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Channel: Faits divers – Zinfos974
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​Riz à La Réunion : stocks et prix garantis pour l'instant

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La Réunion est à l'abri d'une pénurie de riz pour 2022 assure la Soboriz. La vigilance est de mise pour 2023.
​Riz à La Réunion : stocks et prix garantis pour l'instant
La première rizerie de l’île se veut rassurante quant au risque de pénurie qui pourrait toucher l’aliment de base de la cuisine locale.

“Le risque ne concerne pas la Réunion à court terme. En tant qu’industriel transformateur local, nous avons un stock de matière première important pour couvrir nos besoins sur plusieurs mois”, assure la Soboriz.
 
Pour l’heure, la  rizerie ne relève aucune difficulté d’approvisionnement en matière première : “Les pays producteurs exportent à ce jour les produits des récoltes antérieures qui ont été suffisamment abondantes pour répondre à la demande mondiale”, explique-t-elle.

Quant à une éventuelle augmentation du prix du sachet de riz, “il est encore un peu tôt pour le savoir”, déclare la Soboriz : “Les récoltes dans les grands pays exportateurs n’étant pas encore achevées, il est difficile de connaître les disponibilités réelles de matières premières pour couvrir les besoins de l’année 2023. Par contre, la dépréciation importante de l’euro par rapport au dollar aura très fortement impacté les prix d’achat des matières premières tout au long de l’année 2022, ce qui s’est déjà traduit par une révision des prix largement atténuée par la société et par les acteurs de la grande distribution”, justifie-t-elle.
 
La Soboriz dit regarder de près la situation en Asie de façon à anticiper au mieux le risque de pénurie d’ici l’an prochain : “Nous allons être très vigilants sur le résultat des récoltes à venir, de façon à anticiper au mieux la couverture de nos besoins pour l’année 2023. Cependant, il est possible qu’une récolte moins abondante ait un impact sur les cours de la matière première, obligeant la société à répercuter partiellement ces hausses de prix de revient”.
 
Le leader de la production de riz à La Réunion appelle par ailleurs la population à éviter le surstockage :“À ce stade, il est beaucoup trop tôt pour envisager une éventuelle pénurie de riz à La Réunion. Il n’y a donc pas lieu de chercher à stocker : la fourniture et les prix de vente sont couverts pour les mois à venir sur l’île. Nous conseillons à la population de garder sa consommation de riz habituelle”.

N’est-il pas temps de revoir notre consommation de riz ?

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Dionysiens à vélo : "Cyclistes, testons ensemble le nouvel aménagement cyclable de la rue Georges Brassens"

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Le collectif "Dionysiens à vélo" encourage toute initiative permettant de promouvoir et sécuriser l’usage du vélo et des mobilités actives à Saint-Denis et dans le Nord de l’Île.
Dionysiens à vélo :
Le communiqué :

Cyclistes, automobilistes et autres usagers de la route ont sans doute remarqué depuis fin septembre un nouvel aménagement cyclable au niveau de la rue Georges Brassens à Saint-Denis. Mise en place par la CINOR dans le cadre de la semaine européenne du développement durable, une nouvelle voie réservée aux vélos et aux bus permet ainsi désormais de relier le boulevard Sud et la Poste, en passant par le rectorat et le lycée Georges Brassens. La voie est matérialisée par des marques de peinture jaune et se prolonge au niveau des ronds-points par des pochoirs de cycliste afin de rappeler leur présence au centre de la voie.

Dans une logique constructive, le collectif Dionysiens à vélo souhaite transmettre à la CINOR son analyse de ce nouvel aménagement. Afin de recueillir l’avis des usagers, nous invitons les citoyennes et citoyens souhaitant participer à cette analyse à nous rejoindre à vélo jeudi 27 octobre à 17h en bas de la rue Georges Brassens, sur le parking de Pizza uno le long du boulevard Sud. Après avoir emprunté l’aménagement, une séance de débriefing sera organisée afin de définir des propositions d’amélioration et d’échanger sur les autres projets en cours du collectif en faveur du vélo.

Le collectif Dionysiens à vélo encourage toute initiative permettant de promouvoir et sécuriser l’usage du vélo et des mobilités actives à Saint-Denis et dans le Nord de l’Île.

Alors que le contexte climatique et la crise énergétique nous rappellent la nécessité de changer radicalement et sans délai nos modes de vie et de déplacement, la situation est particulièrement préoccupante à La Réunion et à Saint-Denis en particulier. Ainsi, le chef-lieu a reçu la note de 2,4/6 (catégorie F - défavorable) dans l’édition 2021 du Baromètre des villes cyclables (https://barometre.parlons-velo.fr/2021/), dans laquelle 297 Dionysiens ont exprimé leur ressenti sur la place du vélo dans la ville. Saint-Denis arrive ainsi 35ème sur 38 des villes-centre de plus de 100 000 habitant·es au niveau national.

Le collectif Dionysiens à vélo rappelle que le vélo est un mode de déplacement convivial bon pour la santé, économique, économe en ressources et énergie, ne générant pas de gaz à effet de serre. Il constitue une réponse efficace et immédiate au coma circulatoire et à la pollution de l’air et sonore des villes réunionnaises.

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Il conteste une dette vis-à-vis de la SODEGIS et se retrouve à la rue

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​"Je sais que j’ai raison", lance Didier Payet. Le Tamponnais vit dehors depuis qu’il a dû quitter son appartement du parc locatif d’un bailleur social. La SODEGIS livre son point de vue tout aussi catégorique.
Il conteste une dette vis-à-vis de la SODEGIS et se retrouve à la rue
Une lecture des événements diamétralement opposée et une situation très précaire pour un trentenaire. Didier Payet erre de ville en ville depuis le mois de mars, à la recherche d’un abri provisoire. Une mobilité qu’il s’impose pour éviter les mauvaises rencontres, surtout la nuit. 

L’homme de 34 ans a quitté son logement social au Tampon au mois de mars dernier alors que planait au-dessus de sa tête un ordre d’expulsion. 

La faute à une dette vis-à-vis de la SODEGIS que le locataire n’entend tout simplement pas régler puisqu’il en conteste le calcul. 

"Ils veulent que je paye 4859 euros", expose Didier Payet, locataire injustement expulsé comme il décrit le contentieux qui l'oppose au bailleur. Il était entré fin 2017 dans un appartement au Tampon pour un loyer de 330 euros en moyenne. Sa situation sociale était fragile car sans emploi. 

"J’ai tout payé"

"Nous avons mis en oeuvre un accompagnement car il y avait notamment une cessation de paiement de l’allocation logement. Du coup, M.Payet se retrouvait à payer la totalité de son loyer. Donc il a, en février 2020, signé un plan d’apurement. On avait fait un plan d’apurement équilibré en fonction de ses ressources. Il remboursait 150 euros par mois mais dès le mois de mai, il a commencé à ne pas du tout payer son loyer. Donc en juillet, pour éviter que la dette prenne trop de proportion, on lui a expliqué que s’il ne reprenait pas au moins un minimum le paiement, on serait obligé de saisir le tribunal, ce qui a été fait. Donc l’audience a eu lieu en février 2021 avec un jugement en mars 2021 dans lequel le juge lui a laissé un délai de paiement et a échelonné son remboursement de 45 euros sur 35 mois. Mais dès le mois de mars, il n’a pas payé quoi que ce soit, il n’a pas du tout respecté l’engagement qu’il avait pris", fait valoir de son côté le directeur de la SODEGIS, François Cornu.

Il conteste une dette vis-à-vis de la SODEGIS et se retrouve à la rue
"J’ai tout payé, j’ai tous les documents", brandit quant à lui l’ancien locataire. "J’ai le papier du décompte que la SODEGIS a fait lorsqu’ils ont mandaté l’huissier. Sur ce papier, ils disent bien que M.Payet a déjà fait des versements directs de 4046 euros. J’ai tous les documents de la CAF comme quoi ils (la SODEGIS) ont reçu l’Aide au Logement de janvier 2018 à  octobre 2021, ça fait 11334 euros. Donc si je fais 11334 euros + 4046, ça fait 15.000 euros. Sur 4 ans, c’est impossible d’avoir autant de loyers, tout en sachant que je ne travaillais pas", explique Didier Payet.

Après avoir pris attache auprès d'un conseiller juriste de l’ADIL, Didier Payet dit être sorti conforté par sa conclusion qui allait dans son sens. Il dit vouloir maintenant confier son dossier au tribunal. "C’est la seule chance pour me défendre", entrevoit-il comme seule issue pour ne pas régler cette ardoise, et ce malgré un premier jugement qui lui était défavorable en mars 2021. Un engrenage qui a donc amené tout droit à un ordre d’expulsion en janvier 2022. 

"En décembre 2021, on a, conformément à la procédure, demandé l’exécution du jugement par un huissier. A ce moment-là, il a eu une obligation de quitter les lieux en janvier 2022. On lui a donné un délai jusqu’en mars pour sortir du logement. Le 14 mars 2022, on a envoyé un mail à M.Payet qui nous a répondu en demandant lui-même un état des lieux de sortie à l’amiable et non avec l’huissier. Donc nous avons joué le jeu malgré tout ce qui s’est passé jusque-là. Par contre, l’état dans lequel se trouvait le logement a nécessité une refacturation de quote part des dégradations qu’il avait faites dans l’appartement", ajoute le directeur de la SODEGIS. 

Il s’agit là d’un autre autre volet du contentieux sur lequel les deux parties ne s’entendent pas également. 

"Quand on entre dans un logement, ça arrive de vouloir faire quatre trous pour tendre une barre pour mettre un rideau. Tenez-vous bien, ils ont compté 188 euros pour refaire l’enduit des 4 trous…" n’en revient pas l’ex-locataire.

"Une impasse"

"Chaque fois on a essayé de trouver des solutions avec lui car à chaque fois qu’on ajoute des étapes de contentieux, on ajoute des frais qui sont des frais d’huissier, de justice et toujours, hélas, au détriment des personnes. Nous on ne souhaite pas ça mais quand on a en face une personne qui ne fait pas un minimum d’effort pour se sortir de cette situation, on est dans une impasse", affirme quant à lui le bailleur social.

"Il nous a expliqué à un moment donné qu’on avait soi-disant perçu trop d’argent de la part de la CAF. Mais ce trop perçu dont il parle, on a vérifié, l’Allocation Logement qui a été versée correspondait bien à ce qui devait être versé sauf que, ce que semble ne pas avoir compris M.Payet c’est que pour avoir le retour et le maintien de l’AL, il fallait qu’il respecte son plan d’apurement. Lorsque le juge l’a condamné à payer 45 euros pendant 35 mois, l’AL aurait été rétabli et il serait resté dans les lieux s’il avait payé. Voilà, c’est évidemment difficile de rencontrer des situations comme celle-là, je suis le premier à regretter que M.Payet se retrouve à la rue mais je pense qu’il est nécessaire qu’il comprenne aussi que notre position est claire : tous les locataires qui sont pourtant dans des situations difficiles payent leur loyer et c’est ce qui permet que nous construisons et gérons du  logement social. Il faut aussi que M.Payet contribue à sa petite quote part", expose le directeur en guise de bonne volonté tout au long de l'accompagnement qui a été accordé à ce bénéficiaire. 

Si la vision de l’un et de l’autre continuent à être totalement opposées à ce jour, 3859 euros de loyers et 1000 euros de travaux sont toujours à régler...

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Bretagne : Des poneys blessent des enfants, le centre équestre poursuivi

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En juillet dernier, un incident dans un centre équestre d’Ille-et-Vilaine avait blessé 17 personnes, dont 15 enfants. Trois d’entre eux étaient en urgence absolue. Le Parquet de Rennes vient de dévoiler les résultats de l’enquête. Si aucune faute délibérée n’est reprochée à la société, une faute d’imprudence va la conduire au tribunal en mars prochain.
Bretagne : Des poneys blessent des enfants, le centre équestre poursuivi
Le 19 juillet, le petit village de Saint-M’Hervé dans l’Ille-et-Vilaine a failli être le théâtre d’un drame. Alors qu’une colonie de vacances, comprenant 26 enfants de 9 à 13 ans, fait une sortie avec une quinzaine de poneys, une "bousculade" éclate. Le bilan fait état de 17 blessés, dont 15 enfants. Trois d’entre eux se sont retrouvés en urgence absolue et ont dû être héliportés à l’hôpital. Au total, 6 enfants ont reçu des ITT allant de 6 à 52 jours.

Ce lundi, le Parquet de Rennes vient de communiquer les conclusions de l’enquête : "Il est apparu qu’aucune faute délibérée ne pouvait être reprochée à la société ni à ses représentants […] Les résultats de l’enquête ont cependant conduit le parquet à considérer qu’une faute d’imprudence pouvait être reprochée au centre équestre, qui a fait convoyer, à pied, sur un chemin clôturé long d’environ 230 mètres et large d’à peine 4, 5 mètres ne permettant aucune évacuation ni mise à l’écart urgentes en cas d’incident, 15 poneys évoluant en liberté avec un groupe de 25 enfants, accompagnés de deux encadrantes, dont une stagiaire."

Au vu de ces éléments, le procureur de la République a engagé des poursuites contre le centre équestre pour blessures involontaires par personne morale avec incapacité n’excédant pas 3 mois. Le procès doit se dérouler le 6 mars 2023 au tribunal de police de Rennes.

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FO s'inscrit dans la journée de mobilisation du 18 octobre

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Communiqué de l'UD-FO pour la manifestation du mardi 18 octobre :
FO s'inscrit dans la journée de mobilisation du 18 octobre
Le projet de réforme des retraites, de l'assurance chômage, la défense des services publics et l'augmentation générale des salaires, des retraites et des minimas sociaux sont autant de sujets qui interpellent les salariés.

Face à la dégradation constante du pouvoir d'achat des salariés du privé comme du public, l'Union départementale FO s'inscrit dans la journée de mobilisation du 18 octobre.

L'Union départementale FO invite ses militants, adhérents et sympathisants à prendre part au rassemblement devant la préfecture demain à 16h à Saint Denis.

Fait à St Denis le 17 octobre 2022

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Région Réunion : Résumé de l'avis de marché

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Région Réunion : Résumé de l'avis de marché
Région Réunion Hôtel de Région Pierre Lagourgue Avenue René Cassin, 97490 Sainte Clotilde, Tél. : 02 62 48 70 00 , courriel: marches@cr-reunion.fr , profil acheteur: https://www.marches-publics.regionreunion.com

OBJET : 2021-DBA0176 - RELANCE - LYCEE DE BEL AIR SAINTE-SUZANNE - TRAVAUX DE LA CLIMATISATION - BÂTIMENT A-B-D ET CDI

La consultation a pour objet des travaux sur les systèmes centralisés de climatisation des bâtiments Cdi , D, B et A2 du lycée Bel-Air à Sainte-Suzanne.

DUREE DU MARCHE : 23 mois

TYPE DE MARCHE : Travaux

PROCÉDURE : Appel d’offres ouvert, en application des articles R. 2124-1, R. 2124-2 1° et R. 2161-2 à R. 2161-5 du Code de la commande publique.

VISITE DE SITE : Une visite de site est prévue le vendredi 28 octobre 2022 à 10h30.
Les entreprises doivent confirmer par email à l’adresse suivante : david.nourry@cr-reunion.fr . - le chargé d’opération est M. David NOURRY.

DATE LIMITE DE RÉCEPTION DES OFFRES : 21 NOVEMBRE 2022 à 12 h 00

Critères d’attribution: Offre économiquement la plus avantageuse appréciée en fonction des critères énoncés ci-dessous avec leur pondération :

Pour tous les lots :
       -    Le prix des prestations : 60 %
       -    La valeur technique : 40%

L’avis est consultable dans son intégralité sur la plate forme dématérialisée de la Région Réunion https://www.marches-publics.regionreunion.com : Rubriques «annonce » / «consultations en cours » sous le numéro suivant 2022-DBA-0176 / accéder à la consultation puis procéder au téléchargement de l’avis qui se trouve dans les pièces de la consultation.

Références de l'avis complet: consultable en ligne :
                                     BOAMP : 22-n°136657
                                 JOUE : 2022/S/200-567680


Modalités de réponse :
Les offres papier ne sont plus prises en compte.

Les réponses sont transmises uniquement par voie dématérialisée sur la plateforme https:// www.marches-publics.regionreunion.com / accéder à la consultation 2022-DBA-0176 / onglet 3 dépôt.

La signature électronique n’est pas pour la remise des offres. Toutefois, si le candidat est retenu, son offre ( a minima l’acte d’engagement) devra être signée de façon électronique.

Échanges avec les opérateurs économiques:
Dans le respect des procédures anti-corruption instaurées à la Région Réunion, les échanges entre les opérateurs économiques susceptibles de candidater au présent marché et les services de la Région sont régis par les principes de transparence et d’égalité de traitement entre les candidats. Ainsi, le seul mode de communication autorisé et ayant pour finalité de préciser ou expliciter les éléments du dossier de consultation est un courriel transmis à la plateforme dématérialisée de la Région Réunion. Les appels téléphoniques ayant pour objet une assistance technique sont acceptés.

Date d’envoi de l’avis complet à la publication: 12 OCTOBRE 2022

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Forum des métiers de l'uniforme

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Forum des métiers de l'uniforme
La CIVIS organise, ce mercredi 19 octobre 2022, dans le cadre de son Plan local pour l’Insertion et l’Emploi (PLIE),

La 1ère édition du Forum des Métiers de l’Uniforme

L’objectif de cet évènement est de promouvoir les métiers de l’uniforme auprès des bénéficiaires du PLIE, des lycéens, des jeunes diplômés et du grand public.

Les participants pourront s’informer, échanger, découvrir les métiers, les conditions d’accès, les dates des concours d’entrée et même participer à des démonstrations, dans les espaces d’information, de conférence et de démonstration.

Afin d’offrir aux participants une offre la plus pléthorique et complète possible, de nombreux corps de métiers et institutions seront représentés, notamment :

L’armée de terre, la Marine Nationale, la gendarmerie nationale, la police nationale, la police aux frontières, la Douane, l’administration pénitentiaire, la Croix rouge, le CNARM, la Région Réunion, Ladom. La manifestation se tiendra de 9h00 à 13h00 au sein du Gymnase de Bois d’Olives à Saint-Pierre.

La CIVIS..

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Le CCAS de Saint-Benoît financera la téléassistance pour le public en perte d'autonomie

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La commune de Saint-Benoît, à travers son CCAS, lance un dispositif d’aide financière pour la téléassistance, à destination des personnes de plus de 60 ans ou en situation de handicap qui vivent seules chez elles. Cet équipement permet à la personne en difficulté d'obtenir rapidement de l'aide 24h/24 et 7j/7.
Le CCAS de Saint-Benoît financera la téléassistance pour le public en perte d'autonomie
En perte d’autonomie, les personnes âgées expriment le souhaite de rester chez elles le plus longtemps possible. La municipalité veut accompagner cette volonté en aidant les anciens et les personnes porteuses d’handicap, à s’équiper d’un système de téléassistance.

L’aide d’un montant de 40€/mois permettra de couvrir les frais d’installation et de services pour une durée d’un an maximum. Elle sera accordée par le Centre Communal d'Action Sociale (CCAS) sous conditions de ressources, en tenant compte également de la situation d’isolement et de perte d’autonomie. 

Près de 30 personnes devraient en bénéficier pour un montant total de 18 000€ pris en charge à 80% par le Conseil Départemental dans le cadre du Pacte de Solidarité. Chaque bénéficiaire sera libre de choisir son prestataire et son dispositif d’alarme : bracelet, montre ou médaillon. L’aide sera versée directement par le CCAS au prestataire retenu par le bénéficiaire.

En pratique, le coût de l’équipement d’un système de téléassistance est évalué à 480€ en moyenne par an. Le CCAS prendra en charge 100% de la somme pour une année. Les années suivantes, les bénéficiaires pourront compter sur le crédit d’impôt service à la personne qui permettra de réduire la facture de 50%.

Pour plus d’informations, contactez le Centre Communal d'Action Sociale de Saint-Benoît au 0262508824 ou par mail ccas@ville-saintbenoit.re
 

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Salim Moussajee reçu par la procureure Véronique Denizot ce matin

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Après près de 16 ans de bataille judiciaire, Salim Moussajee s'était lancé dans une grève de la faim devant le tribunal de Champ Fleuri. Finalement reçu par la procureure de la République de Saint-Denis, Véronique Denizot, l'ancien chef d'entreprise annonce la reporter de 15 jours, pour être entendu par les policiers ou les magistrats. S'il reste sans nouvelles de l'institution judiciaire, il a promis de reprendre son combat, avec le soutien de l'association des "Révoltés du 974".
Salim Moussajee reçu par la procureure Véronique Denizot ce matin
Ils étaient une vingtaine à s'être donné rendez-vous sur l'esplanade qui fait face au tribunal judiciaire de Saint-Denis pour soutenir Salim Moussajee. Depuis près de 16 ans, ce chef d'entreprise s'est lancé dans une croisade contre ce qu'il estime être une injustice. Difficile de résumer rapidement cette affaire tentaculaire où près de 140 procédures judiciaires se sont enchaînées au cours des dernières années. Le journaliste Paul Hoarau, aujourd'hui à la retraite, s'est donc attelé à la lourde tâche de compiler les épisodes de ce dossier.
 
Avec son frère, il accuse une société concurrente d'avoir repris leurs cinq entreprises pour une bouchée de pain. Estimées à 4 millions d'euros, elles sont finalement rachetées pour un peu de 400 000€. S'en suit alors une bataille judiciaire, avec des décisions contradictoires, avant de voir la condamnation des deux frères à verser 1,5 million d'euros à leur adversaire.
 
Ce matin, il était présent, aux côtés des membres de l'association "les Révoltés du 974" pour soutenir Salim Moussajee dans la grève de la faim qu'il a lancé dès le début de la journée de ce lundi 17 octobre. "Il faut traquer l'injustice, cette affaire est représentative de ce que beaucoup de Réunionnais ont vécu. Il faut sortir de ce système de république bananière", martèle l'ancien journaliste.

Une grève de la faim pour se faire entendre
 
"Ma commence avec 800 francs et en six ans, nous sommes devenus les deuxièmes importateurs de pneus avec mon frère. On avait réussi à créer plus d'une quarantaine d'emplois. Aujourd'hui, je peux dire qu'ils nous ont volé notre jeunesse", lance Salim Moussajee devant ses soutiens.
 
Reçu près d'une heure par la procureure de la République, qu'il avait demandé à rencontrer. Il en est ressorti plein d'espoirs et combatif. "J'ai eu l'occasion de lui faire part de toutes les dérives de cette affaire, avec la complicité du système judiciaire. Le problème c'est que je leur dois plus d'un million d'euros, mais eux, mais ils m'ont volé les 1,5 million d'euros. Tout a été truqué. Je lui ai dit qu'elle venait d'arriver, donc que ce qu'il s'est passé n'était pas de son ressort, mais en tant que procureure elle doit remettre de l'ordre là-dedans. Elle m'a assuré que je serais entendu dans le cadre de la nouvelle plainte. Elle doit voir ce qui peut être fait juridiquement pour tenter de rattraper toutes ces années perdues", résume Salim Moussajee.
 
"J'ai décidé de suspendre ma grève de la faim pour une quinzaine de jours, afin de pouvoir être reçu par les magistrats et les policiers en charge de cette enquête. Mais je la reprendrai sans hésiter si rien ne s'est passé à l'issue de cette période", poursuit le chef d'entreprise.

Salim Moussajee reçu par la procureure Véronique Denizot ce matin
"I faut nou mobilise l'opinion publique"
 
Autour de Salim, un comité de soutien de l'association "les Révoltés du 974" s'est aussi donné rendez-vous devant les grilles du tribunal. "Une grève de la faim, c'est hyper violent, alors c'est important d'être là pour soutenir Salim. C'est une injustice, et nous sommes face à une justice qui n'entend pas. On pointe des dysfonctionnements mais nous n'avons jamais de réponse", déplore Marie-France Maho, membre du bureau de l'association.
 
"Cette affaire lé importante, nou dois mobiliser l'opinion publique et partager cette histoire sur les réseaux militants. Maintenant la balle est dans le camp de la procureure", souligne Jade, membre de l'association.
 
Les soutiens de Salim Moussajee ont déjà annoncé qu'ils seront de retour devant le tribunal mercredi prochain, afin d'organiser un "ron kozé".

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St-Benoit : Il roule en zigzag et demande un passe-droit

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Le moins que l'on puisse dire, c'est que le week-end a été fructueux et désolant pour les militaires de la Gendarmerie. Outre les excès de vitesse en agglomération, un autre fait particulier est à signaler dans l'agglomération de l'Est de l'île.
St-Benoit : Il roule en zigzag et demande un passe-droit
Il est environ 17h45 lorsque les gendarmes de la Compagnie de Saint-Benoit interceptent un conducteur qui roulait à vive allure et en zigzag. Ils se rendent compte immédiatement qu'il est en état d'ébriété. Le résultat de l'éthylotest est sans appel : 0,90 mg/l d'air expiré, soit presque 2 g/l d'alcool dans le sang. 

Pris la main dans le sac, le quinquagénaire tente, tant bien que mal, d'obtenir un passe-droit eu égard à position qu'il occupe au sein d'un service de la commune (une initiative qui n'engage que lui).

Perdu : il ne l'obtiendra pas et devra répondre de cette conduite sous l'empire d'un état alcoolique. 

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Meurtre de Lola, 12 ans, à Paris : Une SDF de 24 ans est la principale suspecte

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Deux personnes ont été mises en examen concernant le meurtre de Lola vendredi dernier à Paris. Le corps de la jeune fille avait été retrouvé dans une malle le jour du drame. La principale suspecte est une SDF de 24 ans. Un autre homme est également poursuivi.
Meurtre de Lola, 12 ans, à Paris : Une SDF de 24 ans est la principale suspecte
L’enquête a avancé rapidement concernant la mort de Lola, cette collégienne de 12 ans retrouvée morte dans une malle à Paris vendredi dernier. Ce lundi, deux personnes ont été déférées et une information judiciaire a été ouverte pour meurtre sur mineure de moins de 15 ans en lien avec un viol commis avec actes de torture et de barbarie, viol sur mineur de 15 ans avec actes de torture et de barbarie, et recel de cadavre.

Quatre personnes avaient été placées en garde à vue, mais seulement deux sont poursuivies. Il s’agit d’une SDF de 24 ans et d'un homme de 43 ans. Ils ont été placés en détention provisoire. Selon TF1, la suspecte aurait reconnu les faits avant de se rétracter.

La principale suspecte a été vue avec la victime par des caméras de vidéosurveillance quelques minutes après la sortie du collège et avant sa disparition. Des riverains affirment l’avoir vu pousser une grande malle en plastique plus tard. Une malle contenant le corps de la victime, qui sera retrouvé plus tard dans la cour intérieure de l’immeuble où Lola vivait avec ses parents.

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Une nouvelle mule interpellée et jugée pour 500g de cocaïne

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C'est la deuxième mule en une semaine. Après l'ecstasy mercredi denier, c'est de la cocaïne qui était dissimulée dans le caleçon du passeur qui occupait le tribunal judiciaire ce lundi. La mule transportait 500g à destination du juteux marché réunionnais. Une troisième a été interpellée ce week-end par les douanes à l'aéroport Roland Garros.
Une nouvelle mule interpellée et jugée pour 500g de cocaïne
Broklin A., 20 ans, a été interpellé par les douanes le 13 octobre dernier en possession de 500g de cocaïne dissimulés dans son caleçon. Suite au marquage du chien spécialisé en stupéfiants, les agents ont procédé au contrôle de ses bagages. Placé sous rétention douanière, il a remis aux douaniers un colis contenant 500g de cocaïne emballage compris (dont 486g de produit). 

Inconnu des services de la justice, c'est une fois encore un besoin impérieux d'argent qui serait à l'origine de sa décision : "J'avais besoin de cet argent pour l'envoyer à ma mère qui est malade au Congo". Une fois n'est pas coutume, il ne savait pas ce que contenait le paquet, il pensait que c'était du cannabis. Il arrive à la Réunion avec 20€ en poche et devait récupérer 3000€ pour le transport, soit plus que la valeur marchande considérant qu'il s'agissait bien de cannabis. Ce constat laisse le président dubitatif. "Vous vous êtes demandé combien vous risquiez ? Vous vous êtes préparé aux années de prison que vous allez faire ?", le questionne-t-il.

Le "modus operandi" est toujours le même : on lui a remis une valise avec le billet la veille du départ. Fait particulier, lors de son audition à la douane, il appelle un contact. Après vérification, les douaniers se rendent compte que l'individu voyageait avec lui et qu'il repartait le 15 octobre. Pas de chance pour lui, l'info est transmise entre services et il est interpellé à son arrivée à Orly avec 8000€ d'espèces en poche. Pour ses vacances de 2 jours à La Réunion pour un concert, tente-t-il de justifier à son arrivée.

S'il n'a pas de casier, le parquet n'en est pas pour autant compréhensif : "C'est un produit encore rare mais qui se banalise malheureusement de plus en plus à La Réunion. Il est alimenté par des gens comme lui qui le transportent", regrette la procureure qui demande 4 ans de prison assortis d'un maintien en détention.

"Je conteste l'acquisition et l'import. Il n'y pas de preuve qu'il a acheté. Quant à l'import, nous sommes sur un département français. Il n'est pas connu de la justice, c'est le dindon de la farce dans ce dossier. Il ne savait pas ce qu'il transportait, ni ce qu'il risquait", plaide la défense. 

Le tribunal suit les réquisitions du parquet estimant qu'il s'agit d'infractions graves liées à la santé publique et prononce, à la demande des douanes, une amende de 72.900€. 

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Elaboration du Plan Régional de Prévention et de Gestion des Déchets (PRPGD)

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Ce jeudi 13 octobre, le Conseiller Régional, Fabrice HOARAU a présidé la Commission Consultative d’Elaboration et de Suivi (CCES) du PRPGD au sein de l’Hémicycle à l’Hôtel de Région. Etaient présents les représentants des collectivités territoriales des chambres consulaires, et des associations.
Elaboration du Plan Régional de Prévention et de Gestion des Déchets (PRPGD)
Pour Fabrice HOARAU, Conseiller Régional, délégué à l’environnement et aux déchets, « la problématique des déchets est majeure aussi bien pour le développement de notre île, pour l’aménagement de notre territoire et enfin pour le bien vivre de nos populations. Parler des déchets, c’est parler des stations d’épuration comme des poubelles à la maison, des déchets industriels comme des mégots, que certains jettent par les vitres des voitures… Ne pas placer cette problématique comme un élément majeur de la politique publique, c’est abandonner notre population, c’est négliger notre cadre de vie, c’est sacrifier notre biodiversité et son éco-système. Notre volonté est de faire de cet outil un plan au service du développement de La Réunion, au service de l’économie circulaire. C’est un formidable tremplin pour l’emploi, porteur de richesse. »

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Sominn kréol 2022 - Du lundi 24 au lundi 31 octobre 2022

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Sominn kréol 2022 - Du lundi 24 au lundi 31 octobre 2022

Intervention dans quatre lycées :

Lundi 24 octobre Saint-Denis – Lycée Bellepierre
1- Exposition « mots et proverbes créoles », en hommage à Daniel Honoré Lecture de textes, chants créoles, sirandanes, déambulation Espace littérature créole
2- Atelier fon’ker (kréation et partage) avec Michou Itare
3- Atelier généalogie avec l’association Moundou
4- Atelier « lesprit kabar », séga maloya avec Bruno Escycle
5- Spectacle Lolita Monga « Lo maronaz » (deux représentations : 10h et 14h)
6-Atelier « jouer avec les mots », lecture fon’ker Lofis La Lang
Mardi 25 octobre Saint-Leu – Lycée Stella
1- Exposition « nout manjé, nout mémoir, nout listoir » Lecture de textes en créoles, chants créoles, littérature réunionnaise
2- Film documentaire « la cuisine réunionnaise »
3- Atelier « découverte de la graphie du réunionnais à travers le développement de champs lexiaux et la production écrite
4- Atelier maloya, chants, danse, instruments
5- Spectacle Lolita Monga « Lo Maronaz » (deux représentations : 10h et 14h)
6-Atelier sur le bien être en musique par Thierry Gauliris (Baster)
Jeudi 27 octobre Saint-Paul – LP Renaissance
1- Film la cuisine réunionnaise
2- Atelier découverte fruit et légume lontan
3- Atelier fon’ker avec Aymarat Lapinsonnière
4- Atelier découverte du moringue
5- Atelier séga et maloya, histoire, chants, danses
6- Atelier sur les objets lontan
7- Atelier généalogie
Vendredi 28 octobre Sainte-Suzanne – Lycée Bel Air
1- Village d’expositions sur l’habitat créole * Listoir la kaz kréol la Rényon * 350 ans d’architecture * La Réunion, une île, une ville * Exposition artistique sur les cases créoles « nout jardin créole) * Initiation à l’expression artistique, construction de cases créole sous forme de moule... * Chants créoles, proverbes créoles, lecture de texte en déambulation
2- Atelier lang kréol, écriture, lecture, fon’ker, musique
3- Fon’ker dan’ lycée (improvisations dans les classes)
4- Atelier maloya dan’ ker Film sur le maloya, atelier initiation et découverte des instruments, chants, danse Présentation de l’ouvrage « Il était une fois la liberté) et le maloya un paramètre de l’intériorité réunionnaise, spectacle
5- Fon’ker mascarin : traduction des textes de Beaudelaire en créole
6-Kozman Gramoun, rencontre inter-générationnelle, la vie lontan à travers des objets et des photos, atelier transmission (tressage de bertel, macramé, sculpture sur bois, décoration de bambous, gâeaux lontan...)


Mardi 25 octobre / Villa de la Région Réunion

- 10h00 // Signature de la charte des collectivités bilingues.


Mercredi 26 octobre / Médiathèque Trois Bassins

- Expositions et diverses thématiques autour de la langue kréol avec Fabrice Urbatro, Lolita Monga et Annie Grondin.
9h à 12 : Atelier page de scrapbooking animé par Sandrine Payet
14h : Atelier contes avec l’association Kozé Konté
15h : Spectacle de Lolita Monga


Vendredi 28 octobre // Journée internationale de la langue créole

- Exposition dans le hall de la Région Réunion et dans l’hémicycle.
- Assemblée plénière.
- Performance artistique // Dans les 3 cirques. *9h-15h retransmission en LIVE FACEBOOK
Artistes :
- Charly Lesquelin et François Nicolle (Salazie, le Case de Mare à Vieille Place).
- Konix (Mafate, Îlet des Orangers).
- Emma Di Orio (Cilaos, Archipel des métiers et des arts).


Samedi 29 octobre // Saint-Paul – CIMENDEF

10h - 16h :
- Exposition et atelier écriture avec Stéphanie Lebon.
- Livres créoles, auteur.es, dédicaces, chants traditionnels créoles, contes, et fonnkèr.
13h - 16h : Battle, danseurs et graffeurs
- Dance urbaine avec TIK&TAK et Soul City.
- Animation moringue avec le Collectif des Moringueurs de l’Ouest.
- Performance Graff avec Graffiti 974.
16h – 18h // Cimendef - concert acoustique avec :
- au 6ème étage du bâtiment : Nicole Dambreville.
- au 3ème étage du bâtiment : les élèves du CRR (Vincent Philéas).
17h-19h // Débarcadère (côté sable)
- Solah
- Emma Nona
- Barth
- Kalipsxau


Dimanche 30 octobre // CILAOS

Ville de Cilaos Dimanche 30 octobre - Archipel des Métiers
Proposition de programmation des associations et des artistes Horaires : 10 à 16h
1.Association Métiss@rtline Exposition « nout manjé, nout mémoir, nout listoir » Exposition photographique « Cilaos lontan » Exposition nout ti kaz kréol (œuvres artistiques) Atelier peinture artistique, moulage, case créole...
2.Association Kaloubadia Contes et chants créoles en déambulation sur le site Atelier de confection de perles (objets durables)
3.Association Arts Nature et Tradition Atelier cannage (chaises lontan)
4.Association Communication Réunion Océan Indien Atelier « sauvegarde de la mémoire des hauts » : exposition et confection de pilon en pierre ; tressage ; empaillage…
5.Jean-Bernard Grondin Atelier sur goni (marronnage)
6.Le Mini-Musée de la musique Le monde en musique (instruments de musique de l’océan Indien et du monde)
- 7.UDIR Littérature réunionnaise, dédicaces en présence du poète Mathieu Vaïtilingom (Socko lo Kaf) et du fabuliste Adolphe Maillot pour la présentation de leurs derniers ouvrages
- 8.Association Zandémik Kèr maloya dan’ Cilaos (instruments, zhistoires, conception de bobres, musique…)
- 9.Les Chokas Animation musique en cuivre du Sud
- 10.Comité Moringue
-  Exposition sur le moringue réunionnais, collection d’ouvrages sur la créolité Spectacle de moringue, déambulation
18h30 - 22h00 // PLATEAU MUSICAL sur le site de Mare à Jonc :
- Waki Bang
- Bihel Ivoula
- Kréolokoz
- Missty
- Davy Sicard


Lundi 31 octobre – Ronn Kozé , Hémicycle // 17h - 19h


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Gran 20 désanm 2022 : appel à projets offre diversifiée de petite restauration au musée de Villèle

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Gran 20 désanm 2022 : appel à projets offre diversifiée de petite restauration au musée de Villèle
Le Département organise la 5è édition du Gran 20 desanm en 2022 sur le site du musée historique de Villèle.
L'évènement aura lieu les lundi 19 décembre (17h00 - 23h00) et mardi 20 décembre 2022 (10h00-19h00).
L'ensemble du parking du public accueillera un espace dédié à la restauration, à titre commercial, des visiteurs.
Pour cet événement, des autorisations d'occupation temporaire du domaine public sont consenties au profit d'acteurs privés, afin de proposer aux usagers une offre diversifiée de petite restauration :
boissons fraiches, repas, samoussas, bonbons piment, sandwichs, gâteaux lontan, grillades.
 
Les modalités de candidature
Le candidat déposera son (ses) offre(s) :
  • soit par voie de courrier électronique à l'adresse suivante : musee.villele@cg974.fr   
  • soit remis en mains propres contre récépissé  
  • par envoi postal à :
Musée historique de Villèle Département de la Réunion Domaine Panon-Desbassayns 97435 Saint-Gilles-Les-Hauts
Candidature à l'offre Villaz Manzé -
Gran 20 desanm 2022 -Musée Historique de Villèle
 

Au plus tard le 10 novembre 2022 à 16h

 

Pour tout renseignement : musee.villele@cg974.fr

 
Cahier des charges et informations

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Avec Soliha, adoptez les bons éco’zestes !

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Avec Soliha, adoptez les bons éco’zestes !
Soliha organise un atelier de présentation du dispositif Zeste, ce mercredi 19 octobre, de 8.30 à 12.30, au Carré Fayard, à Saint-André, dans le cadre du « marché équitable ». L’objectif est de sensibiliser les habitants à réaliser des économies d’énergie dans leur quotidien.
 
Durant la matinée, les équipes Zeste proposeront aux résidants de la ZAC Fayard, du conseil à domicile et un suivi des initiatives engagées par les ménages.
 
Déployé sur l’ensemble des territoires d’outre-mer, le programme Zeste s’inscrit dans le cadre de la loi sur la transition énergétique. A La Réunion, Soliha est le partenaire missionné pour mettre en œuvre le programme Zeste et accompagner gratuitement tous les ménages vers les économies d’énergies renouvelables.
 
Cette action est réalisée avec le concours de la Cirest, de la Ville de Saint-André (Contrat de Ville) et des associations du quartier.

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Lettre à Philippe Naillet

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Lettre à Philippe Naillet
Bonjour monsieur Naillet Philippe, 
 
A la présidentielle 2022, vous avez voté Macron au 2nd tour. 
 
Heureux vous l'avez été du moment vos € 6000,00 net sont assurés grâce au peuple (assemblée nationale). 
 
Macron est, restera un manipulé du monde de la finance !
 
Semble t-il que vous travaillez plus qu'un ouvrier, un salarié, bref  ?
 
Le projet de loi de finances pour 2023 (PLF 2023) est en discussion et mercredi 19 octobre courant les débats auront lieu. Depuis le début de l'examen du projet de loi de finances à l'Assemblée nationale, le gouvernement est en difficulté.
Les oppositions sont parvenues à faire adopter plusieurs amendements contre son avis.
 
L'exécutif doit maintenant décider s'il les intégrera au texte final, qu'il devrait faire adopter sans vote via 49-3.
Espère que votre analyse, lucidité vous amèneront à voter contre le système politique de Macron , en remettant la balle au centre afin qu'une dissolution serait actée. 

Dionysien et électeur sur la 1ère circonscription votre vote sera scruté de tous où la rumeur court que vous êtes socialiste - Macron compatible.!!!
 
Me permets de vous rappeler que vous n'avez jamais répondu à mes méls qui restent nuls et non avenus !
 
Bien cordialement; 
 

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Rachat de Vindémia : L'OPMR dénonce l'emprise économique de GBH à La Réunion

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L'Observatoire des prix, des marges et des revenus (OPMR) présente son rapport relatif à la situation du secteur de la grande distribution à dominante alimentaire à La Réunion. Des élus seraient prêts à se mobiliser au niveau de l'Assemblée nationale pour travailler sur des mesures qui répondraient aux atteintes à la régularité du marché mises en avant par l'OPMR.
Rachat de Vindémia : L'OPMR dénonce l'emprise économique de GBH à La Réunion
Deux ans après la réalisation effective de l’opération de rachat des actifs de Vindemia par le groupe GBH, l’OPMR rend ce lundi son rapport définitif de l’étude relative à l'état des lieux du marché de la distribution généraliste de détail à dominante alimentaire à La Réunion.

L’observatoire avait déjà fait part des résultats "alarmants" en matière de concurrence, de hausse des prix et sur la production locale suite au rachat de Vindémia par le Groupe Bernard Hayot en août dernier.


 

Un duopole Carrefour/Leclerc

Le rapport provisoire mettait en évidence la constitution d'un duopole Carrefour/Leclerc. Les deux enseignes totalisent à elles seules deux tiers du marché, avec en tête Carrefour (du groupe GBH) atteignant 36 à 39% de part de marché, devant Leclerc qui atteint entre 27 et 29% de part de marché. Le troisième acteur, U, n’atteint que 14 à 16% de part de marché.

Le rapport définitif confirme aujourd’hui cette situation de forte concentration clairement défavorable au pluralisme concurrentiel de la grande distribution locale. L'OPMR déplore un bouleversement profond du secteur avec une croissance forte et inattendue du marché de la distribution généraliste.

L'OPMR ajoute que GBH a pu renforcer son emprise sur l'économie de La Réunion avec une croissance de plus de 151% de son chiffre d'affaires en 3% et représentera cette année près de 45% de toutes les dépenses de consommation courantes des ménages réunionnais.

GBH qui gère l'enseigne Carrefour possède une filiale dans la production, mais contrôle aussi Super Cash qui fournit les petits commerçants. Le cabinet de conseil engagé par l'OPMR a constaté des prix de vente plus importants que ceux pratiqués auprès du grand public. Les gérants de petits magasins se retrouvent donc à s'approvisionner directement chez Carrefour.


Cette concentration des marchés présente des risques concernant les prix et la diversité de l‘offre. La situation des fournisseurs locaux se fragilise. Les producteurs, importateurs et prestataires locaux se retrouvent plus fortement dépendants deux acteurs majeurs qui représentent ensemble deux tiers du marché, (et ce, malgré les engagements comportementaux pris par le groupe GBH pour protéger les fournisseurs locaux lors du rachat. Aucun n’a demandé à se prévaloir).

La hausse des prix de la grande distribution

La situation actuelle de la grande distribution sur l’île impacte directement l'économie et les consommateurs locaux. Le rapport présente des scénarios probables à moyen et court terme comprenant la disparition d’un ou plusieurs acteurs qui viendrait renforcer les acteurs du duopole, de sérieux risques de défaillance de certains producteurs locaux, l’insuffisance de diversité et de profondeur de l’offre, et la hausse des prix dans les secteurs de la grande distribution généraliste et spécialisée, menant à un déséquilibre général de l’économie de l’île.

L'OPMR déplore notamment une situation de dépendance économique des acteurs de la production et des fournisseurs locaux. Il y a aussi des conséquences dans les pratiques observées chez GBH, comme des discriminations de fournisseurs ou favorisation de marques contrôlées par sa filiale.

Pour lutter contre cette concentration, l’OPMR fait part d’une série de propositions car le duopole est installé et se trouve dans "une spirale de concentration". Le cabinet de conseil engagé par l'observatoire recommande une modification du code du commerce spécifique à l'Outre-Mer qui limiterait les parts de marché des acteurs dans tous les secteurs à 25%. Une autre disposition proposée est d'interdire les organisations verticales : l'impossibilité pour un acteur d'être producteur et vendeur. Le cabinet explique qu'il faut aussi envisager un moratoire des grandes surfaces et que l'installation de nouveaux acteurs soient limités à des surfaces de moins de 1.500 mètres carré. Une dernière proposition est la création d'une autorité de la concurrence locale qui prendrait en compte les spécificités de l'île.

 

Agir au niveau législatif

La présidente de la Région ainsi que deux députés de La Réunion ont assisté à l'assemblée générale de l'OPMR. Jean-Hugues Ratenon et Frédéric Maillot ont indiqué vouloir prendre des mesures pour qu'une commission soit mise en place afin de travailler au niveau législatif pour intervenir sur le marché de la grande distribution dans l'île.

 

Le rachat de Run Market sera-t-il salvateur ?

Christophe Girardier, responsable du cabinet Bolonyocte Consulting, explique que le duopole Carrefour/Leclerc est installé qu'un rachat actuellement discuté avec avec le groupe mauricien IBL pourrait, selon les options choisies, se terminer comme l'aventure tentée par Make Distribution qui se retrouve aujourd'hui en grande difficulté et doit revendre ses parts.

 

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Grande distribution : "Il est urgent d’agir"

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"J’invite l’ensemble des acteurs du modèle économique réunionnais à se saisir de ce rapport afin de faire rapidement des propositions au gouvernement", déclare le député.
Grande distribution :
Le communiqué :

J’ai participé cet après midi à l’assemblée plénière de l’OPMR qui avait pour ordre du jour : la présentation du rapport définitif de l’étude relative à l'état des lieux du marché de la distribution généraliste de détail à dominante alimentaire à La Réunion, deux ans après le rachat de Vindémia par le groupe GBH, autorisée par l’Autorité de la concurrence en mars 2020.

Ce rapport est à mon sens explosif au vu de l’évolution du marché. Il met clairement en évidence une situation de duopole avec une part de marché des 2/3 pour les 2 plus grandes enseignes à la Réunion ; ce qui serait un scénario catastrophe et d’une économie locale sous cloche.

La question que je me pose maintenant : est ce que ce scénario n’était il pas écrit dès le départ lors du rachat de vindémia par le groupe Hayot ? Comme j’avais alerté à l’époque.

A présent : Quelles solutions pour Run Market et ses salariés ?
                    Quel repreneur dans ce scénario ?
                   Quel rôle l’Etat compte-t-il jouer ? D’autant que Run Market a déjà bénéficié de finances publiques.

Les inquiétudes portent bien évidemment sur le pouvoir d’achat des Réunionnais puisque si la perspective se confirme, il y aura toujours et encore des augmentations de prix à prévoir.

Par ailleurs, face à ce schéma de domination économique, sous quelles pressions vont être placés nos producteurs locaux ? Il y a véritablement danger.

Ce sera la double peine pour la population : pas moyen de se déplacer, elle va acheter dans le commerce de proximité à des prix plus chers et devra acheter à compte goutte. Il est urgent d’agir. L’Etat, le gouvernement ne peut pas rester en dehors de l’enjeu important, comme préconisé par le rapport Girardier : appliquer des dispositifs adaptés à La Réunion pour protéger le tissu économique et le pouvoir d’achat des Réunionnais.

Concernant l’approvisionnement des petits commerçants : le préfet a-t-il le pouvoir de fixer les prix des fournisseurs ? C’est ce prix des produits fixé aux fournisseurs qui va inciter la population à continuer d’acheter dans les commerces de son quartier.

J’invite l’ensemble des acteurs du modèle économique réunionnais à se saisir de ce rapport afin de faire rapidement des propositions au gouvernement. Si des dispositifs législatifs ne sont pris, la situation va véritablement s’aggraver.

Jean Hugues RATENON
Député de la Réunion

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Chroniques judiciaires : Trafic de zamal, violences et infractions routières à l'affiche

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Des faits de trafic de zamal en bande organisée, des violences sur conjoint et une conduite sans permis en récidive étaient au menu de l'audience de comparution immédiate de ce lundi 17 octobre. Les défenses ont demandé un renvoi dans l'affaire des stupéfiants.
Chroniques judiciaires : Trafic de zamal, violences et infractions routières à l'affiche
Trafic de zamal en bande organisée vers l'île Maurice

Cinq personnes, quatre hommes et une femme, comparaissaient pour des faits de trafic de stupéfiants - du zamal - en bande organisée. Comme le prévoit la loi, les avocats ont demandé un délai pour préparer la défense des prévenus dont seule la femme comparaissait libre, sous contrôle judiciaire. Une fois encore, un homme né à Maurice faisait partie du lot alors que les investigations mettent en évidence des contacts avec un commanditaire sur l'île sœur. 

Ils ont chacun un rôle précis mais des degrés d'implication plus au moins importants qui justifient la prévention de trafic en bande organisée. À noter que trois autres personnes, moins impliquées, seront convoquées ultérieurement devant la justice. Sans surprise, le parquet a demandé que les quatre prévenus soient maintenus en détention provisoire dans l'attente de l'audience. Le tribunal a suivi ces réquisitions, l'audience aura lieu le 23 novembre prochain. 

Violences sur conjoint en état d'ivresse et en récidive 

Georges T., 39 ans, considère que sa compagne lui appartient. Comme il le lui dit : "Si tu as un enfant avec quelqu'un d'autre, je te tue, je le tue et je me tue après". Les bases sont posées par le président qui relate la tenue des textos reçus par la victime. Le 15 octobre dernier, lorsqu'ils sont dans un bar, ils se disputent. Le prévenu s'en prend si violemment à sa compagne qu'un témoin doit intervenir. Il sera remercié par monsieur à coup de matraque télescopique. Arrivée à la case, ça continue mais cette fois, il franchit un cap. Il la bloque sur le lit et lui assène un coup de poing si violent qu'il lui fracture le nez et l'arcade. En sang, la victime l'implore d'appeler les secours mais il ne fera rien. 

Il va ensuite prendre un couteau et la supplie, tout en s'excusant, de lui porter un coup pour le punir du mal qui lui a fait. Bien entendu, elle refuse. Elle réussit à envoyer un texto à sa sœur qui prévient la police à 3h du matin. Il est interpellé avec un taux de 0,48 g/l d'alcool dans le sang. En revanche, sa compagne se voit prescrire une ITT de 10 jours. Comme elle l'explique, ce n'est pas la première fois qu'il la bat. Son casier fait montre de 8 mentions pour des violences et une agression sexuelle. 

"Il est dangereux, elle a peur de lui. Elle le supplie d'appeler les secours mais il ne bouge pas", fustige la partie civile. "C'est une relation récente et son comportement laisse clairement apparaître qu'elle est sa propriété. 'Toi et moi, c'est jusqu'à la mort', lui dit-il. Elle a peur de lui", tance le parquet qui requiert une peine de 3 ans de prison. "Ce n'est ni plus ni moins qu'une relation toxique comme on a l'habitude d'en voir. ll y a beaucoup d'interprétations dans ce dossier. Il reconnait et regrette les faits", plaide la défense. Le prévenu est condamné à 3 ans de prison avec maintien en détention. 

Conduite sans permis et sous stupéfiants 

Un homme de 46 ans, au casier particulièrement étoffé (21 mentions), avait à répondre de faits de conduite sans permis et sous stupéfiants le 14 octobre dernier. Il est sorti de prison (où il était pour la même chose) et n'a plus son permis depuis 2012. Lors de ce contrôle routier, il est également positif à l'alcool mais le taux relevé de 0,25 mg/l est contraventionnel. 

Malgré son passé de multirécidiviste, le parquet requiert une peine de 12 mois dont 6 avec sursis probatoire et ne s'oppose pas à un aménagement pour la partie ferme. "Je souscris aux réquisitions du parquet. Il faut l'aider. Il est SDF, l'aider, c'est aider la société", plaide la défense. Le tribunal tranche et suit les réquisitions de la procureure mais prononce un maintien en détention.

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