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Vidéo - St-Denis : Ericka Bareigts dresse ses attentes pour 2023

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Place à la "transformation" en 2023 pour Ericka Bareigts. À l'occasion des vœux de la maire de Saint-Denis à la presse, cette dernière a dressé les grandes lignes sur lesquelles travailleront ses équipes cette année, avec un accent mis sur le verdissement du chef-lieu, la réhabilitation des logements sociaux et le renfort des réseaux de mobilité.
Vidéo - St-Denis : Ericka Bareigts dresse ses attentes pour 2023
L'édile dionysienne a tout d'abord rappelé les efforts déjà entrepris par la municipalité concernant le verdissement de la ville. Des actions de démolition ont déjà été entreprises dans certains secteurs du chef-lieu comme sur l'ex-Espace Océan, qui laissera place à une "forêt aventure" d'ici 2025 dans le cadre du projet DionyParks, ou encore au Barachois où une forêt urbaine remplacera l'ancienne bibliothèque nationale. D'autres travaux interviendront dans quelques semaines comme au Parc Labourdonnais, "qui ne ressemblera plus à ce que vous connaissez", assure la maire de Saint-Denis qui poursuivra les autres projets entamés comme "Une naissance, un arbre" (plus de 3.400 arbres plantés dans les espaces publics de la ville) sans oublier la création de jardins en bas d'immeubles (48 à l'heure actuelle).

L'autre sujet important pour Ericka Bareigts concerne la poursuite de la réhabilitation de certains quartiers. Déjà lancés, les projets Prunel (Marcadet-Butor-Vauban) et Ruch (au Chaudron) se poursuivront en partenariat avec les bailleurs sociaux. Si certains ensembles connaîtront pour la plupart des opérations de réhabilitation, d'autres ne pourront pas échapper à des démolitions. "Il faut revoir ces vieux immeubles -parfois des neufs aussi- pour redonner de la dignité aux familles qui y habitent", clame la maire de Saint-Denis. Si les travaux concernant Prunel ont démarré depuis belle lurette, ceux concernant la RUCH au Chaudron devraient passer un cap cette année avec le réaménagement de "l'espace flamboyants" à proximité des concessions automobiles, la livraison à venir du nouveau gymnase du Chaudron ou le lancement de la bibliothèque dans le quartier de l'est dionysien.


Sur la thématique de la mobilité, une question qui fâche à Saint-Denis où près de 100.000 véhicules entrent et sortent de la ville quotidiennement, la maire et ses équipes comptent amplifier le TCSP actuellement en place en partenariat avec la Cinor grâce notamment au projet BAO-BAB (Bus Aéroport Ouest de St-Denis et Bus Aéroport Bocage). Le but recherché est de permettre aux personnes arrivant de l'Est de prendre un bus à Sainte-Suzanne "et de rentrer ainsi dans Saint-Denis en évitant les embouteillages" argue-t-elle. Pour rendre possible ce TCSP sur l'ensemble du territoire cinorien, des pôles d'échanges multimodaux (PEM) à l'image de celui de Duparc devraient voir le jour : une à Saint-Denis à l'entrée Ouest de la ville dans le secteur de la caserne Lambert et la seconde à Sainte-Suzanne.

La ville continuera d'investir dans son plan vélo avec la création pour 2023 de 10 nouvelles stations de vélo et planche toujours avec la Cinor sur la création d'une seconde ligne de téléphérique reliant le quartier de La Montagne au secteur du bas de Bellepierre/Bertin. L'occasion pour Ericka Bareigts de rappeler les "bons chiffres" concernant le premier téléphérique lancé l'an dernier entre Bois de Nèfles et le Chaudron, "très critiqué au début mais qui a déjà transporté 1,3 million de personnes en un an d'exploitation" se félicite-t-elle. Pour le second projet de téléphérique, les discussions tournent autour de l'installation de la station : l'attributaire propose le secteur de La Vigie alors que la mairie souhaite l'installer plus haut dans les zones résidentielles, "à l'image de celui de Bois de Nèfles", poursuit Ericka Bareigts.

Mais la question que tout le monde se pose est bien sûr celle de la mise en place d'un transport ferré. Sur ce point, des discussions sont toujours en cours entre la ville et la Région Réunion, assure la maire de Saint-Denis qui souhaite obtenir une réponse "au plus vite" ("Pas de tramway, vous reprendrez bien des bus ? ").

"Les Dionysiens nous disent 'qu'est-ce qui se passe aujourd'hui et demain à la fin du mandat ?' Nous voulons une réponse pour maintenant, qui n'empêche pas le futur. Avec notre TCSP et notre expérience du téléphérique, nous contribuons déjà en interne à réduire ces flux de circulation. Mais à l'échelle de l'île, cette question ne relève pas de nous", tempère la maire de Saint-Denis.

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Le ministre Carenco n'a jamais eu pour projet de "rebaptiser les Outre-mer"

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​Changer le mot outre-mer par "France océanique" par exemple n’est nullement à l’ordre du jour de Jean-François Carenco et ne le sera sans doute jamais. Il y a bien d’autres sujets majeurs qui occupent l’emploi du temps du ministre. Voilà qui est dit.
Le ministre Carenco n'a jamais eu pour projet de
Quelques heures après la publication d’un article de France Info intitulé "Rebaptiser les Outre-mer, la dernière idée du ministère de Jean-François Carenco", le ministère tient à donner sa version sur ce qui ressemble à une sacrée incompréhension entre les journalistes de France Info et le ministre. 

Jean-François Carenco a bien rencontré les journalistes de France Info pendant 2 heures et demi mais c'était pour évoquer les dossiers Outre-mer. Au cours de cette discussion "en off" comme l’on dit en bon français, "le ministre a juste dit que, dans ses échanges avec des ultra-marins, il arrive que des personnes lui parlent de l’envie de faire évoluer le concept d’Outre-mer qui ferait appel à une thèse d’Etat centralisateur et laisserait les outre-mer dans une certaine périphérie. Ça été bien dit que ce n’était pas un dossier, pas une réflexion, que ce n’est même pas une discussion qui serait en cours pour aboutir à quelque chose de concret, ce n’était que des échanges", tient à nous préciser le ministère des Outre-mer. Voilà qui a le mérite d'être précisé.

Si la rue Oudinot s’empresse de donner sa version, c’est évidemment pour éteindre un incendie que le ministère n’a en aucun cas déclenché. Cette incompréhension entre les journalistes de France Info et le ministre devrait être réparée dans peu de temps à travers une rectification voire même la suppression de l’article initial de France Info. 

Il faut dire que présentée comme telle, cette idée a tout pour réduire à néant la communication du ministre arrivé aux affaires le 4 juillet 2022. Il suffit de regarder les commentaires publiés sous notre premier article et les réactions qui ont fusé sur les réseaux sociaux pour comprendre que les ultra-marins ont d’autres soucis en tête que de faire évoluer l’appellation des territoires domiens.


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Saint-Leu : Aurélie se bat pour son petit Elyjah atteint d'une maladie rare

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​La vie d’Aurélie Clain est chamboulée depuis quelques mois. Une vie qui s’est mise au diapason de celle de son enfant atteint d’une maladie très rare. Un enfant réunionnais est atteint de cette maladie chaque année.
Saint-Leu : Aurélie se bat pour son petit Elyjah atteint d'une maladie rare
Le moment heureux que constituait la naissance de son deuxième enfant a vite laissé place à l’angoisse. Aurélie Clain vit depuis quasiment un an au rythme des rendez-vous médicaux pour son enfant Elyjah. 

Le garçon est atteint de la maladie de Leigh. Un enfant est diagnostiqué chaque année avec cette maladie à La Réunion, ce qui en fait une maladie rare. 

Le premier combat qu’Aurélie a mené a été de mettre le doigt sur la maladie. Les premières consultations ont été pour le moins compliquées. Elle en est ressortie avec la désagréable sensation de ne pas être prise au sérieux. 

"Lorsqu’il avait 18 - 19 jours, il a commencé à avoir quelques signes. Son visage était un peu bouffi. J’étais allée voir un médecin généraliste qui n’avait rien trouvé de particulier", raconte-t-elle. Quelques jours après, c’est au CHOR qu’elle se rend alors que ses impressions restent aussi alarmistes. "Il sursautait, il avait les yeux révulsés vers le bas puis il pleurait, il hurlait. Mais là encore, on ne m’a pas prise au sérieux, on m’a dit que c’étaient des coliques", ajoute-t-elle. 

Il a fallu écarter toutes les pistes pour poser le diagnostic

Le retour de son médecin traitant le lendemain de cette visite au CHOR va changer la donne. Le professionnel de santé écrira à ce moment-là un courrier adressé à un confrère dans lequel il ordonne des examens plus poussés. Au scanner, ils finissent par découvrir des lésions. "On m’a dit qu’il avait fait des AVC", explique-t-elle. 

Le transfert de l’enfant au CHU pour y passer un IRM allait confirmer ce qui venait d’être décelé. "Dès qu’il avait les yeux ouverts, il pleurait. À chaque minute il avait des crises. Ils n’ont pas pu compter combien d’AVC il a eus. Ils ont détecté des lésions un peu particulières, il ne s’agissait pas d’AVC simples mais ils étaient sûrement dus à une maladie. Là ils ont fait des analyses, des prélèvements sanguins, des prélèvements de peau. Ils ont cherché un peu de tout afin d’écarter toutes les autres pistes", s'en souvient la Saint-Leusienne de 27 ans. 

Au final, les symptômes développés par Elyjah caractérisaient bel et bien la maladie de Leigh. Le syndrome de Leigh, ou encéphalomyopathie nécrosante subaigüe, est une maladie neurologique progressive, dont la prévalence est estimée à 1 cas pour 36.000 naissances.

Désormais, chaque jour est vécu comme une victoire. Le discours plus enthousiaste qu’elle tient aujourd’hui arrive après un moment d’abattement survenu au moment du diagnostic. "On nous a présenté un pronostic très sombre comme quoi il pourrait décéder à l’hôpital, qu’on ferait des allers-retours à l’hôpital jusqu’à son décès, qu’il serait handicapé très lourdement toute sa vie, sans parler, sans bouger".

Mais le désespoir s’est mué, au fil des rencontres avec de nombreux professionnels de santé, en petites touches d’espoir. 

"Maintenant, il a un suivi au top avec un généticien, une psychomotricienne du CAMSP, un pédiatre du CHU, mon médecin traitant et le kiné qui vient à la maison", expose la maman qui salue le travail de cette équipe.

La nécessité d'acheter des équipements adaptés

"Il fait quand même des progrès, il commence à dire quelques petits mots. Par contre, il ne peut toujours pas être assis, et il n’arrive pas à téter", donne-t-elle comme exemple de petits gestes devenus un véritable défi pour Elyjah. 

Aurélie Clain se retrouve de ce fait face à de lourdes dépenses imprévues. Elle aimerait notamment acheter à son enfant un transat de bain car, jusqu’à présent, "je le douche accroupi", mais aussi équiper sa voiture d’un siège auto spécial et s’équiper d’une poussette adaptée. "Avec une poussette normale, il tombe sur les côtés", nous explique-t-elle. 

Au-delà de ces équipements, Aurélie devra également sortir les fonds pour séjourner à Paris lorsqu’il faudra présenter Elyjah à l’hôpital Necker. Ce séjour devrait avoir lieu en juillet-août 2023. Un rendez-vous chez un spécialiste en mars prochain devrait préciser ce calendrier. 

C’est pour l’aider dans ces nombreuses dépenses actuelles et à venir qu’une cagnotte a été lancée

"Nos dépenses ne sont consacrées qu’au médical et j’aimerais qu’il en profite un petit peu pour autre chose. S’il reste de l’argent", nous dit-elle, et en fonction du niveau qu’atteindra la cagnotte, Aurélie souhaiterait par exemple effectuer quelques petites dépenses tournées vers l’amusement afin de faire vivre à Elyjah autre chose que les quatre murs de l’hôpital. 

"L’avenir est vraiment flou pour lui. On vit au jour le jour", dit-elle en mettant en avant les petits progrès et les petits moments de joie qui égayent le visage d’Elijah.

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Violences conjugales : "Elle a déjà subi deux actes de violences, deux accidents oculaires ! "

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Les violences conjugales étaient, une fois encore, majoritaires au rôle des comparutions immédiates de ce début de semaine. L'histoire qui suit fait froid dans le dos. Une victime tremblante à l'audience et un prévenu qui ne reconnait pas les faits, ou à minima, les minimise.
Violences conjugales :
Le 21 janvier dernier, les gendarmes de Saint-Paul interviennent au domicile d'une femme suite à l'appel de sa fille. La jeune fille déclare que sa mère a été violentée par son beau-père. Les militaires interviennent rapidement mais la victime ne veut pas s'exprimer. Pire, elle ne souhaite pas déposer plainte malgré un énorme hématome à l'œil et un doigt cassé. À force de pédagogie et de persuasion du parquet et des gendarmes, elle finit par entendre raison. Dans un premier temps, elle va chez SOS médecin qui lui délivre une ITT de 30 jours. Elle sera ramenée à 21 jours par l'institut médico-légal. Pour autant, les violences sont graves, le mari est placé en garde à vue. 

Daniel P., 58 ans, est le mari de la victime, ils ont deux enfants ensemble. Suite à une situation conjugale compliquée, ils restent ensemble pour les enfants. Le 21 janvier dernier au matin, alors qu'il dort seul dans la chambre parentale, son épouse constate que la porte est fermée à clé. Elle entre par la fenêtre, une dispute éclate. Des noms d'oiseaux fusent, et lasse, elle saisit l'oreiller qu'elle colle sur son visage alors qu'il est encore au lit. Il lui assène alors un coup de poing à l'œil, la faisant hurler de douleur et tomber au sol. Menue et fragile, elle n'a pu résister et encore moins se défendre. C'est la version de la victime qui a une ITT de 21 jours. Comme elle l'indique aux enquêteurs, cela fait longtemps qu'il la rabaisse et lui fait subir des violences psychologiques et physiques. 

"On n'a plus de lien tous les deux, on est ensemble pour les enfants"

À la barre, le prévenu n'a pas la même version de l'histoire. Il est victime depuis des années de la persécution de sa belle-fille qui ne l'aime pas. Il ne dit rien car il veut protéger son couple et ses deux enfants. Selon lui, ce matin-là, il a été agressé par sa femme avec cet oreiller qu'il a saisi des deux mains pour la repousser : "Elle était très énervée en entrant dans la chambre. Elle m'a mis l'oreiller sur le visage et pour me défendre, je l'ai pris des deux mains et d'un geste, je l'ai poussée d'un seul coup. Elle est tombée sur le côté et elle fait 'aīe'. Sa fille est d'une méchanceté ! Ça fait 5 ans que ça dure et je n'ai jamais rien dit. On n'a plus de lien tous les deux, on est ensemble pour les enfants mais je ne me serais jamais permis de frapper la mère de mes enfants", se défend le prévenu à la barre. 

"Elle a juste fait "aīe" ? Mais monsieur, comment vous expliquez l'hématome à l'œil et le doigt cassé ?", fustige la présidente. Le prévenu reprend alors ses explications, presque mot pour mot, avec une nuance de taille pour le tribunal : "Quand j'ai poussé, mon poing s'est peut-être retrouvé dans son œil. C'est involontaire tout simplement'. Le bémol, c'est qu'une procédure existe pour des violences commises en 2020. Il avait déjà été placé en garde à vue avec l'obligation de faire un stage de sensibilisation, en raison de la présence d'un hématome sur l'œil de son épouse. Il n'a pas fait le stage en raison du Covid et cette fois-là, elle n'avait pas voulu déposer plainte.

"Elle a déjà subi deux actes de violences, deux accidents oculaires ! "

C'est une victime menue, tremblante, un plâtre à la main et un œil au "beurre noir" qui s'avance à la barre. "Je ne sais pas quoi dire. Je ne suis pas tombée - sous entendant qu'elle a été poussée, ndlr - et depuis 5 ans, c'est son discours de se plaindre de moi. Je sais qu'il me hait", témoigne-t-elle dignement. La partie civile enfonce le clou : "Les faits sont très inquiétants. Elle a déjà subi deux actes de violences, deux accidents oculaires ! Il n'y a pas d'accident, il lui a porté un coup de poing. Il refuse d'assumer ses actes. Elle ne veut pas déposer plainte ou le charger alors qu'il trouve de bon ton de la menacer si elle le fait. Elle est terrorisée par ce contexte quotidien de dénigrement"

"C'est sa fille qui appelle les gendarmes quand elle découvre sa mère blessée", fustige le parquet. "Les blessures sont compatibles avec un coup de poing. Selon lui, il n'y a pas d'explications sur la présence de l'hématome au visage, selon lui, il n'y a rien, c'est circulez, il n'y a rien à voir. Il n'y a pas le début d'un soupçon de commencement de remise en question. Il faut la protéger", conclut le parquet avec fermeté, requérant une peine de 18 mois de prison dont 6 mois de sursis probatoire et un mandat de dépôt pour la partie ferme malgré le casier d'une mention du prévenu pour un défaut de paiement de pension alimentaire. 

"Plus rien ne va dans ce couple qui reste ensemble pour les enfants", répond la défense. "Il n'y a aucun élément de la part du parquet pour les faits de 2020. Venir en parler maintenant, c'est un peu facile. Lui n'a jamais changé de version, ce qui n'est pas le cas de madame. 'Il a mis son poing à côté de l'oreiller' avait-elle expliqué dans sa première version qui ressemble beaucoup à celle de monsieur. Les menaces ne sont pas retenues dans la prévention. Il n'a jamais été condamné pour violences, je vous demande de le relaxer. Dans le cas contraire, je vous demande une peine plus juste sans mandat de dépôt", plaide la robe noire. 

"Monsieur, le tribunal vous reconnait coupable de violences"

"Monsieur, le tribunal vous reconnait coupable de violences", explique la présidente, provoquant des hochements de tête du prévenu. "En répression, vous êtes condamné à la peine de 1 an de prison assorti d'un sursis probatoire renforcé. Le tribunal prononce également une interdiction de contact et de paraitre au domicile de la victime, des obligations de soins, de travail, de faire un stage de sensibilisation et d'indemniser la partie civile. De plus, le tribunal ordonne une expertise médicale pour la victime et lui alloue une provision de 2000 euros dans le cadre ses blessures". 

"Vous avez bien compris Monsieur ? Vous repartez libre mais vous ne devez, en aucune manière que ce soit, entrer en contact avec votre femme. Si vous ne respectez pas cela et qu'elle appelle les gendarmes, vous irez directement à Domenjod". "Mais comment je fais pour récupérer mes affaires, je n'ai rien ici", vocifère le prévenu à la présidente qui répond avec fermeté : "Ce n'est pas le problème du tribunal. Vous. êtes reconnu coupable de violences, vous vous débrouillez comme vous voulez mais vous n'entrez pas en contact avec la victime sinon c'est la prison". 

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Vœux de la CCIR : Après la transition, place à la prudence

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Après une année 2022 placée sous le signe de la “transition”, 2023 sera l’année de la “prudence” souligne Pierrick Robert, le président de la CCIR, lors de ses vœux pour 2023. La valorisation des entreprises réunionnaises sera au cœur du projet de la chambre pour l’année qui vient.
Vœux de la CCIR : Après la transition, place à la prudence
Pour ses premiers vœux à la presse depuis son accession au fauteuil de président, Pierrick Robert a présenté un rapide bilan de l’année écoulée, avant de s’attarder plus longuement sur les projets de l’année 2023. “J’adresse des vœux positifs, porteurs d’espoir, malgré les difficultés que je sais nombreuses”, rappelle le président de la CCIR. 

“2022 a été l’année de la transition, avec la fin de nombreux dispositifs d’aide pour les entreprises. J’envisage 2023 sous le signe de la prudence, dans un contexte économique compliqué”, poursuit Pierrick Robert. 

Effectivement, 2022 semble avoir laissé quelques traces dans le paysage économique péi. Ainsi, près de 5800 entreprises ont été radiées durant l’année passée, soit une augmentation de 54%. “C’est un chiffre à nuancer, car avec l’apparition du greffe privé, nous avons eu beaucoup de radiations d’office. Par exemple, dans le commerce, sur les 2148 radiations, 973 étaient d’office, contre 977 pour cessation d’activité et 178 pour liquidation judiciaire”, précise Aziz Amode, directeur du pôle économie à la CCI. 

“Valoriser” et “accompagner” les entrepreneurs péi

Parmi les projets à mettre en œuvre pour l’année qui vient, plusieurs audits financiers ou immobiliers pour faire le point sur la santé financière de l’institution. On peut également citer le déplacement du Cirfirm du Port vers le Sud, pour faire de la place au lycée de la mer. 

“Nous voulons encourager l’innovation, et servir les besoins des entreprises. Nous allons donc réfléchir à de nouveaux outils, comme des espaces de travail partagés, de la domiciliation d’entreprises ou des lieux de stockage”, détaille Pierrick Robert. 

D’ailleurs, l’année commence sur les chapeaux de roues pour la CCI Réunion, avec la visite du président de CCI France, Alain Di Cresenzo, entre le 30 janvier et le 3 février. 

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ILEVA : Avis d'attribution - Marché public de services

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ILEVA : Avis d'attribution - Marché public de services
I.      PUBLICATIONS ANTERIEURES :
Avis d’appel public à la concurrence. BOAMP du 02/09/2022 (22-118339) / JOUE du 07/09/2022 (2021/S 172-487444) / DEMATIS du 02/09/2022 (885228) - JAL du 06/09/2022 (JIR -245821-2105 + QUOTIDIEN -699813)

II.      IDENTIFICATION DU POUVOIR ADJUDICATEUR
ILEVA -SYNDICAT MIXTE DE TRAITEMENT DES DECHETS DES MICROREGIONS SUD ET OUEST DE LA REUNION 17, chemin Joli Fond – Basse-Terre - BP 560 - 97410 Saint-Pierre - Tél. : 02 62 71 28 18 - Fax. : 02 62 71 28 22 Courriel : djcp@ileva.re – Adresse internet : http://www.ileva.re / Adresse du profil d’acheteur : https://smtdrso.e-marchespublics.com

III.      PROCEDURE
Appel d’offres ouvert (art. L. 2124-1 et L. 2124-2, R. 2124-1, R. 2124-2-1° et R. 2161-2 à R. 2161-5 du Ccp).

IV.      OBJET DU MARCHE : AOO. GESTION DE L’INSTALLATION DE TRI DES DECHETS ENCOMBRANTS DES MENAGES ET DES ACTIVITES ECONOMIQUES (DAE) DE LA RIVIERE SAINT-ETIENNE.

V.      CRITERES DE JUGEMENT DES OFFRES
Valeur économique (50 points) et valeur technique (50 points).

VI.      TITULAIRE - MONTANT DES MARCHES
SEM REUNION RECYCLAGE ENVIRONNEMENT (SEMRRE) - M. Vincent SAILLON (Directeur Général) – 3 chemin charrette - Pierrefonds – 97410 SAINT- Email : accueil@semrre.re
Montant des marchés : les prix unitaires sont ceux identifiés dans le Cadre des prix comprenant le Bordereau des Prix Unitaires et Forfaitaires (BPUF).
A titre indicatif, le montant total DQE : 8 080 240,00 € HT

VII.      AUTRES INFORMATIONS
Nombre d’offres reçues. 2
Date(s) de notification du(es) marché(s). 16/12/2022
Durée du(es) marché(s) : Le marché sera effectif sur une durée de trois (3) ans fermes (du 1er janvier 2023 au 31 décembre 2025), renouvelable par voie tacite une (01) fois pour une période d’un (01) an (du 1er janvier 2026 au 31 décembre 2026).
Modalités de consultation du(es) marché(s). Marché F22006 consultable dans les locaux du Pouvoir Adjudicateur aux heures ouvrables avec demande préalable de consultation adressée au syndicat avant toute consultation afin de lui permettre de procéder aux occultations nécessaires pour garantir le respect des secrets protégés par la loi.
Procédure de recours. Tribunal Administratif de Saint-Denis de La Réunion (secrétariat du Greffe) - 27, rue Félix Guyon - BP 2024 – 97488 Saint-Denis Cedex – Tél. : 02 62 92 43 60 – Fax. : 02 62 92 43 62 – mail : greffe.ta-st-denis-de-la-reunion@juradm.fr - l’application informatique Télérecours : http://www.telerecours.fr.
Avis intégral consultable sur le profil d’acheteur. ID Dematis n° 913210 / BOAMP : Annonce n° 23-8970

VIII.      DATE D’ENVOI DU PRESENT AVIS : Le MARDI 24 JANVIER 2023

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Averses et orages au programme

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Le bulletin de Météo-France :
Averses et orages au programme

De la patience ! Le département se situe entre un flux de mousson très humide et instable venant du Nord et un flux venant du secteur Est. Le temps reste donc maussade. A nouveau beaucoup de nuages à tous les étages et peu de chance d'observer le soleil. En terme de précipitations, après les pluies plus ou moins continues mais faibles de la journée de Mardi, les averses gagnent en vigueur. Elles sont plus marquées sur les régions Nord et Est du département avec localement des quantités conséquentes. Le tonnerre se fait même entendre.
 

La plus grande prudence est donc de mise pour toute sortie et présence près des cours d'eau. 
 

L'absence de soleil conjuguée à l'humidité ambiante limite la hausse des thermomètres; les températures restent souvent près de 5°C sous les valeurs estivales habituelles, tant sur le littoral que dans les hauts.
 

Le vent de secteur Nord-Est atteint 60 voire 70 km/h en rafales sur les régions du Port et vers Saint-Philippe. Dans l'intérieur, de bonnes rafales sont également attendues, notamment dans les plaines, autour du volcan, vers le Maïdo, dans les hauts du Nord et de l'Ouest.
 

La mer est agitée et les deux petites houles restent présentes.


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​Météo à La Réunion : À quand le retour du beau temps ?

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Du gris, des nuages et des averses, les conditions météorologiques dégradées perdurent depuis plusieurs jours sur l’île. Les Réunionnais devront faire preuve d’un peu de patience avant le retour du beau temps.
​Météo à La Réunion : À quand le retour du beau temps ?
Les parapluies resteront de sortie au moins jusqu’à demain, en lien avec la zone de basse pression dans la zone.
On peut espérer une amélioration des conditions à partir de jeudi, et plus franchement vendredi avec l’apparition de quelques éclaircies”, indique Philippe Caroff, responsable prévision cyclonique à Météo-France.

"ll va faire très très chaud"

Une fois la pluie partie et les parapluies rangés, place aux fortes chaleurs et aux ventilateurs. “Le temps peut devenir de plus en plus chaud en fin de semaine avec le retour du soleil dans un flux de secteur nord. Il va faire très très chaud dans cette zone”. 

Les températures devraient grimper au fil des jours, “une chaleur qui va aller en s’accentuant d’ici la fin de semaine”. Les plus grosses chaleurs sont attendues le dimanche.

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La Route du Littoral basculée sur les voies côté mer

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Suite aux dernières précipitations, la circulation sur la Route du Littoral va être basculée sur les voies de la chaussée côté mer entre la Grande Chaloupe et La Possession.
La Route du Littoral basculée sur les voies côté mer

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Manifestation du 19 janvier à Paris : Frappé par un policier puis amputé d'un testicule, un homme porte plainte

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Amputé d’un testicule après avoir été frappé lors de la manifestation du 19 janvier par un policier, un homme consigne une plainte à la police pour « violences volontaires par personne dépositaire de l'autorité publique entraînant une mutilation », accusant ainsi l’officier d’être à l’origine des faits.
Manifestation du 19 janvier à Paris : Frappé par un policier puis amputé d'un testicule, un homme porte plainte

Ivan S. a été amputé de son testicule droit après avoir manifesté contre la réforme des retraites à Paris le 19 janvier. Il a décidé de porter plainte pour « violences volontaires par personne dépositaire de l'autorité publique entraînant une mutilation » et accuse un policier d'être à l'origine des faits, rapporte BFMTV.

Agé de 26 ans, Ivan S. accuse le  policier de lui avoir infligé sans raison un coup de matraque alors qu'il était au sol, son appareil photo dans une main.Son avocate Lucie Simon a confirmé à BFMTV le dépôt de plainte. 

Le 19 janvier lors de la manifestation contre la réforme des retraites à Paris, alors qu'une personne suspectée d'avoir lancé de gros bouts de bois sur les policiers est interpellée, les forces de l'ordre chargent les manifestants. À ce moment-là, Ivan S. court pour s'éloigner, et chute sur la chaussée, sur le dos. Un second agent arrive et, selon le récit du photographe fait à Libération, « prend de l'élan, saute avec tout son poids juste à côté de [lui] et, en même temps, [lui] donne un grand coup de matraque au niveau de l'entrejambe »

Une partie de la scène a été diffusée sur les réseaux sociaux. On voit effectivement le policier sauter et donner un coup de matraque dans les testicules du jeune homme, à terre et sur le dos. L'homme, en tenue, pourrait être membre des compagnies d'intervention de la Préfecture de police, selon le liseré bleu sur son casque. Après avoir reçu des soins sommaires de la part d'autres manifestants, Ivan S., qui n'habite pas dans la capitale, rentre dans le Nord de Paris où il loge. Avec son cousin et un proche, il se rend chez un médecin qui l'oriente vers l’hôpital Tenon, dans le 20e arrondissement. « Mon testicule faisait la taille d'une balle de tennis » déplorera le jeune homme. 

La préfecture de Paris, contactée par BFMTV, a indiqué que « dans un contexte d’extrême violence et dans le cadre d’une manœuvre de police pour interpeller des individus violents, le préfet de police a demandé au Directeur de l'ordre public et de la circulation à ce que les circonstances exactes de l’incident rapporté soient éclaircies ». Toutefois, le policier n'a, pour l'heure, pas été identifié et aucune enquête n'a encore été ouverte.


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Pour une meilleure prise en compte de Mayotte et pour l'unité de la République française

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Pour une meilleure prise en compte de Mayotte et pour l'unité de la République française
Le Gouvernement a entendu l’appel des députés et a décidé de suspendre l’examen du texte sur l’accord portant révision de l'accord général de coopération entre les États membres de la Commission de l'océan Indien.

En commission des Affaires étrangères, nous avions été nombreux à nous inquiéter face à ce qui semblait être la confirmation d’une mise à l’écart de Mayotte de la COI dont la France est pourtant la principale contributrice financière.

Il est indéniable que cette réforme de la Commission de l’Océan Indien apporte de notables avancées, avec notamment une meilleure orientation vers la lutte contre le réchauffement climatique. Cependant, en refusant à nouveau d’inclure Mayotte comme membre de cette organisation, au même titre que La Réunion, ce texte semble chercher à porter atteinte à la souveraineté française sur ses départements d’Outre-Mer.

Si des relations diplomatiques constructives avec nos partenaires dans la région sont toujours à rechercher, elles ne peuvent se faire avec le risque de mettre à mal l’unité et la souveraineté de la République.

Les députés de la majorité ont entendu l’appel des Mahorais, c’est pourquoi, nous avons agi auprès du Gouvernement pour le retrait de ce texte en attendant une clarification de la position française sur l’inclusion de Mayotte dans la Commission de l’Océan Indien.

Cette situation n’est pas sans écho à celle des Calédoniens.

Nous devons être fidèles à nos compatriotes français, à ceux qui ont choisi la France.

En tant que député français, en tant que représentant de la Nation, en tant que citoyen de la République française, je ferai toujours le choix d’un territoire qui a choisi la France plutôt qu’un territoire qui l’a quitté.

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Prix des courses : Le ticket de caisse va flamber à partir d’avril

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Les prix à la consommation vont faire l’objet d’une forte augmentation en France entre avril et juin. Les chefs d’entreprises de la grande distribution partagent leur inquiétude. Les nouveaux tarifs 2023 seront appliqués à partir de mars/avril dans les magasins.
Prix des courses : Le ticket de caisse va flamber à partir d’avril

À partir du mois d’avril, les prix à la consommation dans la  grande distribution vont une fois de plus être en augmentation. Dans une interview au Journal du Dimanche, Michel-Edouard Lecler, président du comité stratégique des centres E.Leclerc indique que « l'inflation devrait atteindre un sommet entre avril et juin ».

À la suite de la forte inflation de l'année 2022 soit de 12,6 % en décembre 2022 sur un an selon l'Insee, la plupart des  multinationales réclament d'importantes hausses de prix à la grande distribution pour faire face à la hausse des tarifs de l'énergie, des emballages ou du transport. 

Ces hausses réclamées vont de + 12 % à + 30 %, soutient Michel-Edouard Leclerc.  Des chiffres qui sont d’ailleurs confirmés par Dominique Schelcher, le patron de la coopérative Système U. 

Michel-Edouard Leclerc explique au JDD : « Nos acheteurs sont effarés et franchement inquiets » affirmant dans la foulée que « toute la distribution va essayer de négocier ces hausses ».  « Chez E.Leclerc, nous continuons à prendre sur nos marges pour éviter la chute des ventes », assure-t-il. Les nouveaux tarifs 2023 seront appliqués à partir de mars/avril dans les magasins.

Même si certains produits qui ont fortement augmenté commencent à voir leurs prix un peu reculer comme c’est le cas de l'huile, le patron de Système U, Dominique Schelcher, explique dans le JDD  que quasiment aucun fournisseur ne répercute cette baisse. 

 

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Route du Littoral basculée : Circulation très difficile vers l'Ouest

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D'importants embouteillages sont signalés sur Saint-Denis en direction de l'Ouest à cause du basculement de la Route du Littoral. Les ralentissements démarrent depuis Vauban.
Route du Littoral basculée : Circulation très difficile vers l'Ouest

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Région Réunion : Avis d'appel public à la concurrence - Marché à procédure adaptée

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Région Réunion : Avis d'appel public à la concurrence - Marché à procédure adaptée
Région Réunion - Hôtel de Région Pierre Lagourgue avenue René Cassin - 97 490 Sainte Clotilde
Tél : 0262 48 72 00 - courriel : marches@cr-reunion.fr
Profil acheteur : https://www.marches-publics.regionreunion.com

OBJET : TRAVAUX DE REHABILITATION DES BUREAUX DE LA REGION DU SITE DE LA JAMAIQUE (5 lots) / RELANCE : Consultation : 2023-DLPTT-0008

Délai d’exécution : Le délai d'exécution des travaux est de DEUX (02 mois) à compter de l'ordre de service de démarrage des travaux y compris 15 jours de préparation à compter del’ordre de service de démarrage de la période de préparation (hors congés BTP)

Procédure : Marché à procédure adaptée

Date limite de réception des offres : 1er mars 2023 à 12 h 00
L’heure de la date limite de la réception des offres est basée sur l’heure de la Réunion (GMT+4).

Critères de sélection des candidatures : capacité juridique, économique et financière, technique et professionnelle

Délai de validité des offres : 6 mois

Décomposition en lots
Les différents lots de la consultation sont les suivants :

Lot 1 : Démolition / GO / Revêtement dur
Lot 2 : Cloisons / faux plafond / menuiserie Bois / peinture
Lot 3 : Menuiserie aluminium
Lot 4 : Électricité
Lot 5 : Climatisation / Ventilation / Plomberie

Critères d'attribution
- Prix 60 %
- Valeur technique 40%

Obtention du dossier de consultation des entreprises
Par téléchargement sur la plate-forme dématérialisée de la Région Réunion https://www.marches-publics.regionreunion.com : Rubriques « annonce » /« consultations en cours » sous le numéro suivant 2023-DLPTT-0008/ accéder à la consultation puis procéder au téléchargement des pièces de la consultation .

Modalités de réponse
Les réponses sont transmises uniquement par voie dématérialisée sur la plateforme https://www.marches-publics.regionreunion.com / accéder à la consultation 2023-DLPTT- 0008 / onglet 3 dépôt.
L’outil de signature électronique à utiliser est le format PADES ou CADES ou XADES.
La signature électronique non obligatoire pour la remise des offres mais, si le candidat est retenu, son offre devra être signée de façon électronique.

Date d'envoi de l’avis à la publication : 23 janvier 2023

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4 voies de Saint-André : Une voiture sur le toit

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Un accident s'est produit sur la quatre voies de Saint-André au niveau de Cambuston. (Photos : Radar974)
4 voies de Saint-André : Une voiture sur le toit

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Allemagne : À 300 km/h, il sème 42 véhicules de police et un hélicoptère au volant

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Les forces de l'ordre allemandes ont poursuivi le conducteur d'une Mercedes AMG GT 63 dans la nuit du vendredi 20 au samedi 21 janvier. Il a réussi à échapper à un escadron de 42 véhicules de police et à un hélicoptère appelé en renfort.
Allemagne : À 300 km/h, il sème 42 véhicules de police et un hélicoptère au volant
Aux alentours d'une heure du matin, dans la région de Stuttgart, le conducteur de cette Mercedes AMG GT 63 aperçoit un contrôle de police et décide de prendre la fuite à contresens entraînant ainsi les forces de l'ordre dans une poursuite effrénée rapporte Auto-Moto.

Pendant plus d'une heure, le conducteur a multiplié les prises de risques en roulant entre 250 et 300 km/h sur l'autoroute, tandis que les forces de l'ordre déployaient 41 véhicules et un hélicoptère pour tenter de l'arrêter. Malgré les efforts de la police, le conducteur a réussi à leur échapper en quittant l'autoroute en direction de Munich.

Il a ensuite garé sa voiture dans la petite ville de Mühlhausen im Täle et a continué à pied, perdant ainsi complètement les forces de l'ordre de vue. La Mercedes a été confisquée par les forces de l'ordre dans l'espoir de trouver des indices sur le conducteur, mais jusqu'à présent, il n'a pas été retrouvé.

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Rappel du riz basmati complet de Taureau Ailé

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Le site gouvernemental Rappel Conso met en place un rappel de la sélection Basmati Complet de la marque Taureau Ailé vendue à Carrefour ou Intermarché dans toute la France à cause de la présence avérée d'un pesticide interdit. Il est demandé aux personnes qui détiendraient ces produits, de ne pas les consommer et de les ramener au point de vente où ils ont été achetés, où ils vous seront échangés ou remboursés.
Rappel du riz basmati complet de Taureau Ailé

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38 des 69 des migrants sri lankais arrivés le 14 janvier ont été reconduits

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Voici le communiqué de la préfecture :
38 des 69 des migrants sri lankais arrivés le 14 janvier ont été reconduits
Reconduite de ressortissants Sri Lankais

Un avion a décollé ce jour de La Réunion pour reconduire au Sri Lanka 38 (dont 2 femmes et 2 mineurs) des 69 ressortissants arrivés le 14 janvier 2023 à bord de l’embarcation IMULA  532 CHW. 

Il s’agissait du 5ème navire ayant accosté depuis juillet 2022 sur notre sol.

Au terme de la procédure, sur les 31 Sri Lankais restant, 7 sont des mineurs accompagnés et les 24 autres ont été admis à déposer une demande d’asile.

La très forte mobilisation des services de l’État, sous le contrôle du juge, a encore permis de faire respecter la loi dans le respect de la dignité humaine, et d’assurer la reconduite des migrants non admis en une dizaine de jours seulement.

Le gymnase de la commune de Sainte-Marie mobilisé pour accueillir les migrants sera rapidement libéré pour lui permettre d’accueillir à nouveau les activités habituelles qui s’y déroulent. 

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Il frappe son ex-compagne pour récupérer ses bijoux de famille

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Les victimes de violences conjugales obtiennent du tribunal des interdictions de contact pour leurs agresseurs afin de les protéger. Un conjoint comparaissait une fois encore pour des faits de violences et pour avoir ignoré cette interdiction.
Il frappe son ex-compagne pour récupérer ses bijoux de famille
Jean L. qui compte déjà 10 mentions sur son casier judiciaire se retrouve à nouveau devant le tribunal. Il est jugé pour avoir été violent avec sa compagne. Elle ne veut plus le voir, autant dire qu'il ne l'a pas bien pris. À force de palabres, l'homme de 55 ans réussit à la convaincre. Ils se retrouvent finalement le 19 janvier dernier. Ils se voient devant l'église de Sainte-Clotilde dans un premier temps et ça se passe mal.

Il veut se remettre avec elle mais apprend qu'elle a rencontré un autre homme. Il s'énerve et veut récupérer les bijoux qu'il lui a offert. Il s'agit d'une chaîne de cou et des boucles d'oreilles qui sont des bijoux de famille. Elle parvient à partir. Mais il la persuade de le retrouver à la station service. Elle finit par accepter, arrive en voiture, et le laisse monter coté passager.

Il lui prend la tête avec les mains pour lui voler un baiser. Elle le repousse et Jean L., particulièrement excité par la situation, prend sa main et la place sur son sexe pour le lui prouver. Il lui propose alors d'aller faire l'amour chez elle. Une fois encore, elle le rejette. 

Voulant absolument récupérer ses bijoux de famille, il lui arrache le collier du cou et tente ensuite de lui arracher ses boucles d'oreille. Elle ne se laisse pas faire. Il projette alors violemment sa tête contre le montant de la ceinture et finit par partir. Elle ira déposer plainte à nouveau le lendemain. Déjà sous le coup d'une interdiction de contact, il est placé en garde à vue. 

"Laisse à moin tranquille"

Devant la présidente, il minimise les faits et revient sur ses déclarations lors des auditions en garde à vue. "Elle était défoncée quand je suis entré dans la voiture. Je veux récupérer mes bijoux et c'est elle qui me dit de les arracher. Je veux lui enlever les boucles d'oreille et elle me griffe avec ses grands ongles et elle s'est cognée en tournant sa tête. Elle m'a embrassé, pas moi ! C'est vrai que je l'ai peut être poussée avec le poing", indique-t-il benoîtement avant de reconnaître finalement avoir arraché la chaîne de son cou.

C'est une victime apeurée et à bout de nerf qui se présente à la barre pour faire passer un pourtant si simple message : "Laisse à moin tranquille". Pour enfoncer le clou, la partie civile ajoute : "Elle a eu pitié de lui en raison de son chantage affectif. Elle ne se sent pas en sécurité vu son passif, on ne peut pas la blâmer". 

De son coté, le parquet estime qu'il s'agit de "faits de violences assez simples corroborés par les constatations médicales", ajoutant, "c'est son quatrième passage devant le tribunal pour des faits de violences conjugales". La procureure requiert une peine de 2 ans de prison ainsi que la révocation totale d'un an de sursis probatoire et le maintien en détention. "Il est revenu sur ses déclarations et reconnaît une partie des faits. Il sait qu'il va être condamné car il n'a pas respecté l'interdiction de contact. Il veut se réinsérer, je vous demande une peine moins importante", plaide la défense.

Jean L. est finalement reconnu coupable. Il est condamné à 2 ans de prison et voit son sursis probatoire de 6 mois révoqué. Il reste donc en détention. 

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Filière canne : "Les agriculteurs sont endettés, ils ne peuvent plus s’en sortir"

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L'UPNA organise un pique-nique devant la préfecture ce mercredi, une façon d'alerter le préfet sur les difficultés financières rencontrées par les planteurs.
Filière canne :
Le mauvais temps et les difficultés sur le réseau routier n'ont pas découragé la vingtaine de membres de l’UPNA à venir pique-niquer devant la préfecture ce mercredi. Au menu ce midi, cari poulet, mais aussi et surtout discussions sur les problématiques rencontrées par les agriculteurs et la filière canne.

 


L’aide à la production devrait être versée aux planteurs dès le mois prochain, mais cela ne suffira pas à amortir les coûts de production.

Outre leur désaccord sur le mode de versement de l’aide, les agriculteurs doivent faire face à l’inflation et l’augmentation drastique du coût des intrants et les dettes s’accumulent, alerte Dominique Clain, président d’Unis Pour Nos Agriculteurs : “Les 14 millions, on nous a déjà affirmé que ça va être payer à 703 euros l’hectare. On reviendra là dessus mais aujourd’hui, on vient expliquer au préfet qu’il manque de l’argent sur notre trésorerie. on est en train de subir l’inflation. Les agriculteurs sont vraiment endettés et ne peuvent plus s’en sortir. (...) On a pas d’argent pour relancer cette production”.

Le syndicat d’agriculteurs prévoit de déposer une motion au préfet et sollicite un nouvel échange avec Jérôme Filippini dans la journée.

Les agriculteurs sont endettés auprès de leurs banques, de la CGSS, des impôts, et d’autres créanciers et conséquence des problèmes financiers : les champs sont à l'abandon, fait savoir l’UPNA. “L’enjeu est que les banques nous accompagnent un peu plusafin de pouvoir préparer la saison canne 2023 dans de bonnes conditions," explique Dominique Clain.

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