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Channel: Faits divers – Zinfos974
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​Saint-Louis : Trois habitations touchées par une submersion

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Le pic de houle à causé des dégâts du côté du littoral de Saint-Louis ce mercredi matin. Plusieurs habitations ont subi une submersion.
​Saint-Louis : Trois habitations touchées par une submersion
Les équipes de police municipale de Saint-Louis ont mené la nuit dernière des actions de terrain. Celles-ci ont permis de suivre l'évolution de l'épisode de houle en temps réel, informe la maire Julianna M'Doihoma sur ses réseaux sociaux. 

La nuit s’est avérée plutôt calme dans l'ensemble, avec quelques montées des eaux ponctuelles et sans gravité, mais la commune a fait face ce matin au pic de houle. La municipalité indique que trois habitations ont été touchées par une submersion entraînant des dégâts matériels. 

Juliana M’Doihoma a décidé, en lien avec les équipes mobilisées, de reconduire l’ensemble du dispositif  de prolongation des arrêtés d'interdiction d'accès au littoral et d'évacuation des habitations (au moins jusqu’à 14h)  et du maintien du centre d’hébergement.

​Saint-Louis : Trois habitations touchées par une submersion

​Saint-Louis : Trois habitations touchées par une submersion

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Houle exceptionnelle : des dégâts occasionnés à La Saline-les-Bains

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Houle exceptionnelle : des dégâts occasionnés à La Saline-les-Bains

Depuis 00h00 ce mercredi 29 juin, l’alerte vigilance renforcée pour l’aléa vagues-submersion a été déclenchée par Météo France. La Vigilance renforcée correspond à un danger accru en raison de l’intensité exceptionnelle du phénomène. Elle concerne les zones comprises entre la Pointe des Aigrettes et la Pointe de la Table en passant par Saint-Pierre.

Ce mercredi 29 juin, après une inspection des services municipaux, la décision a été prise de fermer immédiatement l’école primaire de la Saline-les-Bains, et ce, jusqu’au jeudi 30 juin inclus. L’eau s’étant infiltrée dans l’établissement, les équipes doivent procéder à un nettoyage et à la sécurisation de la zone avant d’accueillir les élèves.

Le Maire, Emmanuel SÉRAPHIN et Sylvie CENDRE, la sous-préfète, se sont également rendus dans le secteur pour constater les premiers dégâts de cette grande houle australe.

Un peu plus loin, le poste de MNS se situant sur la plage de la Saline-les-Bains a été fortement endommagé par la forte houle dont le pic d’intensité était attendu entre minuit et 12h avec des vagues pouvant atteindre 10 à 12 mètres. 

Pour rappel, le débarcadère de Saint-Paul est également fermé au public jusqu’à nouvel ordre.

La Ville de Saint-Paul a également interdit provisoirement par arrêté municipal la baignade, les activités nautiques et la circulation piétonne sur toutes les plages et le littoral de la commune depuis le mardi 28 juin 2022, 9 heures. Cette mesure prise par la Municipalité afin de garantir la sécurité du public s’appliquera jusqu’à la fin de la vigilance émise par Météo France à La Réunion.

Les sorties en mer sont vivement déconseilléesla Prefecture recommande la plus grande prudence et invite la population à ne pas s’approcher de l’eau pour prendre des photos/vidéos des vagues.


Houle exceptionnelle : des dégâts occasionnés à La Saline-les-Bains

Houle exceptionnelle : des dégâts occasionnés à La Saline-les-Bains

Houle exceptionnelle : des dégâts occasionnés à La Saline-les-Bains

Houle exceptionnelle : des dégâts occasionnés à La Saline-les-Bains

Houle exceptionnelle : des dégâts occasionnés à La Saline-les-Bains

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Fêtes de juillet : Kar’Ouest déploie un dispositif de transport exceptionnel !

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Fêtes de juillet : Kar’Ouest déploie un dispositif de transport exceptionnel !

Dans le cadre des Fêtes de juillet qui se dérouleront du 1er au 14 juillet au Parc Expobat et du 4 au 14 juillet au centre-ville de Saint-Paul, Kar’Ouest déploie un dispositif de transport exceptionnel pour vous permettre de profiter des animations. Le vendredi 8 juillet uniquement, une navette gratuite sera mise en place, elle reliera la Grotte du Peuplement et le Parking de La Chaussée Royale (face au Super U). 2 minibus de 20 places seront ainsi déployés le vendredi 8 juillet 22 entre 08h00 et 17h00, soit une fréquence au ¼ d’heure.

En parallèle, les lignes régulières se verront renforcées du 6 au 9 juillet pour la ligne 1, 2, 3 et 61. Un minibus de 50 places supplémentaire sera déployé pour chacune des 4 lignes suivantes. Enfin, pour le 10 et 14 juillet, la capacité des autocars est augmentée pour les lignes 1, 60, 61, 74 et 78. Ils fonctionneront aux horaires habituels. 

Venez profiter des Fêtes, sans vous prendre la tête !


Fêtes de juillet : Kar’Ouest déploie un dispositif de transport exceptionnel !

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Don de 25 000 arbres pour revégétaliser les campus

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Don de 25 000 arbres pour revégétaliser les campus

Département / Université

Signature ce matin au campus du Moufia d’une convention de partenariat entre le Président du Conseil départemental Cyrille Melchior et le Président de l’Université de La Réunion, Frédéric Miranville. Cet accord prévoit la mise à disposition de  25 000 arbres destinés à revégétaliser les campus universitaires de l’île, au travers du Plan 1 million d’arbres pour La Réunion (P1MA), porté par le Département. Pour Cyrille Melchior, « C’est un acte fondateur, car l’Université qui forme l’excellence de la jeunesse et qui compte 20 000 étudiants est un partenaire essentiel du P1MA". 

Frédéric Miranville a indiqué que « L’Université de La Réunion, qui fête son 40e anniversaire et qui est passée de 10 000 m² - lors de sa création - à 100 000 m² de surface aujourd’hui, ambitionne de créer des campus responsables par la densification végétale des lieux et leur déminéralisation. Pour imaginer des espaces universitaires respectueux de l’environnement et au service de la communauté, un programme environnemental ambitieux est devenu nécessaire ».

Les axes stratégiques de l’Université pour « Viser l’excellence en matière d’efficacité énergétique des espaces bâtis et de qualité de vie des usagers », ont fait l’objet d’une exposition, illustrée par les photos « avant » et « après » montrant le changement attendu des sites concernés.

Stands d’éco-mobilité, de revalorisation des déchets, de sensibilisation au développement durable étaient proposés à l’ensemble des personnels et étudiants de l’Université dans le cadre d’un « éco-village » implanté sur le parvis de la médecine préventive du campus du Moufia.

À ce même endroit, un nouvel espace re-végétalisé a été inauguré par les deux Présidents. Quarante pots en vacoa - matière biodégradable - contenant des graines de palmiers indigènes de La Réunion ont été remis par le Département pour symboliser le 40e anniversaire de l’Université. Quatre variétés de palmiers indigènes de La Réunion (10 pots chacune) ont été semées à l’occasion de la signature de convention, ce 28 juin : palmiste cochon, palmiste blanc, palmiste rouge et latanier rouge.


La Convention de partenariat Université - Département de La Réunion



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Saint-Leu : Le skate-park fermé après avoir subi les dégâts de la houle

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Touché par la forte houle, le skate-park de Saint-Leu n'est plus accessible jusqu’à nouvel ordre.
Saint-Leu : Le skate-park fermé après avoir subi les dégâts de la houle
La Ville de Saint-Leu informe les usagers du skate-park, qu’à la suite de la houle, l’équipement a été endommagé.

En conséquence et par arrêté municipal, le skate-park est interdit d’accès jusqu’à nouvel ordre, les conditions de sécurité n’étant plus réunies.

En plus du nettoyage du site, la clôture partiellement détruite devra être refaite. Il est aussi primordial de vérifier la stabilité des sols et l’état des modules.

La Ville remercie les usagers pour leur compréhension.

Saint-Leu : Le skate-park fermé après avoir subi les dégâts de la houle

Saint-Leu : Le skate-park fermé après avoir subi les dégâts de la houle

Saint-Leu : Le skate-park fermé après avoir subi les dégâts de la houle

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La Vigilance Renforcée est levée mais pas la Vigilance Vagues-Submersion

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La Vigilance Renforcée est levée mais pas la Vigilance Vagues-Submersion
Le pic de houle a été atteint en matinée de ce mercredi avec des vagues moyennes de 6 mètres. La houle de Sud-Sud-Ouest commence à s'amortir avec des valeurs voisines de 5 mètres en cette fin d'après midi. En fin de nuit du mercredi 29 au jeudi 30, la houle sera voisine de 4 mètres.

La Vigilance Renforcée est donc levée, mais la Vigilance Vagues-Submersion reste d'actualité sur les zones allant de la Pointe des Aigrettes à la Pointe de la Table en passant par Saint-Pierre.

Des submersions et des débordements le long du littoral, de forts courants dans les passes et les lagons sont attendus au déferlement de cette houle. La plus grande prudence reste de mise lors de cet épisode remarquable et hautement impactant pour nos côtes.

Ce bulletin sera réactualisé Jeudi 30 juin 2022 vers 08 heures locales.


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Casabona : Un centre commercial et tertiaire qui se veut être la "ville de demain"

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Le complexe de 21.000m2 au total a été officiellement inauguré ce mardi. "Une ambition forte" pour les groupes Cadjee, Locate et Savaranin, accompagnés d’Icade et de la Banque des Territoires, qui ont investi 60 millions d’euros avec pour enjeu "une mixité urbaine".
Casabona : Un centre commercial et tertiaire qui se veut être la
Se restaurer, faire ses courses, travailler et bientôt également faire du sport… l’ambition des familles des groupes Cadjee, Locate et Savaranin s’est concrétisée avec l’ouverture progressive d’un supermarché Leader Price de 2.300m2 suivi d’enseignes d’équipement de la maison, de prêt-à-porter et d’une large offre de restauration rapide sur 2.000m2. Le tout à l’entrée ouest de la capitale du sud à proximité de l’hypercentre mais aussi du centre commercial Canabady. "C’est une offre complémentaire. L’espace à Cannabady est saturé", assure Riaz Locate, dirigeant au sein du groupe éponyme. 

80 % des enseignes ont déjà pris leur marque et l’ensemble des cellules commerciales seront occupées d’ici septembre prochain. "Nous avons eu beaucoup de demandes", se félicite Abdul Cadjee. Une salle de sport ouvrira également ses portes prochainement au deuxième étage du centre commercial. Si ces cellules ont toutes été louées et alors qu’il manque à s’installer un guichet bancaire et des kiosques alimentaires et d’artisanat, les espaces bureaux ont, eux, été achetés. Les services de la CAF, un office notarial ont d’ores et déjà été actés leur venue. Pour le troisième bâtiment, des négociations entre une activité hôtelière ou une activité sociale sont en cours. 

La "ville de demain"

Côté déplacements, les investisseurs ont misé sur plus de 600 places d'un parking connecté à la RN2 et à la RN3 via le carrefour se trouvant à proximité immédiate. C'est "la grande force du site", d’autant que "l’on peut venir ici à pied", insiste Abdul Cadjee. Une accessibilité possible en bus et à vélo précise aussi Riaz Locate. La commune de Saint-Pierre crée également une voie d’accès entre l’allée de la piscine et la rue Casabona. 

Cette inauguration officielle est également l’occasion pour les différents investisseurs de mettre en lumière les travaux d’aménagement et de végétalisation réalisés. 200 arbres à haute tige ont été plantés et le banian centenaire emblématique du site a été conservé. Des aménagements paysagers récents et une "belle ambition pas évidente pour des investisseurs commerciaux nécessaires pour la ville de demain", note Gilles Garcia, directeur régional d’Icade Promotion.  

Pour Guillaume Lehébel, chargé de développement territorial à la Banque des Territoires, actionnaire à hauteur d’un tiers dans le projet, cette première livraison du groupement est une "réussite".

Au total, 600 salariés vont travailler dans ce nouvel équipement tertiaire et commercial pour lequel une fréquentation de 2.000 à 3.000 personnes par jour est espérée.

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​La Chambre d'Agriculture demande la sanctuarisation la canne à La Réunion

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La Chambre d'Agriculture fait le point sur la filière canne-sucre-rhum-énergie et explique pourquoi elle soutient les planteurs de canne dans le bras de fer engagé avec les industriels dans le cadre des négociations de la convention canne 2022-2027.
​La Chambre d'Agriculture demande la sanctuarisation la canne à La Réunion
La Chambre Verte détaille les bons résultats des différentes industries autour de la canne à sucre et appelle à la mobilisation des acteurs économiques pour éviter l'effondrement des filières si les planteurs ne sont pas protégés. Voici la note de la Chambre d'Agriculture pour éclairer les débats en cours autour de la convention canne :

A l’heure où la convention canne est rediscutée, la situation est critique. Depuis 2017, la production peine à dépasser les 1,5 million de tonnes et le moral des planteurs n’a jamais été aussi bas. La crise ukrainienne vient rajouter une difficulté supplémentaire avec une flambée du prix des intrants, notamment les fertilisants et le carburant qui atteignent des niveaux record.

Renouvellement de la convention canne 2022-2027

Dans ce contexte, la Chambre d’Agriculture est pleinement mobilisée aux côtés des planteurs et syndicats. La canne reste le pivot de l’agriculture réunionnaise, support de diversification par le revenu garanti qu’elle apporte notamment en cas d’accident climatique. La canne est aussi la clé de voûte de nombreuses industries dont le sucre, le rhum et l’énergie qui dégagent de nombreuses valeurs ajoutées pour le territoire.

Le message fort qui est adressé aujourd’hui est que le planteur constitue le maillon faible de cette chaîne et que si ce maillon venait à céder, c’est toute l’industrie associée qui serait fragilisée avec des conséquences terribles sur l’emploi.

Le Rhum : +32%

Le marché du rhum est un marché en forte progression depuis plusieurs années :
+ 32% sur la production réunionnaise en 8 ans. Il génère chaque année toujours plus de valeur ajoutée pour l’île de La Réunion sans que le planteur en bénéficie directement.

Pourtant : sans canne, pas de mélasse locale. Sans mélasse locale, pas de rhum IGP. La revendication d’obtenir une augmentation du prix de la mélasse répercutée sur le revenu du planteur est totalement légitime..

La Chambre souhaite :

● Une augmentation de 2,5 euros par tonne de canne financée par une augmentation de la mélasse à 157 €/t au lieu de 110 €/t (10 millions d’euros de chiffre d’affaire par la vente de mélasse)
● Une meilleure redistribution des recettes avec l’objectif de dégager 4 millions pour les planteurs. À l’heure où l’État a acté la conversion 100% biomasse des centrales thermiques du Gol et de Bois Rouge, le prix de la biomasse locale doit faire l’objet de toutes les attentions, il serait impensable de payer plus chère une matière première importée plutôt que de valoriser une matière première locale.

L'énergie : Sans canne, - 9% de production en moins dans le mix électrique local

Depuis des années, nous avons minimisé le rôle de la canne dans le mix énergétique, indique la chambre d'agriculture. Elle participe à l’autonomie énergétique de l’île et contribue à réduire notre dépendance au pétrole et au charbon.
De ce fait, elle mérite d’être mieux valorisée surtout dans un contexte de flambée des prix du fret maritime, d’inflation et d’incertitude associée aux crises successives. Sans canne à sucre c’est près de 9% de production en moins dans le mix électrique de l’île..

La Chambre souhaite que :
● La CRE revalorise la bagasse pour accompagner la croissance de la consommation énergétique
● L’industriel Albioma contribue au revenu du planteur par un complément de prix.

Le sucre : "Le moment pour les planteurs de pouvoir bénéficier d’une augmentation significative de la rémunération"

Depuis la fin des quotas en 2017, les prix du sucre ont plongé. Cependant, la conjoncture semble aujourd’hui plus favorable avec des prix qui ont retrouvé leur niveau d’avant réforme et qui devraient encore augmenter.

Pour la Chambre d'Agriculture, "c’est le moment pour les planteurs de pouvoir enfin bénéficier d’une augmentation significative de la rémunération liée au sucre". Non seulement les sucres blancs mais aussi et surtout les sucres spéciaux à plus forte valeur ajoutée dont l’État a garanti sa volonté de protéger ce marché par une clause de sauvegarde. Les évolutions des prix du sucre brut sont claires. Il faut réfléchir à un calcul de cette prime en considérant un seuil plus bas pour le sucre blanc et développer une rémunération en adéquation avec le marché des sucres spéciaux.

La Chambre souhaite : 
● Revoir l’article 10-d en fixant le seuil à 404 €/t
● Intégrer dans le prix, la moyenne du prix du sucre blanc et des sucres spéciaux

La mécanisation : Un prix plancher de 35 euros demandé

La pénurie de coupeurs de canne a contraint de nombreuses exploitations à adopter la coupe longue machine avec les coupeuses péï. Malheureusement, cette transition s’effectue dans la douleur avec des pertes de richesse et donc de revenu considérable pour les planteurs.

L’avenir de la filière canne est aujourd’hui conditionnée à une solution pour permettre à ces agriculteurs de maintenir leur revenu notamment en garantissant qu’aucun planteur n’ait à rembourser en fin de campagne l’avance de 30 euros payée par les industriels. Dans ce contexte, la revendication historique d’un prix plancher de 35 euros est maintenue. L’échéance qui est devant nous est décisive, souligne la chambre.

"En aucun cas, les planteurs ne pourront accepter que la canne ne soit qu’une variable d’ajustement des industries florissantes qui se sont développées autour d’elle. Pour continuer à assurer le succès des rhums réunionnais et le rayonnement de la production sucrière et énergétique de l’île, il est impératif de sanctuariser la production de cette matière première essentielle. Cette convention 2022 – 2027 doit être un véritable électrochoc pour le revenu du planteur afin de  donner un nouvel élan à la filière et assurer ainsi sa pérennité", conclut la Chambre d'Agriculture.

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Vigilance vague-submersion : Le point sur le réseau routier

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La préfecture fait le point à 17 heures sur les conséquences de la forte houle à La Réunion.
Vigilance vague-submersion : Le point sur le réseau routier
Vigilance vague submersion
Point de situation à 17h00
 
La houle va progressivement s’atténuer, mais des creux de 5 m en moyenne pourront encore être observés jusqu’à demain matin.
 
De la pointe des aigrettes à la pointe table, la vigilance renforcée vagues submersion est levée à partir de 16h00 et passe en vigilance vagues submersion. La vigilance vagues submersion est totalement levée à 16h00 de la pointe de galets à la pointe des aigrettes.
 
En conséquence, la cellule opérationnelle de la préfecture (COP) reste activée, mais passe en posture de veille à compter de 17h00.
 
Les consignes de sécurité restent en vigueur, jusqu’à la levée définitive de la vigilance.
 
La préfecture lance un appel à la prudence aux usagers de la mer pour les jours à venir. Les conditions météorologiques dégradées en mer constituent des conditions favorables à l’aggravation du risque d’attaque de requins.
 
Point sur les accès routiers
Sur la commune de Saint-Pierre : le boulevard Hubert de Lille, le boulevard Amiral Lacaze, l’avenue Daniel Ramin, la rue Irenée Courtois et les quais du Port restent fermés.
Sur la commune de Saint-Joseph : la voirie a été endommagée au niveau du débarcadère de Manapany.
Sur la commune de Saint-Louis : le cordon dunaire de l’étang du Gol s’est ouvert.
Sur la commune de Saint-Philippe : la route nationale 2 est endommagée au lieu-dit de la mer cassée. L’évaluation des dégâts est en cours. Le site du puits des Anglais est fortement impacté. Les expertises se dérouleront sur les prochains jours.
A la Saline, l’école élémentaire a été endommagée et sera fermée demain. Les services du rectorat communiqueront sur les modalités de réouverture de l’école.
Sur la commune de l’Étang-Salé, la route Nationale 1A entre l’Étang Salé et Saint-Leu est ré-ouverte. La plus prudence reste recommandée sur cet axe particulièrement exposé.
 
Bilan matériel et humain
Le bilan humain reste inchangé par rapport au dernier point de situation, soit une personne décédée et une personne blessée désormais en état d’urgence relative.
 
Rappel des consignes de sécurité
- Surveillez la montée des eaux
- Protégez vos biens susceptibles d’être emportés
- Ne prenez pas la mer et stoppez toute activité nautique
-Eloignez-vous des côtes
- Ne vous engagez pas sur les routes exposées à la houle ou inondées
- Tenez-vous informé sur www.meteofrance.re

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Le dispositif R+ élargi aux associations et aux PEC marchands

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Profitant ce mercredi d'une matinée d'information faite à l'Université régionale des métiers et de l'artisanat de Saint-André, le Département a dévoilé aux chefs d'entreprise les dernières nouveautés concernant son dispositif R+. Ce dernier permet pour rappel de compenser la perte du RSA et des aides au logement avec les revenus d'une activité, notamment en cas de formation professionnelle.
Le dispositif R+ élargi aux associations et aux PEC marchands
Alloué initialement aux allocataires du RSA qui suivent un parcours salarié, en formation rémunérée, en création d'entreprise ou encore en mobilité, le dispositif R+, expérimenté jusqu'en 2024 dans l'île, sera désormais élargi aux associations dès lors que les bénéficiaires du RSA qui y travaillent "ont une formation pré-qualifiante ou qualifiante", se réjouit le vice-président de la collectivité départementale en charge des affaires sociales, Jean-Marie Virapoullé. "Les associations nous ont rapporté les difficultés auxquelles elles étaient confrontées pour mettre en place ce type de formation. Nous allons travailler avec l'État, la Région et les autres partenaires pour faciliter la mise en place de ces formations", assure-t-il.

"Les associations nous ont parlé également de la question de l'hébergement ou de l'aide au transport. Ce sont des éléments qui sont arrivés dans les débats, que l'on connaît, que l'on a déjà pris en considération. On va mettre des actions concrètes au Département pour inciter les bénéficiaires du RSA à la reprise de l'activité", poursuit l'élu départemental.

Outre son élargissement aux associations, le dispositif R+ sera aussi étendu aux bénéficiaires d'un contrat Parcours Emploi Compétence (PEC) Marchand.

La généralisation du R+ a déjà permis à plus de 4.600 personnes de retrouver le chemin de l'insertion depuis son lancement. Dans une enquête menée par le Département en début d'année, on apprend que 44% des personnes passées par ce dispositif ont bénéficié d'une sortie dynamique vers l'emploi ou la poursuite de formation, un taux supérieur aux résultats de l'accompagnement global.
"Un bénéficiaire sur deux du R+ a pu s'insérer durablement à travers un emploi stable ou une formation"


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Fermeture de l'école de la Saline les Bains

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Le rectorat informe les personnels et les parents d’élèves de l’école de la Saline les bains que les élèves ne seront pas accueillis demain jeudi 30 juin 2022, pour permettre le nettoyage des dégâts provoqués par la forte houle. Le dispositif de continuité pédagogique est activé par l’inspection de la circonscription.
Fermeture de l'école de la Saline les Bains

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Cilaos joue l'éternel refrain de l'amortisseur social pour expliquer le nombre important d'agents communaux

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Les élus de Cilaos rendaient public lundi soir le très attendu rapport d’observations de la chambre régionale des comptes. Le document a ceci de particulier qu’il brosse la gestion de la Ville sur deux périodes, celle de l’ancien maire Paul Franco Técher et du nouveau, depuis 2020, Jacques Técher. Les principaux griefs tombent logiquement sur les épaules du sortant alors que son successeur profite de cette éclairage des magistrats financiers pour corriger le tir.
Cilaos joue l'éternel refrain de l'amortisseur social pour expliquer le nombre important d'agents communaux
Les magistrats financiers se sont arrêtés dans le cirque de Cilaos ces derniers mois. Plus exactement dans la liasse de documents comptables qui permettent ce droit de regard parfois salutaire pour la bonne conduite des finances locales. Et il faut dire qu’ils ont eu de la matière. Le rapport d’observations bâti sur une trentaine de pages n’est pas tendre avec la gestion de l'ancien maire. Parmi les points soulevés par la CRC trône en bonne place le nombre important d'agents. Il s'élève à 39 agents communaux pour 1000 habitants alors que la moyenne nationale pour les communes de cette strate démographique est de...14. Une réalité que l'ancien édile justifie par le fameux rôle d' amortisseur social que jouent les collectivités à La Réunion.

La synthèse du rapport : 

La commune de Cilaos souffre de carences dans son modèle de gouvernance. Le conseil municipal et les citoyens ne sont pas correctement informés des affaires de la collectivité : des délibérations manquent de précisions et le maire n’a pas rendu compte systématiquement de ses décisions prises en vertu de délégations au conseil municipal. 

Les comptes de la commune manquent de sincérité. Les prévisions budgétaires de piètre qualité en raison principalement d’une mauvaise planification des investissements se traduisent par de faibles taux d’exécution budgétaire et d’importants restes à réaliser. La commune, dont le budget 2020 s’élève à 11,5 millions d'euros, n’a pas constitué de provisions en dépit de différents risques avérés estimés à 300 000 € par la chambre. 

Les lacunes dans la gestion des affaires de la commune s’expliquent en partie par un faible taux d’encadrement : seuls 1 % de ses 242 agents sont des agents d’encadrement et 4 % des agents d’encadrement intermédiaire. Alors que les charges de personnel représentent plus des trois quarts de ses charges de fonctionnement et qu’elles sont largement supérieures à la moyenne des dépenses par habitant des communes de la même strate, aucun contrôle de la masse salariale ou des effectifs n’a été mis en place. L’instauration du nouveau régime indemnitaire n’est pas achevée et l’attribution de certains compléments de rémunération est contestable. La mise en place d’une gestion prévisionnelle des emplois et des compétences est nécessaire dans un contexte financier dégradé où nombre d’agents doivent partir prochainement à la retraite. Les carences dans l’encadrement expliquent aussi une gestion approximative des moyens généraux, en particulier en matière d’achat public : la commune n’a pas passé tous les marchés publics nécessaires à ses besoins courants. Le système d’information, au demeurant non conforme au règlement européen sur la protection des données, présente pour sa part des insuffisances en matière de sécurité. 

La commune recourt de manière importante aux travaux en régie. Ils représentent plus de 60 % de ses dépenses d’équipement. Leurs modalités de comptabilisation sont susceptibles de faire naître des doutes sérieux quant à leur réalité. La planification de ces opérations tant en termes financiers qu’en termes de calendrier nécessite d’être améliorée, de manière à ce que la commune puisse adopter une programmation pluriannuelle de ses investissements et recourir à l’emprunt de manière strictement nécessaire. 

La situation financière de la commune s’est dégradée depuis 2016 sous l’effet de l’augmentation des charges. En 2020, la commune ne dégage plus de son activité des ressources suffisantes pour financer ses investissements nouveaux ni même pour rembourser l’annuité de ses emprunts. 

La nouvelle mandature, élue en juillet 2020, qui souhaite engager un programme ambitieux de nouveaux équipements, devra veiller à ce que sa soutenabilité, dépendante du niveau de subventions reçues ainsi que des crédits accordés au titre de France Relance, soit consolidée au regard des marges financières réduites de la commune. 


Un extrait marquant du rapport :

Cilaos joue l'éternel refrain de l'amortisseur social pour expliquer le nombre important d'agents communaux

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Catherine Gaud, conseillère au ministère de la Santé à Maurice, continue de toucher 140.000 Roupies

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Catherine Gaud (ancienne cheffe du service d'immunologie de l'hôpital Felix Guyon à La Réunion) et actuelle conseillère au ministère de la Santé à Maurice susciterait toujours le mécontentement des médecins.
Catherine Gaud, conseillère au ministère de la Santé à Maurice, continue de toucher 140.000 Roupies
Sa nomination en tant que Senior Advisor (conseillère principale) au ministère de la Santé de Maurice ne serait pas du goût de tous. Elle aurait un salaire mensuel de 120.000 roupies (2.500 euros), ainsi qu’une allocation spéciale de 20.000 roupies.

Elle est décrié par des médecins ainsi que des élus. La suite à lire ici.

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Vidéo - Crise canne : "Les élus régionaux ont beaucoup plus de rôles à jouer que ce qu'ils donnent à voir"

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À l'heure où la filière canne est dans le flou le plus total concernant les négociations autour de la future convention 2022-2027, le parti Croire et Oser faisait un point ce mercredi à sa permanence. L'occasion pour les membres du PCO, qui apportent leur "soutien indéfectible à l'intersyndicale ", de remettre aussi bien les autorités compétentes que les industriels à leur place concernant le blocage en cours. "Les planteurs lé coincé entre le marteau et l'enclume : d'un côté zot y essaye de négocier une revalorisation du prix de revente de la canne à l'industriel sucrier Tereos et de l'autre côté, zot y essaye de renégocier le prix de revente de la bagasse avec Albioma", relève Louis Laï Kane Cheong, responsable du comité administratif de Croire et Oser.
Vidéo - Crise canne :
Un "paradoxe" pour ce dernier car une canne riche en fibre "est aussi synonyme d'une richesse moindre en sucre".

S'il salue la mobilisation des planteurs devant la préfecture, il appelle ces derniers à demander également des comptes au Conseil régional. Il s'en explique. "Aujourd'hui, les discussions tournent beaucoup autour de l'énergie et doivent être conformes au Plan pluriannuel de l'énergie (PPE), adopté par le conseil régional. Les élus régionaux ont un plus grand rôle à jouer que ce qu'ils donnent à voir pour consacrer les revendications que les planteurs essaient d'obtenir par la négociation. Notamment l'instauration d'un prix-plancher, la revalorisation du prix de la canne et de la bagasse, la requalification de cette dernière comme étant un produit dérivé et non plus un déchet".

Louis Laï Kane Cheong s'interroge également sur l'éclatement des compétences entre le Département et la Région en matière agricole. "Nous avons d'un côté un Département qui s'occupe de gérer qu'une partie du problème et la Région qui a la charge d'une autre partie du problème et les deux n'arrivent pas à s'entendre ou plutôt, feignent de ne pas s'entendre".


Communiqué de Croire et Oser sur les négociations autour de la convention canne 2022-2027 :
À l'heure où la filière canne est dans le flou le plus total concernant les négociations autour de la future convention 2022-2027, le parti Croire et Oser faisait un point ce mercredi à sa permanence. L'occasion pour les membres du PCO, qui apportent leur "soutien indéfectible à l'intersyndicale ", de remettre aussi bien les autorités compétentes que les industriels à leur place concernant le blocage en cours. "Les planteurs lé coincé entre le marteau et l'enclume : d'un côté zot y essaye de négocier une revalorisation du prix de revente de la canne à l'industriel sucrier Tereos et de l'autre côté, zot y essaye de renégocier le prix de revente de la bagasse avec Albioma", relève Louis Laï Kane Cheong, responsable du comité administratif de Croire et Oser.

Un "paradoxe" pour ce dernier car une canne riche en fibre "est aussi synonyme d'une richesse moindre en sucre". S'il salue la mobilisation des planteurs devant la préfecture, il appelle ces derniers à demander également des comptes au conseil régional. Il s'en explique. "Aujourd'hui, les discussions tournent beaucoup autour de l'énergie et doivent être conformes au Plan pluriannuel de l'énergie (PPE), adopté par le conseil régional. Les élus régionaux ont beaucoup plus de rôle à jouer que ce qu'ils donnent à voir pour consacrer les revendications que les planteurs essaient d'obtenir par la négociation. Notamment l'instauration d'un prix-plancher, la revalorisation du prix de la canne et de la bagasse, la requalification de cette dernière comme étant un produit dérivé et non plus un déchet".

Louis Laï kane Cheong s'interroge également sur l'éclatement des compétences entre le Département et la Région en matière agricole. "Nous avons d'un côté un Département qui s'occupe de gérer qu'une partie du problème et la Région qui a la charge d'une autre partie du problème et les deux n'arrivent pas à s'entendre ou plutôt, feignent de ne pas s'entendre".

Depuis 2017, nous suivons les questions de la convention canne, et plus généralement celles de l’énergie.
Ces dernières semaines, l’intersyndicale des planteurs (CGPER, JA, FDSEA, UPNA) s’est mobilisée pour forcer la négociation autour de la convention canne, sucre, rhum et énergie.

Pour rappel, la convention canne avait été instaurée dès 2017 pour compenser la disparition des quotas sucriers. Cette dernière est censée arrêter les modalités de détermination du prix de la canne, de la mélasse ainsi que de la bagasse, que les planteurs revendent à TEREOS s’agissant de la canne à 40,07 € la tonne (dont 22 € sont financés par l’Etat) pour une richesse de 13,8 % (taux de sucre présent dans la canne à sucre), et à ALBIOMA à 14,5 € la tonne dont 13,5 € reviennent au planteur et le reste à l’industriel sucrier.

Derrière ces négociations qui visent à assurer aux planteurs, des conditions de revenus dignes, se cachent en réalité, des problématiques liées au prix de l’énergie et de l’électricité qui intéressent tout usager.

Concrètement, se joue avec la convention canne 2022-2027, dans le cadre de la programmation pluriannuelle de l’énergie (PPE), le prix de la facture d’électricité que les consommateurs paieront dans les années à venir à EDF.

Pour quelles raisons ?

Actuellement, ALBIOMA rachète la bagasse pour produire de l’électricité qu’elle revend à EDF au prix de 180 € MwH, sans débourser le moindre euro, dans la mesure où ALBIOMA, pourtant entreprise privée soumise de plein droit aux règles de la concurrence, bénéficie de larges subventions publiques pour racheter la bagasse aux planteurs ; bagasse qu’ALBIOMA revend à EDF en faisant nécessairement une marge.

Les planteurs demandent notamment à ce que le prix de rachat de la bagasse soit revalorisé ; ce à quoi ALBIOMA répond par le renvoi de responsabilité à TEREOS, en demandant aux planteurs de négocier avec ce dernier pour une augmentation du point de fibre d’au minimum 20 % (le point de fibre étant la mesure de l’électricité pouvant être retirée par la combustion de la bagasse).

Il est donc à comprendre que plus le point de fibre augmente, plus le taux de sucre présent dans la canne et revenant au sucrier (TEREOS) diminue.

Or, TEREOS rétorque qu’une augmentation du point de fibre de 20 % lui serait préjudiciable, parce qu’elle n’est pas en capacité de broyer le supplément. En réalité, il n’est pas intéressant pour TEREOS de racheter une canne dont le point de fibre est passé de 15 à 20 %, pour la simple et bonne raison que le taux de sucre à en retirer aura mécaniquement diminué.

Parallèlement, l’autre revendication des planteurs selon laquelle, le prix de la canne revendue à TEREOS pour le sucre devrait être revalorisé, notamment avec la fixation d’un prix plancher, se heurte à un refus catégorique du sucrier.
A ces négociations complexes où tout le monde se renvoie la balle, il faut ajouter, pour être parfaitement transparent, les modalités de paiement des planteurs : ces derniers sont payés par acompte en ramenant leur production et par avance de l’engrais (intrants) nécessaire à la production de cannes à sucre, vendu par une seule coopérative à la Réunion dans laquelle, TEREOS détient la majorité du capital.

Or, en fin de campagne sucrière, le sucrier (TEREOS) estime unilatéralement, le taux de richesse (de sucre) dans les cannes apportées par les planteurs, pour rectifier l’acompte et les avances concédés aux planteurs, de sorte que souvent pour ne pas dire toujours, en fin de campagne sucrière, les planteurs sont endettés auprès de TEREOS.

En conclusion, les négociations sont bloquées en raison de l’inertie et de la mauvaise foi des industriels, au détriment des intérêts des usagers pour lesquels, la facture de l’électricité va considérablement augmenter.

Parce que, si la focale médiatique se concentre sur les revendications des planteurs, il reste à savoir que ces négociations constituent également l’occasion pour les industriels (TEREOS et ALBIOMA), de renégocier la participation de l’Etat pour compenser notamment, sur fond de guerre en Ukraine, le prix des intrants (engrais), et le prix des bois de pellet qu’ALBIOMA importera du Canada et des Etats-Unis pour faire tourner leurs chaudières.
ALBIOMA, récemment racheté par des fonds d’investissement Américains, nécessairement guidée par une logique de profit, entend déjà répercuter l’augmentation par trois du prix des intrants et du prix des bois de pellet, sur la revente du MwH à EDF.

Or, si le prix du MwH que rachète EDF augmente, il découle d’une logique implacable qu’EDF répercutera cette hausse sur le prix de la facture d’électricité que les usagers paieront in fine.

Depuis 2017 que nous alertons sur la confiscation, par des instruments étrangers et par la mainmise des monopoles sur nos outils d’émancipation économique, il devient urgent de s’asseoir autour de la table de négociations, afin de réunir les industriels, les syndicats de planteurs, l’Etat et les politiques locales, pour notamment :

Nos propositions :

1°/ Réviser la PPE pour d’une part, revaloriser le prix de la bagasse et pour ne plus la considérer comme un déchet afin d’en augmenter mécaniquement le prix de revient, et d’autre part, fixer un prix plancher à la canne afin de contourner l’inertie et la mauvaise foi de l’industriel sucrier ;
2°/ Discuter avec les syndicats de traitement des déchets (SYDNE et ILEVA) pour renégocier la composition du débouché économique du combustible solide de récupération (CSR) en intégrant la bagasse ;
3°/ Une potentielle taxation, sans répercussion sur la facture d’électricité usagers, des bois de pellet importés depuis l’étranger (Canada, Etats-Unis, etc).

Nous saisissons également cette occasion pour interpeller les députés de la Réunion, fraîchement élus, sur la nécessité de saisir l’opportunité de leurs fonctions pour :

* Demander une mission de contrôle sur la gestion des fonds publics à la Réunion en rapport avec son développement énergétique et agricole ;
* Proposer une loi visant à modifier la loi relative à la transition énergétique pour la croissance verte, afin d’intégrer des garde-fous législatifs dans la PPE de la Réunion auxquels, le Conseil régional ne pourra y déroger, notamment l’instauration d’un prix plancher de la canne et de la bagasse, la requalification de la bagasse en produit et non en déchet, et l’obligation d’une révision annuelle de la formule de richesse qui devra en outre être rendue publique.

Nous rappelons également aux manifestants qu’outre le square de Labourdonnais, le parvis du Conseil Régional de la Réunion devrait être envisagé, dans la mesure où la PPE Réunion, document éminemment stratégique dans la négociation de la convention canne, n’a toujours pas fait l’objet d’une adoption définitive et que les points de blocage précités peuvent trouver une issue par la voie régionale. L’on comprend mieux le silence de la Région et des élus régionaux dans ce dossier, qui ont tout intérêt à laisser croire que la responsabilité incombe à l’Etat et aux industriels... Nous appelons en conséquence à une table ronde à laquelle Croire et Oser entend participer en tant qu’élu local, pour aplanir ces problématiques qui intéressent à la fois la population réunionnaise, et l’avenir de l’île en matière énergétique et agricole, afin de réunir toutes les autorités ayant leur partition à jouer (élus régionaux, services déconcentrés de l’Etat, industriels sucriers et énergétiques, syndicats des planteurs et députés).


"Lespri lé ankor la"
Domin po Domoun
Pour le PCO (Parti Croire & Oser) - L’Interkomité


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La photo de la bosse au front de Mathieu Caizergues révélée par sa mère

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Cet élément de l'enquête était connu de tous depuis la disparition de Mathieu Caizergues. Le jeune gendarme avait envoyé une photo d'une blessure à la tête à ses proches. La mère du disparu a décidé de rendre publique cette photo.
Delphine Caizergues était l'invitée de France Bleu ce mercredi. Elle a évoqué la disparition toujours mystérieuse de son fils il y a 5 ans, le 27 juin 2017.

La mère de Mathieu Caizergues a décidé de rendre publique une photo qui faisait partie du dossier de l'enquête sur la disparition du jeune gendarme. L'existence de cette image était connue depuis de nombreuses années. Le Héraultais avait envoyé un selfie à ses proches alors qu'il se trouvait sur cette randonnée fatidique au Maïdo. Une photo où l'on voit qu'il a une bosse à la tête.

Un message qui ne lui ressemble pas

Elle a expliqué à France Bleu  pourquoi elle a décidé de diffuser cette photo aujourd'hui : "On pensait qu'un jour, après nos multiples demandes, le juge qui à l'époque était en poste serait d'accord pour la transmettre à un laboratoire de la gendarmerie pour la faire analyser. Ça n'a pas été le cas. On a refait une demande quand le juge a changé, ça n'a pas bougé davantage. Donc nous avons décidé de la publier pour que l'opinion se rende compte de ce qu'était vraiment cette photo et du fait que nous soyons inquiets de cette photo et pourquoi nous demandions l'analyse de cette photo. "

Un étrange bandeau qui couvre les yeux

Delphine Caizergues exprime des inquiétudes lors d'une interview dans le Midi Libre  : "On avait signalé dès le départ aux enquêteurs que Mathieu n'employait pas ce langage et ne mettait jamais de filtre sur ses photos."

La mère du gendarme disparu en arrive donc à douter que ce selfie a été envoyé par son fils, ce qui laisse donc imaginer qu'une tierce personne aurait pu faire parler le téléphone de Mathieu Caizergues pour faire croire à un scénario, mais dans quel intérêt ? L'autre curiosité de ce selfie réside dans la présence de ce bandeau qui masque les yeux de Mathieu Caizergues. Là encore, sa mère se demande si ce bandeau n'a pas été ajouté au montage photo pour dissimuler qu'il a en réalité les yeux fermés, et donc mort au moment de la prise de cette ultime photo. Autant de questions qu'elle aurait aimé que la justice se les pose aussi. L'enquête piétine depuis cinq ans.

La photo de la bosse au front de Mathieu Caizergues révélée par sa mère

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Météo : La houle reste l'élément marquant de ce jeudi

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Le bulletin de Météo France Réunion :
Météo : La houle reste l'élément marquant de ce jeudi
Vigilance Vagues-Submersion en cours de la Pointe des Aigrettes à la Pointe de la Table en passant par Saint-Pierre.
Poursuite d'un temps frais et sec. La houle de Sud-Sud-Ouest continue de s'amortir lentement. Le vent reste modéré de secteur Sud-Est.

Prévisions pour le jeudi 30 juin

La houle de Sud-Sud-Ouest reste l'élément marquant de ce jeudi. En effet, elle atteint 4 mètres en hauteur moyenne en début de matinée. Elle s'amortit lentement, et l'on observe des vagues de 3 mètres environ en fin de journée. Elle déferle de la Pointe des Aigrettes à la Pointe de la Table en passant par Saint Pierre. La mer reste agitée sur les côtes Est et Nord.
Le temps évolue peu. Dans ce flux d'alizés de Sud-Est, les nuages circulent sur le littoral allant de Sainte Marie à Saint-Joseph en passant par Sainte-Anne. Par moment, de petites averses sont balayées par des rafales de vent. Ailleurs, les éclaircies résistent bien sur le littoral.
L'après midi, retour d'un beau soleil sur la côte Est, même si quelques nuages s'invitent au pied du Piton de la Fournaise. Les hauts sommets sont dégagés. Nuages et soleil se partagent le ciel dans les cirques. Les hauteurs de l'Ouest et du Nord-Ouest se couvrent rapidement, masquant le soleil l'après-midi.
Le vent d'Est à Sud-Est reste modéré avec des rafales de 50 à 60 km/h sur Sainte-Marie, Saint Pierre ou L'étang-Salé. Les brises prédominent de Saint Gilles à la Possession.

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Attentats du 13-Novembre : Jugés par défaut, les frères Clain condamnés à la perpétuité incompressible

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Présumés morts, les frères Clain ont été jugés par défaut par la cour d'assises spéciale de Paris. Ils ont été condamnés ce mercredi à la perpétuité incompressible. Salah Abdeslam, présent dans le box des accusés et poursuivi en qualité de co-auteur, a été condamné à la même peine.
Attentats du 13-Novembre : Jugés par défaut, les frères Clain condamnés à la perpétuité incompressible
La cour d’assises spéciale de Paris a rendu son verdict ce mercredi dans le procès des attentats du 13-Novembre 2015, après une audience qui s'est étendue sur près de dix mois.

La plus lourde sanction vise Salah Abdeslam, le dernier membre encore vivant des commandos des attentats était poursuivi en qualité de co-auteur. Il a été condamné à la réclusion criminelle à perpétuité incompressible.

Les frères Clain, jugés par défaut car présumés morts - ils auraient été tués par une frappe de drone américaine en Syrie - ont eux aussi été reconnus coupables. La cour est même allée au-delà des réquisitions du Parquet national antiterroriste : les frères d'origine réunionnaise ont été condamnés à la perpétuité incompressible alors que le Parquet avait requis la perpétuité avec une peine de sûreté de 22 ans.

Pour mémoire, ces deux cadres de la propagande de l'Etat islamique étaient accusés d'avoir enregistré le message revendiquant les attentats mais aussi d'avoir été au courant des projets d'attaque avant leur exécution. 

Des peines allant de 2 ans de prison à la perpétuité

Tous les accusés ont été reconnus coupables des chefs d'accusation qui pesaient contre eux, sauf Farid Kharkhach. Seule l'association de malfaiteurs en vue de commettre une escroquerie a été retenue, et non l'association de malfaiteurs terroriste. Il a écopé d'une peine de deux ans.

Au total, ce sont sept peines de prison à perpétuité qui ont été prononcées, dont deux à l'encontre d'accusés présents dans le box : Salah Abdeslam (perpétuité incompressible) et Mohamed Abrini, perpétuité avec une période de sûreté de 22 ans. Six accusés dont les frères Clain comparaissaient par défaut. 

Les trois accusés qui comparaissaient libres (Hamza Attou, Ali Oulkadi et Abdellah Chouaa) ont quant à eux été respectivement condamnés à 4 ans de prison, 5 ans de prison dont 3 avec sursis et 4 ans de prison. Ils pourront bénéficier d'un aménagement de peines et ne pas retourner en prison. 

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Mairie de Saint-Paul : "Le grand chaos"

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À Saint-Paul, "le désordre s'est mué en chaos", estime l'élue d'opposition Audrey Fontaine.
Mairie de Saint-Paul :
Le communiqué :

Au mois de décembre dernier, la gestion de la commune de Saint-Paul par M. Séraphin, élu par le Conseil municipal à la suite du départ de Madame Huguette Bello pour la Région se caractérisait par un« grand désordre général ».

Le désordre s'est depuis mué en chaos: La qualité du service public s’effondre, le personnel communal glisse dans le fénoir. Après deux ans de mandat, les services ne sont toujours pas ordonnés par un organigramme finalisé. Qui fait quoi à la mairie de Saint-Paul ? La gouvernance n’est pas claire et c’est le pouvoir personnel et solitaire du maire qui règne. Les subventions ou contrats PEC  sont distribués aux associations (affaires 51 et 52 ) en dehors de toute rationalité et transparence.

À l’image des vaines promesses faites aux lauréats aux concours que le Maire s’est engagé après les avoir conviés à une réunion d’information, à « les nommer tous sans exception au 1er juillet ». Autant de facteurs de dégradation qui attestent que la qualité de vie au travail des agents n’est pas sa priorité: l’affaire 44 par exemple régularise à posteriori soit deux ans après la convention de mise à disposition d’un médecin… du CDG.

Et ça n’est pas  « le rapport d’activité 2021 » qui compile en 105 pages cette première année de mandature entièrement à la gloire du Maire transmise aux élus par mail deux jours avant la réunion du Conseil qui réussira à dissimuler le caractère calamiteux de sa gouvernance.

Plus grave encore, cette auto promotion bricolée est en total décalage avec les affaires 47 et 49 relatives au déplacement à Paris de M.Séraphin et de ses accompagnateurs au lendemain des Législatives . Ces dépenses hors cadre réglementaire sont maquillées en «  un mandat spécial pour rdv institutionnels »afin d’être régularisées avec l’argent du contribuable.Mais de qui se moque t’on?

Dans un contexte de défiance du citoyen à l’égard des élus,Il est regrettable que les projets servant les intérêts particuliers de sympathisants priment sur l’intérêt général. L’opposition municipale doit donc tenir son rôle. Aux dernières législatives, la droite progresse de 6% par rapport aux législatives partielles de 2020. Conséquence d’une gestion municipale chaotique, le maire de Saint-Paul perd pied dans sa commune lentement mais sûrement.Je travaillerai avec mes collègues aux côtés de Cyrille Melchior à consolider notre unité au sein du conseil municipal. Il en va de notre responsabilité.

Audrey Fontaine
Élue de l'opposition
Mairie de Saint-Paul



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Les planteurs du Sud prêts à prendre la route direction la préfecture

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Alors qu'une réunion doit se tenir à 14h, les planteurs du Sud se préparent à prendre la route en direction de la préfecture.
Les planteurs du Sud prêts à prendre la route direction la préfecture
La mobilisation dans le cadre des négociations de la convention canne se poursuit. Les Jeunes Agriculteurs annoncent ce mercredi matin que les planteurs du Sud vont bientôt prendre la route en direction de la préfecture.

Le syndicat appelle tous les agriculteurs à se joindre à eux alors qu'à 14h, l’intersyndicale et l’ensemble des acteurs de la filière se réuniront à 14h à la préfecture.
 
Les planteurs du Sud vont bientôt prendre la route en direction de la Préfecture de La Réunion.
Le combat continue !
Venez nous rejoindre aussi avec vos tracteurs, 4x4 ou autres véhicules !
C’est maintenant ou jamais !
Continuons la mobilisation ! Soyons solidaires !
Ensemble plus forts!
Ti pa ti pa n’a arivé!
Les Jeunes Agriculteurs Réunion

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Un hôtel-casino 3 à 4 étoiles devrait sortir de terre à l'Hermitage

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Le maire de Saint-Paul, Emmanuel Séraphin, a tenu une conférence de presse ce mercredi à la Longère Sudel-Fuma pour évoquer les investissements destinés à "moderniser le territoire". La municipalité souhaite notamment "développer la station balnéaire" en renforçant l’attractivité de Saint-Gilles avec la construction d’un hôtel-casino trois à quatre étoiles à l’Hermitage. L’actuel casino de Saint-Gilles sera délocalisé dans le cadre de ce projet.
Un hôtel-casino 3 à 4 étoiles devrait sortir de terre à l'Hermitage
Le communiqué de la municipalité :

En terme d’investissement, la nette amélioration des indicateurs budgétaires de la collectivité permet d’engager sereinement le programme d’investissement nécessaire pour faire de Saint-Paul une Ville moderne, écologique et solidaire.

C’est le sens du budget supplémentaire (BS) examiné par le Conseil Municipal organisé ce 30 juin, à 14 heures, à l’Hôtel de Ville. Ce BS s’équilibre à hauteur de plus de 30 millions d’euros.

Cette trajectoire financière encourageante permet d’envisager de voter sereinement ce montant significatif. Les dépenses de fonctionnement sont maîtrisées et les recettes optimisées. Plusieurs chiffres l’illustrent :
• 123% d’augmentation de l’épargne nette (11,04 M€ en 2021) contre 1,2 M€ en 2016.
• Une capacité de désendettement qui passe de 8 années à 6 années.
• Des impôts locaux qui n’augmentent pas conformément aux engagements pris.

Un autre engagement pris vise à accorder une part significative au tissu associatif avec plus de 4,5 millions d’euros injectés. Plus de 2 millions d’euros 1 ont déjà été financés. Cette somme a bénéficié à 313 acteurs associatifs au titre d’une première tranche de subventions.

Le Conseil validera l’attribution de subventions de 2,4 millions d’euros pour une seconde tranche. Accompagner au plus près et au mieux les associations correspond aux ambitions de la mandature.

Plusieurs chantiers confirment cette volonté d’aménager le territoire. Notamment dans les hauts. L’enjeu est de dynamiser cette partie du territoire auquel une place essentielle est accordée.

C’est la logique de la réhabilitation de la piscine de Vue Belle. Ce centre nautique va bientôt rouvrir. Une délibération sera examinée afin de réhabiliter le centre nautique.

Avant d’entrer dans le fond du dossier, il faut resituer le contexte. L’ancienne municipalité a géré ce sujet avec une extrême légèreté. Aucune piste sérieuse n’a été étudiée pour régler l’important contentieux, toujours en cours.

« Depuis notre arrivée, il y a deux ans, nous avons envisagé plusieurs éventualités pour relancer ce chantier sans exposer la Ville à des risques. Et aujourd’hui, grâce aux efforts entrepris, nous allons enfin repartir de l’avant », expose le Maire de Saint-Paul, Emmanuel SÉRAPHIN.

Ce Conseil adoptera le plan de financement et le calendrier de cette réhabilitation chiffrée à 2,4M€. Les travaux reprendront dès la fin 2022. La réouverture au public se déroulera en août 2023.

Le Troisième Adjoint notamment délégué au personnel communal, Sébastien GUYON, et le Conseiller municipal délégué au commerce et à l’artisanat, Irchad OMARJEE, participent aussi à ce point presse. Toujours dans une logique de rééquilibrage du territoire, une médiathèque sera construite à Vue Belle à la Saline.

Le calendrier et le plan de financement seront détaillés au Conseil. C’est une opération de 4,8 millions d’euros dont 90% sollicités au titre du REACT-UE. Ce nouvel équipement participera à la redynamisation de la Saline.

Un territoire trop longtemps délaissé. Ainsi ce Bassin de vie de 15 000 habitants, le moins peuplé de Saint-Paul, bénéficiera d’une structure adaptée à ses besoins.

La Municipalité souhaite également développer la station balnéaire, unique à La Réunion. La ZAC Saint-Gilles fait partie des outils destinés à permettre le développement économique et touristique de cette partie du territoire.

C’est le sens des délibérations qui visent à renforcer l’attractivité de Saint-Gilles-les-Bains avec la construction d’un hôtel-casino trois à quatre étoiles à l’Hermitage-les-Bains.

La cession d’une parcelle de 2 hectares par la SEDRE, concessionnaire de la ZAC Saint-Gilles, au groupe BOUCAU, sera examinée. L’actuel casino de Saint-Gilles sera délocalisé dans le cadre de ce projet.

Cet hôtel-casino sera réalisé sur une zone actuellement occupée par le centre de vacances de la CAF. Son déménagement a déjà été acté.

Cet hôtel disposera d’une capacité d’accueil de 100 à 150 chambres, d’une salle de réception et de spectacle modulable d’une capacité de 100 à 500 personnes. Le futur hôtel contribuera à créer de nouveaux emplois sur le territoire.

Dans le contexte de crise actuelle, la Municipalité accueille avec fierté ce projet.

En matière de tranquillité publique, il faut saluer le travail de terrain des Policiers municipaux dans les Bassins de vie. Les missions et le fonctionnement de la Police municipale ont été repensé·es pour gagner en efficience. Les moyens humains ont été renforcés.

Cette logique se traduit par la mise en place de la brigade de nuit. Ce dispositif renforce la sécurité des Saint-Pauloises et des Saint-Paulois. Conformément aux engagements pris, la vidéo-protection se déploiera cette année.

Un Centre de supervision urbain sera créé. C’est un chantier important avec 400 000 euros qui y sont consacrés. Une indemnité pour le travail nocturne de la brigade de nuit et les agents du CSU sera instaurée par une délibération votée au Conseil Municipal.

 

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