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Lycéen, Lycéenne, La Région lance l’aide spéciale COVID

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Lycéen, Lycéenne, La Région lance l’aide spéciale COVID

RENTRÉE 2020-2021

L’aide spéciale COVID : c’est quoi ?


  C’est une aide d’un montant forfaitaire de 120 €
allouée par la Région Réunion aux familles pour les accompagner dans les frais liés à la scolarité de leurs enfants (manuels scolaires, équipements de sécurité sanitaire, équipements liés à la filière...).
 

Qui peut en bénéficier ?


L’aide spéciale COVID est délivrée, sans conditions de ressources aux élèves scolarisés de la seconde à la terminale dans un établissement public ou privé de La Réunion.
 

Comment en bénéficier ?


Renseigner le formulaire de demande « Aide spéciale COVID » directement via le formulaire en ligne ci-dessous complété des pièces demandées.

Se munir des pièces suivantes :

- Copie de la carte d’identité, du passeport ou du certificat de nationalité du représentant légal et de l’enfant.
- Certificat de scolarité ou attestation d’inscription de l’élève pour l’année 2020-2021
- Relevé d’identité bancaire du représentant légal ou de l’élève, si majeur et pour les élèves mineurs, l’accord du représentant légal le cas échéant.
 
 

Comment l’aide me sera versée ?


Le paiement de l’aide sera effectué directement sur le compte bancaire du représentant légal ou de l’enfant majeur après réception de l’ensemble des pièces indiquées ci-dessus.
 
 

Où me renseigner ?


Auprès de :
- l’Animateur POP de votre lycée,
- la Direction de l’Éducation de la Région
Tél : 0262 94 46 11 - 0262 94 46 05

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Covid-19 : Des enfants d'un centre aéré dionysien dépistés

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Des dépistages sont organisés ce jeudi matin dans le Bas de la Rivière à Saint-Denis. Une opération menée suite à un test positif au Covid-19 d'un animateur du centre aéré de Reydellet.
Covid-19 : Des enfants d'un centre aéré dionysien dépistés
"Nous avons été contactés hier par l'ARS concernant cette opération de dépistage ce matin dans le Bas de la Rivière pour un certain nombre d'enfants et de familles qui ont été dans un centre de vacances", indique ce jeudi matin un des médecins mobilisés. 

Suite à la détection d'un cas positif de Covid-19 au sein du centre aéré de Reydellet, dans le cadre du dispositif vacances apprenantes, l'ARS a déployé un dispositif de dépistage ciblé ce jeudi matin. Plusieurs enfants et personnels ont été invités à se faire dépister. "Notre dernier contact rapproché avec cette personne remonte à jeudi après-midi (la semaine dernière ndlr)", explique Carine, une des animatrice au sein de l'association concernée. "Au sein de l'école, on a mis en place les gestes barrières, les masques aux âges imposés, du gel hydroalcoolique, plusieurs prises de températures", détaille-t-elle toutes les mesures mises en place au sein du centre. 

Pour rappel, l'ARS annonçait ce mardi l'identification d'un cluster, un foyer de cas de coronavirus suite à un événement familial à Saint-Denis. Une procédure spécifique de contact tracing a été lancée et a permis d’identifier parmi les cas contacts potentiels 10 employés de mairie annexe, 10 animateurs d'un centre aéré ainsi que les familles des 41 enfants ayant fréquenté le centre aéré pendant la période de contagiosité.

Sur des images de Samuel Irlepenne


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Liban: le Parlement doit entériner l'état d'urgence à Beyrouth sinistrée

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Beyrouth, le 12 août 2020, huit jours après une explosion meurtrière et dévastatrice - - / ©AFP

(AFP)

Le Parlement libanais se réunit jeudi pour entériner l'état d'urgence décrété à Beyrouth après l'explosion meurtrière et dévastatrice au port, qui a alimenté la rage de l'opinion publique contre une classe politique jugée responsable du drame en raison de son incurie.

Plus d'une semaine après la tragédie du 4 août ayant fait 171 morts et plus de 6.500 blessés, les visiteurs étrangers se succèdent à Beyrouth, où sont attendus jeudi la ministre française des Armées, Florence Parly, et le sous-secrétaire d'Etat pour les Affaires politiques David Hale, numéro trois de la diplomatie américaine.

Dans un Beyrouth sinistré, où des quartiers entiers ne sont plus que des ruines chancelantes, des appels à manifester ont circulé jeudi sur les réseaux sociaux pour empêcher la tenue de la séance parlementaire, qui doit s'ouvrir à 11H00 (08H00 GMT) dans un palais des congrès de la capitale.

"Vous nous avez tués! Partez! Nous allons descendre empêcher les criminels de se réunir", peut-on lire dans les messages de la contestation circulant en ligne.

Le drame du 4 août, catastrophe de trop pour des Libanais déjà éreintés par une crise économique, a relancé un mouvement de contestation déclenché à l'automne 2019 contre l'intégralité de la classe politique, accusée de corruption et d'incompétence, et aujourd'hui jugée directement responsable de l'explosion de par sa négligence.

Toute la République était au courant, parfois depuis des mois, voire des années, de la présence dans un entrepôt du port de tonnes de nitrate d'ammonium, et ce depuis six ans, de l'aveu même de certains responsables et selon des sources sécuritaires.

Au lendemain du drame le gouvernement avait décrété l'état d'urgence pour deux semaines. Or pour toute période dépassant huit jours, le Parlement doit donner son accord, selon l'ONG Legal Agenda.

- "Empêcher les rassemblements" -

Le gouvernement avait précisé qu'en vertu de l'état d'urgence, un pouvoir militaire suprême serait chargé des prérogatives en matière de sécurité.

Pour l'ONG Legal Agenda, une telle mesure pourrait "porter atteinte à la liberté de manifester" et permettrait à l'armée "d'empêcher les rassemblements considérés comme une +menace à la sécurité+".

L'état d'urgence pourrait également "élargir la compétence des tribunaux militaires sur les civils pour les +crimes liés aux atteintes à la sécurité+", estime l'organisation.

L'armée pourrait aussi "assigner à domicile toute personne engagée dans des activités considérées comme des +menaces pour la sécurité+", craint l'ONG.

La séance de jeudi sera boycottée par les Forces libanaises. Ce poids lourd traditionnel de la vie politique est opposé au gouvernement du Premier ministre, Hassan Diab, qui a démissionné lundi, après avoir été formé par un seul camp politique, celui de l'influent Hezbollah chiite et ses alliés.

Une grande partie des Libanais n'ont que faire du gouvernement et des tractations souvent interminables enclenchées pour trouver un successeur à M. Diab.

En colère, ils réclament le départ du président Michel Aoun, du chef du Parlement, l'indéboulonnable Nabih Berri, des députés et de tous ces dirigeants en place depuis des décennies. Près d'une dizaine de députés sur les 128 ont déjà annoncé leur démission.

Ces derniers jours des heurts ont secoué les abords du Parlement à plusieurs reprises, les forces de l'ordre tirant des gaz lacrymogènes contre des manifestants jetant des pierres.

Après l'explosion du 4 août l'enquête se poursuit. Dès vendredi, le parquet va interroger plusieurs ministres, anciens et actuels, au sujet des quelque 2.750 tonnes de nitrate d'ammonium stockés au port.

Plus d'une semaine après le drame se sont les habitants, des jeunes volontaires et des ONG qui mènent les efforts sur le terrain, déblayant les décombres et distribuant des aides.

L'opinion publique fustige l'inertie des autorités, pas assez mobilisées face à l'ampleur du cataclysme.

Tony GAMAL-GABRIEL



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Coups de feu au Chaudron : Le blessé grave est décédé à l'hôpital

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Un homme, muni d'une arme à feu, avait fait 3 blessés dont un grave, le dimanche 21 juin dernier, jour de la fête des pères, aux alentours de midi dans le quartier du Chaudron. L'homme qui s'était enfui après son acte, s'était rendu après 5 jours de cavale. Le blessé grave, qui était resté hospitalisé depuis son agression, est décédé ce mercredi matin.
Coups de feu au Chaudron : Le blessé grave est décédé à l'hôpital
Plusieurs coups de feu avaient retenti vers midi dans le quartier du Chaudron, rue de la piscine le jour de la fête des pères. Selon les premiers éléments, une altercation entre deux jeunes a dégénéré. L'un des protagonistes, muni d'un fusil, était venu pour se venger.  

Sans aucun rapport avec le conflit, 3 personnes ont été blessées, dont une grièvement. Elle avait dû être médicalisée sur place. Les blessés, âgés de 67, 58 et 54 ans avaient été transportés à l’hôpital. L'auteur présumé des coups de feu s'était rendu aux forces de l'ordre le jeudi 25 juin, après 5 jours de cavale. Il avait été placé en garde à vue, puis en détention provisoire. 

Selon nos informations, le blessé grave est décédé à l'hôpital ce mercredi 12 août. Une autopsie doit déterminer la cause du décès. Le résultat de l'autopsie sera déterminant pour la suite de l'enquête. Si le décès venait à être lié aux coups de feu, le mis en cause pourrait être poursuivi pour assassinat. 

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Recherché depuis un an, il va purger 16 mois pour violences et vol

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Jordan F. a 27 ans, depuis le mois d'août 2019, il est sous le coup d'un mandat d'arrêt pour exécuter une peine de 12 mois de prison. Avant même le début de cette audience de comparution immédiate, il sait qu'il dormira en prison ce soir après pratiquement un an de cavale. À sa décharge, il ne le savait pas, car à l'époque, il ne s'était pas présenté à l'audience.
Recherché depuis un an, il va purger 16 mois pour violences et vol
Profitant de l'interpellation de Jordan F. par les gendarmes, le parquet a décidé de le présenter ce lundi en comparution immédiate pour des faits remontant au 20 décembre 2018. Ce jour-là, il avait été violent avec sa petite amie. D'un tempérament jaloux, il n'avait pas apprécié que celle-ci refuse de le voir la veille au soir. Il l'avait attendue devant son travail et s'était introduit dans son véhicule sans y être invité. La jeune femme, qui devait embaucher, avait été contrainte par la force à rester dans le véhicule. Elle avait dû sortir de la voiture en marche pour pouvoir s'enfuir et déposer plainte. 

Jordan F. était alors parti avec la voiture chez la demoiselle au prétexte de récupérer ses affaires. Il avait laissé la voiture devant chez elle, moteur tournant avant de quitter les lieux. La jeune fille, en plus du vol de la voiture, avait déclaré que son sac à main, 20€ et son iPhone 5 avaient également disparu. Les gendarmes avaient alors recherché le prévenu en août 2019, mais le jeune homme était introuvable.

Finalement interpellé ces derniers jours, Jordan F. a été poursuivi pour des faits de violences, de vol, et de conduite sans permis malgré l'ancienneté des infractions. Peu loquace et coopératif à la barre, ses rares explications sont "j'assume ce que j'ai fait, mais je n'ai pas pris le téléphone et les 20€. J'ai laissé la voiture, peu être que quelqu'un les a pris". 

"Il vole la voiture et en plus, il conduit sans permis"

Pour la procureur, les choses sont claires : "Ce sont des faits anciens, car nous avons eu du mal à mettre la main sur lui. Ce jour-là, il fait une crise de jalousie et l'agrippe de force pour la maintenir contre son gré dans la voiture. Il vole la voiture et en plus, il conduit sans permis. Je demande 4 mois de prison assortis d'un mandat de dépôt et 1000€ d'amendes"

"Il n'est pas responsable de la lenteur de la procédure, 4 mois de prison en plus ce n'est rien pour nous, mais pour lui c'est énorme. Le vol ? Il a laissé la voiture et les clés dessus, il n'y a pas d'intention de vol. C'était la fin de leur relation, il voulait récupérer ses affaires. Il n'y a pas la preuve de qui dit la vérité, il n'y a rien dans ce dossier ! Je vous demande la relaxe pour les faits de vol" plaide la défense.

Après délibération, la présidente rappelle que le fait d'utiliser un objet sans l'accord du propriétaire est considéré par la loi comme un vol ! Elle prononce une peine de 4 mois de prison assortie d'un mandat de dépôt. Jordan F. purgera une peine totale de 16 mois de détention. 


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France: le taux de chômage baisse mais la crise de l'emploi est bien là

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Le taux de chômage en France a diminué de 0,7 point au deuxième trimestre, à 7,1%, une

(AFP)

Le chômage en France a diminué au deuxième trimestre, une baisse en "trompe l'oeil" liée au confinement qui a empêché des personne de chercher un emploi, mais la crise est bien là, avec notamment une chute du nombre d'heures travaillées, selon l'Insee

Le taux de chômage en France a diminué de 0,7 point au deuxième trimestre à 7,1%, selon les chiffres publiés jeudi. Déjà au premier trimestre, le taux de chômage avait reculé de 0,3 point, à 7,8%.

Ces reculs "en trompe l'oeil", selon l'Insee, sont inhérents à la définition même du chômeur au sens du Bureau international du travail (BIT), traditionnel thermomètre mesurant le taux de chômage. 

Pour être chômeur au sens du BIT, il faut avoir 15 ans ou plus, être : sans emploi pendant la semaine de référence; disponible pour travailler dans les deux semaines à venir; avoir effectué au cours des quatre dernières semaines une démarche active de recherche d'emploi ou trouvé un emploi qui commence dans les trois mois.

Selon cet indicateur, le nombre de chômeurs a ainsi diminué de 271.000, à deux millions de personnes entre avril et juin.

Toutefois, d'autres données publiées jeudi par l'Institut de la statistique "décrivent bien l'ampleur de la crise", souligne Sylvain Larrieu, de l'Insee, citant les chutes à des niveaux record du taux d'emploi et du nombre d'heures travaillées, ou encore la hausse à une échelle inédite du "sous-emploi".

"Le confinement a mis en inactivité forcée toute une partie de la population, que ce soit des personnes en emploi ou des personnes sans emploi", rappelle-t-il, quelques jours après que l'Insee a annoncé la destruction de plus de 600.000 emplois au premier semestre dans le secteur privé, à cause de la crise du coronavirus.

Le taux d'emploi des 15-64 ans a diminué de 1,6 point, à 64,4 %, son plus bas niveau depuis début 2017. La baisse est particulièrement marquée pour les jeunes de moins de 25 ans, de -2,9 points à 26,6%, un plus bas historique depuis que l'Insee le mesure (1975).

- 'Déflagration massive' -

Le "sous-emploi", qui concerne des personnes employées à temps partiel qui souhaiteraient travailler davantage, a bondi à 20% des personnes en emploi, soit 12 points de plus qu'au premier trimestre, "un niveau inédit" depuis que l'Insee mesure cet indicateur (1990).

Conséquence du fort recours au chômage partiel, le nombre moyen d'heures hebdomadaires travaillées par emploi a reculé de 12,9% par rapport au premier trimestre et de 18% sur un an.

Le "halo autour du chômage", soit les personnes sans emploi qui en souhaitent un mais qui ne satisfont pas tous les critères du BIT pour être considérées comme chômeurs, traduit aussi la crise: "parmi les personnes inactives au sens du BIT, 2,5 millions souhaitent un emploi", en hausse de 767.000 par rapport au premier trimestre.

La part du halo dans la population des 15-64 ans s'établit à 6% au deuxième trimestre, "son plus haut niveau" depuis que l'Insee le mesure (2003).

En prenant en compte le taux d'emploi et le halo autour du chômage, "on a un tiers de la population en situation de travailler qui est inactive, alors qu'on est traditionnellement à 11-12%. C'est une déflagration massive", commente Mathieu Plane, économiste à l'Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE). 

Il s'attend à une hausse du taux de chômage au 3e trimestre, "s'il n'y a pas un reconfinement, avec des personnes en recherche d'emploi qui vont basculer du halo vers le chômage".

Bertille OSSEY-WOISARD



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Cluster de Covid-19 à St-Denis : Ericka Bareigts va annoncer "des mesures exceptionnelles"

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​Suite à la découverte d'un cluster de Covid-19 sur le territoire dionysien, et en concertation avec l'ARS et la préfecture, la ville de Saint-Denis va mettre en place des "mesures exceptionnelles". Ericka Bareigts tiendra une conférence de presse cet après-midi.
Cluster de Covid-19 à St-Denis : Ericka Bareigts va annoncer
Suite à la découverte d'un cluster de Covid-19, par l'ARS, à Saint-Denis, Ericka Bareigts, maire du chef-lieu tiendra une conférence de presse ce jeudi après-midi.

Il sera question de "présenter les mesures exceptionnelles qui seront prises  dans le cadre de cette crise sanitaire sur la commune de Saint-Denis", indique la municipalité.
Covid-19 : Des enfants d'un centre aéré dionysien dépistés
Cluster à St-Denis : Les personnes contact dépistées ces jeudi et vendredi
Cluster de Covid-19 à St-Denis : 16 nouveaux cas confirmés au sein du foye

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L’office de tourisme de l’Île Maurice fait le point sur la situation du Wakashio

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Lors d’une conférence de presse en début de soirée, le Premier ministre et président du comité de crise, Pravin Jugnauth, a annoncé que la quasi-totalité de l’huile lourde qui était à bord du Wakashio avait été pompée. Les opérations de sauvetage ont donc réussi à prévenir une catastrophe écologique beaucoup plus grave, a ajouté le Premier ministre.
L’office de tourisme de l’Île Maurice fait le point sur la situation du Wakashio
Au moment où il parlait, sur les 4 180 tonnes métriques d’huile lourd, 3 184 avaient été retirées des citernes du vraquier, 166 tonnes étaient toujours en cours de prélèvement. 570 mètres cube d'hydrocarbures déversés et 150 tonnes de déchets avaient aussi été pompés hors des lagons. Les fissures sur la coque du vraquier se sont aggravées et il semble maintenant encore plus probable que le navire se brise en deux bientôt.
 
Par ailleurs, des membres du corps diplomatique se sont réunis aujourd'hui au ministère des Affaires étrangères et sont venus de l’avant pour aider Maurice à surmonter ses défis écologiques, en fournissant de l’expertise et des équipements anti-pollution.

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St-Denis : L'opposition demande à Ericka Bareigts d'imposer le port du masque dans les rues

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Alors qu'une conférence de presse de la maire de Saint-Denis est prévue ce jeudi après-midi, suite à la détection d'un cluster de covid-19, l'opposition demande à Ericka Bareigts "de fermer immédiatement les services administratifs de la mairie de Saint-Denis dans lesquels des cas contacts sont repérés". L'opposition réclame également le port du masque "dans toutes les rues de Saint-Denis". Voici son communiqué :
St-Denis : L'opposition demande à Ericka Bareigts d'imposer le port du masque dans les rues
Nous apprenons par la presse que le COVID-19 s’est implanté en formant plusieurs clusters depuis le mois de juillet dernier sur Saint-Denis. Centres aérés, marché forain, festivités communautaires, etc. Autant d’évènements organisés par la mairie de Saint-Denis qui ont été maintenus de manière totalement inconsciente et risquée alors que des services administratifs internes à la mairie ont été fermés ou confinés par mesure de prévention.

A J-3 de la rentrée scolaire, Madame la Maire n’a décidé de prendre aucune mesure de prévention ni aucun dispositif de lutte contre le virus pour protéger la population dionysienne.

Ce n’est qu’après ses vacances que Madame la Maire décide finalement de réagir en privilégiant la communication politicienne plutôt que de répondre aux vives inquiétudes des Dionysiennes et des Dionysiens.

Au lieu de faire la leçon aux Réunionnais et de renvoyer systématiquement la faute et la responsabilité de la décision sur Saint-Denis à Monsieur le Préfet, nous, élus de l’opposition municipale de Saint-Denis demandons à Madame Bareigts :

1- De fermer immédiatement les services administratifs de la mairie de Saint-Denis dans lesquels des cas contacts sont repérés ;

2- D’adopter un arrêté municipal obligeant dès aujourd’hui le port du masque dans toutes les rues de Saint-Denis ;

3- De demander à tous les agents administratifs de se faire tester sur la base du volontariat et de rappeler toutes les personnes et tous les clients qui ont assisté ou participé aux diverses festivités et marché forain organisés par la mairie.

Le groupe Saint-Denis 2026

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St-André : Un chauffeur de bus agressé pour la deuxième fois en un an

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Johan Vizler, chauffeur de bus du réseau Estival, a de nouveau été victime d’une agression hier à la gare de Saint-André. Un passager s’est mis à l’insulter sans raison avant de lui assener plusieurs coups de poing au visage, lui fracturant le nez. L’année dernière, le chauffeur était déjà victime d’une agression similaire à Bras Panon.
St-André : Un chauffeur de bus agressé pour la deuxième fois en un an
Johan Vizler est en arrêt-maladie au moins jusqu’à lundi prochain. Victime d’une agression hier sur son lieu de travail, il s’occupe de soigner son nez cassé au calme de son domicile de la Plaine des Palmistes.
 
Ce chauffeur de bus du réseau Estival était en train de faire descendre ses passagers à la gare routière de Saint-André, lorsqu’un homme est monté à bord par l’arrière comme l’obligent les mesures de prévention du Covid-19.
 
Celui-ci se précipite alors à l’avant du véhicule pour venir insulter le chauffeur, sans raison aucune. Il finit par lui assener plusieurs coups de poing au visage, fracturant le nez de Johan.

"L’agresseur est ensuite ressorti pour s’assoir à l’arrêt de bus comme si de rien n’était", nous raconte la victime.
 
L’individu a pu être rapidement interpellé par la police qui l’a placé en garde à vue. Il a été auditionné ce jeudi et sera convoqué devant la justice.
 
Déjà victime d’une agression dans son bus en septembre 2019
 
Le Palmiplainois est encore sous le choc ce matin: "Nous les chauffeurs on n’est pas assez protégés. C’est la deuxième fois que je suis agressé cette année. La dernière fois, les chauffeurs avaient organisé un débrayage et on voit que ça n’a rien donné", nous confie-t-il.

St-André : Un chauffeur de bus agressé pour la deuxième fois en un an
Le 6 septembre 2019, un passager à bord d’un bus Estival s’endort et loupe son arrêt. À son réveil, mécontent, il s’en prend à Johan qui conduisait le bus. Là encore le chauffeur reçoit plusieurs coups de poing.
 
Suite à cette agression, les chauffeurs du réseau Estival avaient débrayé pendant plusieurs jours pour demander plus de sécurité dans les bus et plus de moyens humains.
 
Il regrette par ailleurs que son employeur ait refusé de contribuer aux frais d’avocat lorsque son agresseur a été présenté devant le tribunal de Saint-Denis. Ce dernier avait écopé d’un rappel à la loi.

Un préavis de grève déposé pour mercredi prochain
 
Le syndicat FO apporte toute sa solidarité au chauffeur à nouveau victime d’une agression : "Peut-on encore parler de risque dans ce cas-là alors qu’il pourrait se dire en allant travailler après deux agressions "je vais me faire agresser, c’est une certitude" ? On est à ses côtés, et on ne peut que regretter ces faits gratuits", indique Sarah Lambert, déléguée syndicale.
 
Le syndicat a notamment demandé à la direction à ce qu’elle porte également plainte afin de se porter partie civile dans cette affaire: "On a besoin que la direction le fasse pour montrer son opposition à ce genre de comportement et dire qu’elle ne les tolère pas mais également pour accompagner l’agent victime."
 
Elle a également demandé à ce que la SEM Estivale accompagne Johan Vizler sur les frais de justice qui pourraient être à nouveaux avancés.
 
Sarah Lambert précise que le véhicule dans lequel Johan Vizler a été agressé n’était pas équipé d’une vitre anti-agressions: "Nous allons demander à ce que cette protection soit installée sur tous les véhicules."
 
Cette nouvelle agression viendra s’ajouter aux différents sujets de mécontentement qui ont poussé le syndicat à déposer un préavis de grève mercredi prochain.

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Ericka Bareigts : "Nous avons un cluster confirmé à Ste-Clotilde et un second non confirmé dans le Bas de la Rivière"

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Il fallait s’y attendre au vu de l’ampleur du nombre de personnes contaminées par la covid ces derniers jours… Après la découverte d’un cluster de covid-19 à Saint-Denis impliquant plusieurs dizaines de personnes, la maire du chef-lieu, Ericka Bareigts, s'exprime.
Ericka Bareigts :
Hier, l’ARS et la préfecture avaient confirmé mercredi le recensement de 32 nouveaux cas sur l’île. Parmi eux, 9 personnes avaient été testées positives au covid-19 suite à évènement familial. Un chiffre qui a explosé puisque quelques temps après, 16 nouvelles personnes en contact avec ce cluster avaient été déclarées positives. Au total et uniquement pour ce cluster, plus d'une centaine de personnes-contact avaient été identifiées.

Lors de son point presse, Ericka Bareigts a ainsi dévoilé les mesures "exceptionnelles" prise par la municipalité. Parmi elles : le port du masque obligatoire pendant 3 semaines dans les locaux communaux, elle encourage par ailleurs les salariés de la commune à procéder à un test. "Nous sommes dans une situation exceptionnelle sur Saint-Denis, nous sommes la 20e plus grande ville de France", a commenté la maire, revenant sur la détection du cluster sur Sainte-Clotilde et annonçant un potentiel autre cluster non confirmé situé dans le Bas de la Rivière, soit "deux zones de fragilité"

Rentrée scolaire reportée pour 14 d'écoles

Concernant la rentrée scolaire, Ericka Bareigts annonce avoir demandé à la Rectrice, au préfet et à la directrice de l'ARS "d'entendre les mesures [qu'elle] a souhaité prendre". La rentrée scolaire scolaire est reportée dans les écoles des quartiers du Bas de la Rivière/Petite-Ile et certaines de Sainte-Clotilde. La rentrée se fera le lundi 24 août dans les établissements concernés, soit 14 écoles sur les 77 que compte la commune. Pour assurer la continuité pédagogique, la mairie a créé 17 500 comptes d'espace numérique pour les élèves. 

Les écoles concernées :

- Élémentaire Lilas Bois Noir
- Maternelle Claude Debussy
- Maternelle Jacaranda
- Maternelle Tamarin
- Élémentaire Tamarin
- Maternelle Vauban
- Maternelle Champ-Fleuri
- Élémentaire Champ-Fleuri
- Primaire Bossard
- Élémentaire Jules Reydellet A
- Maternelle Ylang Ylang
- Maternelle Petite-Ile
- Maternelle Rivière 2
- Élémentaire Jules Reydellet B

Le port du masque généralisé en dehors des lieux clos sur la commune 

"Il s'agit d'une responsabilité collective. Ce n'est pas un message de culpabilisation, mais de responsabilité individuelle", indique-t-elle, invitant l'ensemble de la population réunionnaise à avoir recours à des tests en cette période de retour de vacances et de surtout respecter les gestes barrières et la distanciation sociale. "Ne pas le faire c'est vraiment entraîner une catastrophe pour tous".

Ericka Bareigts a indiqué avoir demandé au préfet la possibilité de prendre un arrêté de port du masque en dehors des lieux clos dans le chef-lieu. Des lieux qui seront ciblés : les marchés forains, la rue piétonne commerçante, des lieux de regroupement comme le carré Cathédrale, "des lieux denses en termes de population", précise-t-elle. 

En lien avec la municipalité, la préfecture devrait, sous peu, publier un arrêté préfectoral concernant le port du masque généralisé en dehors des lieux clos dans la commune de Saint-Denis. 

Samuel Irlepenne sur place
 


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Modification de la circulation au chemin Combavas

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Modification de la circulation au chemin Combavas
À compter de la rentrée du lundi 17 août 2020, le chemin Combavas va subir une modification de la circulation afin de réaliser des travaux de réseaux. 
 
La circulation sera interdite juste après la mairie de proximité. L’accès à l’école et au parking dans le chemin Combavas reste possible depuis la rue Étienne-Regnault. En revanche, l’accès à l’école depuis le centre-bourg de la Plaine n’est possible que pour les piétons. 
 
Ces travaux se déroulent suite à un chantier lancé depuis le 6 juillet 2020. Ce projet porte sur l’aménagement du chemin Combavas dans le bassin de vie de La Plaine Saint-Paul, allant de l’intersection avec la rue Étienne-Regnault jusqu’à la ravine Lolotte. 

Il s’agit d’aménager 630 mètres de voirie où l’on retrouve de part et d’autre de nombreux commerces (pharmacie, école, etc). Le but de l’opération : réorganiser l’axe en scindant les espaces dédiés à la circulation automobile et les zones de circulation piétonnes. 

Les travaux consisteront à rénover l’ensemble de la voirie avec les réseaux divers s’y attenant. Retrouvez ci-dessous le plan de déviation mis en place et la localisation de la zone concernée.

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Transport scolaire : ​Dispositifs pour la rentrée scolaire

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Transport scolaire : ​Dispositifs pour la rentrée scolaire
La CIVIS informe les administrés que les services de transport scolaire s’effectueront normalement à compter de la rentrée scolaire du lundi 17 août sur l’ensemble du territoire.

Cependant, il est à rappeler que dans les bus :

- LE PORT DU MASQUE EST OBLIGATOIRE pour les collégiens et les lycéens
- En cas de non port du masque, le collégien ou le lycéen ne sera pas transporté

Conformément aux recommandations des services de l’Etat et du rectorat :

Tous les élèves en contact avec des voyageurs de retour de la zone de l'Océan Indien ou de Guyane ou ayant eux-mêmes voyagé doivent respecter un confinement et ne pas se rendre en classe pendant 7 jours. Les parents seront invités à prendre contact avec l'école ou l'établissement afin de mettre en place une continuité pédagogique.

Pour les retours de la métropole :

Les élèves du premier degré (maternelles et élémentaires) en contact avec des voyageurs ou ayant eux-mêmes voyagé doivent respecter un confinement et ne pas se rendre en classe pendant 7 jours. Les parents seront invités à prendre contact avec l'école ou l'établissement afin de mettre en place une continuité pédagogique.

Les élèves du second degré (collèges et lycées) en contact avec les voyageurs ou ayant eux- mêmes voyagé peuvent se rendre au collège ou au lycée avec obligation de porter le masque du domicile à la salle de classe pendant 7 jours.

Pour toute demande d’information complémentaire, vous pouvez contacter le numéro vert des Transports 0 800 355 354 (appel gratuit depuis un poste fixe).

La CIVIS vous remercie de votre compréhension.

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Communiqué de la ville : point sur la rentrée scolaire à Saint-Leu

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Communiqué de la ville : point sur la rentrée scolaire à Saint-Leu
Rentrée scolaire : la Ville de Saint-Leu vous informe   

A l’approche de la rentrée scolaire et face à la situation épidémique actuelle, la Ville de Saint-Leu informe les parents d’élèves des modalités liées à la reprise des cours et des mesures de protection sanitaires en vigueur dans les écoles.

L’Adjointe déléguée aux Affaires Scolaires, Nadège Bernon, a participé ce mercredi 12 Août à une réunion avec les services de l’Etat afin d’organiser la rentrée scolaire selon le protocole sanitaire établi par le Ministère de l’Education Nationale.  


Rentrée scolaire le 17 Août 

La rentrée scolaire a bien lieu le lundi 17 Août dans toutes les écoles élémentaires, maternelles et primaires de la Commune de Saint-Leu. 

Concernant les modalités de rentrée scolaire des élèves scolarisés en maternelle notamment, les parents sont priés de se rapprocher des directions de chaque école en cas de rentrée échelonnée. 


Application du protocole sanitaire 

Afin de garantir la sécurité sanitaire des élèves et des usagers, la Ville  de Saint-Leu s’est engagée dès le début de la crise, àrespecter strictement le protocole sanitaire en vigueur : 

– Formation de nos agents aux gestes barrière
– Nettoyage et désinfections réguliers des locaux et des matériels


Le personnel communal reste pleinement mobilisé afin d’appliquer ces mesures de protections sanitaires aussi longtemps que nécessaire. 

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St-Louis : 139 agents communaux titularisés rétrogradés

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Les agents concernés ont appris la nouvelle ce matin lors d’une réunion organisée par la nouvelle maire. 4 recours du préfet font état d’actes entachés d’illégalité pris notamment durant la période électorale.
St-Louis : 139 agents communaux titularisés rétrogradés
"Y a pas de camaraderie, y a pas de copinage, y a pas de critères politiciens. Je ne veux plus de tout ça", affirme ce jeudi Juliana M’Doihoma. La préfecture a pointé mi-juillet dernier la situation de 139 agents titularisés ou devenus stagiaires par l’ancienne majorité sans cadre légal : non respect de la gestion des affaires courantes, des actes entachés d’une rétroactivité illégale, recrutement sans concours, non respect de l’ancienneté…
 
Ces agents ont ainsi "reçus des cadeaux empoisonnés", déplore la première magistrate qui a pour obligation de retirer ces actes. Ainsi au 1er juillet notamment,  48 agents ont été titularisés, 21 CDI signés, 32 au CCAS mais aussi à la caisse des écoles. Le coût annuel estimé, mais non expertisé de ces nouvelles charges de personnel sur la commune au budget déjà fortement grevé, est de 574 000 euros. "Je suis surprise par l’ampleur. (…) En période électorale, j’avais eu vent qu’il y avait eu beaucoup de titularisations mais aujourd’hui c’est découvrir le nombre de personnes concernées mais surtout découvrir le nombre de points de droit qui n’ont pas été respectés dans cette procédure de gestion des ressources humaines". 


Les 139 titularisations, non inscrites au budget, ont été retirées à ce jour. Les agents retrouveront donc leur statut d’avant titularisation."Pour les 32 autres agents titularisés entre janvier et mars le préfet peut décider d’un déferrement devant le tribunal administratif", ajoute Juliana M’Doihoma. 
 
Autre recours arrivé sur le bureau de l’édile il y a quelques semaines: le nombre d’adjoints porté à 18 au lieu de 17. La nouvelle majorité ayant suivi les délibérations de l’ancienne mandature. Le tir sera rectifié au prochain conseil municipal, rassure Juliana M’Doihoma qui indique qu’à cette occasion sera votée également une baisse de 5% indemnités des adjoints et maire ainsi que la charte éthique des élus.

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Le dangereux violeur interpellé 11 ans plus tard reste en prison

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Jean-Christophe B. reste en prison en attendant son procès devant la cour criminelle. D’ici la fin de l’année, il devrait être jugé pour viol.
Le dangereux violeur interpellé 11 ans plus tard reste en prison
Les victimes étaient deux. Une en 2008, l’autre en 2014 dans le sud. La dernière est malheureusement décédée. Il aura fallu 11 ans pour trouver et enfermer Jean-Christophe B.

Pour rappel, les premiers faits de 2008 ont eu lieu au Tampon. Une femme de 49 ans est interpellée dans la rue, rouée de coups et traînée par les cheveux dans une voiture où elle est violée. Fellation, pénétration vaginale et anale forcée par cet homme de 21 ans. "Fous le camps salope", lui aurait-il lancé en l’éjectant de la voiture. Les forces de l’ordre cherchent un petit de type créole blanc mais ne parviennent pas à mettre la main sur lui. 
 
Quatre ans plus tard, une femme du même âge décrit des faits similaires. Un homme lui demande une relation sexuelle contre de l’argent, la gifle puis la traîne dans un petit chemin, la menaçant de mort. Alertés par les cris, des passants appellent les gendarmes pour une dispute entre un homme et une femme. Mais l’agresseur s’enfuit.
 
C’est à partir de 2015 que les choses s’accélèrent. La compagne d’un certain Jean-Christophe B. porte plainte pour violences. L’ADN est prélevé. Cet ADN, également prélevé lors d’un vol, sera ensuite confondu avec celui de l’auteur présumé des deux viols. N'interpellé qu’en 2019, le trentenaire est mis en examen pour viol en 2020. 
 
Jean-Christophe B. a aujourd’hui 33 ans et compte huit condamnations sur son casier judiciaire. Parmi ses condamnations passées, une agression sexuelle sur personne vulnérable alors qu’il est mineur. Une infraction commise alors qu’il est sous sursis. 
 
Ce mardi, le détenu se trouvait devant la chambre d’instruction et demandait à être placé sous contrôle judiciaire afin de pouvoir sortir de détention en attendant son procès. Les magistrats ont été du même avis que l’avocate générale qui a relevé ses "pulsions sexuelles auxquelles il ne peut pas résister". Il reste donc en détention. 

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Viol, tortures et actes de barbarie : J. Imouza reste en détention

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Jimmy Imouza reste en détention provisoire en attendant son procès devant les assises prévu en novembre. Il sera jugé pour viol, tortures et actes de barbarie.
Viol, tortures et actes de barbarie : J. Imouza reste en détention
Jimmy Imouza est passé devant la chambre d’instruction mardi. Il demandait à être placé sous contrôle judiciaire afin d’attendre son procès en liberté. Il devrait être jugé devant les assises en novembre. Le Saint-Pierrois de 51 ans est accusé de viol, tortures et actes de barbarie sur sa compagne. 
 
Les faits remontent à juillet 2018. Pendant trois jours, il aurait violé sa victime, lui aurait introduit des objets tels qu’une bouteille de rhum dans le vagin, avant de verser également de la cire chaude. Elle a également subi des versements d’eau bouillante sur le corps, des claques ainsi que des coups de perceuse et de sabre. 
 
Ne montrant aucun remord, il aurait assuré que c’est elle qui voulait des rapports. Selon l’expert psychiatre, Jimmy Imouza est narcissique, pervers et dangereux. Il ne ressentirait aucune empathie. 
 
Sans avocat devant la chambre d’instruction, il s’est peu exprimé.
 
Afin d’éviter le risque de pression sur la victime, vulnérable, et assurer la présentation du détenu – qui encourt la perpétuité - devant la justice en novembre, la chambre d’instruction a décidé de la maintenir en détention.  

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St-Denis : La liste des établissements scolaires qui resteront fermés pour la rentrée

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Ericka Bareigts, maire de Saint-Denis, a annoncé lors d'une conférence de presse exceptionnelle, la liste des écoles dont l'accueil des enfants est différé au 24 août 2020. 14 écoles maternelles et élémentaires sont concernées :
St-Denis : La liste des établissements scolaires qui resteront fermés pour la rentrée
Pour le quartier du Bas de la Rivière et Petite-Île :

-  École maternelle Petite Île 
-  École maternelle Rivière 2
-  École élémentaire Jules Reydellet A 
-  École élémentaire Jules Reydellet B 
-  École maternelle Ylang Ylang 
 
Pour le quartier de Sainte-Clotilde : 

-  École élémentaire Les Lilas 
-  École maternelle Claude Debussy 
-  École primaire Jean-Baptiste Bossard 
-  École maternelle Vauban 
-  École maternelle Champ-Fleuri 
-  École élémentaire Champ Fleuri 
-  École maternelle Jacarandas
-  École élémentaire Les Tamarins 
-  École maternelle Les Tamarins 

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Pierrot Dupuy - Sébastien Lecornu ne veut pas manger de caris à La Réunion

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La nouvelle est en train d'enflammer les réseaux sociaux. Dan Hastings est un journaliste qui travaille entre autres pour le Huffington Post et Slate. Il se trouve que ses parents tiennent un restaurant à La Réunion, spécialisé dans les plats typiques de notre île.
Pierrot Dupuy - Sébastien Lecornu ne veut pas manger de caris à La Réunion
Il a publié sur son compte Twitter, le 11 août dernier, un commentaire dénonçant le fait que ses parents ont été sollicités par les services de la Préfecture pour l'établissement d'un devis pour un repas pour le ministre lors de son déplacement dans notre île, du 17 au 20 août prochain.

Avec des demandes pour le moins surprenantes : "Ma maman a un restaurant et a reçu une demande de devis d’un cabinet de haut fonctionnaire, a commenté le journaliste. Ils lui demandent de faire de la cuisine “sans sauce, type quiche, poisson grillé et quinoa”.

D'où la colère du journaliste : "Personne lui a expliqué que la cuisine réunionnaise est un mélange de gastronomie chinoise, indienne, pakistanaise, malgache et africaine? En gros tout sauf la quiche lorraine".

Cette colère s'explique également par le fait que ses parents sont très inquiets de ne pas être à la hauteur des désirs du ministre. Autant ils savent faire un bon cari poulet ou poisson, autant ils ne savent pas préparer une quiche lorraine...

"Sur Skype mon père a les larmes aux yeux en me disant qu’ils ne sont pas “à la hauteur” pour recevoir la délégation ministérielle. Ma mère renchérit “Je ne sais pas cuisiner comme ça moi” comme si c’était elle la fautive. Je vais m’énerver", ajoute Dan Hastings qui conclut : "Donc il veut bien être notre ministre, mais manger les plats locaux c’est trop".

"C’est pas juste impoli, c’est clairement raciste, affirme-t-il. C’est pour nous rappeler qu’il y a une hiérarchie entre la nourriture “exotique” indigne d’un Ministre et la gastronomie métropolitaine qui serait supérieure".

Finalement, l'affaire a connu une fin heureuse. Selon le journal Voici qui a consacré un article au sujet, le journaliste a indiqué que suite aux nombreuses réactions enregistrées sur Twitter, les équipes de Sébastien Lecornu ont affirmé qu'il allait finalement manger réunionnais : "On a appelé mes parents. La délégation est ravie de venir déjeuner chez eux et leur demandent de faire du local comme d’habitude. Merci Twitter".

Pierrot Dupuy - Sébastien Lecornu ne veut pas manger de caris à La Réunion

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Washington maintient ses taxes punitives contre l'UE en dépit d'une concession d'Airbus

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Le président américain 
Donald Trump s'exprime lors d'un point presse le 12 août 2020 à Washington - Nicholas Kamm / ©AFP

(AFP)

Les Etats-Unis ont maintenu leurs taxes punitives contre des produits européens en dépit d'un geste d'Airbus qui se dit désormais en conformité avec les règles de l'OMC, une décision américaine face à laquelle l’UE doit "se préparer à riposter fermement", selon le ministre français de l'Economie Bruno Le Maire.

Il s'agit du dernier épisode en date de la dispute entre les Etats-Unis et l'UE autour d'un différend commercial datant d'octobre 2004 à propos des aides publiques aux avionneurs européen Airbus et américain Boeing.

L'Organisation mondiale du commerce (OMC) a autorisé l'an dernier Washington à imposer des taxes sur près de 7,5 milliards de dollars (6,3 milliards d'euros) de biens et services européens importés chaque année, la sanction la plus lourde jamais imposée par l'OMC.

Depuis, Washington inflige des droits de douane punitifs sur certaines importations de l'Union européenne comme le vin, le fromage et les olives, à hauteur de 25%. Des taxes douanières de 10% sur les avions Airbus ont été relevées en mars à 15%.

Mercredi, Washington a maintenu à 7,5 milliards de dollars le montant des biens et services concernés, avec des taux inchangés de 15% pour l'aéronautique et 25% pour le reste, notamment des vins français, allemands, espagnols et des whiskies britanniques.

La liste des marchandises concernées a été toutefois modifiée, avec le retrait à dater du 1er septembre de certains produits de Grèce et du Royaume-Uni et l'ajout pour un montant équivalent de produits venus de France et d'Allemagne.

"Airbus s'est mis en conformité totale pour préparer la voie à ce règlement de contentieux", a réagi le ministre français de l'Economie Bruno Le Maire.

L'avionneur européen a indiqué qu'il "regrette profondément" la décision américaine, après s'être entendu fin juillet avec les gouvernements espagnol et français pour payer des intérêts plus élevés sur les avances remboursables consenties par Paris et Madrid lors du lancement du programme d'avion long-courrier A350.

"Nous considérons que les Etats-Unis n'ont aujourd'hui aucune justification pour maintenir les sanctions tarifaires qu'ils imposent depuis octobre 2019", a réagi de son côté le ministre délégué au Commerce extérieur Franck Riester.

La Commission européenne a réservé un accueil prudent à "la décision américaine de ne pas exacerber le différend" aéronautique en cours. Selon elle, "le ralentissement économique en cours, en particulier son impact sur les secteurs du transport aérien et de l'aéronautique, donnent une urgence particulière à la résolution de ce différend".

- "Nouveau processus" -

M. Le Maire a précisé avoir "demandé au commissaire européen Phil Hogan il y a quelques jours d'accélérer le règlement de ce conflit pour qu'il n'y ait plus aucune sanction contre les produits français aéronautiques et viticoles".

La Fédération des exportateurs de vins et spiritueux de France (FEVS) a regretté dans un communiqué le maintien des droits de douane américains "qui continue de pénaliser fortement les exportateurs", au moment où "nous sommes tous extrêmement fragilisés par la crise économique et sanitaire".

"Vu l'état de blocage dans lequel se trouve l'OMC, une solution à ce conflit ne pourra être que bilatérale et négociée", a estimé pour sa part un professionnel de la viticulture française qui a requis l'anonymat. "En attendant, les Etats-Unis continent de taper sur les vins français, espagnols, allemands et les whiskies écossais d'une manière très violente", a-t-il regretté.

L'Association du whisky écossais s'est aussi dite "profondément déçue" que Washington ne lève pas la taxe frappant cette boisson, ajoutant que "les exportations vers les Etats-Unis sont en baisse de 30% depuis que la taxe est en place", entraînant des pertes de 300 millions de livres (332 millions d'euros) pour la filière.

Mais Washington a estimé mercredi insuffisantes les actions entreprises par l'UE, tout en se montrant ouvert à la recherche d'une solution.

"L'UE et les pays membres n'ont pas engagé les actions nécessaires pour se mettre en conformité avec les décisions de l'OMC", a déclaré le représentant américain au Commerce, Robert Lighthizer.

"En conséquence, les Etats-Unis vont entamer un nouveau processus avec l'UE pour tenter d'obtenir un accord afin de remédier aux pratiques qui ont fait du tort à l'industrie aéronautique américaine et à ses travailleurs et d'assurer aux compagnies américaines d'être placées sur un pied d'égalité", a-t-il poursuivi.

Ce contentieux qui dure depuis 16 ans est le conflit commercial le plus long et le plus compliqué traité par l'OMC. 

bur-mtp-boc-cas-im/soe/bh



Source : ...

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