William Mendelbaum, pianiste réunionnais de 24 ans, assurera l'accompagnement musical lors de la cérémonie du 14-Juillet à Saint-Paul de façon originale. Un avant-goût du talent de ce jeune artiste.

L’improvisation, les professionnels de Jazz y ont souvent recours. Aussi bien un talent qu’un art, elle permet d’inventer constamment et de laisser libre cours à sa créativité. Pour le jeune pianiste réunionnais, William Mendelbaum, c’est devenu sa marque de fabrique. Et demain, pour la cérémonie du 14-Juillet à Saint-Paul, il accompagne un conteur sur le thème de la Révolution Française avant partager plusieurs de ses compositions.
C’est une habitude pour ce musicien de 24 ans qui joue depuis qu’il en a sept. "J’ai commencé avec le classique et ça ne m’a pas vraiment plu, raconte-t-il, puis je suis parti en Nouvelle Calédonie pendant mon adolescence et j’ai eu un prof particulier. J’ai découvert le Jazz, une musique plus moderne, et j’ai pu exprimer qui j’étais". Puis direction l’Université ici, où ce qui l’intéressait plus que ses études, c’était de jouer tous les jeudis soirs dans le bar de la fac. Direction ensuite l’Ecole des musiques actuelles à Saint-Leu "où j’ai eu accès à mon identité".
Hôtels, bars, restos… William Mendelbaum vit désormais de sa passion. Il a même lancé un concept original : proposer des "portraits" musicaux sur piano en se basant sur des photos de gens et quelques traits de caractère. "Ça a commencé lors de concerts quand je demandais aux spectateurs de me donner un cadre, grâce à un mot par exemple. Puis j’ai décidé de les regarder. J’aime m’inspirer de tout ce qui m’entoure".
En effet, il accompagne des films, peintures, pièces de théâtre. Le dernier film en date : le documentaire "Dann Zardin Pépé" de Mathieu Tavernier en 2019 pour lequel William Mendelbaum a réalisé la bande-son. C’est donc tout naturellement que ce vendredi, il livre un ciné-concert dans lequel il accompagne au piano un film muet de Charlie Chaplin et samedi un peintre, Mathias Hiquet, au restaurant Vert tu Oses, à la Saline-les-Bains.
C’est grâce à cette adaptation et improvisation constante que le pianiste ne s’ennuie pas. " Je suis toujours aussi actif et passionné, parce que je cherche toujours des choses différentes. Et le piano fait partie de moi. Il me permet d’exister".
C’est une habitude pour ce musicien de 24 ans qui joue depuis qu’il en a sept. "J’ai commencé avec le classique et ça ne m’a pas vraiment plu, raconte-t-il, puis je suis parti en Nouvelle Calédonie pendant mon adolescence et j’ai eu un prof particulier. J’ai découvert le Jazz, une musique plus moderne, et j’ai pu exprimer qui j’étais". Puis direction l’Université ici, où ce qui l’intéressait plus que ses études, c’était de jouer tous les jeudis soirs dans le bar de la fac. Direction ensuite l’Ecole des musiques actuelles à Saint-Leu "où j’ai eu accès à mon identité".
Hôtels, bars, restos… William Mendelbaum vit désormais de sa passion. Il a même lancé un concept original : proposer des "portraits" musicaux sur piano en se basant sur des photos de gens et quelques traits de caractère. "Ça a commencé lors de concerts quand je demandais aux spectateurs de me donner un cadre, grâce à un mot par exemple. Puis j’ai décidé de les regarder. J’aime m’inspirer de tout ce qui m’entoure".
En effet, il accompagne des films, peintures, pièces de théâtre. Le dernier film en date : le documentaire "Dann Zardin Pépé" de Mathieu Tavernier en 2019 pour lequel William Mendelbaum a réalisé la bande-son. C’est donc tout naturellement que ce vendredi, il livre un ciné-concert dans lequel il accompagne au piano un film muet de Charlie Chaplin et samedi un peintre, Mathias Hiquet, au restaurant Vert tu Oses, à la Saline-les-Bains.
C’est grâce à cette adaptation et improvisation constante que le pianiste ne s’ennuie pas. " Je suis toujours aussi actif et passionné, parce que je cherche toujours des choses différentes. Et le piano fait partie de moi. Il me permet d’exister".
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