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Lutter contre le gaspillage alimentaire dans les cantines
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Hindouisme et fonction publique : Entretien au ministère des Outre-mer
Communiqué du collectif pour l’introduction de l’hindouisme à la circulaire FP901 du 23 septembre 1967 :

Le projet avance concernant l’introduction de l’hindouisme à la circulaire FP901 du 23 septembre 1967, nous avons rencontré les services de la préfecture le 21 décembre 2022.
Le caractère institutionnel de notre démarche se renforce et prend aujourd’hui une dimension nationale. Le coordonnateur du collectif sera reçu au Ministère des Outre-mer lundi 13 février 2023 en présence du député Perceval Gaillard.
L’attention que porte l’État à la communauté hindoue de France nous conforte.
Alain Mardaye,
Pour le collectif pour l’introduction de l’hindouisme à la circulaire FP901 du 23 septembre 1967
Le caractère institutionnel de notre démarche se renforce et prend aujourd’hui une dimension nationale. Le coordonnateur du collectif sera reçu au Ministère des Outre-mer lundi 13 février 2023 en présence du député Perceval Gaillard.
L’attention que porte l’État à la communauté hindoue de France nous conforte.
Alain Mardaye,
Pour le collectif pour l’introduction de l’hindouisme à la circulaire FP901 du 23 septembre 1967
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Signature du partenariat pour la mise en œuvre du Plan d’Actions Régional en faveur de l’Entrepreneuriat Féminin
Ce vendredi a été signée la convention de partenariat 2023-2024 pour la mise en œuvre du Plan d’Actions Régional en faveur de l’Entrepreneuriat Féminin (PAREF) à La Réunion.

Jérôme Filippini, préfet de La Réunion, Huguette Bello, présidente du conseil régional de La Réunion, Béatrice Sigismeau, vice-présidente du conseil départemental de La Réunion, JeanMarc Battigello, directeur océan Indien et Pacifique de Bpifrance et Imran Issa, directeur général de la BNP Paribas Réunion, ont signé la Convention de partenariat 2023-2024 pour la mise en œuvre du Plan d’Actions Régional en faveur de l’Entrepreneuriat Féminin (PAREF) à La Réunion, ce vendredi 10 février 2023.
Principe républicain et droit fondamental, déclarée grande cause nationale, l’égalité femmeshommes représente un atout de développement, un moteur de croissance et un puissant facteur de lutte contre la pauvreté. Augmenter la participation des femmes à la création d’entreprise constitue un réel enjeu d’autonomisation et d’égalité réelle, particulièrement à La Réunion où les femmes sont davantage exposées à la précarité : seule 45 % des femmes de 15 à 64 ans sont en emploi en 2021 contre 53 % des hommes et 69 % de leurs homologues métropolitaines.
L’accord 2023-2024 vient renforcer la dynamique partenariale en place depuis 2014. Les chiffres de la dernière étude INSEE « L’entrepreneuriat féminin à La Réunion en 2018 » présentés en séance ce jour-même confirment d’ailleurs la force de la dynamique partenariale en place. Cette étude montre notamment que la part des femmes parmi les entrepreneurs est passée de 32 % à 37 % entre 2010 et 2018 ; soit un niveau désormais proche de la moyenne nationale (38%). Également, le nombre d’entreprises créées et dirigées par des femmes ne cesse d’augmenter à La Réunion.
Les acteurs et actrices de la nouvelle convention ont choisi de se mobiliser autour de quatre axes majeurs :
- L’accompagnement à la création, la reprise et au développement d’entreprises dirigées par des femmes ;
- L’accès aux outils financiers ;
- Le développement des actions dans les territoires fragiles (QPV et ZRR) et auprès des publics jeunes ;
- La valorisation de l’entrepreneuriat des femmes par la sensibilisation et la communication ;
- La formation : un outil au service des acteurs de l’écosystème entrepreneurial.
À l’instar des précédentes générations, une charte d’engagement permettra la mise en synergie des compétences de la pluralité d’acteurs et actrices constituant l’écosystème entrepreneurial réunionnais. Les signataires de la charte s’engagent à mettre en œuvre des actions visant à encourager la création et la reprise d’entreprises par les femmes sur le territoire.
Principe républicain et droit fondamental, déclarée grande cause nationale, l’égalité femmeshommes représente un atout de développement, un moteur de croissance et un puissant facteur de lutte contre la pauvreté. Augmenter la participation des femmes à la création d’entreprise constitue un réel enjeu d’autonomisation et d’égalité réelle, particulièrement à La Réunion où les femmes sont davantage exposées à la précarité : seule 45 % des femmes de 15 à 64 ans sont en emploi en 2021 contre 53 % des hommes et 69 % de leurs homologues métropolitaines.
L’accord 2023-2024 vient renforcer la dynamique partenariale en place depuis 2014. Les chiffres de la dernière étude INSEE « L’entrepreneuriat féminin à La Réunion en 2018 » présentés en séance ce jour-même confirment d’ailleurs la force de la dynamique partenariale en place. Cette étude montre notamment que la part des femmes parmi les entrepreneurs est passée de 32 % à 37 % entre 2010 et 2018 ; soit un niveau désormais proche de la moyenne nationale (38%). Également, le nombre d’entreprises créées et dirigées par des femmes ne cesse d’augmenter à La Réunion.
Les acteurs et actrices de la nouvelle convention ont choisi de se mobiliser autour de quatre axes majeurs :
- L’accompagnement à la création, la reprise et au développement d’entreprises dirigées par des femmes ;
- L’accès aux outils financiers ;
- Le développement des actions dans les territoires fragiles (QPV et ZRR) et auprès des publics jeunes ;
- La valorisation de l’entrepreneuriat des femmes par la sensibilisation et la communication ;
- La formation : un outil au service des acteurs de l’écosystème entrepreneurial.
À l’instar des précédentes générations, une charte d’engagement permettra la mise en synergie des compétences de la pluralité d’acteurs et actrices constituant l’écosystème entrepreneurial réunionnais. Les signataires de la charte s’engagent à mettre en œuvre des actions visant à encourager la création et la reprise d’entreprises par les femmes sur le territoire.
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Des locataires de la SEMADER, victimes du manque de professionalisme de leur bailleur

Quand les pluies arrivent, il faut oublier l'ascenseur !
En effet, on se croirait dans une époque préhistorique, tellement le comportement de ces individus travaillant dans les locaux de la SEMADER au Bas de la Rivière, à Saint-Denis, pose question!
Outre leur comportement, il faut ajouter le manque de savoir-faire, de professionalisme que doivent avoir logiquement des personnes appelées à gérer les locataires.
On évoque la préhistoire parce que ces personnes peinent à comprendre que les locataires n'ont pas que le devoir de payer le loyer. Il faut qu'en retour, le bailleur puisse justifier le fait de réclamer, d'augmenter le loyer voire d'envoyer des huissiers en cas de retard!
De janvier à début juillet 2022, les responsables de l'agence du Bas de la Rivière de St Denis, ont envoyé le responsable technique, en touriste comme d'habitude, après le cyclone Batsiraï. Ce monsieur n'a pas trouvé mieux que de bloquer l'ascenseur, prétextant une panne.
Pendant plus de 6 mois, les locataires ont donc emprunté les escaliers, du 1er étage au 5è étage, sachant qu'il y avait des personnes malades (asthme, problème de genou, ...), traînant des sacs de courses, bouteilles de gaz et meubles . Il y avait même une locataire enceinte, qui devait monter 3 étages tous les jours malgré sa grossesse avancée!
Malgré de nombreux appels, cordiaux au début et vociférants au fur et à mesure, rien n'a bougé!
Une prise de rendez-vous avec la soi-disant Responsable de la clientèle a été annulée, les locataires snobés par cette dernière! Celle-ci plus apte à se pavanner à la télé pour sa promotion !
Et c'est là, encore une fois, que les responsables envoient leur touriste du service technique qui dit entamer des travaux pour rehausser le niveau de l'entrée du parking souterrain afin que l'eau n'y pénètre plus!
Vaste blague, on a vu ainsi défiler une cohorte de bras cassés, qui ont tellement bien fait le job que le problème persiste!
Car, voilà 17 jours en ce mois de février 2023 que l'ascenseur est de nouveau bloqué, car, la SEMADER ne se bouge pas pour vider l'eau stagnant en dessous de l'ascenseur! Pour info, l'eau qui avait inondé le parking souterrain a été évacué grâce à un locataire qui a fait fonctionner les pompes manuellement mais il ne peut vider l'eau en dessous de l'ascenseur car trop compliqué!
Vu le mépris des Responsables de la SEMADER et de son service client, inexistant, aux abonnés absents, vu leur incompétence, il faut parier que cette situation est partie pour durer!
Malgré les charges exorbitantes que les locataires payent, plus d'une centaine d'euros tous les mois, pour certains, avec un service qui laisse à désirer!
Ainsi, le nettoyage des parties communes est fait, disons, une petite serpillère passée à l'entrée du rez-de-chaussée les lundi, mercredi et vendredi. Nous vous épargnons les détails sur le nid à asticots présent dans la cage d'escalier menant au sous-sol!
Ce ras-le-bol a poussé certains locataires à s'organiser pour engager des poursuites et réclamer le remboursement des charges indûment payées, car, la demande de remboursement amiable étant restée sans réponse!
Les Réunionnais sont donc victimes des agissements de certains des leurs, bailleurs sociaux, qui les méprisent, disent à tort qu'attribuer un logement social à quelqu'un, bien que payé sans APL pour certains, le rend redevable. Redevable de qui? De quoi? Au nom de quoi ces gens pensent-ils cela?
Saint-Denis le 10/02/2023
En effet, on se croirait dans une époque préhistorique, tellement le comportement de ces individus travaillant dans les locaux de la SEMADER au Bas de la Rivière, à Saint-Denis, pose question!
Outre leur comportement, il faut ajouter le manque de savoir-faire, de professionalisme que doivent avoir logiquement des personnes appelées à gérer les locataires.
On évoque la préhistoire parce que ces personnes peinent à comprendre que les locataires n'ont pas que le devoir de payer le loyer. Il faut qu'en retour, le bailleur puisse justifier le fait de réclamer, d'augmenter le loyer voire d'envoyer des huissiers en cas de retard!
De janvier à début juillet 2022, les responsables de l'agence du Bas de la Rivière de St Denis, ont envoyé le responsable technique, en touriste comme d'habitude, après le cyclone Batsiraï. Ce monsieur n'a pas trouvé mieux que de bloquer l'ascenseur, prétextant une panne.
Pendant plus de 6 mois, les locataires ont donc emprunté les escaliers, du 1er étage au 5è étage, sachant qu'il y avait des personnes malades (asthme, problème de genou, ...), traînant des sacs de courses, bouteilles de gaz et meubles . Il y avait même une locataire enceinte, qui devait monter 3 étages tous les jours malgré sa grossesse avancée!
Malgré de nombreux appels, cordiaux au début et vociférants au fur et à mesure, rien n'a bougé!
Une prise de rendez-vous avec la soi-disant Responsable de la clientèle a été annulée, les locataires snobés par cette dernière! Celle-ci plus apte à se pavanner à la télé pour sa promotion !
Et c'est là, encore une fois, que les responsables envoient leur touriste du service technique qui dit entamer des travaux pour rehausser le niveau de l'entrée du parking souterrain afin que l'eau n'y pénètre plus!
Vaste blague, on a vu ainsi défiler une cohorte de bras cassés, qui ont tellement bien fait le job que le problème persiste!
Car, voilà 17 jours en ce mois de février 2023 que l'ascenseur est de nouveau bloqué, car, la SEMADER ne se bouge pas pour vider l'eau stagnant en dessous de l'ascenseur! Pour info, l'eau qui avait inondé le parking souterrain a été évacué grâce à un locataire qui a fait fonctionner les pompes manuellement mais il ne peut vider l'eau en dessous de l'ascenseur car trop compliqué!
Vu le mépris des Responsables de la SEMADER et de son service client, inexistant, aux abonnés absents, vu leur incompétence, il faut parier que cette situation est partie pour durer!
Malgré les charges exorbitantes que les locataires payent, plus d'une centaine d'euros tous les mois, pour certains, avec un service qui laisse à désirer!
Ainsi, le nettoyage des parties communes est fait, disons, une petite serpillère passée à l'entrée du rez-de-chaussée les lundi, mercredi et vendredi. Nous vous épargnons les détails sur le nid à asticots présent dans la cage d'escalier menant au sous-sol!
Ce ras-le-bol a poussé certains locataires à s'organiser pour engager des poursuites et réclamer le remboursement des charges indûment payées, car, la demande de remboursement amiable étant restée sans réponse!
Les Réunionnais sont donc victimes des agissements de certains des leurs, bailleurs sociaux, qui les méprisent, disent à tort qu'attribuer un logement social à quelqu'un, bien que payé sans APL pour certains, le rend redevable. Redevable de qui? De quoi? Au nom de quoi ces gens pensent-ils cela?
Saint-Denis le 10/02/2023
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Un véhicule surprenant interpelle les internautes
Une vidéo publiée sur le groupe Facebook Radar 974 provoque beaucoup de réactions, plus de 300 commentaires ont été écrits l'espace d'une heure et demi. Le "véhicule roulant non identifié" a été observé à Saint-Benoît en direction du Nord. Il s'agirait vraisemblablement d'un vélo couché carrossé...

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Hommage : Les adieux à Agnès Gueneau
Agnès Guéneau, figure réunionnaise, autrice inspirée de La terre Bardzour, gramoun, de Ferveurs, du Chant des kayanm, s'est éteinte ce vendredi.

Cyrille Melchior, président du Conseil départemental :
Nous apprenons avec une immense tristesse la disparition de Madame Agnès Guéneau, une grande réunionnaise, autrice inspirée de La terre Bardzour, gramoun, de Ferveurs, du Chant des kayanm...
Créative, engagée, passionnée, toujours attentive à l'émergence d'une expression littéraire et poétique, libre et authentique, Agnès Guéneau aura marqué son temps de sa présence aussi active que discrète. Elle a en effet été une des toutes premières écrivaines en langue créole. Professeur de lettres agrégée du Lycée Leconte de Lisle, elle y a organisé des concours mémorables qui ont fait le bonheur des jeunes auteurs des années 70. Aux premières assises de la culture, en 1982, sa contribution en faveur de la diversité artistique et culturelle et son action déterminée pour un 20 Désanm férié furent majeures.
Le Conseil départemental s'honore de l'avoir comptée parmi les membres du Comité d'organisation du 150ème anniversaire de l'abolition de l'esclavage en 1998 et de sa présidence du jury du Prix littéraire de l'océan Indien qu'elle a assurée pendant plusieurs années, avec une autorité et une générosité unanimement appréciées.
En mon nom personnel et en celui des Conseillers départementaux, j’adresse mes condoléances les plus sincères à toute sa famille.
Nous apprenons avec une immense tristesse la disparition de Madame Agnès Guéneau, une grande réunionnaise, autrice inspirée de La terre Bardzour, gramoun, de Ferveurs, du Chant des kayanm...
Créative, engagée, passionnée, toujours attentive à l'émergence d'une expression littéraire et poétique, libre et authentique, Agnès Guéneau aura marqué son temps de sa présence aussi active que discrète. Elle a en effet été une des toutes premières écrivaines en langue créole. Professeur de lettres agrégée du Lycée Leconte de Lisle, elle y a organisé des concours mémorables qui ont fait le bonheur des jeunes auteurs des années 70. Aux premières assises de la culture, en 1982, sa contribution en faveur de la diversité artistique et culturelle et son action déterminée pour un 20 Désanm férié furent majeures.
Le Conseil départemental s'honore de l'avoir comptée parmi les membres du Comité d'organisation du 150ème anniversaire de l'abolition de l'esclavage en 1998 et de sa présidence du jury du Prix littéraire de l'océan Indien qu'elle a assurée pendant plusieurs années, avec une autorité et une générosité unanimement appréciées.
En mon nom personnel et en celui des Conseillers départementaux, j’adresse mes condoléances les plus sincères à toute sa famille.
Roger Ramchetty, Président du Conseil de la culture, de l'éducation et de l'environnement (CCEE) :
Membre de la première mandature du Conseil de la culture, de l'éducation et de l'environnement de La Réunion (CCEE) en 1984, elle siégeait au nom du Mouvman pou nout drwa kozé et l'Office régional des oeuvres laïques d'éducation par l'image et le son (OROLEIS).
C'est avec une profonde tristesse que nous apprenons son décès. Au nom de notre conseil et de tous ses membres, j'adresse toutes mes condoléances à sa famille et ses proches.
Membre de la première mandature du Conseil de la culture, de l'éducation et de l'environnement de La Réunion (CCEE) en 1984, elle siégeait au nom du Mouvman pou nout drwa kozé et l'Office régional des oeuvres laïques d'éducation par l'image et le son (OROLEIS).
C'est avec une profonde tristesse que nous apprenons son décès. Au nom de notre conseil et de tous ses membres, j'adresse toutes mes condoléances à sa famille et ses proches.
Ericka Bareigts, maire de Saint-Denis :
Kan in pyébwa i vé kontinyé viv, li va sobat pou donn in Flèr. Kèm la tèr lé dir angalé, son Flèr sora ranpli Lamour, pou fé énèt in frwi, pou nirbou arfane lo grin, pou fé nésans in karo zoli pyébwa. Nout Lang-kozé la énèt konm so pyébwa. Tanpir-kipé, in bann konbatan la liberté, la déméné pou fé viv ali, fé respèk ali, fé yèm ali, fé pouss ali anzoli-zoli . Si zordi nou lé fyèr nout Lang-kozé, si nou koz ali, si nou viv ali, sé akoz anparti in Pyébwa i apel Madame Agnès Gueneau. Fanm là, la démavouz la tèr konyé pou nirbou fane lo grin, fé pouss lo plan lo mo-kréol, aroz ali ek Lamour, ek Respé, port ali anlèr ek Mouvman pou nout Drwa Kozé, pou défann ali ziska dovan FR3 Paris. Pou di bana: « Donn in lasiz nout Kozé-Kréol, pa konm in folklor, mé konm in Lang, parsk li lé in Lang». Zordi nou aprann lo dépar Madame Agnès Gueneau pou son gran voyaz. Angrankèr, nou rann ali omaz, nou di ali Mersi bonpé pou lo grin li la fané, pou pyébwa li la fé pousé, pou siklone li la traversé. Zordi napwin solman in pyébwa, zordi néna in karo pyébwa i apel la foré Agnès Gueneau. Mersi Madame.
Kan in pyébwa i vé kontinyé viv, li va sobat pou donn in Flèr. Kèm la tèr lé dir angalé, son Flèr sora ranpli Lamour, pou fé énèt in frwi, pou nirbou arfane lo grin, pou fé nésans in karo zoli pyébwa. Nout Lang-kozé la énèt konm so pyébwa. Tanpir-kipé, in bann konbatan la liberté, la déméné pou fé viv ali, fé respèk ali, fé yèm ali, fé pouss ali anzoli-zoli . Si zordi nou lé fyèr nout Lang-kozé, si nou koz ali, si nou viv ali, sé akoz anparti in Pyébwa i apel Madame Agnès Gueneau. Fanm là, la démavouz la tèr konyé pou nirbou fane lo grin, fé pouss lo plan lo mo-kréol, aroz ali ek Lamour, ek Respé, port ali anlèr ek Mouvman pou nout Drwa Kozé, pou défann ali ziska dovan FR3 Paris. Pou di bana: « Donn in lasiz nout Kozé-Kréol, pa konm in folklor, mé konm in Lang, parsk li lé in Lang». Zordi nou aprann lo dépar Madame Agnès Gueneau pou son gran voyaz. Angrankèr, nou rann ali omaz, nou di ali Mersi bonpé pou lo grin li la fané, pou pyébwa li la fé pousé, pou siklone li la traversé. Zordi napwin solman in pyébwa, zordi néna in karo pyébwa i apel la foré Agnès Gueneau. Mersi Madame.
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37% des entrepreneurs sont des entrepreneuses à La Réunion
L’Insee publie ce vendredi une nouvelle étude concernant la part des femmes à la tête d’une société. La Réunion s’approche désormais de la moyenne nationale, avec près de 37% de cheffe d’entreprises, contre 32% en 2010. Réalisée dans le cadre du renouvellement de la Convention de partenariat pour la mise en œuvre du Plan d'Actions Régional en faveur de l'Entrepreneuriat Féminin dans l’île.

Les femmes créent de plus en plus leurs entreprises. Voilà le constat que l’Insee dresse à La Réunion dans sa dernière étude. Ainsi, entre 2010 et 2018, la part des femmes cheffes d’entreprise a grimpé de 5 points, passant de 32 à 37%. ”L’entrepreneuriat féminin reste fortement concentré dans le commerce, la santé et les services aux ménages. Les professions libérales sont nombreuses parmi les entrepreneures.”. Au contraire, “les femmes restent peu nombreuses à être à la tête d’entreprises industrielles (21%) et surtout de la construction (6%)”, tranche l’Insee.
“La pérennité à cinq ans des entreprises qu’elles ont créées en 2014 est sensiblement inférieure à celle des entreprises créées par des hommes”, souligne l’institut de statistiques. “Seul fait exception le secteur de l’hébergement-restauration, où la pérennité des entreprises créées par les hommes et les femmes est comparable”, rappellent également les auteurs de l’étude.
“La pérennité à cinq ans des entreprises qu’elles ont créées en 2014 est sensiblement inférieure à celle des entreprises créées par des hommes”, souligne l’institut de statistiques. “Seul fait exception le secteur de l’hébergement-restauration, où la pérennité des entreprises créées par les hommes et les femmes est comparable”, rappellent également les auteurs de l’étude.

Des cheffes d’entreprises plus diplômées
Les Réunionnaises qui décident de se lancer sont d’ailleurs “davantage motivées que la précédente génération par le fait d’accéder à l’indépendance économique”. Ambitieuses, les entrepreneures peis n’hésitent pas à emprunter “plus souvent que les hommes au titre de l’entreprise ou en leur nom personnel, et plus fréquemment qu’en 2014”.
“Cependant, les Réunionnaises ayant créé leur entreprise en 2018 paraissent mieux armées que leurs aînées pour espérer une longévité accrue de leur entreprise. Elles sont davantage diplômées, moins seules à avoir monté leur projet, et ont bénéficié plus souvent de l’aide de conseillers juridiques ou comptables”, nuance l’Insee. D’ailleurs, leur forte présence dans les "professions libérales de la santé, secteur dans lequel des qualifications élevées sont souvent nécessaires pour pouvoir se mettre à son compte”. Cette tendance se ressent très clairement quand on observe les qualifications des cheffes d’entreprises. 57% sont diplômées de l’enseignement, contre 38% chez les hommes.
Les Réunionnaises qui décident de se lancer sont d’ailleurs “davantage motivées que la précédente génération par le fait d’accéder à l’indépendance économique”. Ambitieuses, les entrepreneures peis n’hésitent pas à emprunter “plus souvent que les hommes au titre de l’entreprise ou en leur nom personnel, et plus fréquemment qu’en 2014”.
“Cependant, les Réunionnaises ayant créé leur entreprise en 2018 paraissent mieux armées que leurs aînées pour espérer une longévité accrue de leur entreprise. Elles sont davantage diplômées, moins seules à avoir monté leur projet, et ont bénéficié plus souvent de l’aide de conseillers juridiques ou comptables”, nuance l’Insee. D’ailleurs, leur forte présence dans les "professions libérales de la santé, secteur dans lequel des qualifications élevées sont souvent nécessaires pour pouvoir se mettre à son compte”. Cette tendance se ressent très clairement quand on observe les qualifications des cheffes d’entreprises. 57% sont diplômées de l’enseignement, contre 38% chez les hommes.
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PAREF : Une convention pour plus de femmes à la tête des entreprises réunionnaises
Etat, collectivités locales, banques, structures d'accompagnement à la création/reprise d'entreprises, chambres consulaires, réseaux généralistes et féminins, organismes d'insertion sociale et professionnelle et instituts de statistiques se mobilisent en faveur de l'entreprenariat féminin.

Mis en œuvre depuis 2014, le Plan d’Actions Régional en faveur de l’Entrepreneuriat Féminin (PAREF), vise à encourager la création et la reprise d’entreprises par les femmes sur le territoire réunionnais, via notamment, des actions mises en place par ses signataires.
A l’issue d’une conférence de presse en préfecture, les différents partenaires ont procédé à la signature de la Convention de Partenariat 2023-2024 pour la mise en œuvre du PAREF.
La nouvelle convention se concentre autour de quatre axes majeurs, à savoir : l’accompagnement à la création, la reprise et au développement d’entreprises dirigées par des femmes, l’accès aux outils financiers, le développement des actions dans les territoires fragiles et auprès des publics jeunes, la valorisation de l’entrepreneuriat des femmes par la sensibilisation et la communication, et la formation.
A l’issue d’une conférence de presse en préfecture, les différents partenaires ont procédé à la signature de la Convention de Partenariat 2023-2024 pour la mise en œuvre du PAREF.
La nouvelle convention se concentre autour de quatre axes majeurs, à savoir : l’accompagnement à la création, la reprise et au développement d’entreprises dirigées par des femmes, l’accès aux outils financiers, le développement des actions dans les territoires fragiles et auprès des publics jeunes, la valorisation de l’entrepreneuriat des femmes par la sensibilisation et la communication, et la formation.
Autre spécificité, une charte d’engagement permettra la mise en synergie des compétences de la pluralité d’acteurs et actrices constituant l’écosystème entrepreneurial réunionnais.
Les engagements pris ce jour ont vocation à se refléter au travers de l'appel à projets qui sera très prochainement lancé a indiqué le collectif.
Depuis son lancement en 2014, le PAREF a permis de financer 29 actions, offrant ainsi la possibilité à de nombreuses réunionnaises d'être soutenues dans leur projet de création, de reprise ou de développement d'entreprise.
En parallèle de cette signature, l’étude INSEE publiée ce jour sur l’entrepreneuriat féminin à La Réunion en 2018 montre une progression de la part des femmes parmi les entrepreneurs sur les dix dernières années, passant de 32 % à 37 % entre 2010 et 2018. Aussi, le nombre d’entreprises créées et dirigées par des femmes ne cesse d’augmenter à La Réunion.
Les engagements pris ce jour ont vocation à se refléter au travers de l'appel à projets qui sera très prochainement lancé a indiqué le collectif.
Depuis son lancement en 2014, le PAREF a permis de financer 29 actions, offrant ainsi la possibilité à de nombreuses réunionnaises d'être soutenues dans leur projet de création, de reprise ou de développement d'entreprise.
En parallèle de cette signature, l’étude INSEE publiée ce jour sur l’entrepreneuriat féminin à La Réunion en 2018 montre une progression de la part des femmes parmi les entrepreneurs sur les dix dernières années, passant de 32 % à 37 % entre 2010 et 2018. Aussi, le nombre d’entreprises créées et dirigées par des femmes ne cesse d’augmenter à La Réunion.
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Une voiture en feu sur la Route des Tamarins
Un véhicule s'est totalement embrasé ce vendredi après-midi sur la Route des Tamarins en direction du Nord au niveau du secteur de Portail à hauteur de Saint-Leu.

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Accident à Cambaie : Des embouteillages monstres jusqu'à la Route du Littoral
Des kilomètres d'embouteillages se sont formés dans l'Ouest suite à un accident qui s'est produit à Cambaie en milieu d'après-midi. Les ralentissements remontent jusqu'à la Route du Littoral en direction du Sud.

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Blessé au couteau, Christopher Caroupaye confronté à son agresseur
Le 5 août 2022, le fils de Jean-Bernard Caroupaye est grièvement blessé au visage et aux mains à Saint-André. Les premiers éléments laissent deviner une rencontre ayant mal tourné entre un vendeur et un acheteur de drogue. Auteur et victime se retrouvent face à face ce vendredi dans le cabinet d'un juge d'instruction.

Après l’audition successive des deux protagonistes, Christopher Caroupaye et Teddy A., l'heure de la confrontation entre victime et agresseur présumé a sonné. Tous deux sont convoqués ce vendredi dans le cabinet de la juge d'instruction en charge de cette affaire ouverte par le parquet de Saint-Denis pour tentative de meurtre début août 2022.
Sur un parking à l’entrée de la ville de l’Est, les deux hommes se seraient affrontés vers 22 heures après une course poursuite, selon des témoins. L'automobiliste coursé n’est autre que le fils du transporteur Jean-Bernard Caroupaye.
Dans l'affolement, Christopher Caroupaye heurte la devanture d’un commerce. Son agresseur n'aurait eu qu'à le cueillir et lui porter des coups de couteau. Grièvement blessé à la tête, il avait subi plusieurs opérations chirurgicales.
Cette agression nocturne sur un parking commercial pourrait être liée à un trafic de drogue dure. Il s'agirait d’un deal qui s’est vraisemblablement mal déroulé pour une histoire de dette non honorée.
Selon nos informations, Christopher Caroupaye aurait tenu le rôle de vendeur dans ce trafic bien qu’il s’en défende. Lors de la confrontation deux versions différentes auraient été opposées par les deux hommes.
Reste à savoir comment la juge d’instruction interprétera ces déclarations. Et les déductions qui en seront tirées.
Sur un parking à l’entrée de la ville de l’Est, les deux hommes se seraient affrontés vers 22 heures après une course poursuite, selon des témoins. L'automobiliste coursé n’est autre que le fils du transporteur Jean-Bernard Caroupaye.
Dans l'affolement, Christopher Caroupaye heurte la devanture d’un commerce. Son agresseur n'aurait eu qu'à le cueillir et lui porter des coups de couteau. Grièvement blessé à la tête, il avait subi plusieurs opérations chirurgicales.
Cette agression nocturne sur un parking commercial pourrait être liée à un trafic de drogue dure. Il s'agirait d’un deal qui s’est vraisemblablement mal déroulé pour une histoire de dette non honorée.
Selon nos informations, Christopher Caroupaye aurait tenu le rôle de vendeur dans ce trafic bien qu’il s’en défende. Lors de la confrontation deux versions différentes auraient été opposées par les deux hommes.
Reste à savoir comment la juge d’instruction interprétera ces déclarations. Et les déductions qui en seront tirées.
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Grande Chaloupe : 500 excès de vitesse relevés en 2 heures
La police nationale a mené des contrôles routiers sur la zone limitée à 70 km/h sur la Route du Littoral au niveau de la Grande Chaloupe. Les forces de l'ordre déplorent de nombreux excès de vitesse, notamment un automobiliste à 128 km/h ou encore plusieurs conducteurs de poids-lourds, sur une portion accidentogène. Voici le communiqué de la Police nationale de La Réunion :

La zone de la Grande Chaloupe sur la RN1est un endroit devenu particulièrement accidentogène. Récemment encore, un "jeune motard" (pas si jeune, mais opportunément porteur d’équipements de protection), n’ayant pu anticiper l’écart d’une automobiliste, s’est retrouvé au sol, mais heureusement sans particulière gravité.
Les aménagements justifiés par la jonction entre nouvelle et ancienne route du littoral obligent à une limitation des voies à 70 km/h.
70 km/h ! Écrit ainsi, c’est toujours plus petit que la taille du panneau type B14 de limitation de vitesse mais si cela peut permettre aux usagers de freiner leur véhicule, on peut l’écrire encore plus gros.
Un contrôle réalisé, cette semaine, a montré que 497 usagers ne respectaient pas la limitation à cet endroit, soit près de 250/heure. Palme de l’imprudence à l’automobiliste circulant à l’approche du pif-paf à 128 km/h et aux neuf poids-lourds également surpris en excès.
La limitation de vitesse de la zone est pourtant indiquée par une signalisation spécifique. Pour les distraits, la zone signalée dernièrement par le gestionnaire des voies comme particulièrement accidentogène est celle prise en photo. Il s’agit du lieu de basculement des voies et de la zone de sortie et insertion de la Grande Chaloupe vers Saint Denis.
Inutile de dire qu’il s’agit naturellement de la zone où est positionné le radar mobile… mais on le dit quand même.
Alors, prudence !
Les aménagements justifiés par la jonction entre nouvelle et ancienne route du littoral obligent à une limitation des voies à 70 km/h.
70 km/h ! Écrit ainsi, c’est toujours plus petit que la taille du panneau type B14 de limitation de vitesse mais si cela peut permettre aux usagers de freiner leur véhicule, on peut l’écrire encore plus gros.
Un contrôle réalisé, cette semaine, a montré que 497 usagers ne respectaient pas la limitation à cet endroit, soit près de 250/heure. Palme de l’imprudence à l’automobiliste circulant à l’approche du pif-paf à 128 km/h et aux neuf poids-lourds également surpris en excès.
La limitation de vitesse de la zone est pourtant indiquée par une signalisation spécifique. Pour les distraits, la zone signalée dernièrement par le gestionnaire des voies comme particulièrement accidentogène est celle prise en photo. Il s’agit du lieu de basculement des voies et de la zone de sortie et insertion de la Grande Chaloupe vers Saint Denis.
Inutile de dire qu’il s’agit naturellement de la zone où est positionné le radar mobile… mais on le dit quand même.
Alors, prudence !
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Une Journée d'initiative parlementaire des socialistes "fructueuse" pour Philippe Naillet
Le député Philippe Naillet dresse le bilan de la Journée d'initiative parlementaire des socialistes qui s'est déroulé hier à l'Assemblée nationale. Il salue de belles avancées au niveau des propositions de loi adoptées.

Communiqué de presse du député Philippe Naillet :
Journée d’initiative parlementaire socialiste : de belles avancées pour les Outre-mer, la lutte contre les violences intrafamiliales et la souveraineté énergétique.
Hier, l’ordre du jour de l’Assemblée nationale était fixé par le groupe des Députés Socialistes et Apparentés. La séance a été fructueuse.
Sur 5 textes ayant eu le temps d’être discutés, 3 propositions de lois ont été adoptées en première lecture et la proposition d’une création de commission d’enquête sur la vie chère dans les Outre-mer a été validée, toutes les 4 à l’unanimité.
Si la vie chère dans les territoires ultramarins, n’est pas traitée pour la première fois à l’Assemblée nationale - rapports, loi de régulation économique ou celle plus récente Égalité Réelle en Outre-mer - c’est la première fois qu’une telle commission, avec des pouvoirs étendus (convocation contraignante, audition sous serment, sanctions pénales en cas de manquements) verra le jour pour une durée de 6 mois et comprenant 30 députés.
Le rapport final aura pour but d’analyser l’ensemble des raisons structurelles de cette vie et de la réduire en partant de 4 axes :
des niveaux de vie et de revenus plus faibles que dans l’Hexagone, des prix plus élevés, un sous-financement des collectivités territoriales et un traitement de l’État encore injuste et inéquitable vis-à-vis de nos territoires.
Les députés ont ensuite adopté à l’unanimité - la majorité ayant quitté l’hémicycle - la proposition de loi pour la nationalisation d’Électricité de France (EDF) qui prévoit également la mise en place d’un bouclier tarifaire pour les TPE, une demande faite par les commerçants et artisans depuis plusieurs mois au regard de l’impact des coûts de l’énergie sur les emplois et la survie de nombreux petits commerces..
Durant la soirée, deux avancées majeures votées à l’unanimité dans la lutte contre les violences intrafamiliales. La première de nos propositions était la simplification pour la mise sous protection et l’accompagnement des enfants victimes et co-victimes de violences au sein de leur famille (1 enfant meurt tous les 5 jours sous les coups d’un de ses parents).
La seconde renforçait l’ordonnance de protection : les victimes de violences conjugales n’auront plus à prouver l’existence d’un danger potentiel et sa durée allongée de 6 à 12 mois.
Un grand regret avec le rejet par 1 voix de notre proposition pour la mise en place du repas à 1 euro dans les CROUS pour tous les étudiants. À l’heure où nos étudiants sont toujours plus nombreux dans les files d’attente des soupes populaires que plus de la moitié des étudiants avouent devoir “sauter des repas”, la majorité présidentielle et Les Républicains se sont opposés à cette mesure à 90 millions d’euros par an. Il faut maintenant souhaiter que ces textes votés hier à l’unanimité puissent rapidement être inscrits à l'ordre du jour du Sénat et approuvés.
Journée d’initiative parlementaire socialiste : de belles avancées pour les Outre-mer, la lutte contre les violences intrafamiliales et la souveraineté énergétique.
Hier, l’ordre du jour de l’Assemblée nationale était fixé par le groupe des Députés Socialistes et Apparentés. La séance a été fructueuse.
Sur 5 textes ayant eu le temps d’être discutés, 3 propositions de lois ont été adoptées en première lecture et la proposition d’une création de commission d’enquête sur la vie chère dans les Outre-mer a été validée, toutes les 4 à l’unanimité.
Si la vie chère dans les territoires ultramarins, n’est pas traitée pour la première fois à l’Assemblée nationale - rapports, loi de régulation économique ou celle plus récente Égalité Réelle en Outre-mer - c’est la première fois qu’une telle commission, avec des pouvoirs étendus (convocation contraignante, audition sous serment, sanctions pénales en cas de manquements) verra le jour pour une durée de 6 mois et comprenant 30 députés.
Le rapport final aura pour but d’analyser l’ensemble des raisons structurelles de cette vie et de la réduire en partant de 4 axes :
des niveaux de vie et de revenus plus faibles que dans l’Hexagone, des prix plus élevés, un sous-financement des collectivités territoriales et un traitement de l’État encore injuste et inéquitable vis-à-vis de nos territoires.
Les députés ont ensuite adopté à l’unanimité - la majorité ayant quitté l’hémicycle - la proposition de loi pour la nationalisation d’Électricité de France (EDF) qui prévoit également la mise en place d’un bouclier tarifaire pour les TPE, une demande faite par les commerçants et artisans depuis plusieurs mois au regard de l’impact des coûts de l’énergie sur les emplois et la survie de nombreux petits commerces..
Durant la soirée, deux avancées majeures votées à l’unanimité dans la lutte contre les violences intrafamiliales. La première de nos propositions était la simplification pour la mise sous protection et l’accompagnement des enfants victimes et co-victimes de violences au sein de leur famille (1 enfant meurt tous les 5 jours sous les coups d’un de ses parents).
La seconde renforçait l’ordonnance de protection : les victimes de violences conjugales n’auront plus à prouver l’existence d’un danger potentiel et sa durée allongée de 6 à 12 mois.
Un grand regret avec le rejet par 1 voix de notre proposition pour la mise en place du repas à 1 euro dans les CROUS pour tous les étudiants. À l’heure où nos étudiants sont toujours plus nombreux dans les files d’attente des soupes populaires que plus de la moitié des étudiants avouent devoir “sauter des repas”, la majorité présidentielle et Les Républicains se sont opposés à cette mesure à 90 millions d’euros par an. Il faut maintenant souhaiter que ces textes votés hier à l’unanimité puissent rapidement être inscrits à l'ordre du jour du Sénat et approuvés.
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Vidéo - St-Benoit : L'école Daniel-Honoré accueille la première station pérenne de mesure de l'air de la région Est
C'est une première dans l'Est. L'école Daniel-Honoré, située dans le quartier de Bras-Fusil à Saint-Benoit, a inauguré ce vendredi la première station ATMO pérenne de la micro-région, en présence notamment de la présidente d'ATMO Réunion, Ramata Touré, et du président de la Cirest et maire de Saint-Benoit, Patrice Selly. Fonctionnant en continu 24h/24 et 7/7 jours, cette station permettra de mesurer la qualité de l’air au sein de l’école et en périphérie.

Pour rappel, La Réunion est divisée en trois zones administratives de surveillance bien distinctes : la Zone à Risque Urbaine (ZARU, unités urbaines entre 50.000 et 250.000 habitants), Zone à Risque Volcanique (ZARV, zone influencée par les retombées du panache volcanique lors d’éruptions) et le reste du territoire, située en zone dite régionale (ZR). "Jusqu'ici la zone régionale n'avait qu'une seule station, celle de Saint-Leu, et il nous manquait une dans la zone Est. C'est désormais chose faite avec l'inauguration de cette unité à l'école Daniel-Honoré", indique Fabien Georgel, d'ATMO Réunion, qui devient la 18e station d'observation de l'air de l'île.
L'installation de cette unité de mesure de l'air est la 18e de l'île pour ATMO Réunion. Cette démarche s’inscrit dans un projet pédagogique sur le développement durable, initié par la Cirest et ses partenaires (Atmo Réunion, Ville de Saint-Benoît, équipe éducative école Daniel-Honoré), dans le cadre des actions du Plan Climat Air Energie Territorial (PCAET) de la Cirest, adopté en juillet dernier.
À cet effet, 20 élèves d’une classe de CM2 ont été sensibilisés à la qualité de l’air intérieure et extérieure par une médiatrice scientifique d’Atmo Réunion. En effet, le suivi de la qualité de l'air est aujourd'hui une composante centrale des PCAET comme le rappelle Anita Razafindrasoa, directrice de la Planification et de la Connaissance du territoire et chargée du Plan Climat-Air-Energie Territorial (PCAET) de la Cirest. "Cette station est également vouée à capter les émanations autour du quartier mais aussi sur tout le territoire Est. Elle va suivre surtout tout ce qui touche aux critères urbains et périurbains", explique-t-elle, comme par exemple le dioxyde de soufre, les oxydes d'azote ou encore l'ozone.
Des analyses que le grand public pourra retrouver sur le site d'ATMO Réunion. La station de l'école Daniel-Honoré permettra également de mesurer, via des prélèvements et non pas par analyse, le benzène, les hydrocarbures et les métaux lourds contenus dans l'air.
ATMO Réunion planche par ailleurs sur l'installation d'une seconde station dans l'Est mais en zone rurale, probablement à Salazie. Cette dernière devrait se concentrer sur les émanations liées au monde rural comme le pollen ou le taux de produits phytosanitaires flottants dans l'air.
Outre l'enjeu sanitaire, la mise en place de ces unités a également une portée sur l'aménagement du territoire reprend pour sa part Patrice Selly. "En plus de savoir si l'air que nous respirons est de bonne ou de mauvaise qualité, cette station nous permettra également d'adapter nos politiques publiques en matière d'aménagement du territoire, en particulier sur le volet des mobilités, en limitant au maximum les émissions de gaz à effet de serre", précise le président de la Cirest :
L'installation de cette unité de mesure de l'air est la 18e de l'île pour ATMO Réunion. Cette démarche s’inscrit dans un projet pédagogique sur le développement durable, initié par la Cirest et ses partenaires (Atmo Réunion, Ville de Saint-Benoît, équipe éducative école Daniel-Honoré), dans le cadre des actions du Plan Climat Air Energie Territorial (PCAET) de la Cirest, adopté en juillet dernier.
À cet effet, 20 élèves d’une classe de CM2 ont été sensibilisés à la qualité de l’air intérieure et extérieure par une médiatrice scientifique d’Atmo Réunion. En effet, le suivi de la qualité de l'air est aujourd'hui une composante centrale des PCAET comme le rappelle Anita Razafindrasoa, directrice de la Planification et de la Connaissance du territoire et chargée du Plan Climat-Air-Energie Territorial (PCAET) de la Cirest. "Cette station est également vouée à capter les émanations autour du quartier mais aussi sur tout le territoire Est. Elle va suivre surtout tout ce qui touche aux critères urbains et périurbains", explique-t-elle, comme par exemple le dioxyde de soufre, les oxydes d'azote ou encore l'ozone.
Des analyses que le grand public pourra retrouver sur le site d'ATMO Réunion. La station de l'école Daniel-Honoré permettra également de mesurer, via des prélèvements et non pas par analyse, le benzène, les hydrocarbures et les métaux lourds contenus dans l'air.
ATMO Réunion planche par ailleurs sur l'installation d'une seconde station dans l'Est mais en zone rurale, probablement à Salazie. Cette dernière devrait se concentrer sur les émanations liées au monde rural comme le pollen ou le taux de produits phytosanitaires flottants dans l'air.
Outre l'enjeu sanitaire, la mise en place de ces unités a également une portée sur l'aménagement du territoire reprend pour sa part Patrice Selly. "En plus de savoir si l'air que nous respirons est de bonne ou de mauvaise qualité, cette station nous permettra également d'adapter nos politiques publiques en matière d'aménagement du territoire, en particulier sur le volet des mobilités, en limitant au maximum les émissions de gaz à effet de serre", précise le président de la Cirest :

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L'OPMR se félicite de la mise en place d'une commission d'enquête sur le coût de la vie chère
L'Observatoire des prix, des marges et des revenus se félicite de la création d'une commission d'enquête parlementaire sur le coût de la vie dans les Outre mer et annonce qu'il y apportera son concours.

Communiqué de l’OPMR :
L'Observatoire des prix, des marges et des revenus (OPMR) de La Réunion se félicite de la création d'une commission d'enquête parlementaire sur le coût de la vie dans les Outre mer. Comme cela a été rappelé par les députés à l’origine de cette initiative, cette création s’inscrit dans le prolongement des travaux de l'OPMR, en particulier du dernier rapport remis par le cabinet Bolonyocte Consulting sur l'évolution du secteur de la grande distribution et les conséquences directes et indirectes pour les consommateurs ainsi que pour le secteur économique de La Réunion dans son ensemble.
Fort de son expertise dans le domaine, l'OPMR apportera son concours à la commission d’enquête sur le coût de la vie en Outre-mer.
L'OPMR participera également aux travaux de la Commission des affaires économiques de l'Assemblée Nationale, en mission à La Réunion du 19 au 26 février. Cette délégation de 5 députés conduite par son président se penchera particulièrement sur les questions liées au coût de la vie, au logement et à l'énergie.
Enfin, l’OPMR, qui est associé à l’élaboration du Boucler Qualité Prix + (BQP+), prend acte de la volonté du Préfet de La Réunion de l’élargir aux secteurs du bricolage et des pièces automobiles et apportera son assistance pour l’élaboration du nouveau BQP +.
L'Observatoire des prix, des marges et des revenus (OPMR) de La Réunion se félicite de la création d'une commission d'enquête parlementaire sur le coût de la vie dans les Outre mer. Comme cela a été rappelé par les députés à l’origine de cette initiative, cette création s’inscrit dans le prolongement des travaux de l'OPMR, en particulier du dernier rapport remis par le cabinet Bolonyocte Consulting sur l'évolution du secteur de la grande distribution et les conséquences directes et indirectes pour les consommateurs ainsi que pour le secteur économique de La Réunion dans son ensemble.
Fort de son expertise dans le domaine, l'OPMR apportera son concours à la commission d’enquête sur le coût de la vie en Outre-mer.
L'OPMR participera également aux travaux de la Commission des affaires économiques de l'Assemblée Nationale, en mission à La Réunion du 19 au 26 février. Cette délégation de 5 députés conduite par son président se penchera particulièrement sur les questions liées au coût de la vie, au logement et à l'énergie.
Enfin, l’OPMR, qui est associé à l’élaboration du Boucler Qualité Prix + (BQP+), prend acte de la volonté du Préfet de La Réunion de l’élargir aux secteurs du bricolage et des pièces automobiles et apportera son assistance pour l’élaboration du nouveau BQP +.
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Vidéo - Suppression de certains régimes spéciaux : "Certains dans cet hémicycle sont nés avant la honte"
Perceval Gaillard n'a pas eu assez de mots durs envers le gouvernement après la suppression de certains régimes spéciaux, validés ce vendredi par une majorité de députés dans le cadre de la loi de financement rectificative de la Sécurité sociale pour 2023.

"Certains dans cet hémicycle sont nés avant la honte", a tout d'abord lancé le député GDR-Nupes de la 7e circonscription. "Allez dire à mon père, qui s'est détruit l'épaule à force de soulever vos colis, qu'il est un privilégié. Nous connaissons la dureté du monde du travail contrairement à vous ! (...) Qui ici a déjà porté des sacs de ciment de 25 kilos sous 40 degrés de soleil ?!", a ajouté le député réunionnais, visiblement très remonté comme on peut le voir dans la vidéo publiée par la page Facebook du France insoumise à l'Assemblée nationale.
Pour rappel, la majorité des députés (181 voix pour et 163 contre) ont voté ce vendredi aux alentours de midi dans une ambiance particulièrement tendue la suppression de certains régimes spéciaux de retraites accordés par exemple à la RATP, à EDF ou encore des gaziers de France.
Pour rappel, la majorité des députés (181 voix pour et 163 contre) ont voté ce vendredi aux alentours de midi dans une ambiance particulièrement tendue la suppression de certains régimes spéciaux de retraites accordés par exemple à la RATP, à EDF ou encore des gaziers de France.
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St-Pierre : Le tribunal judiciaire prêt pour une nouvelle année judiciaire
Les audiences solennelles de la rentrée judiciaire 2023 se sont tenues ce vendredi 10 février à Saint-Pierre. Un moment important de la vie d’un tribunal qui permet de faire le bilan de l’année écoulée et d’annoncer les projets à venir.

La présence du préfet, Jérôme Filippini, de Patrick Lebreton, vice-président de Région, de Michel Fontaine, de Serge Hoarau de Béatrice Sigismeau, ainsi que de tous les hauts gradés de la police et de la gendarmerie ne laissent aucun doute sur l’importance de l’évènement. L’audience solennelle de rentrée judiciaire est un moment fort dans la vie d’une juridiction, particulièrement lorsqu’il faut rendre hommage aux disparus.
Le Conseil des Prud’hommes (CPH) a ouvert cette rentrée. Michelle Santos a été réélue présidente générale du CPH, tandis que Michel Grenier a été confirmé au poste de vice-président par ses pairs. Ce dernier avertit "que le nombre d’affaires ne diminue pas et tout laisse à penser que ça ne va pas s’arranger". Un avis partagé par la présidente qui affirme "que ce sera difficile dans un contexte social en plein changement."
C’est ensuite le tribunal judiciaire qui a effectué sa rentrée sous la direction du président du tribunal de Saint-Pierre, Bertrand Pagès. Après une première année de mandat, il assure que "ce barreau a du coeur". Après un rapide bilan, il s’est félicité de cette première année pleine du palais de justice de Saint-Pierre en tant que pôle régional de l’environnement. 13 procédures complexes y ont été jugées l’année dernière pour des atteintes à l’environnement.
La procureure de la République, Caroline Calbo, a ensuite fait ses réquisitions pour l’année. Elle est revenue sur le rapport du Comité des États généraux de la Justice qui souligne "l’état de délabrement avancé du financement du système judiciaire. La pauvreté de la justice empêche le système judiciaire de s’adapter rapidement aux changements dans la société."
Le Conseil des Prud’hommes (CPH) a ouvert cette rentrée. Michelle Santos a été réélue présidente générale du CPH, tandis que Michel Grenier a été confirmé au poste de vice-président par ses pairs. Ce dernier avertit "que le nombre d’affaires ne diminue pas et tout laisse à penser que ça ne va pas s’arranger". Un avis partagé par la présidente qui affirme "que ce sera difficile dans un contexte social en plein changement."
C’est ensuite le tribunal judiciaire qui a effectué sa rentrée sous la direction du président du tribunal de Saint-Pierre, Bertrand Pagès. Après une première année de mandat, il assure que "ce barreau a du coeur". Après un rapide bilan, il s’est félicité de cette première année pleine du palais de justice de Saint-Pierre en tant que pôle régional de l’environnement. 13 procédures complexes y ont été jugées l’année dernière pour des atteintes à l’environnement.
La procureure de la République, Caroline Calbo, a ensuite fait ses réquisitions pour l’année. Elle est revenue sur le rapport du Comité des États généraux de la Justice qui souligne "l’état de délabrement avancé du financement du système judiciaire. La pauvreté de la justice empêche le système judiciaire de s’adapter rapidement aux changements dans la société."
Ne rien lâcher sur les violences intrafamiliales
Pour exemple, elle explique que les six magistrates qui composent le Parquet de Saint-Pierre ont traité 16.600 procédures en 2022, soit 1.100 de plus qu’en 2021. Elle a insisté sur le fait que cette augmentation porte principalement sur les violences intrafamiliales, grâce à une meilleure écoute des victimes.
"Comment on a changé le mode de traitement ? D’abord, que ça soit plus facile pour les victimes de déposer plainte, puis aller chez le médecin pour identifier leurs blessures. Ensuite, les protéger avec le téléphone grave danger ou le bracelet anti-rapprochement. Derrière, la poursuite systématique des auteurs, notamment en comparution immédiate. Il y a une augmentation de 40% des procédures à délai très bref", indique la procureure de la République de Saint-Pierre.
En 2020, 74 hommes violents avaient été déférés au tribunal après une garde à vue. Ce chiffre est monté à 174 en 2021, avant d’exploser en 2022 avec 330 présentations devant une procureure. Des résultats en augmentation qui ne sont pas en corrélation avec une augmentation de moyens.
"Si la justice tient, c’est grâce au dévouement et à l’abnégation des fonctionnaires qui permettent que tout puisse tourner", assure Bertrand Pagès. Malgré un manque d’effectif, le délai de traitement de dossier au tribunal de Saint-Pierre est plus court que la moyenne nationale. En conclusion, le président du tribunal de Saint-Pierre a promis de continuer à "offrir une justice de qualité dans un délai raisonnable."
Pour exemple, elle explique que les six magistrates qui composent le Parquet de Saint-Pierre ont traité 16.600 procédures en 2022, soit 1.100 de plus qu’en 2021. Elle a insisté sur le fait que cette augmentation porte principalement sur les violences intrafamiliales, grâce à une meilleure écoute des victimes.
"Comment on a changé le mode de traitement ? D’abord, que ça soit plus facile pour les victimes de déposer plainte, puis aller chez le médecin pour identifier leurs blessures. Ensuite, les protéger avec le téléphone grave danger ou le bracelet anti-rapprochement. Derrière, la poursuite systématique des auteurs, notamment en comparution immédiate. Il y a une augmentation de 40% des procédures à délai très bref", indique la procureure de la République de Saint-Pierre.
En 2020, 74 hommes violents avaient été déférés au tribunal après une garde à vue. Ce chiffre est monté à 174 en 2021, avant d’exploser en 2022 avec 330 présentations devant une procureure. Des résultats en augmentation qui ne sont pas en corrélation avec une augmentation de moyens.
"Si la justice tient, c’est grâce au dévouement et à l’abnégation des fonctionnaires qui permettent que tout puisse tourner", assure Bertrand Pagès. Malgré un manque d’effectif, le délai de traitement de dossier au tribunal de Saint-Pierre est plus court que la moyenne nationale. En conclusion, le président du tribunal de Saint-Pierre a promis de continuer à "offrir une justice de qualité dans un délai raisonnable."
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Trafic de cocaïne Dubaï-Réunion : De nouvelles interpellations pourraient avoir lieu
En début de semaine, neuf interpellations intervenaient à la suite d'une enquête de près de deux ans mettant fin à un trafic présumé de cocaïne et à de vastes opérations de blanchiment sous couvert de sociétés d'import export de véhicules d'occasion de luxe via des prête-noms. L'un d'entre eux vient d'être placé ce vendredi sous contrôle judiciaire alors que la tête de réseau supposée est attendue chez le juge des libertés lundi prochain.

Au tour d'Amode A., un Portois, de passer dans le cabinet de la juge des libertés et de la détention ce vendredi après-midi. Le jeune mécanicien de 26 ans est suspecté d'avoir joué un rôle dans le trafic de stupéfiants démantelé au début de cette semaine. En lien avec Karim B, la tête de réseau et le cerveau présumé des opérations de blanchiment et du trafic, Amode A. aurait encaissé des mandats cash contre une commission.
Les deux hommes se seraient rencontrés dans le cadre de petites réparations à effectuer sur des véhicules d'occasion de luxe. Amode A. aurait donné des coups de main dans ce domaine qu'il connaît bien. C'est aussi pour dépanner qu'il aurait accepté de s'occuper de quelques mandats.
Ce vendredi, la juge des libertés et de la détention a choisi de faire confiance au vingtenaire, titulaire d'un CDI, inséré et inconnu de la justice. Amode A. a été placé sous contrôle judiciaire avec interdiction de quitter La Réunion et d'entrer en contact avec les personnes inquiétées dans cette affaire. Il devra se présenter tous les samedis au commissariat du Port sous peine de finir à la maison d'arrêt de Domenjod.
Les deux hommes se seraient rencontrés dans le cadre de petites réparations à effectuer sur des véhicules d'occasion de luxe. Amode A. aurait donné des coups de main dans ce domaine qu'il connaît bien. C'est aussi pour dépanner qu'il aurait accepté de s'occuper de quelques mandats.
Ce vendredi, la juge des libertés et de la détention a choisi de faire confiance au vingtenaire, titulaire d'un CDI, inséré et inconnu de la justice. Amode A. a été placé sous contrôle judiciaire avec interdiction de quitter La Réunion et d'entrer en contact avec les personnes inquiétées dans cette affaire. Il devra se présenter tous les samedis au commissariat du Port sous peine de finir à la maison d'arrêt de Domenjod.
Lundi prochain, c'est Karim B. qui verra son sort scellé en attendant la suite des investigations. Celui-ci est soupçonné d'avoir embarqué dans son trafic ses deux compagnes successives, dont une bien connue du grand public en tant qu'influenceuse et chroniqueuse télé à La Réunion. Les deux jeunes femmes, placées pour l'instant sous contrôle judiciaire, auraient été à la tête de sociétés d'import-export de véhicules de luxe, un prétexte pour blanchir l'argent du trafic et faciliter des transferts d'argent.
Le nom de plusieurs cols blancs figureraient dans l'épais dossier qui se trouve depuis deux ans dans les mains d'une juge d'instruction dionysienne. Et notamment des personnes bien placées pour faciliter l'entrée des véhicules de luxe à La Réunion en vue de leur revente.
"Une vague d'interpellations pourrait encore avoir lieu ", a indiqué la vice-procureure de la République ce vendredi ainsi que l'audition de témoins susceptibles de faire aboutir l'enquête et d'envisager des poursuites pénales pour l'ensemble des protagonistes.
Le nom de plusieurs cols blancs figureraient dans l'épais dossier qui se trouve depuis deux ans dans les mains d'une juge d'instruction dionysienne. Et notamment des personnes bien placées pour faciliter l'entrée des véhicules de luxe à La Réunion en vue de leur revente.
"Une vague d'interpellations pourrait encore avoir lieu ", a indiqué la vice-procureure de la République ce vendredi ainsi que l'audition de témoins susceptibles de faire aboutir l'enquête et d'envisager des poursuites pénales pour l'ensemble des protagonistes.
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Petit coléoptère des ruches : Le préfet a reçu les professionnels apicoles
Voici le communiqué de la préfecture sur l'évolution de la situation liée à la présence du petit coléoptère des ruches à La Réunion :

Après six mois d’absence de détection du ravageur et plus de 7 000 colonies d’abeilles et 550 ruchers contrôlés, l’État avait envisagé une évolution des mesures de restriction actuellement en vigueur dans le cadre des échanges réguliers du comité de suivi où sont associés les professionnels.
Face à la nouvelle détection du 3 février dernier, le préfet de La Réunion a souhaité rencontrer les professionnels autour de deux questions centrales, que sont le besoin d’une stratégie consensuelle pour agir contre le ravageur et la prise en compte des difficultés économiques impactant le monde apicole en découlant. Aussi, au terme de cette réunion d’échange, le préfet a pu acter des orientations importantes, prenant en compte les nécessités sanitaires et économiques.
Face à la nouvelle détection du 3 février dernier, le préfet de La Réunion a souhaité rencontrer les professionnels autour de deux questions centrales, que sont le besoin d’une stratégie consensuelle pour agir contre le ravageur et la prise en compte des difficultés économiques impactant le monde apicole en découlant. Aussi, au terme de cette réunion d’échange, le préfet a pu acter des orientations importantes, prenant en compte les nécessités sanitaires et économiques.
Allègement des mesures au 1er mars
Concernant les mesures de restriction de mouvements, et sauf nouvelle détection ces prochaines semaines, les mesures sanitaires générales vont évoluer vers un allègement à compter du 1er mars 2023. En ce qui concerne les zones réglementées actuelles, seule la zone réglementée de Saint-Philippe comprenant la partie Est de Saint-Joseph sera maintenue, du fait qu’elle constitue la zone où la très grande majorité des cas ont été détectés, dont celui du 3 février dernier.
À l’intérieur de la zone réglementée de Saint-Philippe, les mouvements seront autorisés librement. Les mouvements entrant le seront également. À contrario, les mouvements sortants de la zone réglementée ne seront pas autorisés. En parallèle, les mouvements seront libres sur le reste du territoire.
Sur l’ensemble du territoire, chaque mouvement de ruche(s), qu’il s’effectue au sein de la zone réglementée ou dans le reste du département, devra faire l’objet d’une déclaration simplifiée sur Internet. En complément, des moyens déclaratifs papier seront utilisables par les apiculteurs ne pouvant accéder aux solutions dématérialisées. S’agissant d’un système déclaratif de traçabilité préventive, les mouvements ne nécessiteront pas d’autorisation préalable des services de l’État.
Les cas détectés positifs au petit coléoptère des ruches et dépeuplés sur ordre de l’administration continueront à être indemnisés selon les modalités actuelles.
Concernant les mesures de restriction de mouvements, et sauf nouvelle détection ces prochaines semaines, les mesures sanitaires générales vont évoluer vers un allègement à compter du 1er mars 2023. En ce qui concerne les zones réglementées actuelles, seule la zone réglementée de Saint-Philippe comprenant la partie Est de Saint-Joseph sera maintenue, du fait qu’elle constitue la zone où la très grande majorité des cas ont été détectés, dont celui du 3 février dernier.
À l’intérieur de la zone réglementée de Saint-Philippe, les mouvements seront autorisés librement. Les mouvements entrant le seront également. À contrario, les mouvements sortants de la zone réglementée ne seront pas autorisés. En parallèle, les mouvements seront libres sur le reste du territoire.
Sur l’ensemble du territoire, chaque mouvement de ruche(s), qu’il s’effectue au sein de la zone réglementée ou dans le reste du département, devra faire l’objet d’une déclaration simplifiée sur Internet. En complément, des moyens déclaratifs papier seront utilisables par les apiculteurs ne pouvant accéder aux solutions dématérialisées. S’agissant d’un système déclaratif de traçabilité préventive, les mouvements ne nécessiteront pas d’autorisation préalable des services de l’État.
Les cas détectés positifs au petit coléoptère des ruches et dépeuplés sur ordre de l’administration continueront à être indemnisés selon les modalités actuelles.
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Risque requin : Où peut-on se baigner et surfer à La réunion ?
La préfecture fait le point sur la prolongation des règlements de la baignade et des activités nautiques. Voici le communiqué :

L’arrêté préfectoral réglementant les activités pratiquées en mer, mis en place en 2021 afin de réduire le risque requin, est reconduit jusqu’au 15 février 2024.
Ainsi, la baignade et les activités nautiques telles que le surf, bodyboard, bodysurf, longboard et paddleboard (1), sont autorisés seulement :
En dehors de ces zones, le risque requin est accru et il est interdit de s’y baigner ou d’y pratiquer des activités nautiques.
Les communes concernées continueront et intensifieront la signalétique des lieux autorisés et ceux interdits, en rappelant les mesures à respecter par les pratiquants.
Il est ainsi recommandé la plus grande vigilance aux usagers de la mer et plus particulièrement aux pratiquants des activités les plus exposées au risque requin :
Ainsi, la baignade et les activités nautiques telles que le surf, bodyboard, bodysurf, longboard et paddleboard (1), sont autorisés seulement :
- dans le lagon et platiers (à Saint-Leu, l’Hermitage, la Saline-les-Bains, Saint-Pierre et Saint-Gilles) ;
- dans les espaces aménagés avec filets de baignade ;
- et dans les zones d’expérimentation opérationnelle (ZONEX) avec le dispositif de surveillance Vigi Requins et les Water Patrol de Leu Tropical Surf Team (comme à Boucan Canot, à la plage des Roches noires, ou à L’Étang-salé).
En dehors de ces zones, le risque requin est accru et il est interdit de s’y baigner ou d’y pratiquer des activités nautiques.
Les communes concernées continueront et intensifieront la signalétique des lieux autorisés et ceux interdits, en rappelant les mesures à respecter par les pratiquants.
Il est ainsi recommandé la plus grande vigilance aux usagers de la mer et plus particulièrement aux pratiquants des activités les plus exposées au risque requin :
- Il est nécessaire de respecter la réglementation en vigueur, les dispositifs de prévention et de surveillance relatifs à la baignade (signalisation « classique » par drapeaux verts, jaunes ou rouge) et spécifiques au risque requins (flamme rouge ou orange) : https://www.info-requin.re/signaletique-sur-les-zones-d-activites-nautiques-a799.html ;
- Il convient de ne jamais se mettre à l’eau dans une zone interdite ou signalée dangereuse et, une fois à l’eau, de ne pas relâcher sa vigilance : les différentes mesures prises par les pouvoirs publics ne sauraient éliminer totalement le risque inhérent à la présence connue de requins sur le littoral réunionnais.
- Se renseigner auprès des maîtres nageurs sauveteurs du poste de surveillance ou des loueurs d’équipements de loisirs nautiques sur la réglementation et les dangers éventuels dans la zone pratiquée ;
- Ne pas laisser les enfants se baigner sans surveillance ;
- En mer, privilégier la pratique collective des activités nautiques, sous l’encadrement et la responsabilité des professionnels de la mer ;
- Ne restez pas dans l’eau en cas de blessure et, en cas de pêche sous marine, ne pas conserver ses prises sur soi mais les déposer le plus rapidement possible sur sa bouée ou dans son navire.
(1) Les autres activités nautiques, notamment la plongée et la pêche sous-marine, demeurent possibles dans le cadre de la réglementation, aux risques et périls de leurs usagers.
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