueillir la signature de 4,5 millions de Français et le soutien de 185 parlementaires (à La Réunion, seuls Jean-Hugues Ratenon, Nassimah Dindar et Jean-Louis Lagourgue y ont pour l'instant officiellement adhéré au projet).
 
La proposition de loi prévoit six mesures :

- L'interdiction de l’élevage en cage (qui concerne en France 58% des poules pondeuses, 99% des lapins et la majorité des dindes, oies ou canards), avec 2025 comme date butoir

- L'interdiction des élevages à fourrure (date de butoir de 2025 également)

- La fin de l’élevage intensif, sachant que 95% des porcs sont élevés en bâtiments fermés sur caillebotis (sol grillagé) et plus de 85% des poulets de chair sont entassés par milliers dans des hangars. Le projet de loi prévoit que tout nouveau projet d’exploitation devra impérativement garantir la possibilité d’un accès quotidien au plein air, et l'interdiction de l’élevage en bâtiment fermé sans accès à l’extérieur en 2040.

- L'interdiction de la chasse à courre, du déterrage et des chasses dites "traditionnelles", jugées cruelles.

- L'interdiction des spectacles avec animaux sauvage. "Ces conditions de vie constituent une maltraitance, les animaux non domestiques ayant besoin de grands espaces pour répondre aux besoins naturels de leurs espèces", est-il indiqué.

- L'interdiction de l’expérimentation animale si des alternatives existent. L'expérimentation animale en France concerne près de 2 millions d'animaux (4 millions si l’on ajoute les animaux transgéniques).

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"J'ai choisi le Liban, ce n'est pas parce qu'il est malade que je vais le quitter"

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De nouvelles manifestations ont eu lieu ce dimanche au Liban. De nouveaux heurts ont éclaté dans le centre de Beyrouth et opposaient des manifestants aux forces de l'ordre pour la seconde journée consécutive, quelques jours après l'explosion meurtrière au port de la capitale libanaise. Franco-libanaise, Sabah Mallat nous commente les événements malheureux que traverse son pays depuis mardi dernier.
Bonjour Sabah, quelle est votre histoire avec le Liban ? Depuis combien d’années y vivez-vous ? Quels sont vos liens avec la France ? 

Je suis Sabah Mallat, libanaise mariée à Marcel Fournier et donc également française. Mon mari est né au Liban, de mère libanaise et de père français. Ce dernier est venu au Liban effectuer son service militaire à l’époque du mandat. Il s’y est tellement attaché qu’il n’a jamais voulu le quitter même aux heures les plus sombres de la guerre civile (1975-1990). Après quelques années d’expatriation en Arabie Saoudite et de séjour en France, je suis rentrée au Liban avec les enfants en 1993 pour la poursuite de leurs études. Aujourd’hui, mon mari, comme moi à la retraite, m’a rejoint et nous vivons, lui avec un titre de séjour, dans ce pays que nous aimons et où je continue à prendre soin de ma vieille mère. En conséquence, si je suis libanaise de naissance, je suis également française par mariage et surtout par attachement et par une passion indéfectible pour la France, passion née avec mon éducation, mes études et mes lectures.

Dans quel secteur de la ville habitez-vous ? 

Nous habitons à Baabda, banlieue surplombant Beyrouth. 

Racontez-nous, où étiez-vous lorsque l’explosion est survenue ? Quelle a été votre première réaction ? 

Mardi vers 18h nous étions chez nous lorsque la terre a tremblé. Nous avons pensé tout de suite à un séisme. Mais immédiatement une déflagration énorme, inouïe nous a précipités au balcon, craignant le pire. À l’instant même, l’aviation israélienne qui sillonne sans vergogne notre espace aérien a crevé le mur du son. Je tremblais croyant à un bombardement de Beyrouth et donc à la guerre !

Est-ce que c’est la crainte d’un attentat qui a aussi été évoquée ? 

Tout de suite les chaînes de télévision nous ont détrompés : une explosion énorme au port de Beyrouth. Ce sont des scènes d’horreur qui défilent avec leurs lots de morts horribles (sous les décombres, projetés dans la mer, pulvérisés avec leur voiture ou dans leur appartement..), de blessés hagards, éperdus, de parents cherchant leurs enfants, de biens éventrés, effondrés, d’hôpitaux dévastés, d’autres suppliant la Croix-Rouge de ne plus leur adresser de blessés, étant saturés. Visions apocalyptiques !

Décrivez-nous la situation

Une grande partie de la façade maritime de Beyrouth ainsi que la colline d’Achrafieh sont méconnaissables. C’est le chaos. Cependant, au cours d’une visite faite le lendemain mercredi 5, une lueur d’espoir est née en voyant tous ces jeunes venus immédiatement de tous les coins du Liban aider à dégager les rues des gravats, à mettre un semblant d’ordre dans les appartements sinistrés, à distribuer l’eau et la nourriture à ceux qui venaient de tout perdre. 

Quelle est votre impression vis-à-vis de la gestion de l’événement par les autorités ?

Le gouvernement jeune de quelques mois et sans véritable expérience politique est aux abois. Depuis la fin de la guerre civile (1990), le Liban a été dirigé par les seigneurs de la guerre. Une descente aux enfers qui, doublée d’une crise économique monstrueuse et une honteuse dévaluation de la livre libanaise, s’est accélérée récemment et a appauvri la classe moyenne et jeté les pauvres dans la misère. À la veille du 4 août, le Liban était au bord du gouffre et cette tragédie l’y a précipité. S’en relèvera-t-il ? Nous le croyons grâce à l’aide internationale et surtout à celle de la France du Président Macron.

Justement, quelle impression le président Emmanuel Macron a-t-il laissée auprès des Libanais ? Comment est perçu le rôle de la France par la population ? 

La visite du président Macron a été un bol d'air frais dans l'atmosphère irrespirable de Beyrouth. Son initiative de plonger dans le coeur de la ville meurtrie pour constater de visu l'immensité des dégâts et son immersion parmi les jeunes libanais qui s'y trouvaient afin de déblayer les routes et apporter leur aide aux sinistrés, a soulevé l'enthousiasme. Il a écouté avec bonté, compassion et grande compréhension leurs doléances, leurs cris de détresse, et a essayé avec le sourire de calmer l'agressivité de leur révolte contre une classe dirigeante corrompue qui, depuis trente ans, a pillé le pays et appauvri ses citoyens. Une jeune qui hurlait son désarroi en anglais a fini sanglotante sur son épaule. C'était bouleversant. M. Macron a pris les choses en main, a eu une réunion avec les différents représentants du pouvoir et promis une conférence internationale pour le Liban. La France joue le rôle de la "tendre mère" comme elle l'a souvent fait. 

Quelle est votre plus grande crainte pour les jours et semaines à venir ?

Les secours affluent, mais la tâche est immense et le Liban est exsangue. Les États-Unis vont-ils arrêter leur politique cynique et cruelle à notre encontre ? Rien n'est moins sûr ! Israël qui a versé des larmes de crocodile va-t-il nous laisser en paix, va-t-elle nous restituer nos territoires occupés et arrêter de convoiter notre part de la Méditerranée afin de ne plus donner de prétexte au Hezbollah de garder son arsenal ?

L’aggravation de la situation pourrait-elle vous inciter à quitter le Liban ? 

Quoi qu'il en soit, nous restons au Liban et reprenons à notre compte la déclaration du regretté papa de mon mari : "j'ai choisi le Liban quand il était en bonne santé, ce n'est pas parce qu'il est malade que je vais le quitter".

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AEIAR : Privée de son local, l’association ne peut plus nourrir les sans-abri

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Depuis 20 ans, l’association "Écouter Informer Aider Réunion" (AEIAR) vient en aide aux plus défavorisés. Installée rue Meziaire Guignard à Sainte-Clotilde, elle distribue dans ses locaux des colis alimentaires, et cuisine des repas qu’elle distribue aux sans-abri du coin. Mais depuis l’année dernière, une autre association s’est accaparé la plus grande partie des locaux, cuisine incluse. Il ne reste que 9 mètres carrés à l’association et ses 10 bénévoles pour stocker les aliments et recevoir les familles.
AEIAR : Privée de son local, l’association ne peut plus nourrir les sans-abri
Devant la porte de l’association AEIAR, une mère de famille vient récupérer un colis alimentaire. Sur le trottoir, aux yeux de tous les passants, elle déballe ses sacs réutilisables pour emporter conserves, pâtes, riz et autres denrées. Car depuis l’année dernière, l’association ne peut plus recevoir les bénéficiaires de ces colis dans l’intimité de ses locaux, faute de place.
 
Une autre association, "Les Pluies d’Or", dédiée aux personnes âgées, s’est accaparé la plus grande partie des locaux jusque-là mis en commun, ne laissant que 9 m2 à l’AEIAR pour stocker les dons alimentaires des grandes surfaces, et les denrées distribuées par la Banque Alimentaire des Mascareignes.
 
"Nous sommes obligés de ralentir les commandes parce que nous n’avons plus de place pour stocker toute la nourriture. Du coup on distribue aussi moins de colis", nous explique une bénévole.

AEIAR : Privée de son local, l’association ne peut plus nourrir les sans-abri
Le club de 3ème âge fait fermer le local par un agent de la commune
 
Tout bascule en février 2019, alors qu’un nouveau président est élu à la tête de l’association du club pour senior Les Pluies d’Or. C’est avec cette association que l’AEIAR et le club d’échecs également présent dans le bâtiment, se partageaient jusque-là un espace d’environ 130 mètres carrés, aménagé de placards, tables, chaises et d’une cuisine.
 
Mais voilà, suite à son élection, la nouvelle présidence s’arrange soudainement pour faire fermer le local en dehors de ses heures d’utilisation: "Nous avons été privés de cet espace suite à une prise de position du service pôle senior de la commune en faveur de l’association Les Pluies d’Or" affirme la bénévole, et ce malgré la mutualisation du local officialisée par les services municipaux en 2017.

AEIAR : Privée de son local, l’association ne peut plus nourrir les sans-abri
Des conséquences pour l’association et ses bénéficiaires
 
Les habitants les plus précaires du quartier sont depuis obligés de récupérer les colis alimentaires en pleine rue, devant tout le monde, alors que la démarche peut en embarrasser plus d’un.
 
Autres victimes collatérales, les sans-abri du coin, pour qui l’association organisait de grands repas plusieurs fois par an:
 
"Depuis l’année dernière, les repas en faveur des sans-abri n’ont pu être organisés sur site faute de moyens matériels: nous avons été privés d’accès à la cuisine qui se trouve dans le local, alors que nos marmites et notre matériel se trouvaient à l’intérieur."

AEIAR : Privée de son local, l’association ne peut plus nourrir les sans-abri
L’association lance un "un appel à l’aide désespéré"
 
L’AEIAR explique avoir épuisé tous les recours pour tenter d’obtenir à nouveau le partage du local nécessaire à son bon fonctionnement, et lance "un appel à l’aide désespéré pour ne pas abandonner ces personnes démunies de Sainte-Clotilde".
 
Pourtant en octobre 2019, après avoir été interpellée par l’association, l’ancienne mandature de Saint-Denis avait à nouveau donné un avis favorable au partage des locaux, dans une fiche de liaison officielle, datée et signée par la directrice de cabinet, l’élu délégué au patrimoine, l’élu délégué à la vie associative, l’élu de secteur, ainsi que la directrice générale adjointe au développement des territoires.
 
Celle-ci stipule clairement que l’AIEAR peut occuper l’espace de stockage, du lundi au vendredi de 8h à 12h, ainsi que l’espace d’activité du club senior les lundis, mercredis, et vendredis de 8h à 12h pole l’accueil du public. Mais rien n’y fait.
 
Sollicitée par les services municipaux pendant la crise covid, l’AEIAR a pu obtenir l’ouverture du local durant le confinement, pour distribuer des colis et des paniers fraîcheur dans des conditions optimales.
 
"Le 14 juillet dernier, l’adjoint de secteur a pris l’initiative de fermer à nouveau l’accès au local, et depuis, nous disposons d’un espace de 9 m2 dans lequel nous devons recevoir du public, stocker des vivres, et délivrer des colis… alors que nous touchons un public fragilisé, orienté chez nous par les services sociaux."
 
Les bénévoles sont dans la plus grande incompréhension. Comment peut-on mettre des bâtons dans les roues de ces personnes qui viennent en aide aux plus fragiles, gratuitement, durant leur temps libre, alors que la pauvreté est encore un fléau sur notre île ?
 
En attendant, l’association est toujours en contact avec la municipalité pour tenter de trouver au plus vite une solution.

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Cinor : Le premier pylône du téléphérique dressé

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C’est un grand jour pour la future ligne du téléphérique dionysien reliant les quartiers du Chaudron et Bois de Nèfles. Une visite de ce chantier a été organisée ce lundi par la Cinor, maître d’ouvrage de ce projet, en présence notamment de la maire de Saint-Denis Ericka Bareigts, des représentants de la Région, du Feder et autres financeurs. Une visite marquée par le levage du premier des 26 pylônes du tracé de cette première ligne du téléphérique urbain à Bois de Nèfles, sur le site d'accueil de la future gare.
Cinor : Le premier pylône du téléphérique dressé
Temps fort ce lundi lors de la visite de chantier du téléphérique urbain de la Cinor. Le premier des 26 pylônes du tracé de la première ligne a été levé à Bois-de-Nèfles, sur le site d'accueil de la future gare. Une opération précédée d'une visite des chantiers des cinq futures gares.
St-Denis: Pose de la première pierre du premier téléphérique public d'Outre-mer

Cette première ligne, Chaudron / Moufia / Bois-de-Nèfles sera connectée au réseau de transport Citalis existant, qui transporte déjà plus de 21 millions de voyageurs annuel. Elle tient également compte du futur projet de réseau ferroviaire qui desservira les trois communes de la Cinor et où des discussions sont en cours pour un tracé allant de Saint-Benoît à Saint-Denis.

Pour le reste, cette ligne du téléphérique s’inscrit dans le projet de Réseau Intégré de Transport Moderne, porté par la mairie de Saint-Denis (RITMO), qui comprend la création d’un réseau de cinq lignes téléportées desservant plusieurs quartiers des hauts et les mi-pentes en restant connecté au réseau du TCSP du centre-ville.

"La livraison de ce téléphérique Bois-de-Nèfles / Moufia / Chaudron est prévue pour le milieu d'année 2021", indique Mickaël Nacivet, chef de projet téléphérique pour la Cinor, précisant que la ligne de 2,7 km a pour but de relier ces quartiers via une centralité. "Les cabines vont passer toutes les 36 secondes en station, il n'y aura pas de temps d'attente", assure-t-il."Et ensuite, le temps de parcours sera garanti toutes les 3 minutes avant d'arriver à une nouvelle station".

La station de Bois-de-Nèfles est aujourd'hui la plus aboutie. Il reste encore à finaliser quatre autres stations (les terrassements et les fondations ont déjà été engagés) et la construction des 25 autres pylônes.
 

Cinor : Le premier pylône du téléphérique dressé

Cinor : Le premier pylône du téléphérique dressé

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Une quarantaine de CDI à pourvoir à la Sécu

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La Sécu recrute des technicien(ne)s, téléconseiller(ère)s et comptables.
Une quarantaine de CDI à pourvoir à la Sécu
Une quarantaine de postes sont à pourvoir à la CGSS de La Réunion. La majorité des CDI sont pour des postes de technicien(ne)s de sécurité sociale mais la CGSS cherche aussi à embaucher des téléconseiller(ère)s et deux comptables. 
 
Le cabinet de recrutement Alterego est chargé des recrutements via les sites Pôle Emploi, Cap Emploi, Linkedin et le site www.lasecurecrute.fr  pour les postes demandant une expertise métier institutionnelle. 

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Le Marché Péï est de retour Jeudi 13 août 2020

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Le Marché Péï est de retour Jeudi 13 août 2020
Ce Jeudi 13 août,
Le Marché Péï est de retour !

Rendez-vous de 7h à 13h, au Jardin de l’État à Saint-Denis !

Venez profiter des produits de qualité de nos agriculteurs : Légumes, fruits de saison, miel, produits transformés et potées fleuries.
Venez nombreux ce jeudi 13 août au Jardin de l’État !

Le Département soutient la Production Péï !

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Patrick Serveaux est candidat à la députation dans la 2ème circonscription

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Patrick Serveaux est candidat à la députation. L'homme, hôtelier et exploitant agricole, président de l'Union des Métiers et des Industries de l'Hôtellerie, se présente sans étiquette, s'affirmant "ni de droite, ni de gauche".
Patrick Serveaux est candidat à la députation dans la 2ème circonscription
Depuis quelques semaines, l'éventualité d'une candidature de Patrick Serveaux a fait couler de l'encre, c'est aujourd'hui une certitude, il se lance dans la course à la députation. Une candidature sans étiquette, car, nous affirme-t-il, "la dichotomie droite/gauche n'a plus de sens, on ne peut plus séparer l'économie du social". Candidature qu'il annoncera officiellement dans les jours prochains, accompagné de sa suppléante, dont, pour l'heure, il tait le nom.

Il fut longuement question d'économie dans l'entretien que l'entrepreneur nous a accordé. Patrick Serveaux estime qu'il faut un véritable "plan Marshall" pour l'Outre-mer, et en particulier pour La Réunion. Il s'agirait tout d'abord de relancer les économies du BTP et du tourisme, avec plusieurs mesures fortes, notamment un nouveau plan de défiscalisation et le prolongement des exonérations de charges patronales. "Le parc immobilier réunionnais fut essentiellement construit grâce à la défiscalisation, il est nécessaire de l'augmenter et de le rénover, les attentes des Réunionnais sont grandes", constate-t-il.

Sur le plan social, la solution passe essentiellement, selon lui, par la formation, qu'elle soit initiale ou continue, afin que les Réunionnais s'adaptent aux évolutions de l'emploi. En tant que président de l'Union des Métiers et Industries de l'Hôtellerie, l'homme se félicite d'un centre de formation à ouvrir très prochainement dans les hauts de Saint-Paul, afin que "les collaborateurs des cafés, hôtels et restaurants soient préparés à la transformation des métiers".

Le tourisme, une thématique qui colle à la 2ème circonscription 

Le sauvetage du tourisme, cheval de bataille de Patrick Serveaux, ferait l'objet d'un plan d'action particulier, afin de mettre en avant les Outre-mer. Il s'agirait, comme à l'île Maurice, que l'Etat et les collectivités territoriales mettent en place des subventions pour des "packages" avion-hébergement, afin de "donner plus de visibilité aux Outre-mer et de les favoriser", et éviter que les touristes français y préfèrent d'autres destinations, telles Saint-Domingue.

De plus, Patrick Serveaux souhaite que soit préservé du foncier à but d'hébergement touristique, en créant des zones réservées, comme pour l'agriculture. "Le tourisme risque de mourir de la crise du Covid, en l'absence d'une politique volontariste", s'inquiète-t-il, regrettant que la phrase du premier ministre "Je prends mes vacances en France", n'ait pas inclus l'Outre-mer.

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Des chiens renifleurs pour en finir avec la Covid-19 ?

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Avec 200 millions de cellules olfactives à l’intérieur de la truffe des chiens contre seulement 5 millions chez les êtres humains, les scientifiques espèrent combattre l’épidémie. Patrice Louaisel propose au préfet cette solution pour La Réunion.
Des chiens renifleurs pour en finir avec la Covid-19 ?
Des chiens sont formés à identifier l’odeur des explosifs, des stupéfiants, de l'argent…mais aussi de certaines maladies. Leur odorat inégalé a incité à mener des recherches avancées sur la détection du paludisme ou de cancers. Alors pourquoi ne pas utiliser la détection médicale par les animaux pour la Covid-19, interpelle Patrice Louaisel, psychologue et président de SOS Gramounes isolés en direction du préfet. 

À Strasbourg, trois chercheurs spécialisés dans les sciences de l'ingénieur, de l'informatique et de l'imagerie, la chimie ou encore virologue ont lancé le projet "COVIDOG". 

Le meilleur ami de l’homme devra être en capacité de détecter les cellules infectées à l’odeur. Le procédé existe déjà indique le journal du CNRS et a été développé en collaboration avec des startups strasbourgeoises sans risque de contamination pour les chiens et les tuteurs affirment l'équipe du projet "COVIDOG". L’entraînement par des maitres-chiens sapeurs-pompiers s’est déroulé avec des border collie et des bergers allemands. Une campagne de dépistage a également eu lieu en Corse sur le même principe. Les résultats sont attendus prochainement. 

"Ici à La Réunion, il suffirait de se procurer un ou deux chiens dressés à cet effet et de les positionner à l'aéroport, après la récupération des bagages, à côté des services de douanes pour repérer systématiquement tous les porteurs du COVID-19", propose Patrice Louaisel, "dès qu’il y aura des chiens disponibles".  

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Accident : Encore une voiture qui finit sur le toit

Un suspect en garde à vue pour la rixe mortelle de Langevin

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Les gendarmes ont interpellé un homme concernant la rixe mortelle qui a eu lieu hier dans le secteur de Langevin à Saint-Joseph.
Un suspect en garde à vue pour la rixe mortelle de Langevin
Un premier suspect a été interpellé par les gendarmes dans le cadre de l’enquête sur la rixe mortelle de Saint-Joseph dimanche 9 août. Il a été placé en garde à vue. Les enquêteurs vont tenter de définir son rôle dans la bagarre qui a coûté la vie à Yohan Payet, 20 ans. Aucune information judiciaire n’a été ouverte pour l’heure.

Selon les premiers témoignages, le Tamponnais avait tenté de séparer les belligérants avant d’être lui-même la cible de la sauvagerie de ses agresseurs. Le corps de la victime portait plusieurs traces de coups d’armes blanches. L’autopsie réalisée ce lundi donnera plus de précisions pour la suite de l’enquête.

Dans la journée d’hier, les gendarmes ont auditionné une trentaine de personnes afin de retracer le fil des évènements. D’après ces auditions, il ressort qu’un groupe de jeune aurait tenté de s’introduire dans la fête pour profiter de l’alcool. La tension serait alors montée entre le groupe de squatters et les invités. En tentant de s’interposer, le jeune y laissera la vie. Deux autres personnes sont gravement blessées.

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Coronavirus: Paris se masque en pleine vague de chaleur caniculaire

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Un homme et une femme portant un masque devant la Tour Eiffel à Paris le 11 mai 2020 - PHILIPPE LOPEZ / ©AFP

(AFP)

À l'instar des Belges ou des Espagnols avant eux, les Parisiens doivent porter le masque depuis lundi matin dans les quartiers les plus fréquentés de la capitale française dans l'optique de freiner un rebond du coronavirus, en dépit de températures caniculaires.

La mesure concerne plus d'une centaine de rues situées dans la quasi-totalité des arrondissements de la capitale. Il s'agit principalement des quais, des zones très touristiques comme la Butte Montmartre, de rues commerçantes ou festives.

"Dans telle rue on le porte, dans telle autre non ! Vous croyez qu'on a tous un plan de Paris en tête ? Et ces pauvres touristes, déjà qu'on n'en a pas beaucoup, ils ne vont rien comprendre !", s'emporte Didier, cafetier rue du Faubourg Saint-Denis.

Mais même si beaucoup râlent, globalement, dans plusieurs des zones concernées, le masque était lundi matin nettement plus visible que les jours précédents, a constaté une journaliste de l'AFP. 

Prévue pour une durée d'un mois renouvelable, cette mesure doit permettre selon les autorités sanitaires d'enrayer un rebond du virus qui fait craindre une deuxième vague de l'épidémie.

Pour certains, cette obligation, décidée au moment d'une vague de chaleur, tient de la punition. Camille, 24 ans, vendeur pour l'été dans un magasin bio de la capitale, rumine. "Imposer maintenant le port du masque en extérieur, en plein mois d'août, en pleine canicule, alors que ça aurait pu être fait il y a des mois, c'est tout simplement ridicule".

- "Encerclée" -

En rendant le port du masque obligatoire, Paris emboîte le pas à d'autres villes françaises à l'image de Nice, Marseille ou encore Lille, mais également d'autres pays comme la Belgique, la Roumanie, ou encore la quasi-totalité de l'Espagne qui depuis fin juillet ont musclé leurs mesures sanitaires.

De son côté, l'Italie s'inquiète de la situation chez ses voisins européens. "France, Espagne, Balkans: l'Italie est encerclée par les contagions", met en garde lundi le quotidien Il Corriere della Sera. 

L'Italie a enregistré dimanche deux morts, bilan le plus bas depuis le 21 février, date des premiers morts dans le pays. Si le chiffre des nouveaux cas est moins bon (+463 en 24 heures), la situation reste sous contrôle, selon les autorités.

La journée de lundi sera également marquée par la réouverture des restaurants, cinémas et transports publics au Pakistan et par la rentrée scolaire à Berlin, où élèves et enseignants devront porter le masque, à l'exception des salles de classe et cours de récréation. 

Aux États-Unis, où le débat autour de la question du port du masque continue de faire rage et de diviser les Américains comme la classe politique à trois mois de l'élection présidentielle, l'épidémie continue sa progression meurtrière. 

Selon le décompte de l'université Johns Hopkins, qui fait référence, la première puissance économique mondiale est de loin la plus touchée avec plus de 162.000 morts et a franchi dimanche la barre des cinq millions de cas officiels de contamination.

Au Brésil, deuxième pays le plus touché au monde, le seuil des 100.000 morts a été passé dimanche, déclenchant sur les réseaux sociaux une vague de messages de solidarité envers les familles endeuillées mêlées à des critiques acerbes du gouvernement.

"Le Brésil en deuil. Un génocide provoqué par un gouvernement d'incompétents et d'irresponsables", a ainsi taclé Ciro Gomes, troisième de l'élection présidentielle de 2018 et représentant du Parti démocrate travailliste (centre-gauche).

Face aux critiques, le président Jair Bolsonaro s'est contenté de poster un tweet mettant en valeur les personnes rétablies et de célébrer une victoire de son équipe de football préférée.

- "Comme prévu" -

Au Venezuela, l'escalade du nombre de cas de coronavirus a conduit dimanche le président Nicolas Maduro à proroger pour 30 jours l'"état d'alerte" qui l'autorise à prolonger la quarantaine qui est en vigueur depuis mars. 

Selon les derniers chiffres officiels, 25.805 cas de contamination et 223 décès ont été recensés depuis mars dans ce pays de 30 millions d'habitants, un bilan qui selon plusieurs ONG serait en réalité beaucoup plus élevé.

Depuis son apparition en décembre en Chine, le coronavirus a tué près de 730.000 personnes et en a contaminé plus de 19 millions dans le monde, selon un comptage réalisé dimanche par l'AFP à partir de sources officielles.

Au-delà de ses conséquences sanitaires, l'épidémie a mis à mal l'économie mondiale, ravivé des lignes de fracture et des inégalités sociales et bousculé calendriers culturels et sportifs. 

Interrompue par la pandémie, la Ligue des champions devait connaître son dénouement lors d'un "Final 8" inédit organisé à Lisbonne à partir de mercredi. 

Mais l'annonce de deux cas de coronavirus au sein de l'Atlético Madrid jette une ombre sur la compétition même si l'UEFA a annoncé lundi que le quart de finale contre les Allemands du RB Leipzig était "programmé comme prévu".

burx/mp/ybl/mm



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Gendarme traîné : Le fuyard en détention dans l'attente de son jugement

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Après une dizaine de jours de cavale, le conducteur ayant trainé un gendarme lors d'un contrôle au niveau de la médiathèque Cimendèf à Saint-Paul le 27 juillet dernier a été interpellé ce samedi vers 2h du matin. Après une enquête minutieuse, les gendarmes, qui connaissaient son identité, avaient resserré l'étau autour du fuyard. Il a été interpellé à Saint-Gilles non loin des établissements de nuit avec le renfort de l’antenne locale du GIGN.
Gendarme traîné : Le fuyard en détention dans l'attente de son jugement
Suite au contrôle routier qui a dégénéré lundi 27 juillet après-midi à Saint-Paul, le conducteur, qui a refusé de se soumettre au contrôle et traîné un gendarme sur plusieurs mètres est présenté ce lundi. Il avait ensuite pris la fuite à bord du Range Rover signalé volé. Légèrement blessé mais particulièrement choqué, le militaire est sorti de l'hôpital le lendemain. 

Le véhicule était retrouvé dans l'Ouest, mais aucune trace du conducteur. Suite au déploiement d'un dispositif par les forces de gendarmerie, le fuyard a été finalement appréhendé dans la nuit de vendredi à samedi dernier et placé en garde à vue. Déféré le samedi soir au tribunal judiciaire de Saint-Denis, le juge des libertés et de la détention le plaçait en détention provisoire dans l'attente de sa comparution immédiate ce lundi. 

Mis en examen pour des faits de recel, violence aggravée par deux circonstances suivie d'incapacité n'excédant pas 8 jours, rébellion, conduite d'un véhicule sans permis et dégradation de bien destiné à l'utilité publique, l'homme est défavorablement connu de la justice. Son casier judiciaire comporte en effet déjà 13 mentions. 

L'avocat du jeune homme a demandé un délai afin de préparer sa défense. L'audience a été renvoyée au 7 septembre. Dans l'attente du jugement, le jeune homme a été placé en détention. 

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15 août: les foulées semi-nocturnes de Saint-Leu 2020

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15 août: les foulées semi-nocturnes de Saint-Leu 2020
L’Athlétisme Club Olympique Saint-Leu , club d’athlétisme de la ville organise le samedi 15 Aout 2020 Les Foulées semi-nocturnes.La course de 10 kilomètres dans le centre ville, correspondant à trois boucles, est ouverte aux licenciés FFA et aux non licenciés. L’horaire de départ de la course est fixé à 17h devant l’hôtel de ville pour une arrivée au stade de football du centre-ville Christol Marivan où sera organisé la remise des dossards le jour même de 10h à 16h.
 
Les règles de distanciation sont prévues, avec notamment le port de masque par les coureurs au retrait des dossards, au départ et à l’arrivée de la course. Le seul ravitaillement aura lieu à l’arrivée : course en autonomie d’eau. Les concurrents doivent s’inscrire sur www.sportpro.re ou par téléphone au 06 92 07 67 52. La circulation sera modifiée.
 
INFOS ROUTE
 
Par arrêté municipal, afin de permettre le déroulement de la course, la circulation sera interdite de 15h00 à 20h00 dans les rues Général Lambert, du lagon, de l’Océan, du boulevard Bonnier, de la Compagnie des Indes, rues Valdec Rousseau, Archambaud et Saint-Michel. Le stationnement sera interdit de 15h00 à 20h00 dans les rues Général Lambert, de l’Océan, de la Compagnie des Indes et sur le boulevard Bonnier.
 
Un sens unique de circulation sera instaurée dans le sens Nord/Sud du rond point Nord jusqu’à la rue Haute en passant par les rues de la Compagnie des Indes (côté mer), du boulevard Bonnier (côté mer), de l’Océan et côté montagne du Général Lambert.
 
Nous vous remercions pour votre compréhension.

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Coupure de courant dans des secteurs de Saint-Paul

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Coupure de courant dans des secteurs de Saint-Paul
EDF à la Réunion informe plusieurs clients de la commune de Saint-Paul, qu’ils seront concernés par une coupure d’électricité pour travaux ce jeudi 13 aout 2020 entre 8h30 et 16h30.
 
Les secteurs concernés:
 
  • Boulevard Leconte-de-Lisle
  • Rue des Taille Vent
  • Ruelle des Ajoncs
  • Ruelle des Bougainvilliers
  • Chemin Ker Anval
  • Chemin Lougnon
  • Impasse des Tamarins
  • Rue du Collège
  • Route du Maïdo
 
Pour davantage d’informations sur ces perturbations, merci de consulter le site  internet d’EDF.

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Français tués au Niger: le parquet antiterroriste ouvre une enquête pour "assassinats"

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La voiture calcinée où  huit personnes ont été tuées le 9 août 2020 dans la zone de Kouré (sud-ouest du Niger) - BOUREIMA HAMA / ©AFP

(AFP)

Le parquet national antiterroriste (Pnat) a annoncé lundi avoir ouvert une enquête pour "assassinats en relation avec une entreprise terroriste" et "association de malfaiteurs terroriste" après l'attaque dimanche au Niger, qui a fait huit morts dont six Français.

L'enquête "a été confiée à la Direction générale de la sécurité intérieure (DGSI), en co-saisine avec la Sous-direction anti-terroriste (Sdat)", a précisé le Pnat dans son communiqué, sans confirmer le nombre des victimes françaises.

D'après les autorités locales, six Français et deux Nigériens - leur chauffeur et un guide touristique - ont été tués lors de l'attaque à 60 km au sud-est de Niamey, dans une région boisée qui abrite les derniers troupeaux de girafes d'Afrique de l'ouest.

D'après les ONG Acted et Impact Initiatives, les victimes sont sept travailleurs humanitaires et leur guide.

Paris a confirmé que des Français avaient péri sans en préciser le nombre et annoncé que l'armée français apportait son appui aux troupes nigériennes après cette attaque, dénoncée comme "terroriste" par les présidents des deux pays.

Les meurtres n'ont pas été revendiqués, mais ils surviennent dans un pays régulièrement frappé par les groupes jihadistes sahéliens, dont l'Etat islamique au Grand Sahara (EIGS). 

"On ne connaît pas l'identité des assaillants mais ils sont venus à moto à travers la brousse et ont attendu l'arrivée des touristes", a indiqué une source proche des services de l'environnement.

Cette source a décrit à l'AFP les corps gisant, côte à côte, près d'un véhicule 4X4 à moitié incendié et aux portières ouvertes. Des traces de balles étaient visibles sur la vitre arrière du véhicule. L'un des corps était carbonisé. D'autres présentaient des blessures mortelles à la tête.

Présente au Niger depuis 2010 auprès des populations déplacées notamment à cause du conflit dans la zone Trois Frontières (Mali, Burkina Faso et Niger) et de la crise du Lac Tchad, Acted compte 200 salariés dans le pays, a précisé à l'AFP l'avocat de l'ONG, Joseph Breham.



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St-Joseph : Découverte macabre, la deuxième en trois jours

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Un corps sans vie a été découvert sans vie sur le front de mer de Cayenne à Saint-Joseph. Les pompiers et gendarmes sont sur place. C'est la deuxième découverte macabre en trois jours dans la ville.
St-Joseph : Découverte macabre, la deuxième en trois jours
Saint-Joseph s’invite malheureusement de la plus mauvaise des manières dans l’actualité. Un corps sans vie a été découvert cet après-midi sur le front de mer de Cayenne. Les pompiers et gendarmes sont sur les lieux pour comprendre les circonstances du drame.

Samedi, c’est au niveau de la Plaine-des-Grègues qu’une autre découverte macabre a été faite. Un quinquagénaire a été retrouvé mort dans son véhicule.

La commune est également endeuillée suite à la rixe mortelle qui s’est déroulée dimanche à Langevin. 

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Coronavirus: le point sur la pandémie

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Enterrement d'une victime du nouveau coronavirus, le 10 août 2020 à Jakarta. - ADEK BERRY / ©AFP

(AFP)

Nouveaux bilans, nouvelles mesures et faits marquants: un point sur les dernières évolutions de la pandémie de Covid-19 dans le monde.

- Plus de 731.000 morts dans le monde -

La pandémie a fait au moins 731.518 morts dans le monde depuis fin décembre, selon un bilan établi lundi par l'AFP à partir de sources officielles.

Près de 19,9 millions de cas ont été officiellement comptabilisés dans 196 pays et territoires, dont au moins 11,8 millions sont aujourd'hui considérés comme guéris.

Les Etats-Unis, qui restent le pays le plus endeuillé avec 162.938 morts, ont dépassé dimanche les 5 millions de cas confirmés de contamination.

Viennent ensuite le Brésil (101.049 morts), le Mexique (52.298), le Royaume-Uni (46.574) et l'Inde (44.386).

- Violences au Pérou -

Des indigènes furieux de la gestion gouvernementale de la pandémie de coronavirus ont attaqué un site exploité par une compagnie pétrolière canadienne en Amazonie péruvienne, où trois assaillants ont été tués lors d'affrontements avec la police, a annoncé dimanche le gouvernement.

- Paris se masque -

Les Parisiens doivent porter un masque depuis lundi matin dans plus d'une centaine de rues situées dans les quartiers les plus fréquentés de la capitale française, écrasée par une chaleur caniculaire.

Prévue pour une durée d'un mois renouvelable, cette mesure doit permettre selon les autorités sanitaires d'enrayer un rebond du virus qui fait craindre une deuxième vague de l'épidémie.

- Entreprises malmenées au Royaume-Uni -

Une entreprise sur trois au Royaume-Uni compte supprimer des emplois au troisième trimestre, selon une étude publiée lundi, faisant craindre une vague de plans sociaux dans le pays alors que le retrait du dispositif de chômage partiel est attendu dans quelques mois.

Au total, 33% des 2.000 employeurs interrogés s'attendent à licencier d'ici fin septembre, souligne cette étude de Chartered Institute of Personnel and Development (CIPD) et du groupe de travail temporaire Adecco.

- "Bulle" en Nouvelle-Zélande -

La Nouvelle-Zélande envisage de créer une "bulle" avec les petites Îles Cook pour favoriser les échanges entre les deux territoires, a annoncé lundi la Première ministre néo-zélandaise Jacinda Ardern.

Un tel corridor, où les déplacements seraient possibles sans qu'il y ait de quarantaine à faire, est envisageable grâce aux bons résultats des deux pays dans la lutte contre le Covid-19, a expliqué la dirigeante.

- RDC: reprise des cours -

Les écoliers et étudiants ont en partie repris lundi le chemin des classes, en République démocratique du Congo, après la fin de l'état d'urgence annoncée le 21 juillet.

La rentrée ne concerne que les élèves des dernières années de primaire et de secondaire, ainsi que ceux en cinquième année à l'université.

- Ligue des champions -

Le quart de finale de Ligue des champions entre les Allemands du RB Leipzig et l'Atlético Madrid est "programmé comme prévu" jeudi, malgré les deux cas de coronavirus au sein du club espagnol, a annoncé lundi l'UEFA.

burs-kd/mw/thm



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L'Île-de-France étouffe entre canicule et port du masque

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Des visiteurs devant l'entrée du Louvre le 6 août 2020 à Paris - STEPHANE DE SAKUTIN / ©AFP

(AFP)

Après un week-end étouffant, il va falloir encore supporter la chaleur jusqu'en milieu de semaine, tout en respectant l'obligation de porter le masque en extérieur, désormais imposée dans certains secteurs de la capitale et d'Ile-de-France au nom de la lutte contre le Covid-19.

Sur la carte de France, 15 départements sont toujours en alerte rouge canicule lundi. Il s'agit de l'ensemble de l'Ile-de-France et des Hauts-de-France, plus l'Eure et la Seine-Maritime. En outre, 54 sont en vigilance orange.

Et le bulletin de Météo-France de lundi est sans appel pour la région parisienne: "Episode caniculaire remarquable en terme d'intensité et de durée, particulièrement sensible dans les zones très urbanisées, le tout dans un contexte de sensibilité importante liée à la pollution à l'ozone et au Covid-19". Les températures en Île-de-France vont rester accablantes "au moins" jusqu'à mercredi, avec des maximales comprises entre 34 et 39°C par endroits.

"Le rafraîchissement est repoussé à jeudi prochain à Paris, qui vit sa semaine la plus épouvantablement chaude depuis 1873, hors août 2003", a twitté François Jobard, prévisionniste à Météo-France. Les villes de Rouen et Creil (Oise) ont ainsi connu de nouveaux records de chaleur pour un mois d'août avec 38,4°C et 39,3°C dimanche, a relevé son collègue Etienne Kapikian.

"L'épisode caniculaire se poursuit, faites attention à vous et à vos proches, a twitté le ministre de la Santé Olivier Véran. Buvez régulièrement de l'eau, mangez même si vous n'avez pas faim, limitez les efforts physiques. Soyons tous vigilants !"

Des conseils devenus presque banals alors que les épisodes de canicules se multiplient sous l'effet du réchauffement de la planète.

- "Pourquoi cibler cet endroit ?" -

Aux urgences, on voit des "patients âgés venir car ils sont déshydratés", constate sur CNews Philippe Juvin, chef des urgences de l'hôpital Pompidou à Paris. 

"Chaque année, il y a des problèmes de grippe en hiver, de canicule en été: nos sociétés ne savent pas s'adapter", déplore encore celui qui est aussi maire (LR) de la Garenne-Colombes (Hauts-de-Seine). Et de dénoncer la situation dans les Ehpad, où "on entasse les gens dans des petites chambres qu'on leur fait payer extrêmement cher".

S'ajoute à ce contexte de très forte chaleur une nouvelle contrainte: les masques, pour lutter contre le Covid-19, deviennent obligatoires en extérieur dans les lieux très fréquentés de plus en plus de villes. Depuis ce lundi, c'est au tour de certains endroits en région parisienne. 

Comme autour de la station de métro des Quatre Chemins, à Aubervilliers (Seine-Saint-Denis), très fréquentée, où pullulent les vendeurs de cigarettes à la sauvette. Mais personne n'était au courant de l'obligation lundi matin. 

Les questions affluent pour ceux qui apprennent la nouvelle. "Pourquoi cibler juste cet endroit là ? Si des tests montrent qu'on est plus susceptible d'être contaminé dans ce quartier, d'accord, sinon ça n'a pas de sens", lâche derrière son masque Sega Keita, habitant du quartier, qui travaille dans la restauration. "Pourquoi uniquement les Quatre Chemins ? C'est aberrant, dans cette ville il y a du monde partout", renchérit Nasser Hugga, employé de brasserie.

- Mettre le masque "partout" -

Kila Soumara, habitant du quartier, a lui "entendu au journal de 20h que ça allait être obligatoire dans certains quartiers" et "donc (l'a) mis ce matin". "C'est une bonne chose pour tout le monde, pour notre sécurité. Il y a beaucoup de monde ici", se félicite-t-il.

A Boulogne-Billancourt (Hauts-de-Seine), le port du masque est désormais obligatoire sur huit voies publiques. Boulevard Jean-Jaurès, concerné, Rahma a mis un masque par précaution: "j'ai entendu qu'il devenait obligatoire dans certaines rues à Paris et dans d'autres communes, donc dans le doute, je le porte". "A partir de maintenant, il vaut mieux l'avoir tout le temps, même avec la chaleur. Il y a toujours une bonne excuse pour l'enlever mais il faut s'adapter à la situation", juge-t-elle.

La capitale est également partiellement ciblée. Il est ainsi interdit de flâner sur les berges de la Seine, de se balader à Montmartre ou de faire du shopping dans les grandes rues commerçantes sans porter de protection sur le visage.

"C'est absolument incompréhensible (...) Je ne sais pas comment un Parisien va faire, il va sortir avec sa carte, là il doit le mettre, là le retirer... ", s'est étranglé Philippe Juvin en commentant la carte parisienne des zones à masques. 

L'absence des Champs-Élysées de cette obligation interroge. "Expliquez moi pourquoi!, lance le professeur de médecine. Les Champs-Élysées sont un haut-lieu touristique où tout le monde se presse..." 

Pour le chef des urgences de l'hôpital Pompidou, "si on prend la décision de mettre le masque à l'extérieur, il faut le mettre partout, malheureusement".

Philippe GRELARD avec les bureaux de l'AFP



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Nous sommes tous concernés !

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Nous sommes tous concernés !
Acteur impliqué dans la gestion des ports et de l’ouverture de notre île sur la mer, le TCO est particulièrement sensible à la pollution marine qui affecte les côtes de l’île Maurice. Les dégâts provoqués par l’échouage du Wakashio sont déjà importants et le risque d’une catastrophe écologique majeure semble se profiler. Nous sommes tous concernés.

  Tous les moyens nécessaires doivent être mobilisés pour éviter le pire.
 
  Je me félicite que l’aide de la France ait pu se déployer à partir de La Réunion et que joue pleinement la solidarité vis à vis de l’île sœur.

S’agissant de notre île, une réflexion doit être menée sur les conditions de transit des vraquiers ou des pétroliers, vecteurs potentiels de pollution, dans notre voisinage.

D’ores et déjà, toutes les mesures de prévention doivent être prises par les autorités.

Sur le fond, tant que les économies seront dépendantes des hydrocarbures, nous serons exposés à des périls écologiques, mettant en danger la biodiversité.

Pour l’instant, l’heure est à la solidarité et à la mobilisation pour éviter le scénario catastrophe.

Emmanuel Séraphin, Président du TCO

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"Mailler le téléphérique avec d'autres modes de transport"

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Après la pose ce lundi du premier pylône du tracé de la future ligne du téléphérique urbain reliant les quartiers du Chaudron et de Bois de Nèfles à Saint-Denis, la Cinor et la mairie de Saint-Denis comptent sur cette infrastructure mais aussi d'autres projets comme le futur TAO pour faire changer le logiciel de la mobilité sur le territoire du dionysien, à la limite du coma circulatoire aux heures de pointe. "Avec un tel téléphérique, nous donnons une autre dimension à tous les quartiers et nous faisons du lien social", indique la maire du chef-lieu, Ericka Bareigts.
Cinor: Le premier pylône du téléphérique dressé

L'édile dionysienne n'est pas peu fière de la livraison de ce premier pylône, presque trois ans après la signature du marché, attribué au groupement FILAO (composé notamment du leader mondial du transport par câbles, le groupe français Poma, mais aussi des acteurs locaux comme ISR, SOGEA, Sodiparc et des cabinets d’architecture locaux). "Demain avec ce téléphérique, il faudra environ 13 minutes pour rejoindre Bois de Nèfles au Chaudron. Il transportera également 6 000 passagers en plus de créer du lien social et de l'activité économique puisque autour de ces stations se trouveront commerces ou encore des éco-boxes", argue Ericka Bareigts,

La maire de Saint-Denis voit dans les téléphériques dionysiens d'excellents catalyseurs d'aménagements. "Nous avons au Moufia un centre commercial qui va se créer juste à côté du téléphérique et nous avons déjà l'IRSAM en médico-social. Au Chaudron, où sortent un gymnase et une médiathèque, on pourra notamment faire une requalification économique. Nous allons pouvoir développer et accueillir d'autres initiatives économiques puisque les quartiers deviennent accessibles", explique l'ancienne MOM:

Ericka Bareigts n'est pas la seule à attendre impatiemment la livraison de ce premier urbain d'Outre-mer. Son homologue de Sainte-Suzanne et président de la Cinor, Maurice Gironcel, voit même au delà du téléphérique, "qui n'est pas une fin en soi mais qui fait partie d'un ensemble de transports comme les taxis ou les bus qui doivent s'agglomérer à ces nouveaux modes de déplacements".

 

La Sodiaparc, qui gère le réseau Citalis sur les territoires allant de Saint-Denis à Sainte-Suzanne, et qui fait partie du groupement FILAO en charge de l'exploitation de ce téléphérique, assure que ce nouveau moyen de mobilité sera accessible au plus grand nombre au niveau des tarifs. "Étant un réseau intégré, le ticket de bus actuel, le moins cher de l'île et qui est de 1€ à l'unité ou à 0,76 cts € l'unité en achetant un carnet de 10, permettra de prendre à la fois le bus, demain le téléphérique et après-demain le tramway. Il y aura un titre unique pour l'ensemble du réseau", explique le patron de la Sodiparc:


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