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Météo à La Réunion : Fortes pluies et orages dans les Hauts du Sud cet après-midi


Dégazage en cours au Piton de la Fournaise

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Les scientifiques de l'observatoire volcanologique du Piton de la Fournaise font le point après s'être rendu sur le lieu de l'éruption qui s'est achevée lundi matin.

Dégazage en cours au Piton de la Fournaise

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Vous avez jusqu'au 29 janvier pour déclarer vos animaux exotiques envahissants

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La préfecture rappelle que les détenteurs d'espèces animales exotiques envahissantes ont jusqu'au 29 janvier pour se faire connaître.
Vous avez jusqu'au 29 janvier pour déclarer vos animaux exotiques envahissants
Déclaration de détention d’espèces animales exotiques envahissantes
Rappel: la date limite de déclaration est le 29 janvier 2022 pour les particuliers.

Afin de préserver le patrimoine naturel exceptionnel de l'île, un arrêté relatif à la prévention de l’introduction et de la propagation des espèces animales exotiques envahissantes sur le territoire a été co-signé le 28 juin 2021 par les ministres en charge de l’écologie et de l'agriculture. En effet, les espèces exotiques envahissantes sont la première cause de la perte de la biodiversité à La Réunion.

Ainsi, tous les amphibiens, la quasi-totalité des reptiles (sauf les tortues terrestres et 10 espèces nécessitant un certificat de capacité), les mammifères sauvages en dehors de 4 espèces et une espèce domestique (le furet) ont été interdits. Des espèces d’oiseaux et de poissons sont également concernées. Ces espèces menacent la biodiversité originelle de notre île, car elles peuvent les consommer ou prendre leur place dans les milieux naturels. Trois posters joints donnent quelques exemples des espèces concernées.

Les particuliers ont jusqu'au 29 janvier 2022 pour déclarer en ligne les animaux acquis avant le 29 juillet 2021 sur le site especesinvasives.re . Ce site permet également de vérifier le statut de l’animal au regard de la réglementation en vigueur.
En les déclarant, vous participez ainsi à la préservation de la biodiversité à La Réunion. Ne lâchez pas vos animaux interdits dans la nature. Si vous ne pouvez pas les garder, amenez-les soit au Zoo Parc (06 92 35 41 41), soit au Jardin des Tortues (0262 22 15 00 – pour les tortues seulement) ou encore à la Seor (02 62 20 46 65).
 

Vous avez jusqu'au 29 janvier pour déclarer vos animaux exotiques envahissants

Vous avez jusqu'au 29 janvier pour déclarer vos animaux exotiques envahissants

Vous avez jusqu'au 29 janvier pour déclarer vos animaux exotiques envahissants

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Vidéo - Afrique du Sud : Un requin nage au milieu de baigneurs et de surfeurs

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Ils ont probablement eu la peur de leur vie. Alors qu'ils s'adonnaient à leur passion dans les eaux de Kogel Bay non loin du Cap (Afrique du Sud), des surfeurs et des baigneurs ont eu la surprise de voir un requin nager à côté d'eux. Une rencontre saisissante mais qui, au final, n'a pas connu une issue tragique puisque le squale, après plusieurs va-et-vient vers les nageurs et les surfeurs, a rapidement pris le large comme vous pouvez le voir dans la vidéo ci-dessous :
Vidéo - Afrique du Sud : Un requin nage au milieu de baigneurs et de surfeurs


 


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Covid : Le Plan Blanc déclenché dans les hôpitaux de La Réunion

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Le dispositif spécial "Plan Blanc" est activé à La Réunion pour faire face à la dégradation sanitaire liée à l'épidémie de coronavirus.
Covid : Le Plan Blanc déclenché dans les hôpitaux de La Réunion
Les établissements de santé de La Réunion déclenchent le Plan Blanc

Compte tenu de la dégradation rapide de la situation sanitaire sur l’île, les établissements publics du Groupement Hospitalier de Territoire de La Réunion (champ MCO CHU-CHOR-GHER, hors santé mentale) prennent la décision d’activer leurs plans blancs ce mercredi 19 janvier 2022.

Les établissements de santé ont engagé depuis des semaines l’adaptation de leur organisation afin de répondre à l’afflux de patients COVID tout en assurant au mieux la continuité des soins pour toutes les autres pathologies, mais la progression rapide de l’épidémie de COVID-19 contraint les établissements à déclencher leurs dispositifs de crise de manière formelle.

Le CHU de La Réunion, ainsi que l’ensemble des établissements de santé appellent la population à adopter les bons réflexes pour un recours raisonné aux services d’urgences hospitalières et à se protéger efficacement contre la propagation très forte et rapide du virus.

Afin de faire face :
- à une accélération significative de l’activité de prise en charge des patients atteints de la COVID au sein des établissements de santé,
- à une tension persistante concernant la disponibilité des lits d’hospitalisation et de réanimation,
- à l’augmentation très importante de l’activité des services d’urgences, - et afin de sécuriser les capacités de prise en charge dans les prochaines semaines,
 

Lionel CALENGE, Directeur Général du CHU et du GHER, ainsi que Laurent BIEN, Directeur du CHOR et de l’EPSMR ont pris la décision, en concertation avec les Présidences des Conseils de Surveillance, Commissions Médicales d’Etablissements, les cellules de crise et instances des établissements, de déclencher le Plan Blanc.

Cette décision est prise en pleine concertation avec l’ARS.

Avant même le déclenchement du Plan Blanc, des capacités supplémentaires en lits d’hospitalisation et de réanimation dédiés au Covid-19 ont été armées ces dernières semaines, jusque le week-end dernier devant l’urgence et l’afflux massif de patients atteints de la Covid-19 au niveau des services d’urgences, médecine et réanimation. En outre, une demande a été faite par les établissements publics de santé et relayée par l’ARS, vis-à-vis du centre de crise sanitaire national, pour obtenir un renfort humain en personnel médical et infirmiers. Cette demande sera satisfaite dès la fin de cette semaine pour au moins une grande partie des moyens demandés.

Il était important de préserver le plus longtemps possible, les personnels, exemplaires et totalement engagés, après presque deux ans de crise sanitaire. Cette décision a donc été retardée jusqu’à aujourd’hui pour permettre au maximum de personnels de prendre du repos alors que la tension sur l’activité COVID croît de façon significative depuis plus d’un mois.

Néanmoins, la situation actuelle, tant du point de vue de l’absentéisme, que de l’augmentation importante du flux des patients accueillis, et la nécessité d’anticiper au maximum les futures augmentations capacitaires qui seraient nécessaires, ne laissent d’autre choix que de d’activer le Plan Blanc à l’échelle des établissements de santé.

Ce dispositif permettra aux établissements de santé de mobiliser l’ensemble des ressources humaines et matérielles nécessaires afin de garantir la continuité des soins à l’ensemble des patients accueillis au sein des deux établissements et de prévoir notamment les modalités selon lesquelles le personnel nécessaire peut-être maintenu sur place ou, le cas échéant, rappelé lorsque la situation le justifie.

Les directions du CHU et du GHER et du CHOR et de l’EPSMR renouvellent une nouvelle fois leurs remerciements pour la mobilisation exemplaire de l’ensemble des hospitaliers depuis le début de la crise sanitaire, en étant persuadés que les établissements feront face collectivement et de manière solidaire à cette nouvelle épreuve.

Gardez les bons réflexes !

Dans cette période de recrudescence épidémique, les établissements de santé de La Réunion appellent l’ensemble de la population à maintenir sa vigilance face au virus et rappellent les mesures permettant de lutter efficacement contre l’épidémie :
 La vaccination qui permet notamment de se prémunir face aux formes graves de la maladie
 Le respect des gestes barrières (port du masque, distanciations, lavage de mains, aération)
 

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Intempéries dans le Sud de La Réunion

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Des précipitations importantes sont observées dans le Sud de La Réunion ce mercredi après-midi.
Intempéries dans le Sud de La Réunion

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Le couvre-feu à 21h a déjà été prolongé jusqu'au 7 février

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L'arrêté préfectoral a été publié le vendredi 14 janvier, le même jour où le préfet avait annoncé dans un communiqué ne pas prendre de nouvelles mesures restrictives en urgence.
Le couvre-feu à 21h a déjà été prolongé jusqu'au 7 février
La forte dégradation de la situation sanitaire et l'approche de la date initiale de la fin du couvre-feu à 21 heures ainsi que de la rentrée scolaire à La Réunion, tout comme les discussions entre le préfet les élus avait fait craindre un renforcement des mesures de lutte contre le coronavirus la semaine dernière.

Mais le préfet avait expliqué qu'il différait sa décision quant à d'éventuelles nouvelles restrictions prises en urgence. Les projections de l'avancement de l'épidémie de coronavirus auraient évolué favorablement notamment suite à l'avènement de la vague de contaminations liée au variant Omicron qui devrait réduire la pression hospitalière car moins générateur de formes graves.

Pourtant, pendant que ce communiqué était publié, la préfecture a aussi pris un nouvel arrêté sur les mesures de freinage de l'épidémie de covid. Le préfet avait alors décidé de prolonger toutes les mesures jusqu'au 7 février. Cela comprend les obligations de port du masque, le couvre-feu à 21 heures, l'interdiction des rassemblements sur la voie publique, des piques-niques, des regroupements festifs dans les salles de fêtes, les jauges d'accueil dans les restaurants, magasins ou encore cinémas.

Pour rappel, l'Etat d'urgence sanitaire n'est valable que pour un mois lorsqu'il est déclaré par le gouvernement. Ce régime appliqué actuellement à La Réunion doit arriver à son terme le 27 janvier prochain. Mais la loi sur le Pass vaccinal qui a été adopté par les parlementaires prévoit de le prolonger pour notre île jusqu'au 31 mars prochain. Le texte doit encore passer devant le Conseil d'Etat avant d'être promulgué d'ici la fin de la semaine selon l'Exécutif.
 


Le point sur la réunion entre le préfet et les maires

Les élus ont échangé avec le plus haut représentant de l'Etat ce mercredi après-midi lors de la réunion de crise hebdomadaire. Jacques Billant aurait indiqué aux élus qu'il ne comptait pas renforcer les mesures anti-Covid pour l'instant.

L'Agence régionale de Santé explique que la situation sanitaire continue de se dégrader avec 9.000 cas enregistrés en une journée mardi. Mais l'organisme assure que les besoins hospitaliers peuvent pour l'instant être gérés par le système de santé de La Réunion grâce à l'arrivée de renforts en fin de semaine.

Les autorités sanitaires ont cependant demandé à ce que les mairies apportent leur soutien à la gestion des besoins importants de tests Covid (plus de 133.000 ont été réalisés en une semaine à La Réunion). Des centres éphémères de dépistage devraient à nouveau rouvrir dans les prochains jours.

Un appel à la vigilance a aussi été lancé pour les quelques 200.000 Réunionnais qui doivent faire leur dose de rappel au risque de voir leur Pass sanitaire (bientôt Pass vaccinal) être invalidé le 15 février. Un afflux de dernière minute est craint, les centres de vaccination devraient modifier leurs horaires.

La maire de La Possession, Vanessa Miranville, continue, comme la semaine dernière, de demander un renforcement des mesures au vu de l'aggravation continue de la situation sanitaire et de la pression hospitalière.

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Une femme blessée à l'arme blanche à Saint-Louis

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Une femme a été agressée à l'arme blanche ce mercredi après-midi à Saint-Louis. L'auteur des faits aurait été interpellé.
Une femme blessée à l'arme blanche à Saint-Louis
Un différend entre deux personnes a mal tourné ce mercredi après-midi dans la ville de Saint-Louis. Un homme s'est introduit dans un bazar de fruits et légumes situé dans le quartier de Palissade et s'est dirigé vers une femme qu'il semblait connaître.

Il a alors infligé des coups de sabre à sa victime qui a tenté de se protéger. Elle a été blessée au niveau des mains et du bras. Son pronostic vital n'est pas engagé mais aurait été sérieusement atteinte au niveau des doigts.

Après avoir commis ce geste, l'auteur des coups de sabre aurait pris la fuite avant d'être interpellé. Les deux protagonistes seraient en couple et c'est une séparation mal acceptée par l'ex-compagnon qui expliquerait cette agression.

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Les recours pour faire annuler l'élection de Bernard Picardo sont rejetés

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​Fin de partie pour les candidats défaits à l’élection de la chambre de métiers et de l’artisanat. Le tribunal administratif a rejeté les recours de Jean-François Maillot, de Giraud Payet et de Didier Mazeau.
Les recours pour faire annuler l'élection de Bernard Picardo sont rejetés
Les recours intentés par deux listes candidates à l’élection de la chambre de métiers de novembre dernier sont rejetés. 

Le tribunal administratif de Saint-Denis rejette les recours des candidats malheureux. Ces derniers avaient demandé l’annulation de l’élection qui a vu la victoire de la liste menée par le président sortant Bernard Picardo.

Dans leur démonstration, les requérants avaient déployé nombre de dysfonctionnements qui auraient pu avoir une incidence sur le résultat du vote des ressortissants. Pour mémoire, les opérations électorales s’étaient déroulées du 1er au 14 octobre 2021 avec le dépouillement le 19 octobre. L’élection était organisée par la préfecture, avec le concours de La Poste sur la partie acheminement des kits de vote. 

Les candidats défaits ont notamment signalé que Bernard Picardo avait publié son programme et sa profession de foi avant même l’ouverture de la période électorale, en violation du code électoral et du principe d’égalité des candidats. Ils avaient également mentionné le caractère "irrégulier" de la liste électorale établie en ceci qu’elle ne comportait que 18.000 des 26.000 électeurs.

De ce fait, "un nombre substantiel d’électeurs, de l’ordre de plusieurs milliers, n’a pas reçu leur matériel de vote ou l’ont reçu après les élections", avaient-ils plaidé le 14 décembre lors de l'audience. Dans la même logique selon les requérants, un nombre significatif d’électeurs décédés ou d’entreprises liquidées judiciairement ont pris part au scrutin.

De son côté, Jean-François Maillot avait appuyé sur le fait que la liste électorale qui lui avait été fournie par la chambre de métiers et de l’artisanat de La Réunion était "incomplète" et ne lui avait pas permis d’adresser de propagande électorale à 9147 électeurs.

Compte tenu des 1522 voix qui séparent la liste « La voix des artisans » dont il est membre de la liste arrivée en première position, "une telle irrégularité, qui porte atteinte à l’égalité", avait-il fait valoir. 

Un écart considérable entre le vainqueur et ses concurrents

Enfin, entre autres arguments soulevés, les candidats défaits font ressortir que "les opérations de dépouillement ne se sont pas déroulées de manière régulière, notamment lors du transport depuis les services postaux jusqu’au siège de la CMA puis l’entreposage des caisses contenant les votes qui n’ont pas été réalisés dans des conditions permettant de garantir la sincérité du scrutin, puis lors de la réception des enveloppes et le démarrage des opérations de dépouillement ont eu lieu hors la présence des scrutateurs". Enfin, "il n’y a pas eu de comptabilisation des plis électoraux au début des opérations de dépouillement. Les urnes ne comportaient aucun compteur numérique, il a été procédé au dépouillement d’un nombre de votes supérieur au nombre décomptés par les services de la Poste", avaient consigné les colistiers des équipes candidates.
 
Sur l’ensemble des griefs exposés, le juge administratif considère globalement que les requérants n’apportent pas la preuve des anomalies retenues. Lorsqu’elles arrivent tout de même à être étayées, elles ne sont pas assez significatives pour faire basculer les chiffres de l’élection. A titre d'exemple, le juge administratif retient que, "s’il est constant qu’il a été procédé au dépouillement d’un nombre de vote supérieur au nombre de plis décomptés par les services de la Poste, il n’est ni établi ni même allégué que les 358 enveloppes litigieuses n’auraient pas été adressées en temps utile aux services postaux".

L’écart de voix entre la liste du Rassemblement des artisans de La Réunion représentée par Bernard Picardo (3300 voix) et celle arrivée deuxième de Didier Mazeau (1700 voix) et plus encore de celle de Giraud Payet (1470 voix), était de toutes les manières trop grand pour espérer renverser le résultat. 

"Le président Bernard Picardo est très satisfait de ce jugement. Nous attendions une décision favorable mais l’aléa judiciaire étant ce qu’il est, la prudence s’imposait. Aujourd’hui c’est une réelle satisfaction, pour les artisans que je défendais dans cette affaire, de voir la victoire définitivement consacrée", s’en félicite Me Jean-Jacques Morel, avocat de Bernard Picardo. 

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Covid à La Réunion : Evolution des offres de dépistage et de vaccination

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L'Agence régionale de Santé fait le point sur l'évolution du plan sanitaire dans les hôpitaux, au niveau des centres de dépistage et de vaccination.
Covid à La Réunion : Evolution des offres de dépistage et de vaccination
Compte tenu de la situation sanitaire montrant une dégradation des principaux indicateurs Covid depuis plusieurs jours, avec un fort impact au plan hospitalier, l’ARS La Réunion, en lien étroit avec les acteurs et professionnels de santé, renforce le plan d’actions sanitaire sur plusieurs volets : activation du plan Blanc dans les hôpitaux, renforcement des moyens humains avec l’arrivée de la réserve sanitaire nationale, accroissement de l’accessibilité au dépistage et augmentation de l’offre de vaccination.

Afin de limiter la propagation de l’épidémie, il est rappelé à la population l’importance de :
- se faire tester et s’isoler en cas de symptômes
- se faire vacciner pour se protéger des formes graves de la maladie : faire au plus vite sa première injection ou bénéficier de son rappel vaccinal, qui conditionne la validité du pass sanitaire.

Activation du plan Blanc à La Réunion

Pour faire face à la progression des hospitalisations en réanimation et en médecine Covid au sein des hôpitaux, le plan Blanc est activé dès ce 19 janvier à l’échelle de la région, pour tous les établissements publics et privés. Ce dispositif va permettre de redéployer, en fonction des besoins, les ressources disponibles en lits et en personnel médical et non médical au service des patients affectés par la Covid.

Renfort de la réserve sanitaire dès cette fin de semaine

Le renfort humain d’ores et déjà demandé auprès du centre de crise national par les établissements de santé et l’ARS La Réunion va se concrétiser ce 20 janvier 2022, avec l’arrivée d’une délégation de personnel médical et infirmiers pour venir en appui des équipes locales : ce qui permettra, de porter la capacité à 113 lits de réanimation pour l’île, de par le positionnement de lits supplémentaires au Centre Hospitalier Universitaire (CHU) Nord.

Renforcement de l’accès aux tests

Du 8 au 14 janvier 2021, le nombre de tests a encore augmenté : 133.486 tests ont été réalisés (contre un peu plus de 105.000 la semaine précédente).

Pour faire face à cette augmentation de la demande et afin de faciliter davantage l’accès aux tests, à quelques jours de la rentrée scolaire, l’ARS La Réunion, met en oeuvre les mesures suivantes :
• Incitation à la constitution de centres éphémères de dépistage : proposition aux biologistes et aux pharmaciens de renforcer les moyens de dépistage par test antigénique (TAG).

Ces centres nécessiteront la contribution des communes pour lesquelles des capacités de dépistages supplémentaires doivent être déployées en priorité. Une convention entre l’ARS et les communes concernées sera alors établie pour des questions de logistique et de sécurité.

• Extension des jours et plages horaires d’accueil du centre de dépistage de la Nordev : ouverture du lundi au dimanche, de 8h à 12h et de 13h30 à 17h30 à compter du 21 janvier 2022

• Ouverture d’un nouveau centre de dépistage à Saint-Pierre à compter du lundi 24 janvier 2022

En outre, le centre de dépistage mis en place à l’aéroport Roland Garros pourra bénéficier à d’autres publics (cas contact notamment) que les voyageurs en partance.

Les autres sites de dépistage sont à retrouver sur le site : www.lareunion.ars.sante.fr/covid-19-ou-et-comment-se-faire-depister-la-reunion


 

Elargissement de l’offre de vaccination pour répondre notamment à l’échéance du 15 février pour la dose de rappel

A partir du 15 février 2022, le délai de validité du certificat de vaccination pour le pass sanitaire sans dose de rappel passe à 4 mois au lieu de 7 mois. A cette date, toutes les personnes de plus de 18 ans n’ayant pas fait leur rappel alors qu’elles sont à 4 mois ou plus de leur 2ème injection verront leur pass sanitaire invalidé. Ce sont environ 233 900 personnes qui sont concernées à ce jour.

Pour permettre à toutes ces personnes d’effectuer leur dose de rappel dans ce délai contraint, la capacité d’accueil dans les 7 centres de vaccination a été augmentée dès cette semaine, avec l’ouverture de tous les centres les dimanches pour la journée entière.

Les personnes devant réaliser leur rappel mais aussi les personnes souhaitant effectuer leur première injection, sont vivement encouragées à prendre RDV dès maintenant afin de ne pas prendre le risque de ne plus pouvoir être pris en charge dans les jours qui précèdent l’échéance du 15 février (faute de créneaux disponibles).

Depuis quelques jours, les créneaux ouverts sans RDV sont très plébiscités et un temps d’attente plus ou moins long est observé selon les centres. Aussi, l’ARS recommande fortement aux Réunionnais de prendre RDV pour se faire vacciner. Plus de 19 750 créneaux ouverts sur RDV pour cette semaine ne sont pas encore pris et 28 320 créneaux ouverts sur RDV pour la semaine prochaine.

Pour éviter toute attente en centre de vaccination, il est conseillé de prendre RDV :
• par internet : www.sante.fr
• par téléphone : 0262 72 04 04

Où se faire vacciner ?

Pour en savoir plus sur les horaires des centres, les modalités et les documents à fournir, RDV sur le site internet de l’ARS La Réunion : cliquez ici


>> Quand et comment se faire dépister ? <<
 

Covid à La Réunion : Evolution des offres de dépistage et de vaccination

Covid à La Réunion : Evolution des offres de dépistage et de vaccination

Covid à La Réunion : Evolution des offres de dépistage et de vaccination

Covid à La Réunion : Evolution des offres de dépistage et de vaccination

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Covid à La Réunion : Evolution des offres de dépistage et de vaccination



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Dengue à La Réunion : Hausse des cas

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Du 27 décembre au 9 janvier 2022, 69 cas de dengue ont été confirmés (contre 45 pour la quinzaine précédente) dans 13 communes de l’île. Le nombre de nouveaux cas est en progression constante.
Dengue à La Réunion : Hausse des cas
Des nouveaux foyers de dengue  ont été identifiés dans les régions Ouest et Sud, où plus de 80% des cas y sont signalés.
Cette situation associée aux conditions météorologiques actuelles (chaleurs, pluies)
, favorables à la prolifération des moustiques, laisse présager une reprise de l’épidémie dans les semaines à venir.

La préfecture, l’ARS et Santé Publique France ont le regret d’annoncer un décès supplémentaire survenu au mois d’août  2021 et dont les résultats obtenus récemment permettent de l’imputer à la dengue.

La population est vivement encouragée à maintenir les mesures de prévention. La dengue peut être très sévère voire mortelle.
Afin de prévenir les formes graves, dès les premiers symptômes, les Réunionnais sont invités à consulter immédiatement leur médecin.
En cas d’aggravation de leur état de santé, il faut immédiatement prendre un nouveau rendez-vous.



 

Dengue à La Réunion : Hausse des cas

Situation de la dengue au 19 janvier 2022 (données Santé Publique France Réunion, ARS)
Sur la période concernée, les cas de dengue enregistrés se répartissent comme suit :
  • Sud : 46 %
  • Ouest : 38 %
  • Nord : 13 %
  • Est : 3 %
Des cas ont été signalés sur 13 communes situés :
  • Dans le Sud : Le Tampon, Les Avirons, Saint-Joseph, Saint-Louis, Saint-Pierre
  • Dans l’Ouest : La Possession, Le Port, Saint-Leu, Saint-Paul
  • Dans le Nord : Saint-Denis, Sainte-Suzanne, Sainte-Marie
  • Dans l’Est : Saint-André.
Des nouveaux regroupements de cas (foyers de dengue) sont actuellement observés à Saint-Joseph (quartier du Butor) et à Saint-Pierre (Basse Terre les bas).

Recommandations pour se protéger des piqûres de moustiques et de la dengue :
  • Se protéger, y compris durant les 7 jours suivants l’apparition des symptômes pour protéger son entourage (répulsif, moustiquaire…) ; Continuer à se protéger, même si on a déjà été malade de la dengue antérieurement ; plusieurs sérotypes de la dengue peuvent circuler et une infection par un sérotype ne protège pas de l’atteinte par un autre sérotype.
  • Eliminer et vider l’eau stagnante des gîtes à moustiques tout ce qui peut contenir de l’eau chez soi et tout autour de son domicile…
  • Consulter un médecin dès les premiers symptômes fièvre, maux de tête, douleurs musculaires/articulaires, nausées, vomissements... et réaliser le prélèvement en laboratoire d’analyse médicale prescrit par votre médecin pour confirmation du diagnostic de la dengue.
  • Si vous êtes malade de la dengue :
  • continuez à vous protéger contre les piqûres de moustiques et surveillez votre état de santé, surtout entre le 4ème et le 8ème jour de la maladie.
  • consultez votre médecin traitant ou un service d'urgence en cas de dégradation de votre état de santé.
Se protéger des moustiques grâce aux répulsifs et aux moustiquaires

Dengue à La Réunion : Hausse des cas

Dengue à La Réunion : Hausse des cas

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Vidéo - Saint-Pierre: Après la sensibilisation aux mesures sanitaires, la verbalisation

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Face à des indicateurs qui restent dans le rouge, la police renforce le contrôle des mesures sanitaires. Obligation du port du masque, interdiction de rassemblement de plus de 10 personnes, de consommer de l’alcool ou encore de pique-niquer sur la voie publique…92 verbalisations ont été dressées hier par la police de Saint-Pierre.
Vidéo - Saint-Pierre: Après la sensibilisation aux mesures sanitaires, la verbalisation
"Vous l’avez à portée de mains donc vous le savez, tout le monde le sait. Avec le taux d’incidence, c’est obligatoire de porter le masque", explique cet agent de la police nationale à un jeune contrôlé hier à Bois d’Olives. Les derniers chiffres font état d’un taux d’incidence de 4254 cas pour 100.000 habitants au 17 janvier. 
 
Faire "preuve de pédagogie et ne pas hésiter à verbaliser également les contrevenants", dicte au briefing le commandant Ronan Illien. Les consignes sont données par l’adjoint au chef de la circonscription de Saint-Pierre à une quinzaine de policiers mobilisés pour cette opération qui cible le respect des mesures sanitaires. Des effectifs de police-secours, du groupe de sécurité routière venus en renfort de Saint-Denis mais aussi du groupe de sécurité proximité (GSP), répartis dans cinq véhicules, vont sillonner différents quartiers de la capitale sudiste et "certains points stratégiques". 

"Faire la part des choses"

Première étape de cette opération : la gare routière de Saint-Pierre,  un lieu à fort passage. La plupart des usagers ne portent pas le masque. L’attention des agents de police se concentre également sur la consommation d’alcool, interdite sur la voie publique.

Une dame boit justement une bière sous un arrêt de bus. Cette dernière ne comprend pas pourquoi elle est pénalisée d’une amende de 135 euros. " J’avais soif, je buvais juste une bière en attendant le bus", s’étonne-t-elle.

A quelques mètres de là, même étonnement pour un couple de touristes espagnols qui, faute du non-port de masque, repart avec une douloureuse multipliée par deux. "Pourquoi il n’y a pas de panneaux pour le rappeler", s’insurge l’homme qui dit être commissaire dans son pays. Le commandant Illien, dans la langue de Cervantès, lui explique que l’arrêté existe depuis de longs mois déjà et qu’il est toujours possible de contester l’infraction de 4e classe devant le tribunal de police. Le couple s’éloigne en pestant.


Quoi qu’il en soit pour les policiers, qui comptent sur l'effet persuasif de leur présence, l’objectif est atteint. "Les personnes verbalisées et celles qui ne l’ont pas été communiqueront auprès de leur proche sur l’opération de contrôle".

Les choix stratégiques sur l’opportunité de ces contrôles sont donnés par le contexte, reconnaît également le commandant de police. "Nous sommes en urgence sanitaire, nous avons fait beaucoup de pédagogie. Nous passons désormais à une autre phase. Il faut faire descendre le taux d’incidence afin d’éviter de se retrouver dans une situation de confinement ferme". Pour autant, les agents "font la part des choses", assure le commandant. "Nous verbalisons des personnes, pas des délinquants". 

Les commerces également contrôlés

Le convoi de policiers reprend la route et s’arrête au fil des infractions au respect des mesures sanitaires.  A Bois d’Olives, devant un bar, des clients consomment leur bière en cette fin d’après-midi. A l’intérieur, le tenancier ne porte également pas de masque. C’est la troisième fois que le commerçant est contrôlé. Il a été mis en demeure. Il risque la fermeture de son établissement s’il ne se met pas en conformité. "On a mis une pancarte à l’accueil mais les gens ne respectent pas", tente de se justifier le commerçant. "Si vous n’avez pas de masque, vous ne pouvez pas vous attendre à ce que vos clients en portent", lui rétorque un agent de police.

Cette après-midi-là, 92 verbalisations sont dressées au total, 74 pour non-port du masque, 18 pour consommation d’alcool sur la voie publique. Les autorités espèrent enrayer la progression rapide de l’épidémie d’ici la rentrée scolaire.

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Jean-Michel Blanquer en vacances à Ibiza : Ça vous choque ?

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Les vacances du ministre de l'Education nationale à Ibiza a provoqué un tollé. Notamment parce qu'il a annoncé un renforcement du protocole sanitaire dans les écoles depuis l'Espagne. #LeDébatDuCouvreFeu vous demande votre avis.
Jean-Michel Blanquer en vacances à Ibiza : Ça vous choque ?
L'annonce d'une modification du protocole sanitaire dans les écoles le 2 janvier dernier avait provoqué la colère des enseignants et des parents d'élèves. Le dispositif complexe a été difficilement appliqué et des modifications ont été apportées dans les jours qui ont suivi.

Mais les révélation de Mediapart a continué à alimenter la polémique. Le ministre de l’Education nationale se trouvait en vacances à Ibiza, en Espagne, lorsqu'il a annoncé le renforcement des mesures plus restrictives dans les écoles.

De nombreux membres de l'opposition ont appelé à sa démission. Jean-Michel Blanquer s'est lui expliqué sur le plateau du Journal Télévisé de TF1"Il est normal, même pour un membre du gouvernement, de prendre quatre jours de vacances (du 28 décembre au 2 janvier), et je n'ai enfreint aucune règle gouvernementale. Si j'étais resté à Paris, les choses n'auraient pas été différentes".

Êtes-vous choqué par les vacances de Jean-Michel Blanquer à Ibiza pendant qu'il annonçait un renforcement du protocole sanitaire dans les écoles ? Donnez votre avis en commentaire :

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Mayotte : Le gurua, une pratique pédophile qui met la justice dans l'embarras

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La notion juridique de viol implique une pénétration. Le "gurua", pratique censée préserver la virginité avant le mariage, permet à des prédateurs d'échapper à la cour d'Assises. Du coup d'un procès à l'autre, la gravité de l'acte est jugée très différemment, malgré des victimes parfois très jeunes.
Mayotte : Le gurua, une pratique pédophile qui met la justice dans l'embarras
"Si je ne l'avais pas fait, d'autres hommes l'auraient fait". Accusé d'agression sexuelle sur une fillette de 11 ans, l'homme à la barre n'aura pas un mot pour sa victime, absente au tribunal.

Invoquant son droit au silence, il a contraint les juges à entrer dans le détails de ses déclarations, fluctuantes au fil de l'enquête, mais au gré desquelles il n'a eu de cesse de s'enfoncer. Il a ainsi affirmé être "amoureux" de l'enfant, et être fiancé à elle. Il a déclaré l'avoir "repérée" dès ses deux ans, et assuré que c'est elle qui avait pris l'initiative d'un rapport sexuel, en 2015, quand elle en avait 11, et lui 38.

Le rapport en question, c'est un "gurua", parfois traduit par "pinceau". Dans les faits, il s'agit de préserver la virginité de sa partenaire en frottant son pénis entre les cuisses de la jeune fille, jusqu'à l'éjaculation, mais sans la pénétrer. Si la pratique ne pose pas de problème juridique quand elle concerne deux jeunes fiancés consentants, elle sert aussi à des pédophiles pour s'en prendre à de très jeunes filles. Souvent sans voir le mal.

"Il n’a formulé aucun regret, 6 ans après les faits, il n’a pas identifié l’infraction qu’il a commise, c’est le signe qu’il ne voit pas le mal dans ce qu’il a fait", déplorait ainsi ce mercredi le substitut du procureur qui réclamait 4 ans de prison ferme pour un homme jugé "dangereux" et décrit dans le quartier où il vit comme un "prédateur".

L'affaire aurait "pu finir devant une cour d'Assises" a estimé l'avocat de la jeune fille, Me Andjilani. Mais les "guruas" sont généralement correctionnalisés. Mais aux Assises, en l'absence de pénétration, le risque d'acquittement est élevé, d'où ce choix procédural.

L'homme jugé ce mercredi a finalement écopé d'une peine bien plus légère que celle requise : 2 ans de prison dont un avec sursis, sans mandat de dépôt. Une peine qui illustre la difficulté qu'a la justice mahoraise à qualifier et à réprimer ces rapports sexuels, dans les faits très proches d'un viol.

En 2020 pourtant, une affaire tout aussi sordide de "gurua" sur une fillette de 10 ans s'était soldée par une peine record de 8 ans de détention en première instance. Le prévenu de ce 19 janvier est lui reparti libre, avec une convocation devant le juge d'application des peines. Deux lectures bien différentes d'une même pratique qui perdure.

Y.D.

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Mayotte : La Cimade retrouve ses locaux... sous la protection de la police

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Les salariés de la Cimade ont réintégré leurs locaux ce mercredi après-midi après plus d'un mois de blocage par un collectif anti-immigration. Les militants de la Cimade dû être escortés par la police sous des huées et autres propos xénophobes.
Mayotte : La Cimade retrouve ses locaux... sous la protection de la police
"Les Comoriens dehors!" Au milieu de la rue, en contrebas du local de la Cimade situé au premier étage d'une maison de Mamoudzou-centre, des militants, plus d'une vingtaine, crient leur colère. Le local était jusque là gardé par quelques militants qui se relayaient.

Le collectif, hostile à toute aide apportée aux étrangers à Mayotte, n'a pas tardé à mobiliser quand il a appris l'intention de la Cimade de retrouver ses locaux, illégalement bloqués depuis le 13 décembre.

Ce mercredi, c'est donc dans une ambiance tendue que l'association a retrouvé son local. Peu après 15h30, les responsables locaux, escortés par un équipage de la police nationale, a monté l'escalier et tenté sans succès de décrocher la banderole qui avait été fixée au balcon.

Alors que le ton montait en bas, un autre véhicule de police est arrivé en renfort. Peu après, entre les huées et les propos menaçants, un journaliste local a même "failli prendre un coup" par un jeune excité qui faisait de grands gestes en vociférant. Entre les banderoles et les propos tenus oralement, l'association annonce porter plainte pour diffamation.

On s'en souvient, des manifestants s'en étaient pris à la Cimade, poursuivant ses membres jusque dans leur local dont ils avaient dû être exfiltrés par la police, après une décision de justice invalidant un arrêté préfectoral de "décasage". Un jugement qui, selon les militants, a bénéficié aux étrangers au détriment de Mahorais.

Le collectif avait dans la foulée reçu le soutien de Marine Le Pen qui avait accusé la Cimade de contribuer à l'immigration clandestine, galvanisant les militants. L'association a depuis reçu le soutien de sa direction nationale, et du collectif Migrants Outre mer.

L'association espère désormais pouvoir poursuivre ses activités "dans le respect de la liberté d'association qui doit être garantie par nos autorités".

Yohann Deleu

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​Dépistages : La Croix-Rouge recherche des bénévoles

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La Croix-Rouge lance un appel aux volontaires pour venir prêter main-forte aux bénévoles dans les centres de dépistage.
​Dépistages : La Croix-Rouge recherche des bénévoles
Suite à la recrudescence de l’épidémie de COVID 19 et l’arrivée du variant OMICRON sévissant sur La Réunion, la Croix-Rouge française est très sollicitée.

Les bénévoles qui assurent les permanences d’accueil pour les centres de dépistages ne sont pas assez nombreux, notamment sur Saint-Denis et La Saline-Les-Bains.

La Croix-Rouge lance un appel aux personnes qui seraient disponibles pour venir aider les bénévoles dans les centres de dépistage.

Les intéressés peuvent joindre la Croix-Rouge à dt.reunion@croix-rouge.fr
 ou par téléphone au : 02 62 90 96 60 

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CIVIS : Avis d'information d'un avis d'attribution - Services-Prestations intellectuelles

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Nom et adresse officiels du pouvoir adjudicateur : 
Communauté Intercommunale des Villes Solidaires (C.I.VI.S.)
Correspondant : M. le Président
Point de Contact : Direction Achats Marchés Publics
Adresse : 29 route de l’Entre- Deux- Pierrefonds 97410 Saint-Pierre LA REUNION
Tél. : 02-62-49-96-00, Télécopieur : 02-62-33-06-36, courriel : damp@civis.re  
Adresse internet : http://www.civis.re
Adresse internet du profil d'acheteur : http://www.civis.e-marchespublics.com
Le pouvoir adjudicateur n'agit pas pour le compte d'autres pouvoirs adjudicateurs
Principale(s) Activité(s) du pouvoir adjudicateur: Environnement, transports.
 
N° / Objet du marché : N° 2021GEA049-MISSION D’ASSISTANCE RELATIVE A LA PROCEDURE DE RENOUVELLEMENT DE LA CONCESSION DE SERVICE PUBLIC DE L’EAU POTABLE DE LA VILLE DE SAINT LOUIS.
 
Type de Procédure :   Marché sous la forme d’une procédure adaptée défini aux articles L2123-1, R2123-1 à R2123-8 du Code de la Commande Publique.
 
Les entreprises souhaitant consulter l’avis d’attribution du marché publié dans son intégralité :
  • au B.O.A.M.P  renvoyant au JOUE : réf : n°22-5187 (date d’envoi le 11 janvier 2022)
Renseignements complémentaires : point de contact susmentionné
Date d’envoi du présent avis d’information: 19 janvier 2022

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CIVIS : Avis d'information d'un avis d'appel public à la concurrence - Fournitures et services

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Nom et adresse officiels du Pouvoir Adjudicateur : 
Communauté Intercommunale des Villes Solidaires (C.I.VI.S.)
Correspondant : M. le Président
Point de Contact : Direction Achats Marchés Publics
Adresse : 29 route de l’Entre- Deux- Pierrefonds 97410 Saint-Pierre LA REUNION
Tél. : 02-62-49-96-00, Télécopieur : 02-62-33-06-36, courriel : damp@civis.re  
Adresse internet : http://www.civis.re
Adresse internet du profil d'acheteur : http://www.civis.e-marchespublics.com
Le pouvoir adjudicateur n'agit pas pour le compte d'autres pouvoirs adjudicateurs
Principale(s) Activité(s) du Pouvoir Adjudicateur : Services généraux des administrations publiques.
Objet du marché : 2022ADM002–MARCHE DE PRESTATIONS D’ASSURANCE « responsabilite civile et risques annexes »DE LA CIVIS.
 
Type de Procédure : Procédure d’Appel d’offres ouvert suivant l’article L2124-1 et des articles R2124-1 et R2124-2 du Code de la Commande Publique.
Les entreprises souhaitant candidater au présent marché sont priées de consulter l’Avis d’Appel Public à Concurrence publié dans son intégralité:
 
  • au B.O.A.M.P. renvoyant au JOUE : réf : n°22-7759  (date d’envoi le 14/01/2022)
  • sur le profil acheteur : http://www.civis.e-marchespublics.com (date de mise en ligne le 16/01/2022)
 
Renseignements complémentaires : point de contact susmentionné
 
Date limite de réception des offres : 17/02/2022 à 15h00 (heure locale GMT+ 4)
 
Date d’envoi du présent avis d’information: 19/01/2022

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​Météo : Sous le vent et les nuages

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Sortez les parapluies, Météo France annonce des nuages, de la pluie et du vent ce jeudi.
​Météo : Sous le vent et les nuages
Le bulletin de Météo France Réunion :

Poussées par un vent de nord-est qui se renforce, des averses passagères sont attendues le long des côtes, approximativement entre le Port et Saint Philippe plus à l'ouest le temps se montre clément.
L'après-midi, l'intérieur de l'île se charge en nuage avec des averses principalement sur les pentes de l'ouest.
Le vent de Nord-ouest se renforce avec des rafales entre 50 et 60 km/h le long des côtes nord-ouest et sud-est.
En montagne, le vent se renforce en cours d'après-midi avec des rafales entre 70 et 80 km/h sur les crêtes exposées comme par exemple au Maido.
Mer peu agitée à agitée au vent. Petite houle de secteur Sud.


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Sans permis, il fonce sur un gendarme qui finit par sortir son arme

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Un homme comparaissait ce mercredi devant le tribunal judiciaire de Saint-Denis pour des faits de violences avec arme, en l'occurence, son véhicule. Le gendarme qui lui sommait de s'arrêter a dû, sentant sa vie menacée, sortir son arme de service et la pointer en sa direction.
Sans permis, il fonce sur un gendarme qui finit par sortir son arme
Jonathan B., 38 ans, devait répondre ce mercredi de faits de violences avec arme, commis le 14 janvier dernier dans la commune de la Possession. Alors qu'il raccompagne un ami chez lui, il aperçoit les gendarmes, qui intervenaient pour un différend familial, au bout du chemin. La rue faisant à peine 4m de large, les trois gendarmes décident de laisser leur véhicule et de monter à pied. Voyant la golf descendre, les militaires décident de contrôler le conducteur. Ils se postent devant pour le sommer de s'arrêter. Peine perdue, il n'obtempère pas. 

Le conducteur poursuit sa route, forçant deux gendarmes à se dégager alors que le troisième, voyant sa vie menacée par le véhicule qui ne s'arrête pas, sort son arme et la pointe en direction de Jonathan B. Il finit par se jeter sur le côté, prenant la décision de ne pas ouvrir le feu.

Après une enquête de voisinage, les militaires identifient un de ses proches qui ne leur donnera pas son nom, arguant qu'il n'est pas une "poukave". Le fuyard est identifié rapidement, interpellé chez sa mère le 16 janvier, placé en garde à vue et déféré au tribunal. 

Peur de la prison

Il faudra plusieurs interrogatoires pour qu'il reconnaisse les faits de violences sur personnes dépositaires de l'autorité publique. "J'ai paniqué parce que je n'ai pas de permis. je ne voulais pas retourner en prison", explique-t-il avant d'éclater en sanglots, comprenant la gravité de ses actes. Avec 10 mentions à son casier, il n'avait pas revu le tribunal depuis 10 ans et reconnait à la barre "avoir fait une faute grave". "La qualité de l'intervention et la formation des gendarmes est une fois de plus à souligner. Il sort son arme et prend la décision de ne pas ouvrir le feu !", souligne la partie civile. 

La procureure de la République, de son côté, admet : "Il a pris conscience de ce qu'il a fait et reconnait les faits". Elle requiert une peine de 2 ans de prison dont 1 an de sursis probatoire. Elle demande également qu'il soit maintenu en détention pour la partie ferme. "Il a fixé sur la peur de la prison au point de n'avoir pas vu l'arme qui était pointée sur lui ! Il faudrait lui laisser une chance", plaide la défense.

Le tribunal reconnait Jonathan B. coupable et le condamne à la peine de 18 mois de prison dont 12 mois avec sursis, ordonne la confiscation du véhicule et attribue les sommes de deux fois 800€ euros et une fois 1300€ aux trois gendarmes reconnus victimes. Il est maintenu en détention. 

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