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Channel: Faits divers – Zinfos974
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​Animaux de compagnie : French Bee suit le mouvement initié par Air France

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Il n’a pas fallu un moins pour que l’initiative d’Air France soit imitée. French Bee fait à son tour décoller ses tarifs pour le voyage de vos animaux de compagnie et condamne un peu plus les sauvetages d'animaux errants et maltraités de La Réunion.
​Animaux de compagnie : French Bee suit le mouvement initié par Air France
La crainte des bénévoles de la protection animale se réalise. Moins d’un mois après la décision d’Air France que nous vous annoncions le 8 avril, c’est French Bee qui s’y met. 

La première alerte nous a été signalée ce dimanche 30 avril. Une bénévole en train d’enregistrer le départ d’animaux sauvés détecte très vite la différence sur le formulaire de la compagnie. Et l’effet de surprise est total puisque l’évolution de la grille tarifaire prend effet dès ce mois de mai. 

​Animaux de compagnie : French Bee suit le mouvement initié par Air France
De 70 euros le voyage en soute, le nouveau tarif passe ainsi à 150 euros. En cabine, le tarif passe de 50 à 75 euros. 

A 150 euros en soute, la compagnie du groupe Dubreuil profite de l’appel d’air créé par la compagnie Air France. La compagnie tricolore est passée le mois dernier de 75 euros à 200 euros pour un animal en soute et de 55 à 125 euros pour les petits gabarits de chiens et chats pouvant voyager en cabine. Une augmentation que les habitués ont compris ainsi : "En mettant des prix si haut, c’est une façon pour Air France de dire qu’on ne veut plus des animaux de compagnie", interprétait Karine, présidente de l’association Alliance Zanimos. 

13 parlementaires gros voyageurs

"C’est catastrophe puissance 1000. Tous les départs de chiens/chats organisés sur French Bee par les asso ont tous été annulés. Elles recherchent désormais des places sur Air austral, la dernière compagnie qui n’a pas fait évoluer ses prix", explique Karine. Mais le goulot d’étranglement finira de décourager les acteurs de la PA puisqu’avec "neuf places par vol", qui peuvent être utilisés autant par des particuliers que les associations, "ce ne sera pas suffisant", nous explique-t-elle. Corsair ne faisait pas partie du choix des associations jusque-là puisqu'elle pratiquait les prix les plus chers avant la décision d'Air France.

Hasard du calendrier parlementaire, ce mardi à Paris, la députée Karine Lebon questionnait le ministre des Outre-mer sur l’errance animale et les moyens de lutte, tout en faisant allusion à la mauvaise nouvelle que constituait donc l’augmentation des tarifs par Air France. La députée de la 2ème circonscription, approchée par Alliance Zanimos comme l'association prévoyait de le faire en avril, peut déjà ajouter une deuxième compagnie dans sa Question au Gouvernement. 

A défaut de pouvoir compter sur les compagnies aériennes aidées par l'Etat durant la pandémie, les associations pourront peut-être compter sur nos sept députés et quatre sénateurs dont les allers-retours vers Paris sont nombreux pour contribuer au transfert du maximum d'animaux péi...

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La Réunion oubliera-t-elle son histoire lorsque la statue de Mahé de Labourdonnais sera déplacée ?

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Des politiciens et des historiens s’écharpent sur un débat qui préoccupe 100% des Réunionnais qui se posent la question : la statue de Mahé de Labourdonnais doit-elle être déplacée ou non ? Pour autant, la placer aux côtés d’autres sculptures militaires ne revient pas à effacer ce gouverneur de l’histoire de La Réunion.
La Réunion oubliera-t-elle son histoire lorsque la statue de Mahé de Labourdonnais sera déplacée ?

L’Histoire de La Réunion semble être en grand danger. Pourtant, les Archives départementales n’ont pas été bombardées par des boules de bowling très très mal lancées et les élèves réunionnais assistent toujours à des cours d’histoire entre deux sessions TikTok.

Mais le débat sur le déplacement de la statue de Mahé de Labourdonnais déchaîne de nouveau les passions depuis la décision prise et annoncée conjointement par la mairie de Saint-Denis et la préfecture de La Réunion.

Le gouverneur des Mascareignes au 18ème siècle est décrit comme un architecte du développement économique de La Réunion avec la construction d’hôpitaux, de magasins et de ponts. Des travaux réalisés durant l’esclavage, le nombre de personnes réduites à la servitude avait d’ailleurs augmenté durant son protectorat. Bertrand-François Mahé de Labourdonnais est aussi connu pour sa lutte contre le marronnage.


La mémoire réunionnaise ne tient pas à une statue

Déplacer la statue de Mahé de Labourdonnais ne devrait autant inquiéter. Retirer le gouverneur d’une place proéminente au cœur d’un square au Barachois ne l’effacera pas des livres d’Histoire.

La déplacer reviendrait à réécrire l’histoire, l’effacer, ou du moins modifier sa lecture. Mais exposer une sculpture figée, d’une personnalité triée sur le volet, n’est-ce pas là déjà choisir de raconter qu'une partie de l’Histoire de La Réunion ? (Et peut-être pas la bonne, d'ailleurs.)


"Jusqu'où iront-ils ?"

On arrive ici sur une technique de défense mise en avant par les défenseurs de la position proéminente de la statue du gouverneur Mahé de Labourdonnais sur le front de mer de Saint-Denis. 

Il s’agit de la technique “whataboutism” (“et qu’en est-il de ?”) dénoncée aux Etats-Unis par Jon Stewart et John Oliver lors de leur combat contre la machine médiatique républicaine aux Etats-Unis, Fox News ou le président Donald Trump.

Les commentateurs conservateurs avaient alors l’habitude de défendre leur position en mettant en avant d’autres sujets. Une chroniqueuse de Fox News avait par exemple voulu faire oublier les soupçons de connivence entre Trump et la Russie en évoquant des affaires sous l’administration d’Obama.

Jon Oliver avait expliqué pourquoi ce type d’arguments ne tient pas debout. Un avocat ne peut défendre son client en disant : “Oui, mon client a peut-être tué quelqu’un. Mais qu’en est-il de Jeffrey Dahmer ?


Faut-il retirer les statues des personnages polémiques ?

Faut-il trouver un moyen pour mieux faire connaître l'Histoire de La Réunion ? Oui. Surtout à l'école et peut-être sur TikTok avant l'interdiction de l'application.

Doit-on ériger des statues à l'effigie de personnages historiques ou mettre leur nom sur des places publiques ? Peut-être qu'au lieu d'idolâtrer les personnes, on pourrait se contenter d'apprendre de leurs actes sans avoir besoin de les dresser à plusieurs mètres au-dessus de nous.

Peut-on écrire des livres sur des murs ? Surtout sur une portion de route embouteillée quasiment toute la journée. Le texte sera malheureusement illisible si un tramway voit le jour un jour.

Et petite tangente pour finir : quel message est envoyé "aux grands bonshommes" qui pleurent à la table des négociations lorsqu'ils arrivent devant les grilles de la préfecture et démarrent un combat social sous l'œil d'un gouverneur aussi doué pour développer l'économie que pour garder les travailleurs en servitude...


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Wuambushu : Interpellations en série chez les casseurs

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Les heurts se poursuivent à Mayotte entre bandes de jeunes et forces de l’ordre. Les barrages et jets de galets rendent les affrontements particulièrement violents. Malgré tout, les policiers et gendarmes continuent à interpeller, dont des leaders.
Wuambushu : Interpellations en série chez les casseurs
La soirée du 2 mai a été mouvementée pour les policiers et les gendarmes mobilisés dans le cadre de l’opération Wuambushu. Déjà dans la matinée, l’antenne du GIGN de Mayotte a interpellé à Koungou un individu soupçonné d’être le leader d’une bande ayant participé à des affrontements avec les forces de l’ordre. 

Ainsi, des barrages ont été dressés sur la RN1 à Trévani, mais également à Dzoumogné. Si dans le premier cas, l’action des gendarmes et de la population a permis de rapidement lever la barricade, trois personnes ont été interpellées. À Dzoumogné, pas mois d’une dizaine d’individus ont pris à partie les gendarmes. Là encore, trois d’entre eux ont été arrêtés sur place. Une hache a notamment été saisie. 

Côté police, quelques dégradations suivies de jets de pierres sur les CRS appelés sur place à Cavani sont à noter. Enfin, une maison a été incendiée à Kahani, mais difficile de savoir si ce faits-divers est à relier au contexte actuel à Mayotte. 

Des mairies appellent la population à soutenir l’opération

Des élus mahorais, particulièrement les maires, continuent à organiser réunions publiques et manifestations de soutien. Ainsi, Andhanouni Saïd, le maire de Chirongui, appelle ses administrés à être attentifs à d’éventuelles arrivées massives de personnes dans le village en cette période de décasage. Ambdilwahedou Soumaila, l’édile de Mamoudzou, demande à collaborer avec les policiers pour ramener l’ordre dans la commune.  

Cependant, le bras de fer juridique se poursuit entre les habitants des quartiers à raser et les pouvoirs publics. Hier, le tribunal administratif a demandé à la préfecture de Mayotte de lui fournir une liste des logements proposés aux familles expulsées. Le préfet a 48 heures pour la fournir, sinon l’arrêté sera suspendu car ne respectant pas la loi. 


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Mayotte : Mansour Kamardine demande la déchéance de nationalité des hauts responsables comoriens binationaux

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Lors d'une prise de parole à l'Assemblée nationale, le député de Mayotte a présenté une série de mesures qu'il souhaite voir adoptées pour obliger les autorités comoriennes à accepter leurs ressortissants expulsés.
Mayotte : Mansour Kamardine demande la déchéance de nationalité des hauts responsables comoriens binationaux
Alors que l'opération Wuambushu se poursuit à Mayotte, les élus mahorais poursuivent le combat sur le plan politique. Lors d'une prise de parole à l'Assemblée nationale, le député Mansour Kamardine a demandé au gouvernement d'être plus ferme avec les autorités comoriennes qui refusent la réadmission de leurs ressortissants expulsés "en infraction avec le droit international".

Ainsi, l'élu mahorais a demandé le retrait de la nationalité aux ministres et hauts responsables comoriens ayant la double nationalité. Il souhaite également que tout ressortissant comorien demandant un visa ou un titre de séjour reconnaisse formellement "la francité de Mayotte", sans quoi le refus serait un motif de rejet de la demande.

Malgré ce dernier souhait, le député veut la fermeture du service des étrangers de la préfecture, ainsi que la suspension des visas pour les ressortissants comoriens sur l'ensemble du territoire français.

Mansour Kamardine veut également taper au porte-monnaie en demandant à l'Etat de ne plus soutenir les Comores auprès de l'Ue, du FMI et de la Banque mondiale. Il souhaite également la fin des transferts d'argent vers l'archipel, ce qui représente 25% du PIB du pays.

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Koman nou sa déplas a nou domin a La Rényon ? La Région et ses partenaires lancent les états généraux des mobilités

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Ce mercredi 3 mai 2023, Huguette BELLO, Présidente de la Région Réunion a lancé les États Généraux des Mobilités, en présence de Jérôme FILIPPINI, Préfet de La Réunion, du 13e Vice-président du Département, des Présidents de l’ensemble des EPCI et du collège de garants de la Commission Nationale du Débat Public (CNDP). Cette vaste consultation citoyenne et régionale se déploiera à partir du 9 mai sur l’ensemble de La Réunion. Les objectifs : faire le point sur les usages et les attentes, identifier les projets clés, dégager des priorités pour améliorer les déplacements aujourd’hui et anticiper les mobilités de demain.
Koman nou sa déplas a nou domin a La Rényon ? La Région et ses partenaires lancent les états généraux des mobilités
Une consultation inédite

Les États Généraux des Mobilités sont une vaste consultation organisée par la Région Réunion dans toute l’île durant l’année 2023. Ils se déroulent en partenariat avec l’ensemble des collectivités compétentes en matière de mobilités : les intercommunalités (CASUD, CINOR, CIREST, CIVIS, TCO), le Département, ainsi que le Syndicat mixte de transport de La Réunion (SMTR) et l’État. Cette démarche est inédite sur plusieurs aspects :

o un changement de dimension en engageant une consultation à l’échelle régionale pour assurer une vision globale et coordonnée des besoins et des priorités ;

o une mobilisation de toutes les collectivités compétentes en matière de mobilités pour aboutir à une feuille de route partagée ;

o une plus grande association de la population avec une démarche de concertation ambitieuse dans tout le territoire et la création d’une Assemblée Citoyenne des Mobilités au second semestre 2023.

2 grandes phases rythmeront l’année :

o Du 9 mai au 23 juillet 2023 : grande consultation régionale pour réaliser un état des lieux des besoins, attentes et priorités.

o 2ème semestre 2023 : sur la base des conclusions de la phase 1, une Assemblée citoyenne des Mobilités sera constituée et travaillera sur des propositions qui seront soumises aux collectivités compétentes.

De la consultation à la décision et l’action

La démarche des États Généraux des Mobilités répond à une demande citoyenne exprimée lors des conclusions du dernier grand débat public, dédié à l’entrée Ouest de Saint-Denis en 2020. La Région Réunion, en tant que collectivité « chef de file » en matière de mobilités et d’aménagement du territoire, s’engage dans la mise en œuvre de cette vaste consultation qu’elle pilote et coordonne, avec l’appui méthodologique de la Commission Nationale du Débat Public représentée par 6 garants indépendants. 

« Les États Généraux des Mobilités se fixent comme objectif d’aboutir à une feuille de route partenariale améliorant concrètement les déplacements des Réunionnais et des Réunionnaises. Les enseignements de la démarche nous permettront avec nos partenaires de prioriser les actions, de structurer les moyens et d’anticiper les évolutions du territoire, le tout en prenant en compte la soutenabilité budgétaire des projets. » Huguette BELLO, Présidente de la Région Réunion.

Du 9 mai au 23 juillet 2023 : 1ère phase des États Généraux des Mobilités

La première phase des États Généraux des Mobilités qui s’engage va permettre aux Réunionnais-es de mieux comprendre les enjeux de déplacement et d’aménagement du territoire, de s’informer sur les projets prévus à court, moyen et long terme mais aussi et surtout de formuler des propositions.

Un vaste dispositif d’information et de participation est déployé sur tout le territoire du 9 mai au 23 juillet 2023 :

o Un site pour s’informer, contribuer et suivre l’actualité de la démarche : www.consultationmobilites.re

o Des outils pour mieux comprendre les enjeux de déplacement à La Réunion.

o Des événements pour se rencontrer et échanger : une série de réunions publiques est d’ores et déjà programmée dans les 4 coins de l’île, tandis que la Caravane des Mobilités viendra à la rencontre des Réunionnais-es dans toutes les communes.

o Les Ron Kozé des Mobilités permettront à chaque citoyen-ne d’organiser son propre événement et de contribuer à la consultation à tout moment avec ses proches, ses collègues, sa famille,….

o Les Réunionnais-es volontaires peuvent déjà candidater à l’Assemblée Citoyenne des Mobilités pour s’engager durablement dans la démarche.

En savoir plus : www.consultation-mobilites.re

À l’issue de la consultation, un bilan sera réalisé et rendu public. Les enseignements guideront les travaux de l’Assemblée citoyenne des Mobilités qui se déroulera au cours du second semestre. 

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Tract anti-Français : Les autorités comoriennes veulent identifier les auteurs

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Suite à la publication d’un tract appelant les ressortissants français à quitter les Comores sous un mois à cause de l'opération Wuambushu, les autorités comoriennes dénoncent les propos tenus et cherchent à identifier les auteurs du message.
Tract anti-Français : Les autorités comoriennes veulent identifier les auteurs
L’affaire avait fait grand bruit sur les réseaux sociaux, et certains pensaient qu'il ne fallait pas prendre au sérieux les menaces. Appelant les Français à quitter le pays dans un délai d’un mois, sous peine d’attaque, le pamphlet était signé “Le Patriot”. 

Pourtant, le ministère de l’Intérieur comorien s’est fendu d’un communiqué indiquant que les autorités veulent identifier le ou les auteurs. L’appel à la violence et les menaces “constituent des actes sévèrement punis sur le plan pénal”, rappellent les autorités. Ainsi, elles sont “pleinement mobilisées pour identifier les auteurs de ces tracts et leurs complices éventuels”. 

Tract anti-Français : Les autorités comoriennes veulent identifier les auteurs

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En raison des nuisances, Saint-Benoit interdit la consommation d'alcool dans les rues du centre-ville jusqu'au 31 juillet

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La Ville de Saint-Benoit a pris un arrêté pour interdire la consommation d'alcool dans les rues du centre-ville de 9h à 18h, pendant deux mois. Une décision liée aux nuisances occasionnées par la consommation excessive sur la voie publique, justifie la municipalité.
En raison des nuisances, Saint-Benoit interdit la consommation d'alcool dans les rues du centre-ville jusqu'au 31 juillet
Le communiqué de la mairie :

En raison des nuisances occasionnées par la consommation excessive d’alcool sur la voie publique, la mairie de Saint-Benoît a décidé de prendre un arrêté pour interdire la consommation de boissons alcoolisées des groupes 3 à 5, dans les rues du centre-ville, de mai à juillet 2023. Cette interdiction est valable du lundi au dimanche de 9h à 18h.

Téléchargez l’arrêté sur notre site internet : https://bit.ly/3ns3tMI

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Un véhicule se retourne dans la voie unique montant vers le pont Vinh San

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Un accident de la route s'est produit ce mercredi après-midi à l'entrée ouest de Saint-Denis. Un véhicule a chaviré pour finir sur le toit dans la voie unique en fin de viaduc de la NRL. Les automobilistes sont donc obligés de passer par le Barachois.
Un véhicule se retourne dans la voie unique montant vers le pont Vinh San

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La CINOR acteur majeur des États Généraux des Mobilités

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La CINOR acteur majeur des États Généraux des Mobilités
La Région Réunion  lance ce mercredi 3 mai 2023 les États Généraux des Mobilités qui se dérouleront du 9 mai au 23 juillet.
Les intercommunalités de l’île, en qualité d’Autorités Organisatrices de Mobilité, sont les partenaires privilégiés de cette démarche. La CINOR était donc représentée par son président Maurice GIRONCEL.
Dans son intervention, suivant celles de la présidente de Région et du Préfet, il a rappelé le point de départ de ces États Généraux, la concertation NEO (Nouvelle Entrée Ouest) qui avait mis en avant la préoccupation majeure des réunionnais qui se trouvent être les difficultés quotidiennes de circulation.
Le Président a ensuite mis l’accent sur la politique de La CINOR qui, à travers son Projet de mandature « Terre d’Avenir 2030 », consacre aux mobilités une partie non négligeable de ses investissements. Citalis  et ses 19 millions de passagers par an, la réussite publique du téléphérique Papang qui a déjà transporté 1,7 millions de voyageurs, la multiplication des parcours piétons, vélos, trottinette…et le projet Baobab  qui se profile.
 
Plus d’informations sur consultation-mobilites.re

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La tortue Emma pondra-t-elle six fois ?

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Kélonia continue à raconter les aventures de la tortue Emma, venue pondre sur notre île, toujours à la manière d'une série.
La tortue Emma pondra-t-elle six fois ?
Le communiqué de Kélonia :

Emma Saison 6* Episode 8 : dernier nid ?


Résumé des épisodes précédents : Malgré une grave blessure et avec un an de retard, la tortue Emma poursuit sa saison de ponte.

Emma est venue pondre pour la cinquième fois.

Elle est d’une régularité étonnante. Son intervalle inter-ponte est constant, son heure de montée sur la plage très similaire et les nids sont pondus à moins d’un mètre les uns des autres. Pour ce cinquième nid, Emma est pourtant montée plus au Nord de la plage que les fois précédentes, mais elle a longé le haut de plage sur plus de 50 mètres, pour finalement pondre à moins d’un mètre du nid N° 4.

Est-ce le dernier nid de la saison? Depuis sa première saison de ponte en 2007, Emma pond un nid supplémentaire à chaque saison. Saison 1 : 1 nid ; saison 2 : 2 nids ; saison 3 : 3 nids ; saison 4 : 4 nids et 5 nids lors de la saison 5. La saison 6 verra-t-elle Emma pondre 6 fois ? Le nombre de ponte dépend de la taille de la femelle et de son état physiologique lorsque démarre la période de ponte. Dans quelle mesure sa blessure au niveau des reins aura impacté sa capacité à se reproduire.
Réponse lors du prochain épisode de la Saison 6 d’Emma !

Prochain épisode :  Premières naissances

*Emma est une série réunionnaise qui a démarré en 2007 et qui depuis mobilise les amoureux des tortues marines tous les 3 ans.
Mais la saison 6 a faillit ne pas exister, l'actrice principale la série la tortue verte baptisée Emma ayant été percutée et gravement blessée par un bateau rapide.

Si les dates et les lieux précis ne seront pas indiqués, pour garantir la quiétude de Emma lors de la saison de reproduction, la chronologie des évènements est totalement respectée.

"Toute ressemblance avec des évènements ou des personnages existant n'a rien d'une coïncidence !"

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Délivrance des certificats de décès par les infirmiers : Jean-Hugues Ratenon satisfait

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Le ministre de la santé, François Braun, a annoncé ce matin la mise en place prochaine d'une expérimentation dans 4 régions françaises, dont La Réunion, pour permettre aux infirmiers de signer des certificats de décès. Une décision qui satisfait Jean-Hugues Ratenon qui avait demandé à la rapporteure générale d'intégrer la région dans l'expérimentation.
Délivrance des certificats de décès par les infirmiers : Jean-Hugues Ratenon satisfait
Le communiqué :

Je me réjouis de l’annonce de François Braun, ministre de la santé, ce matin sur un média de l’hexagone au sujet des certificats de décès. 

Il a indiqué qu’une expérimentation va être mise en place « dans les prochaines semaines » dans 4 régions françaises « dont la Réunion ». Elle va permettre aux infirmières et infirmiers, « après une formation complémentaire » de signer des certificats de décès.

C’est une forte demande de nombreuses familles réunionnaises que des élus Réunionnais ont porté et que j’ai moi-même relayé, par le biais d’un amendement, en commission des affaires sociales de l’Assemblée Nationale le 12 octobre 2022 auprès de la rapporteure générale du PLFSS, Mme Stéphanie Rist.

Cette dernière m’avait demandé de retirer mon amendement et de faire préciser en séance publique que l’expérimentation se fera aussi à la Réunion. C’est ce que j’ai fais. 

Par courrier en date du 08 novembre 2022 je lui avais demandé des précisions sur le sort de cette expérimentation après que le gouvernement ait utilisé le 49-3 sur ce PLFSS.

Dans sa réponse, elle m’avait assuré que son amendement d’expérimentation pour la délivrance des certificats de décès était bien retenu sous l’article 22 bis du PLFSS. Elle me précisait aussi qu’elle allait transmettre mon courrier au ministre de la santé « afin d’alerter sur les difficultés spécifiques que rencontre l’ile de la Réunion ».

Je me félicite, par conséquent, que le gouvernement ait été sensible à mes arguments et de retenir notre département parmi l’une des 4 régions françaises pour l’expérimentation. En espérant toutefois qu’elle soit vite mise en application. 

Kan lé bon, lé bon ; kan lé pa bon lé pa bon.

Une nouvelle qui va soulager les familles qui se trouvent confrontées à l’absence de médecin pour constater un décès. 

Jean Hugues RATENON
Député de la Réunion  

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​“Maloya Is Not Dead” : 16 titres et 23 artistes pour le prouver au monde entier

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“MIND”, c’est un album de 16 titres sur lequel ont collaboré 23 artistes locaux pour mettre en lumière la culture locale au-delà des frontières en proposant un mélange entre musiques modernes et maloya.
​“Maloya Is Not Dead” : 16 titres et 23 artistes pour le prouver au monde entier
“MIND” pour esprit, un clin d'œil au côté cultuel, à l'appel aux esprits  ; “MIND” aussi pour Maloya Is Not Dead. 

Le projet réunit des générations de talents péi autour d’un même but, celui d’associer tradition et modernisation. “L’idée était de fédérer autour de plusieurs styles musicaux pour faire rayonner le maloya au-delà de La Réunion, partout”, indique le producteur.

Les artistes, à savoir Lindigo, Alaza, Mc Duc, Davy Sicard, Zoro Chang, Votia, Babkésign, H Magnum, Zanmari Baré, BelBel, Blacko, Kiltir, David Saman, Gadiembé Maloya, Nicko,  Tipimente, Bihel Ivoula, Aleksand Saya, Alex Sorres, Zéko, Mari Sizay et Simangavole et Françoise Gimbert à titre postum, nous font d'un titre à l’autre bouger, et réfléchir.

Les 16 titres de l’album sorti aujourd’hui sont “un mélange très urbain, très organique, avec tous les instruments joués en studio, des influences du monde”. Ils traitent de thèmes diverses tels que les violences intra familiales, l’alcoolisme, le vivre ensemble, l’identité, l’émancipation.

 


Rendre le maloya accessible au plus grand nombre

A l’initiative de la création de l’album, Nicolas M’tima, alias Nikoo Prod, qui en est le compositeur, l’éditeur et le producteur. L’homme aux multiples casquettes qui a exercé à l’international a voulu puiser dans les racines de l’île pour faire une proposition musicale très contemporaine. “On m’a demandé ce que j'apporte dans la musique en tant que Réunionnais. L’idée est venue de là”, explique-t-il.

Nikoo Prod reconnaît faire partie de la génération de “ceux qui sont largement impactés par la mondialisation” et qu’avant de se lancer dans ce projet il y a 5 ans, il “entendait le maloya, mais ne l’écoutait pas”. Le compositeur a donc effectué un travail de recherche et d’introspection avant de construire un album dans le but rendre le maloya “accessible à tout le monde” et d’actualité.

Nicolas M’tima et toute l’équipe de “MIND” tiennent, à l’occasion de la sortie de l’album, à rendre hommage à l’une des artistes présents sur ce projet, Françoise Guimbert, la marraine du maloya, disparue l’an dernier, dont il s’agit certainement du dernier projet.



 




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Début de la campagne de télédéclaration pour les dossiers PAC

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La campagne de télédéclaration pour les dossiers PAC débute. Vous avez jusqu'à 15 mai pour effectuer la démarche.
Début de la campagne de télédéclaration pour les dossiers PAC
Le communiqué :

Début de la campagne de télédéclaration pour les dossiers PAC

Rendez-vous jusqu’au 15 mai sur www.telepac.agriculture.gouv.fr

La campagne de télédéclaration pour les demandes d’aides dans le cadre de la politique agricole commune (PAC) a démarré samedi 1er avril 2023 et se terminera lundi 15 mai 2023.

Cette télé-déclaration, sécurisée et simplifiée, permet à chaque exploitant agricole de déclarer annuellement ses aides liées aux surfaces en se connectant sur le site www.telepac.agriculture.gouv.fr

Vous pouvez également vous faire assister dans votre démarche :
  • Si vous êtes planteur de canne à sucre :
Vous pouvez vous rendre dès que possible dans le pôle canne (centre technique interprofessionnel de la canne et du sucre) de votre secteur.
  • Si vous êtes exploitant en production hors cannes (élevages, maraîchage, arbres fruitiers, géranium, vanille …) :
    • Prenez contact avec la direction de l'alimentation, de l'agriculture et de la forêt par mail : telepac.daaf974@agriculture.gouv.fr  ou aux numéros suivants : 0262 333 605 / 611 / 621 / 625 / 627 / 308 941 ;
    • votre conseiller « Point Vert » de la Chambre d'agriculture ;
    • ou le technicien de votre organisation professionnelle qui vous orientera dans votre démarche.
Lors de votre rendez-vous avec l’une des entités ci-dessus, n'oubliez pas de faire un point avec votre conseiller sur les surfaces déclarées, en mettant à jour les surfaces non agricoles (constructions, chemins non enherbés, friches, etc.) et en indiquant les évolutions par rapport à l'année dernière.
Les adhérents à une organisation de producteur bénéficiaires des aides POSEI (en savoir plus), doivent obligatoirement télédéclarer leur dossier PAC. De même, il est obligatoire d'avoir télédéclaré son dossier PAC pour être éligible au fonds de secours pour les calamités agricoles.
Après l’échéance du 15 mai, des pénalités pour dépôt tardif seront appliquées jusqu'au 09 juin inclus pour les demandeurs d'aides. Aucun dossier ne pourra être déposé au-delà du 09 juin.

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Paré pour l’opération "Mai à vélo" sur le Territoire Ouest

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La Possession, Le Port, Saint-Leu, Saint-Paul, Trois-Bassins
Paré pour l’opération
« Mets-toi à vélo » tout le long du mois de mai . En effet, du 1er et 31 mai, adoptez un nouveau mode de mobilité active : le vélo pour la vie.

Impulsé par le ministère de la Transition écologique et le ministère des Sports, ce challenge collectif mis en place par le Syndicat Mixte de transport de la Réunion (SMTR) en partenariat avec le Territoire de la Côte Ouest (TCO) a pour but de tendre vers un changement des habitudes de déplacement au au long du  mois de mai.

Participez à cet évènement national en parcourant le plus de kilomètres à vélo qui seront enregistrés sur l’application Géovélo. Pour y participer, il vous suffit de rejoindre la communauté « La Réunion SMTR »

Ce challenge récompensera les 10 participants de La Réunion qui auront comptabilisé les meilleurs scores (VTT, smartphone, carte cadeaux)

Téléchargez le règlement du challenge Mai à Vélo-2023 pour la communauté  » réunion SMTR » du 1er au 31 mai 2023.

 

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La Région néna 40 ans

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40 ans se sont écoulés depuis que la Région Réunion est devenue, dans le cadre de la Décentralisation, une collectivité territoriale à part entière.
La Région néna 40 ans
Ces quatre décennies d’existence, riches d’enseignements et de réalisations, est célébrée de façon solennelle ce 28 avril 2023 à 14h30 dans l’hémicycle du Conseil régional, en présence notamment des élus de la première assemblée et des partenaires institutionnels (Europe, État, COI, régions...) ayant accompagné cette histoire exceptionnelle.

Retour sur les interventions

Je voudrai vous exprimer à toutes et à tous mes plus vifs remerciements. Votre présence témoigne de la portée historique de cet événement, la célébration des 40 ans de Région Réunion. Connaître le passé, pour comprendre le présent et construire l’avenir, c’est dans cet esprit, que nous plaçons cette célébration.

Le 20 février 1983, avec la première élection régionale, le 30 avril, avec la signature du Protocole d’accord, et le démarrage effectif de la Collectivité Régionale, une nouvelle ère politique s’est ouverte pour La Réunion. Les regions d’Outre Mer ont ainsi été les précurseurs, de l’avènement du fait régional dans le cadre de la décentralisation.

A La Réunion, le Conseil Régional s’est affirmé au fil de ses 40 ans d’existence comme un acteur majeur du développement de notre île.

J’ai tenu à inviter les Conseillers Régionaux élus en 1983, afin de marquer cette continuité historique. Tous ont eu ou ont l’honneur et la responsabilité de servir la collectivité régionale, de servir aujourd’hui les 860 000 Réunionnais. J’ai une pensée particulière pour tous mes prédécesseurs, Mario HOARAU, Pierre LAGOURGUE, Paul VERGES, Camille SUDRE, Margie SUDRE et Didier ROBERT.

L’avènement des Régions est la manifestation la plus éclatante de la République décentralisée.

Huguette BELLO, Présidente de la Région Réunion





Nous, les Conseillers Régionaux, sommes tous des héritiers des bâtisseurs, qu’ont été Pierre LAGOURGUE et Paul VERGÈS. Durant les différentes mandatures, beaucoup a été fait, les fondations ont été posées, des voies nouvelles ont été ouvertes, non seulement dans les domaines l’aménagement et de l’environnement, mais aussi dans la construction des lycées, dans le domaine du désenclavement aérien, de la coopération régionale.

Philippe Berne, Elu Conseiller Régional de 1983 à 2010





En 1983, la Région comptait 35 agents, qui furent de véritables pionniers, en même temps des premiers artisans de la décentralisation. Son budget était de 9 millions d’euros. Aujourd’hui, la Région compte 2733 agents. Son budget dépasse les 2 milliards d’euros.

Ce simple rappel suffit à mesurer le chemin parcouru.

Ces premiers agents ont donné le meilleur d’eux-mêmes au service de la Région Réunion.

Toutes celles et de tous ceux, qui ont connu les lieux de la Région, ont à jamais le privilège d’avoir vécu une experience humaine et professionnelle passionnante. Ils ont participé aux différentes étapes de la mise en oeuvre de cette grande réforme historique, qui fut autant de défis à réaliser. La Région est devenue une institution forte et respectée, un acteur majeur du développement de notre île.

Bernard SALVA, Premier Directeur Général des Services de la Région Réunion





Je suis honoré d’être présent aujourd’hui à l’occasion de cette cérémonie solennelle. Je suis moi-même attaché au dialogue, qui nous anime, Région et Département, qui nous a toujours permis d’être au service de nos concitoyens et surtout au service des plus vulnérables d’entre eux.

Février 1983, un scrutin, qui marquera à jamais la Région Réunion. Cette loi aura un grand impact sur notre île.

Cet anniversaire a donc une résonance particulière, pour moi-même, en tant qu’ancien agent de la Région Réunion, au sein du Service des Budgets et des Finances.

Les Lois de décentralisation posent une nouvelle étape pour La Réunion après 1946. C’est une nouvelle ère, celle des progrès et de l’ambition. La Décentralisation, c’est l’ère de la responsabilité, en effet, dès ce moment-là, les Réunionnais ont eu le pouvoir de décider pour leur île.

La décentralisation a ainsi permis au génie réunionnais de pleinement s’exprimer. C’est une étape majeure pour l’histoire de notre île de La Réunion.

Cyrille MELCHIOR, Président du Conseil Départemental





Nous célébrons les 40 ans des premières élections régionales. Nos collectivités régionales sont des collectivités majeures, incontournables et indispensables pour relever nos territories sont confrontés : tendre vers la souveraineté énergétique et alimentaire, améliorer la résilience de nos infrastructures, connaitre préserver, et quelque fois restaurer notre environnement et notre biodiversité, améliorer nos équipements et notre expertise.

Chacun de ces défis nous offre d’innombrables opportunités pour relever notre challenge le plus important, celui de l’emploi et de l’épanouissement de notre jeunesse. Nous oeuvrons quotidiennement à l’épanouissement de notre population.

Grâce à l’action des collectivités régionales, nos territoires sont prêts à assumer leur plein potentiel au sein de la nation et dans le monde.

Marie Luce PENCHARD, 2ème Vice-Présidente de la Région Guadeloupe





Il y a 40 ans, le Président de la République Française, François Mitterand concrétisait un projet souhaité depuis des décennies, la création des Régions Françaises. Cette nouvelle ère de décentralisation modifiait en profondeur les conditions d’exercice de l’action publique. Notre pays admettait enfin l’existence d’autorités locales compétentes et responsables.

40 ans après, les Régions sont devenues un échelon incontournable de notre démocratie. A La Réunion, la Région a accompagné le développement de son île. Avec constance, les Conseillers Régionaux Réunionnais se sont battus pour améliorer les conditions de vie, diminuer la pauvreté, accroître l’accès à l’éducation.

La Réunion s’est imposée comme le géant des Outre-mers, une véritable locomotive démographique, économique, humaniste. En 40 ans, le chemin parcouru est immense. Ces 40 ans doivent donner un nouvel élan à la décentralisation. La loi doit s’adapter aux contextes locaux, sous peine de devenir inefficace. Il est temps de donner aux Régions plus de compétences et aux Outre-mers une maîtrise de leur destin singulier au sein de notre pays.

Carole DELGA, Présidente de Régions de France





La Réunion et Madagascar entretiennent des liens d’amitié très forts. La Réunion fait partie des lieux particuliers de l’histoire de la Grande Ile. La Région a d’ailleurs une place particulière au sein de la COI.

L’implantation de l’antenne de Région à Madagascar, en 2006, a permis de renforcer et de faciliter la coopération entre les deux îles.

Yvette SYLLA, Ministre des Affaires Etrangères de la République de Madagascar - Présidente en exercice de la COI





L’Europe et La Réunion sont unies. Je me réjouis de voir à quel point le budget apporté par l’Union Européenne a une influence déterminante sur votre belle île, notamment sur l’aménagement du territoire, sur les services mis à la disposition de la population et de l’économie. Les fonds de la politique de cohésion ont permis d’aménager les portes d’entrées de l’île, aéroports de Gillot et de Pierrefonds, ainsi que l’agrandissement du Port Maritime, ont permis de soutenir les projets des axes routiers, la Route des Tamarins, la Nouvelle Route du Littoral…

Aujourd’hui, la Région rayonne, parce que vous avez eu cette ambition pour votre île.

Célébrons les 40 ans de réalisation, de progrès, de développement, d’autonomie et de démocratie. Le destin de La Réunion est entre vos mains. Avec vos atouts uniques, La Réunion a un avenir prometteur. La commission européenne sera à vos côtés. Vous êtes les architectes de votre avenir. C’est vous, qui construisez votre île.

Elisa FERREIRA, Commissaire européenne à la cohésion et aux réformes





La Région Réunion est au coeur de toutes les transitions, de toutes les mutations, auquel notre monde est confronté. Cet anniversaire est un temps fort de notre pays. Votre île prouve qu’elle porte bien le nom de Réunion. En 1983, l’Etablissement Public Régional devenait alors une collectivité de plein exercice doté de larges compétences, et une assemblée porteuse de la légitimité du suffrage universel direct. Cette respiration démocratique, pionnière, favorisa l’émergence de nouvelles figures politiques. En 40 ans de décentralisation, La Réunion peut être fière du visage, qu’elle offre au monde.

Dominique FAURE, Ministre déléguée chargée des collectivité territoriales

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Cyrille Melchior obtient la délivrance des certificats de décès par les infirmiers

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Voici le communiqué de Cyrille Melchior suite à la décision du gouvernement d'expérimenter la délivrance des certificats de décès par les infirmiers à La Réunion :
Cyrille Melchior obtient la délivrance des certificats de décès par les infirmiers
« C’est avec énormément de satisfaction que j’accueille l’annonce du ministre de la santé François Braun qui a déclaré ce mercredi que La Réunion sera terre d’expérimentation durant trois ans pour la délivrance des certificats de décès par les infirmiers. Cette décision fait suite aux conclusions du volet santé du Conseil National de la Refondation (CNR) lancé en octobre 2022 par le président Emmanuel Macron.


« Le problème a été soulevé pour la première fois sur l’Ile de La Réunion » a expliqué aujourd'hui sur France Inter François Braun. Et effectivement, j’avais interpellé le ministre lors de sa visite dans notre île en novembre 2022 à l'occasion d’un entretien et par courrier. J’avais rappelé les grosses difficultés rencontrées par les familles endeuillées, notamment pendant les week-ends et les jours fériés, qui devaient attendre plusieurs heures avant qu’un certificat puisse être rédigé. 
Je lui avais alors demandé que La Réunion soit une terre d’expérimentation. Une motion avait même été adoptée au sein de notre assemblée et un groupe de travail d'élus avait été constitué à l’initiative du conseiller départemental, Aurélien Centon, en coordination avec les partenaires de santé dont l’ARS (l'Agence Régionale de Santé).

Par cette décision, le ministre répond à mes attentes mais avant tout aux attentes de nombreuses familles réunionnaises confrontées à cette douloureuse problématique et doivent en priorité gérer le deuil et la perte de leurs proches.
Désormais nos infirmiers libéraux seront en mesure de signer les certificats de décès, après une période de formation. Le ministre a souligné que l’expérimentation devrait débuter dans les prochaines semaines sur quatre régions dont La Réunion.


Je tiens à saluer l’engagement du gouvernement et plus particulièrement l’écoute et la réponse du ministre François Braun  qui a su entendre notre demande face à la détresse des Réunionnais.» 
 

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Meurtre de Vanina : "Si je devais le refaire, je le referais"

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​Le deuxième jour du procès du meurtre de Vanina a réservé une surprise de taille. L’accusé a commencé par présenter ses excuses à la famille de la jeune fille et demander pardon. Il s’est également excusé pour les insultes proférées envers les magistrats tout au long de l’instruction, mais aussi envers la France qu’il avait injuriée devant la chambre de l’instruction.
Meurtre de Vanina :
Une fois n’est pas coutume, Ridaï-Mdallah Mari est difficile à cerner. Après n’avoir exprimé aucun regret lors du premier jour de son procès en appel, il a présenté des excuses à la famille de Vanina : ‘J’espère qu’un jour vous pourrez me pardonner". La présidente a ensuite procédé à son interrogatoire. À travers les questions de la magistrate, l’accusé a raconté sa rencontre avec Vanina, son voyage à Mayotte et son retour à la Réunion la veille du meurtre. La présidente a dû user de finesse et d’autorité pour arriver jusqu’à la scène du crime. En effet, l’accusé a une tendance certaine à la dichotomie et à la logorrhée. 

Cette fois encore, les déclarations de Ridaï-Mdallah Mari sont en contradiction avec ses déclarations lors des auditions. Il avait évoqué un crime passionnel, car selon ses dires, Vanina voulait le quitter. Là, il n’est plus question de cela : "Je n’avais pas de projet de couple avec elle, je n’ai pas eu de coup de foudre" indique-t-il. Aussitôt contredit par la présidente qui lui relit ses déclarations, il rebondit et fait volte-face : " J’ai dit ça, mais j’ai tout inventé. C’était une stratégie pour ne pas aller en hôpital psychiatrique, on voulait me faire passer pour un fou. La seule vérité est celle que j’ai dite durant la garde à vue"

"J’ai senti que quelqu’un contrôlait mon esprit"

La présidente en arrive difficilement à l’élément déclencheur de son acte, mais parvient à l’y emmener : "Elle est venue chez moi vers 10h30, on a passé la journée ensemble et elle m’a dit qu’elle devait partir à 16h. On a regardé la télé et puis il y a eu cet appel des gendarmes, ça m’a énervé. J’ai senti que quelqu’un contrôlait mon esprit après les appels de la famille et de la gendarmerie. Ensuite, elle a décidé de rester, on s’est allongé sur le lit. 

On a discuté et on s’est endormi. Il y avait des forces obscures ce soir-là, je me suis réveillé d’un coup et j’ai senti que je changeais de personnalité. Je lui ai dit : "C’est toi qui fait ça, c’est toi le diable".  Et là, l’armoire s’est écroulée d’un seul coup, les étagères se sont écroulées et tout est allé se ranger dans le salon. Je me suis levé et j’ai pris le couteau",
explique l’accusé avec une froideur sans nom en mimant ses actes par des gestes précis sous le regard médusé de la famille et des jurés . L’horrible suite est malheureusement connue.  

"Je ne regrette rien ! Si je devais le refaire, je le referai"

Interrogé ensuite par Me Saubert, avocat des parties civiles, le ton monte quelque peu entre les deux hommes. L’accusé est mis à mal par la robe noire qui le place face à ses contradictions, mais surtout face à ses élucubrations : "Vous avez des regrets ? Quels regrets ? Pourquoi  avez-vous tué cette personne ? Vous êtes le seul qui reste pour témoigner, elle, elle n’est plus là ! Vous comprenez ça ???" lance Me Saubert. La réaction de l’accusé ne s’est pas fait attendre. Dans un style qui est le sien, il regarde l’avocat et lui lance fièrement : "Je ne regrette rien ! Si je devais le refaire, je le referais. Je n’ai pas de regrets d’avoir tué le diable".

La suite de l’audience était consacrée aux témoignages des différents experts psychiatres et psychologues. La question cruciale de son état psychiatrique au moment des faits a été placée au centre du débat. Les expertises ont été faites en mai et juin 2018 pour les premières et en octobre 2019 pour les dernières. Selon les experts, l’accusé est une personne moyennement intelligente présentant une personnalité narcissique et mégalomane. S’ils s’accordent sur la présence d’une manie délirante (obsession), d’une hypomanie (trouble de l’humeur) et d’une paranoïa, leurs conclusions divergent totalement. 

"M. Mari n’est pas quelqu’un que l’on peut qualifier de normal"

Le premier psychiatre conclut à une abolition du discernement au moment des faits et le maintient lors de l’audience : "Pour moi, il fallait l’hospitaliser. C’est peut-être la rencontre avec la victime qui l’a fait décompenser. Il a une maladie mentale liée au trouble de l’humeur. M. Mari n’est pas quelqu’un que l’on peut qualifier de normal" soutient le spécialiste à la cour. 

La conclusion du second psychiatre est l’altération du discernement qu'il maintient également à l’audience : "Ce fût une décision difficile, mais je conclus qu’il est altéré, car il a trop de troubles. Pour autant, il est dans une réalité même au moment de l’acte, il y avait un degré de conscience" conclut le psychiatre. 

La loi est claire à ce sujet, on ne juge pas les fous

Dans les deux cas, les spécialistes sont unanimes sur la dangerosité psychiatrique et criminelle de l’accusé. Compte tenu des enjeux en matière pénale, l’altération laisse l’accusé responsable de ses actes et accessible à une sanction pénale, mais amoindrie. Dans le cas de l’abolition, l’accusé est déclaré irresponsable et ne serait plus accessible à une sanction pénale. La loi est claire à ce sujet, on ne juge pas les fous. Il serait alors placé, sur ordre du préfet en UMD (Unité pour Malade Difficile). À ce titre, l’avocate générale s’est évertuée, en vain, à vouloir faire changer d’avis le premier spécialiste malgré de nombreux arguments. La défense a, pour sa part, tenté d’obtenir l’acquiescement d’un degré d’altération reconnue proche de l’abolition. 

Ce procès hors norme en appel devrait voir sa conclusion ce jeudi 4 mai dans la soirée. L’enjeu pour le parquet général est de convaincre les jurés que l’accusé était altéré mais non aboli au moment des faits. Il serait donc accessible à une sanction pénale. L’accusé, qui avait écopé d’une peine de 30 ans en première instance eu égard à son altération du discernement, risque la réclusion criminelle à perpétuité. 


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ILEVA : Avis d'appel public à la concurrence

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Objet du marché : MAPA. ACHAT DE GAZOLE NON ROUTIER ET DE DIVERS PRODUITS PETROLIERS POUR LES ENGINS D’ILEVA A LA RAVINE DES GREGUES (LOTS 01 ET 02)
ILEVA : Avis d'appel public à la concurrence
I.      IDENTIFICATION DU POUVOIR ADJUDICATEUR
ILEVA - SYNDICAT MIXTE DE TRAITEMENT DES DECHETS DES MICROREGIONS SUD ET OUEST DE LA REUNION
17 chemin Joli Fond – Basse-Terre - BP 560 - 97410 Saint-Pierre
Tél. : 02 62 71 28 18 - Fax. : 02 62 71 28 22 – Email : courrier@ileva.re
Adresse internet : http://www.ileva.re / Adresse du profil d’acheteur : https://smtd-rso.e-marchespublics.com

II.      PROCEDURE
Procédure adaptée ouverte.

III.      OBJET DU MARCHE
1. Intitulé attribué : MAPA. ACHAT DE GAZOLE NON ROUTIER ET DE DIVERS PRODUITS PETROLIERS POUR LES ENGINS D’ILEVA A LA RAVINE DES GREGUES (LOTS 01 ET 02)

2. Autres informations :
Division en tranches / lots : Lot 1 : Mise à disposition, installation, entretien d’une cuve de stockage et achat de GNR / Lot 2 : Achats de consommables, lubrifiants et divers produits pétroliers.
Critères de jugement des offres : Critères énoncés dans les documents du marché.
Réf. Interne du DCE : M23CARBURANT-04 / Id DEMATIS n° 935861 / Annonce BOAMP : 23-60097
Modalités de retrait du DCE : UNIQUEMENT sous format électronique sur le profil d’acheteur.

IV.      DATE ET HEURES LIMITES DE REMISE DES OFFRES : MERCREDI 24 MAI 2023 à 12H00 (Heure de La Réunion -GMT + 4-)

V.     DATE D’ENVOI DU PRESENT AVIS A LA PUBLICATION : 03/05/2023

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Météo : Nuages en matinée et soleil dans l'après-midi

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Une belle matinée en ce jeudi excepté une peu d'humidité de St-André à Ste-Rose et même jusqu'à St-Pierre. Cet après-midi, des nuages sont attendus dans les hauts alors que le littoral devrait rester ensoleillé, prévoit Météo France Réunion.
Météo : Nuages en matinée et soleil dans l'après-midi
La matinée commence sous un ciel nuageux sur l'Est et le Sud de l'île avec quelques averses venant s'échouer de Saint-André à Saint-Pierre en passant par Sainte-Rose. Partout ailleurs, le temps est généralement agréable et même ensoleillé.

A la mi-journée, le ciel devient également bien nuageux dans les hauts avec de petites averses ici ou là qui se développent. Cet après-midi, ces nuages débordent vers le Nord-Ouest avec des averses possibles jusque sur le littoral. Le soleil offre tout de même une belle résistance avec des éclaircies sur le pourtour littoral à l'exception du Nord-Ouest. 

En fin de journée, alors que la masse d'air s'assèche globalement sur le département, de nouvelles entrées maritimes viennent s'installer sur le Sud-Est Réunionnais. Le vent de secteur Sud-Est est modéré le long des côtes Sud-Ouest et Nord-Est avec des rafales de l'ordre de 50 à 60 km/h.

Temporairement, il entre en journée en Nord-Est en Baie de la Possession. La mer est agitée de la Pointe des Galets à la Pointe de la Table en passant par Saint-Pierre, au déferlement de la houle de Sud-Ouest voisine de 2 mètres en journée.

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Ste-Suzanne : Une voiture sur le toit sur la RN2 dans le sens Nord/Est

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Un véhicule a fait un tonneau et se trouve sur le toit sur le bas côté de la RN2 à Ste-Suzanne en direction de l'Est. La circulation est ralentie dans ce secteur.
Ste-Suzanne : Une voiture sur le toit sur la RN2 dans le sens Nord/Est

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